La Coupe d’Afrique des nations des sourds ne se déroule pas comme prévu pour les Lions, à Nairobi. A en croire le récit de Me Khoureyssi Ba, les joueurs sont livrés à eux-mêmes et vivent dans la précarité. ‘’La délégation des Lions (joueurs, encadrement technique, médical et interprètes du langage des signes, soit en tout 44 personnes) a reçu deux sommations pour faute de payement des notes de l’hôtel où ils logent en compagnie des Camerounais, des Égyptiens, des Somaliens et des Nigérians.
Particulièrement hier soir, en cette veille de demi-finales où le moral était carrément dans les chaussettes... Sensible à leur situation de discipline défavorisée, le président de la République, après avoir assuré la logistique et le transport, avait posé un geste salutaire en leur remettant une enveloppe de 22 millions au départ de la délégation, avec la promesse d'une prise en charge totale par le ministre Abdoulaye Sow, intérimaire de son collègue des sports alité’’, explique l’avocat sur sa page Facebook.
Ainsi, suite à l’inaction du ministre intérimaire, les ressources offertes par le chef de l’Etat destinées à servir de primes de participation aux garçons (500 mille francs par tête) n'ont pas tardé à fondre comme beurre au soleil. Le courrier adressé au président Macky Sall via l’ambassade du Sénégal au Kenya est resté sans suite. ’’C'est cette situation lamentable, inacceptable et scandaleuse que vivent ces remarquables jeunes gens, sportifs handicapés et patriotes intrépides partis sans même emporter la bannière nationale nous représenter là-bas au fin fond de l'Afrique, ces dignes et magnifiques citoyens qui poussent le patriotisme jusqu'à laver leurs deux uniques jeux du maillot national en rythmant les séances de linge avec le harcèlement vexant, insupportable et quasi-continu de l'hôtel avec des menaces d'expulsion...’’, dénonce Me Ba.
Toutefois, forts d’un mental d’acier, les membres de l’équipe semblent être plus déterminés que jamais.
LE SYSTÈME ÉDUCATIF DES PAYS FRANCOPHONES PASSÉ AU CRIBLE
Hérité de la France, les pays d’Afrique francophone continuent de trainer tel un boulet le système éducatif inopérant et qu’ils n’osent le remettre en cause. Et ce, malgré son inefficacité notoire alors même que la France elle-même a entamé sa mue
Chercheur en histoire des Noirs et expert en télécommunication, le Dr Oumar Dioum dresse dans cet échange (voir la vidéo) son parcours dans le champ de la science et de la recherche. Diplômé de l'École polytechnique fédérale de Lausanne (Suisse) et Docteur de l'École polytechnique de Montréal, les télécommunications n'ont pas de secrets pour lui. Il a fait valoir son expertise dans toutes les régions du continent et au-delà.
Enseignant chercheur et homme d’expérience, devant la caméra d’AfricaGlobe Tv, il explique les secrets de la performance des systèmes éducatifs non-francophones, notamment celui de la suisse, qui est basé sur l’évaluation de l’enseignant et de l’enseignement. Tout le contraire du système français et des pays francophones d'Afrique qui n'évaluent que l'apprenant tout en s’employant à faire redoubler l'apprenant. Malgré l'inefficacité de ce système, les pays d’Afrique francophone continuent de le trainer comme un boulet sans chercher à le remettre en cause alors même que la France elle-même se questionne sur son système.
D’ailleurs, si les dirigeants africains ont du mal à se débarrasser de système, de l’avis d’Oumar Dioum, c’est tout simplement parce que le modèle de colonisation française aliène le colonisé. C’est tout comme si tous les héritiers du système éducatif français sont programmés pour ne pas émerger. En d’autres termes, la France semble avoir inoculé quelque chose à ses anciennes colonies et qui les empêchent d’agir.
par l'éditorialiste de seneplus, alymana bathily
YEWWI ASKAN WI OUI, MAIS COMMENT ?
EXCLUSIF SENEPLUS - Les élus de Yewwi Askan Wi auront la responsabilité historique d’instaurer au niveau local la démocratie participative pour le développement. Sera-t-on capable d’éviter le parachutage, l’interventionnisme des lobbies et la corruption ?
