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21 juin 2025
ANNEE SCOLAIRE 2021-2022, LE CALENDRIER DES CONGES DEJA CONNU
La durée des congés et vacances scolaires, pour l’année 2021-2022, a été fixée par décret présidentiel. Les vacances du premier semestre auront lieu du jeudi 23 décembre 2021 au lundi 3 janvier 2022.
La durée des congés et vacances scolaires, pour l’année 2021-2022, a été fixée par décret présidentiel. Les vacances du premier semestre auront lieu du jeudi 23 décembre 2021 au lundi 3 janvier 2022. Celles du 2e trimestre du samedi 26 mars 2022 au jeudi 7 avril.
Les ministres compétents, celui de l’Intérieur, Antoine Félix Diome, et de l’Éducation nationale, Mamadou Talla, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent décret. Le document, parvenu à Emedia, rappelle que, par rapport à l’année dernière, les effets de la crise sanitaire (Covid-19) avaient imposé la mise en œuvre d’un plan de résilience, qui avait "permis de juguler son impact".
C’est pourquoi, les dispositions du présent décret prévoient un retour au découpage classique de l’année scolaire.
Pour rappel, en 2020, les répercussions de la longue pause scolaire imposée par la crise sanitaire s’étaient fait sentir par les élèves, qui n’avaient eu droit ni aux congés ni aux fêtes de Noël et de Pâques.
Les potaches n’avaient eu droit qu’à une semaine de pause par trimestre.
LOCALES 2022, DIOUF SARR NE PERD PAS LE TEMPS
Le candidat de la coalition Benno Bokk Yakaar (BBY) à la Mairie de Dakar, Abdoulaye Diouf Sarr, lance sa campagne avant l’heure.
Le candidat de la coalition Benno Bokk Yakaar (BBY) à la Mairie de Dakar, Abdoulaye Diouf Sarr, lance sa campagne avant l’heure. Le ministre de la Santé et de l’Action sociale a effectué sa première visite pré-électorale, ce dimanche, dans les quais de pêche de Ouakam, de Soumbédioune et de Ngor, accompagné entre autres de l’ancien ministre de l’Urbanisme et candidat à la Mairie de Point E, Abdou Karim Fofana et de son Directeur de campagne, Malick Diop.
"Les plages et les baies de Dakar sont des atouts majeurs pour donner à Dakar sa vraie place dans la haute sphère des capitales du monde. Cette tournée avec les jeunes et les femmes, est l’occasion de voir les activités qui font vivre ces lieux", a-t-il prôné, sur les réseaux sociaux.
Dans son opération de séduction, le maire sortant de Yoff s’intéresse au résultat du Concours Miss Sénégal édition 2021. "Nos félicitations les plus chaleureuses à Mademoiselle Fatou Lô qui a fait honneur à la capitale, en remportant avec brio la couronne de Miss Sénégal 2021", a-t-il réagi, sur twitter.
Dans tous les cas, le candidat a exprimé sa volonté de faire de Dakar une ville reposant sur "une gestion transparente et inclusive". "On ne doit plus laisser l’administration municipale sans repères. Elle doit avoir un maire qui l’aide dans cette gestion par une bonne organisation et dans une bonne posture de confiance. Ce sera même une fierté pour les travailleurs de la Ville. C’est pourquoi, nous devons faire en sorte que la gestion soit transparente", a-t-il égratigné, au passage, le cheval de conquête du président Macky Sall.
Pour rappel, l’équipe de Khalifa Sall, l’un des leaders de la coalition Yewwi Askan Wi (YAW, opposition) est aux commandes depuis 2009, à la tête de la municipalité.
WACK NGOUNA, LA CRUE RETIENT LES ELEVES
Des élèves de Keur Amadou Néné et des villages environnants éprouvent d’énormes difficultés pour rejoindre leur établissement à cause du niveau de l’eau de la vallée de Koutango
Wack Ngouna (Kaolack), 15 nov (APS) - Des élèves de Keur Amadou Néné et des villages environnants éprouvent d’énormes difficultés pour rejoindre leur établissement à cause du niveau de l’eau de la vallée de Koutango, a déploré le premier adjoint au maire de Wack Ngouna.