Alymana Bathily de SenePlus |
Publication 24/09/2021
Il ne faut pas se laisser impressionner par les cris d’orfraie qui fusent çà et là : certains sont déjà saisis de panique tandis que d’autres tentent de semer la confusion dans l’opinion. Pourtant notre histoire politique récente confirme que l’alliance électorale de l’opposition est indispensable pour faire face au parti au pouvoir, Parti-État en réalité. Ceci est prouvé depuis, au moins la Coalition Alternance 2000 (CA 2000), le Front pour l’Alternance (FAL), la Coalition populaire pour l’alternative (CPA) et le Front Siggil Senegaal (FSS).
Que des partis et mouvements politiques d’opposition se coalisent aujourd’hui pour les élections locales du 23 janvier 2022 et en vue des prochaines élections législatives et de la présidentielle de 2024 est donc attendu et bienvenu pour ceux qui souhaitent que le Sénégal rompe enfin avec ce césarisme républicain qui annihile toute participation du peuple à l’État et qui a fini d’installer le découragement ainsi que le fatalisme chez les citoyens en même temps que l’irresponsabilité et la corruption chez les dirigeants.
La coalition Yewwi Askan Wi a-t-elle déjà échoué pour n’avoir pas d’emblée rassemblé l’ensemble de l’opposition ? En réalité, « l’opposition » est un concept qui recouvre dans la réalité des partis et des mouvements aux idéologies, idéaux, valeurs et visions différentes, parfois même divergentes voire opposées. Or ne s’assemblent que ceux qui se ressemblent. Le mariage de la carpe et du lapin, du bourreau et de la victime ne saurait prospérer, c’est bien connu.
On se souvient que la CPA qui réunissait notamment le Parti pour l’Indépendance et le Travail (PIT), le Rassemblement National Démocratique (RND), la Ligue Démocratique (LD), le Parti Socialiste et l’Alliance des Forces de Progrès (AFP) dans la perspective de l’élection présidentielle de 2007 a fini par voler en éclats, tiraillé entre les candidatures d’Ousmane Tanor Dieng et de Moustapha Niasse. La CPA fera place à trois pôles d’alliance : l’un constitué du RND, de l’AFP et du PIT ; le deuxième du PS et de la LD, rejoints par la suite par le parti Rewmi ; et le troisième animé notamment par le Parti Jef Jel de Talla Sylla et le mouvement Démocratie et Socialisme de Robert Sagna.
Que des partis significatifs de l’opposition tels le PDS et la LD-Debout ne soient pas de la coalition Yewwi Askan Wi est un mal pour un bien : d’autres coalitions se constitueront ainsi[1].
Ce que les partisans attendent de Yewwi Askan Wi, c’est de mettre en pratique dès à présent, - au-delà de la Charte du 2 septembre 2021- son crédo et ses engagements de gouvernance locale. Et ceci dès la phase de désignation des candidats dans les différentes circonscriptions. Sera-t-on capable de procéder par une véritable démocratie participative à la base ?
Pour « garantir au peuple sénégalais une expression libre, transparente et démocratique de son suffrage », sera-t-on capable d’éviter le parachutage, l’interventionnisme des notables et de lobbies religieux et la corruption ? Voudra-t-on, saura-t-on relever le challenge de mobiliser véritablement les citoyens, c’est-à-dire leur donner la parole, écouter leurs opinions et prendre en compte leur vœux et non les traiter en bétail électoral ?
Il s’agira bien entendu de faire la promotion des jeunes et plus particulièrement des femmes, en recherchant obstinément à réaliser la parité dans les listes de candidatures, à travers tout le pays.
Saura- t-on susciter l’avènement d’élus locaux d’un type nouveau : dévoués au service public local, qui sauront organiser la vie collective des villages et des quartiers de manière démocratique, qui s’engageront dans la réforme de la fiscalité locale sur la base d’une nouvelle clef de répartition des ressources nationales entre le niveau national et le niveau local pour la création selon les besoins de nouvelles sources de financement du budget local et pour la mise en place d’un important fonds d’équipement des collectives locales.
Pour une Charte de l’élu local Yewwi Askan Wi
L’élu local Yewwi Askan Wi doit prendre au pied de la lettre l’Article 81 du Code Général des Collectivités locales : « assurer à l'ensemble de la population, sans discrimination, les meilleures conditions de vie… » au lieu de se contenter de la fonction de commis municipal et du rôle de cacique local du parti, ce qui a été celui des maires et conseillers municipaux depuis toujours dans ce pays.
L’élu local élu par la coalition Yewwi Askan Wi devra mettre en œuvre véritablement l’Article 6 du Code Général des Collectivités locales selon lequel : « toute personne physique ou morale peut faire, au président du conseil départemental et au maire, toutes propositions relatives à l'impulsion du développement économique et social de la collectivité locale concernée et à l'amélioration du fonctionnement des institutions », resté jusqu’à présent une déclaration d’intention.
Il doit avoir pour mission première d’assurer le développement local de la commune, c’est-à-dire impulser en même temps l’économie, assurer la délivrance de services sociaux et permettre l’expression de la culture locale.
Dans l’exercice de son mandat, l’élu local Yewwi Askan Wi devra bien entendu rendre compte en permanence de sa gestion et répondre aux interpellations de la population.
Que n’établit-t-on pas d’ores et déjà, une Charte de l’élu local Yewwi Askan Wi, dans l’esprit du Code des Collectivités locales mais qui ouvre des perspectives nouvelles ?
Vers l’hégémonie de Yewwi Askan Wi
Les élus de Yewwi Askan Wi à l’issue des élections locales du 23 janvier 2022 auront donc la responsabilité historique d’instaurer au niveau local la démocratie participative pour le développement mais aussi de préparer les élections législatives (de 2023 ?) et présidentielles de 2024 qui permettront au Sénégal d’exercer enfin sa souveraineté.
Ils devront pour cela construire avec l’ensemble de la société civile faire preuve d’une culture nouvelle, basée sur le principe de la démocratie à la base, de l’égalité des citoyens entre eux, celui de la femme et de l’homme, de la prééminence du bien commun et des intérêts de la communauté.
Ils devront pour ce faire oser critiquer la culture ambiante dans ses valeurs féodales, religieuses, de caste et machiste qui font obstacle au développement économique et démocratique, dénoncer le « massla », le « mougn », le « griotisme » et les manifestations ostentatoires ; faire la promotion des véritables héros, résistants et entrepreneurs sociaux et culturels en lieux et place des colonisateurs et des oppresseurs encore sur des piédestaux.
La lutte culturelle à laquelle nous appelons ici serait la continuation de celles qui ont été menées dans les années 1960 et 1970 d’abord par Xarébi/And Jëff- Mouvement Révolutionnaire pour une Démocratie Nouvelle (MRDN) puis par le Rassemblement National Démocratique (RND).
Si les projets révolutionnaires de Xarébi/And Jëff- (MRDN) et du Rassemblement National Démocratique (RND) ont échoué, c’est certainement pour n’avoir pas mené la lutte culturelle jusqu’au bout, c’est-à-dire jusqu’à l’investissement des institutions culturelles dominantes que sont l’école, la radio et la télévision.
Aussi, les nouveaux élus de Yewwi Askan Wi devraient -ils enclencher dès à présent la lutte culturelle pour un Sénégal nouveau, en assurer résolument la direction morale et intellectuelle, de manière hégémonique, en y attirant les divers groupes de la population et la mener jusqu’à la victoire.
[1] Cette contribution a été écrite avant la création d’une nouvelle coalition de l’opposition avec entre autres le PDS et la LD Debout.
Le joueur du Bayern, né à Lyon, de mère guinéenne et de père sénégalais, a reçu et (aurait) accepté sa convocation pour jouer avec les Lions. Pendant des années, il a refusé les appels de la Guinée et des Lions, attendant celui de la France
Le joueur du Bayern de Munich, né à Lyon, de mère guinéenne et de père sénégalais, a reçu et (aurait) accepté sa convocation pour jouer avec l’équipe nationale du Sénégal. Pendant des années, il a refusé les appels de la Guinée et des Lions, attendant celui de la France avant de faire un choix que beaucoup de supporters estiment « par défaut ».