Cette situation, a-t-il ajouté, ’’ne fait que réduire le taux de scolarisation de nombreuses filles des villages environnants de Wack Ngouna’’, a souligné Ibrahima Sall lors d’un point de presse.
’’Le non maintien des filles à l’école dans notre commune est surtout dû à cette eau abondante dans la vallée de Koutango’’, a encore déploré Ibrahima Sall.
Il a ainsi invité les autorités étatiques et des bonnes volontés à œuvrer à trouver des solutions à ’’ce phénomène’’ qui, selon lui, est dû au changement climatique qui sévit dans le monde.
’’Nous sommes en train de rencontrer actuellement des difficultés dues au changement climatique dans la commune de Wack Ngouna. Et, ce changement climatique entraine la remontée de l’eau dans la vallée de Koutango’’, a dit le premier adjoint au maire.
Selon lui, ce changement climatique a aussi entrainé le développement du typha, ’’des herbes envahissantes qui font que l’eau remonte vers les routes empêchant les populations de se déplacer vers Wack Ngouna et surtout les élèves de se rendre à leur école’’.
FATCK, LE CEDAF IMPLANTER DANS TOUS LES DEPARTEMENTS
Le ministère de la Femme, de la Famille, du Genre, et de la Protection des enfants compte généraliser l’implantation de Centres départementaux d’assistance et de formation pour la femme (CEDAF) dans tout le pays
Fatick, 15 nov (APS) - Le ministère de la Femme, de la Famille, du Genre, et de la Protection des enfants compte généraliser l’implantation de Centres départementaux d’assistance et de formation pour la femme (CEDAF) dans tout le pays a indiqué lundi, son secrétaire général, Mame Ngor Diouf.
"Nous allons généraliser l’implantation de CEDAF au niveau national, soit dans tous les départements", a dit M. Diouf.
Il s’exprimait lors de la cérémonie officielle de clôture de la session de formation des facilitateurs techniques du Programme d’alphabétisation et d’apprentissage des métiers (PALAM).
"Cette politique de généralisation dans l’implantation de ces centres sera prise en compte dans le cadre du budget 2022 du ministère de la Femme", a-t-il assuré en présence de l’adjoint au gouverneur de Fatick en charge du développement, Abdou Diop.
Dans cette perspective, a-t-il avancé, son ministère compte donner à ces centres d’assistance et de formation pour la femme "une vocation importante dans l’autonomisation des femmes".
A travers sa composante 3 dédiée spécifiquement aux femmes, le PALAM II permettra d’accéder à une alphabétisation fonctionnelle, à une formation technique et professionnelle pour le développement des micros entreprises, a rappelé M. Diouf.
Initiée dans les régions de Thiès et Fatick, deux zones d’intervention du PALAM II, sur la période du 9 au 15 novembre, cette session de formation a permis de renforcer les capacités de 84 facilitateurs techniques originaires de ces deux régions, a précisé Khady Fall Ndiaye Mbacké,
Durant sept jours les facilitateurs et facilitatrices du PALAM ont bénéficié d’un renforcement de capacités dans les filières : maraîchage, transformation des produits agro-alimentaires, transformation des fruits et légumes, a-t-elle fait savoir.
Mme Mbacké a aussi évoqué les filières de transformation de produits halieutiques, la teinture, la couture et la broderie à la main, la saponification, la javellisation, l’embouche, l’aviculture et la tannerie.
La cérémonie a été clôturée par une remise d’attestations aux facilitateurs participants et une dégustation de plats conçus à partir de céréales locales.
Le Palam II est un vaste programme du gouvernement appuyé par la Banque islamique de développement (BID) pour un montant de plus de 13 milliards de francs CFA.