L’information a été donnée ce jeudi 23 septembre par la presse sénégalaise. Bouna Sarr, après avoir fait espérer la Guinée, et espéré la France, va porter le maillot du Sénégal. Le joueur de Bayern de Munich aurait reçu sa convocation pour les matches contre la Namibie en octobre comptant pour les 3e et 4e journées des éliminatoires de la Coupe du monde 2002.
À 29 ans, le natif de Lyon s’est enfin décidé à entamer une carrière internationale plus de six ans après le premier appel de la Guinée qui voulait lui offrir sa première cape. La trajectoire du choix ultime de Bouna Sarr illustre ainsi le cheminement parfois compliqué des binationaux - voire trinationaux - dans leur option de carrière en sélection, partagé entre l’intérêt sportif et financier et l’amour ou la reconnaissance du pays d’origine. Dans le cas de Bouna Sarr, le choix a été long à se dessiner, et ses atermoiements autant que ses volte-faces ont eu le temps d’écorner son image auprès des supporters.
La Guinée fut la première à solliciter le joueur formé à Metz. À l’époque, Antonio Souaré, président du club de football du Horoya et patron de la Fédération guinéenne de football, ami du père de Bouna Sarr, joue les recruteurs. Le joueur ne dit pas « non », se fait même établir un passeport guinéen avant de refuser de participer à la CAN 2015 avec le Syli. Moins de six mois après, le Messin atterrit à l’Olympique de Marseille et change de dimension.
615 JEUNES RECRUTÉS POUR L’ENTRETIEN DES ROUTES A GUINGUINEO
Le Fonds d’entretien routier autonome (FERA) a déclaré vendredi avoir recruté 615 jeunes du département de Guinguinéo pour l’entretien des routes non classées situées dans les 12 communes de ce département de la région de Kaolack (centre).
Guinguinéo (Kaolack), 24 sept (APS) – Le Fonds d’entretien routier autonome (FERA) a déclaré vendredi avoir recruté 615 jeunes du département de Guinguinéo pour l’entretien des routes non classées situées dans les 12 communes de ce département de la région de Kaolack (centre).
‘’Le FERA a signé une convention avec les maires des 12 communes du département de Guinguinéo. L’initiative consiste à recruter des cantonniers chargés de l’entretien manuel des routes non classées, ce qui nous a permis de recruter 615 jeunes du département de Guinguinéo, qui sont mensuellement rémunérés’’, a expliqué le directeur général du FERA, Mamadou Faye.
En vertu de l’accord conclu avec les 12 communes, le FERA ‘’injecte’’ 540 millions de francs CFA par an dans le département de Guinguinéo, a-t-il indiqué au terme d’une tournée de deux jours dans la zone, en compagnie d’Amadou Fall, un adjoint du préfet, d’autres autorités administratives et des élus locaux.
"Le recrutement de ces jeunes pour l’entretien du réseau routier est une initiative du chef de l’Etat, qui fait partie du programme ‘Xëyu ndaw yi’ (des emplois pour les jeunes)’’, a expliqué le directeur général du FERA.
"Chaque commune a un réseau routier dont la maintenance ne peut pas être prise en charge par le budget de la mairie. C’est la raison pour laquelle l’Etat a décidé d’aider toutes les communes à trouver les ressources nécessaires à la maintenance d’un réseau de 30.000 kilomètres dont les pistes représentent 80 %’’, a-t-il précisé.
Pour le département de Kaolack, les conventions signées par le FERA avec 41 communes porte sur un financement de 1,4 milliard de francs CFA, selon Mamadou Faye.
"Nous voulons trouver des emplois décents à la jeunesse sénégalaise’’, a dit le directeur général du Fonds d’entretien routier autonome. Selon lui, dans le même département, le fonds a créé 1.400 emplois, avec la collaboration des communes.
Les bénéficiaires des emplois du FERA ont été formés aux technique d’entretien des pistes et de désensablement, selon le directeur du centre de formation et de perfectionnement des travaux publics du ministère des Infrastructures et des Transports terrestres, Djibril Thiaw.
VIDEO
LA TERANGA MISE A L'EPREUVE
Le Sénégal est réputé être le pays de la teranga. Une valeur qui se traduit par la bienveillance envers l’inconnu, l’ouverture à l’altérité. Mais cette teranga suscite des questions du point de vue psychologique et neurolgique que pose la BBC Afrique
Le Sénégal, pays de la téranga. Cette périphrase très connue est une marque de promotion du Sénégal vers l’extérieur. Elle rend compte de l’état d’esprit des Sénégalais. Le Sénégalais, la Sénégalaise ont le sens de l’hospitalité, de l’accueil de l’autre. Pour en avoir le cœur nette BBC Afrique est allée à la rencontre de quelques sénégalais dans la rue.
La chaine britannique a aussi interrogé des spécialistes pour opiner sur cet état d’esprit. La gentillesse serait-elle consubstantielle, voire congénitale chez les Sénégalais ou apprend-on au cours de sa vie à être gentils ? Réponse dans cette vidéo.
SENEGAL-NAMIBIE, CISSE PUBLIE SA LISTE LE 1ER OCTOBRE, MATCH A LAT DIOR LE 9, RETOUR LE 12
Les choses sérieuses commencent pour la double confrontation Sénégal-Namibie, comptant pour les 3e et 4e journées des éliminatoires du Mondial «Qatar 2022».
Les dates des 6 et 10 octobre étaient avancées dans un premier temps, pour la double confrontation Sénégal-Namibie, comptant pour les éliminatoires du Mondial 2022. Mais finalement la Fifa a programmé le match aller à Lat Dior pour le samedi 9 octobre. La manche retour, en Afrique du Sud, étant prévue le mardi 12 octobre.
Les choses sérieuses commencent pour la double confrontation Sénégal-Namibie, comptant pour les 3e et 4e journées des éliminatoires du Mondial «Qatar 2022». D’abord pour la publication de la liste, Le Quotidien a appris que le sélectionneur national, Aliou Cissé, va dévoiler les noms des joueurs sélectionnés le vendredi 1er octobre prochain. Une liste qui devrait être assez élargie suite au risque de forfait des joueurs de la Premier League pour le match retour, prévu en Afrique du Sud. A savoir Edouard Mendy, Cheikhou Kouyaté, Nampalys Mendy, Sadio Mané et Ismaïla Sarr. Une situation, faut-il le rappeler, liée à la décision de la Fifa qui a confirmé la programmation du match retour à l’Orlando Stadium de Soweto, dans la banlieue de Johannesburg, suite à la non homologation du stade de Windhoek. Justement pour cette double confrontation devant opposer Lions et Brave Warriors, les dates des 6 et 10 octobre étaient avancées dans un premier temps. Mais finalement la Fifa a officiellement programmé le match aller au stade Lat Dior de Thiès pour le samedi 9 octobre à 19h Gmt. La manche retour, en Afrique du Sud, étant prévue trois jours après, soit le mardi 12 octobre.
Cissé aura une semaine pour préparer le match aller
Pour cette fois-ci, Aliou Cissé peut se frotter les mains par rapport à une telle programmation. D’abord concernant l’heure du match (19h Gmt), si on sait que contre le Togo, les Lions ont joué à Thiès sous une forte canicule (16h Gmt). L’autre avantage est que le sélectionneur -contrairement au match contre les Eperviers où il n’a eu qu’une seule séance pleine- pourra disposer de son groupe pendant une semaine. La dernière journée des championnats européens étant prévue le dimanche 3 octobre, avec un sulfureux LiverpoolCity, comptant pour la 7e journée de Premier League. Mais les choses vont aller très vite pour la manche retour, programmée trois jours après. En effet, c’est le mardi 12 octobre que les Lions vont défier à domicile les Brave Warriors.
Un trio ivoirien au sifflet !
Comme annoncé par la Fifa, le match aller Sénégal-Namibie va se jouer le samedi 9 octobre 2021, à 19h Gmt au stade Lat Dior de Thiès. Pour les arbitres, l’instance mondiale a désigné un trio ivoirien. Kalilou Ibrahim Traoré sera juge central, assisté de ses compatriotes Désiré Hermann Adou N’Goh et Gabriel Kouamé Kangah. Le 4e arbitre, Bienvenu Sinko, est aussi Ivoirien. Le Cap verdien Luis Manuel Semedo Carvalho sera le Commissaire du match.