Il intervient dans les régions de Fatick, Kaolack et Thiès.
BENNO FACE AU DANGER DES LISTES PARALLELES «NON AUTORISEES»
La coalition majoritaire, Benno Bokk Yaakaar est dans une zone de forte turbulence. La dynamique unitaire de cette coalition initiée en 2012 par l’actuel chef de l’Etat et qui a battu le record de longévité s’est effondrée sur la table des investitures aux élections locales du 23 janvier 2022 prochain provoquant un peu partout des listes parallèles poussant le chef de l’Etat à monter au créneau pour clarifier sa position sur cette situation.
La vague des listes parallèles qui polluent l’atmosphère de la coalition majoritaire, Benno Bokk Yaakaar (Bby) dans presque toutes les quatorze régions du pays empêche-t-elle au chef de l’Etat, Macky Sall par ailleurs président de ladite coalition de dormir à moins de trois mois des prochaines Locales ? En tout cas, depuis Paris où il séjourne pour les besoins du Sommet sur la paix, le président Sall est monté au créneau le samedi 13 novembre dernier, pour tirer les choses au clair concernant son silence sur cette prolifération au sein de la majorité de listes de candidatures pour les Locales du 23 janvier 2022 prochain lors d’une rencontre avec ses partisans de la capitale française. Et, c’est pour avouer n’avoir «autorisé des listes parallèles » que dans certaines zones où il est sûr de la victoire de la majorité, dit-il, pour « éviter la dispersion des voix » en citant Kolda et Bignona.
Poursuivant son propos, Macky Sall précisera en revanche dans la foulée qu’il «y a d'autres listes parallèles qui n'ont pas reçu mon onction». Toutefois, il faut dire que cet «appel de Paris» du président Sall ne semble pas trouver écho favorable auprès de ses camarades qui pensent « qu’il ne revient à aucune autorité à Dakar de choisir le maire » de leur localité à l’image de l’ancien ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, Mary Teuw Niane, candidat de la coalition dénommée « And Ak MTN Liggey Ndar » à la mairie de Saint-Louis. D’ailleurs, ce dernier, réagissant sur cette sortie du chef de l’Etat, a indiqué que « ma liste en tout cas n’a pas eu d’autorisation quelle qu’elle soit puisque je n’ai jamais parlé avec le Président sur les questions liées aux élections locales». Outre Saint-Louis, plusieurs autres localités sont également confrontées à ce problème des listes parallèle au sein de la coalition majoritaire. Il en est ainsi à Dakar où le ministre-chef de cabinet du chef de l’Etat, Mame Mbaye Niang va briguer la mairie de Dakar avec sa propre coalition contre la liste Benno Bokk Yaakaar dirigée par le ministre de la Santé désigné par le chef de l’Etat.
Dans le département de Keur Massar, le ministre du Commerce, désignée par le chef de l’Etat, tête de liste de la coalition Benno Bokk Yakaar (BBY) dans la commune de Keur Massar Nord fera face, en plus de l’opposition, à une liste parallèle dirigée par son camarade de la coalition Benno Bokk Yaakaar, Oumar Top, candidat de la coalition «ADT». Dans la commune de Fatick, le maire Matar Ba, par ailleurs ministre des Sports, candidat de Benno fera face à une liste parallèle : And Nawle Suxali Sunu Gox dirigée par ses camarades de parti: Sory Kaba, ancien Directeur des Sénégalais de l'extérieur et Sémou Diouf, PCA de l'Aprosi.
A Kaolack, le duo Mohamed Ndiaye «Rahma» et Pape Demba Bitèye désignés par le chef de l’Etat pour la commune et le département feront face à Serigne Mboup tête de liste d’And Nawlé And Liguééy pour ne citer que ces cas puisque la liste est loin d’être exhaustive. Ce qui permet de dire que la prolifération des listes parallèles au sein de la majorité présidentielle risque d’émietter l’électorat du camp au pouvoir, face à une opposition qui fait des élections locales de janvier 2022, un tremplin pour la liquidation politique du camp au pouvoir.
L’ARMP VA ABRITER UNE CHAMBRE DÉDIÉE AUX PPP
L’Autorité de régulation des marchés publics (ARMP) va abriter une chambre dédiée aux partenariats public-privé en perspective de la nouvelle loi sur les PPP
Dakar, 15 nov (APS) - L’Autorité de régulation des marchés publics (ARMP) va abriter une chambre dédiée aux partenariats public-privé en perspective de la nouvelle loi sur les PPP dont les décrets d’application ont été signés récemment, a appris l’APS, lundi, du ministre de l’Economie, du Plan et de la Coopération, Amadou Hott.
’’(…) Au regard de la suppression par la nouvelle loi du Conseil des Infrastructures, l’ARMP assume dorénavant le rôle d’organe de contrôle a posteriori des contrats de partenariat public-privé. A ce titre, il est prévu (…) la création, au sein de l’ARMP, d’une chambre dédiée aux PPP’’, a déclaré le ministre de l’Economie, du Plan et de la Coopération.
Amadou Hott présidait cet après-midi l’ouverture d’une session de formation sur les fondamentaux des contrats de partenariat public-privé et l’évaluation des projets PPP.
Ce séminaire de 10 jours (15-26 novembre) est organisé par l’ARMP, en partenariat avec Setym International, un cabinet québécois de consultance établi au Canada.
Cette session de formation dont les modules portent notamment sur ’’la nouvelle loi’’, ’’l’analyse financière des PPP’’, ’’les fondamentaux du contrat de PPP’’ et ’’la passation de marché’’ est destinée aux autorités contractantes (Etat, collectivités territoriales).
’’Cette belle initiative arrive à son heure, après la promulgation de la loi relative aux partenariats public-privé et la signature de son décret d’application’’, a dit M. Hott, saluant une ’’loi simplifiée et plus adaptée’’ aux besoins de développement du Sénégal.
Selon le ministre, cette session de formation témoigne de la volonté de l’Autorité de Régulation des Marchés publics d’apporter une ’’contribution à l’appropriation des PPP par l’Administration’’.
Il a ajouté que ’’la réforme des PPP replace l’ARMP au cœur du dispositif d’encadrement des Partenariats public-privé’’.
’’Cette nouvelle loi apporte en effet des outils et des dispositifs innovants qu’il faut partager avec l’ensemble des acteurs intervenant dans les PPP’’, a encore fait valoir Amadou Hott.
Evoquant ces outils et dispositifs, il a notamment insisté sur le programme de préparation des projets, l’unité nationale d’appui aux PPP et l’accord programme et l’offre d’initiative privée.
L’ÉLEVAGE, UNE ’’BASE ESSENTIELLE’’ DE LA SÉCURITÉ ALIMENTAIRE AU SAHEL
Le coordonnateur régional de la composante Amélioration de la santé animale du Projet d’appui au pastoralisme (PRAPS) a mis en exergue, lundi, l’importance de l’élevage dans l’amélioration de la sécurité et de la souveraineté alimentaire au Sahel.
Saly-Portudal (Mbour), 15 nov (APS) - Le coordonnateur régional de la composante Amélioration de la santé animale du Projet d’appui au pastoralisme (PRAPS) a mis en exergue, lundi, l’importance de l’élevage dans l’amélioration de la sécurité et de la souveraineté alimentaire au Sahel.
’’Oui, l’élevage est un capital fondamental, une base importante et essentielle pour l’amélioration de la sécurité et de la souveraineté alimentaire des pays sahéliens’’, a notamment dit Pr Idriss Omar Alfaroukh.
Dans ce cadre, souligne-t-il, le financement du PRAPS par la Banque mondiale constitue ’’une contribution et un soutien fantastique’’ pour l’appui au développement de l’élevage dans les pays membrs du PRAPS.
Pr Idriss Omar Alfaroukh présidait le démarrage d’une session régionale de formation sur l’exploitation des bases de données KoboToBox (KTB) sur Excel et les systèmes d’information géographique (SIG).
Cette formation destinée aux agents en charge des bases de données épidémiologiques pour une meilleure maîtrise du logiciel Excel avancé s’inscrit dans la troisième phase de la stratégie initiée pour perfectionner les pays du Sahel.
D’après Pr Alfaroukh, l’organisation mondiale de la santé animale (OIE) a reçu mandat de ses 182 pays membres dont ceux du PRAPS pour améliorer la santé animale dans le monde, y compris dans le Sahel, en se focalisant entre autres sur la transparence de la situation sanitaire mondiale, l’excellence scientifique, la solidarité internationale et le rôle des services vétérinaires.
Il faut aussi mettre l’accent sur la sécurité du commerce international des animaux et de leurs produits, la sécurité sanitaire des aliments et le bien-être animal, a-t-il poursuivi.
’’Parmi les obligations formelles des pays membres de l’OIE figurent la nécessité de soumettre des informations sur la situation relative aux maladies animales, y compris les zoonoses sévissant sur leur territoire, dans les meilleurs délais et de façon transparente’’, a expliqué Pr Idriss Omar Alfaroukh.
Dans le but de remplir le mandat qui lui a été assigné par les pays, l’OIE a dressé une ’’liste unique des maladies des animaux terrestres et aquatiques’’ à notifier à l’OIE dont la peste des petits ruminants (PPR) et la péripneumonie contagieuse bovine (PPCB), maladies prioritaires du PRAPS.
Il s’agit également de mettre en place un système mondial d’information sanitaire (WAHIS) offrant des informations sur les maladies prioritaire dans le monde et d’installer une base de données WAHIS-Wild qui fournit des informations sur la surveillance des maladies des animaux sauvages au niveau mondial.
’’Tout cela fait partie intégrante d’un mécanisme d’une surveillance épidémiologique et d’alerte précoce planétaire afin de protéger la santé de l’homme et celle des animaux dans le monde’’, a-t-il assuré.
Le ministère de la Santé et de l’Action sociale a annoncé la réception, ce lundi, d’un lot de 265.590 doses de vaccins Pfizer, un don du gouvernement américain à travers le mécanisme Covax.
Dakar, 15 nov (APS) – Le ministère de la Santé et de l’Action sociale a annoncé la réception, ce lundi, d’un lot de 265.590 doses de vaccins Pfizer, un don du gouvernement américain à travers le mécanisme Covax.
’’Le Secrétaire général du ministère de la Santé et de l’Action sociale a réceptionné ce matin, un lot de 265.590 doses de vaccins Pfizer accompagnés de seringues et de solvants, un don du Gouvernement Américain à travers le mécanisme Covax au peuple sénégalais’’, a indiqué le ministère sur son compte twitter.
Il s’agit du premier lot de vaccins Pfizer réceptionnés par les autorités depuis le lancement de la campagne de vaccination contre la Covid-19 au Sénégal en février.
La plupart des personnes vaccinées ont pris soit le vaccin Sinopharm, AstraZeneca ou Johnson and Johnson.
Le dernier bulletin quotidien du ministère de la Santé sur la pandémie de Covid-19 annonce quatre nouvelles infections, dont deux causées par la transmission communautaire.
Depuis l’apparition de la pandémie de coronavirus sur son territoire, le 2 mars 2020, le Sénégal a recensé 73.958 cas, dont 72.613 guéris.
La maladie a fait 1.881 morts dans le pays. A ce jour, 13 malades se font soigner à domicile ou dans les centres de traitement épidémiologique.
Selon le ministère de la Santé, 1.308.375 personnes ont reçu au moins une dose de vaccin contre la Covid-9.