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22 septembre 2025
LEVÉE DE BOUCLIERS CONTRE MACKY SALL
Grosse déception de la part de beaucoup d’acteurs ayant pris part au dialogue politique qui a duré environ 2 ans. Le traitement que le président a fait des conclusions de la Commission politique a soulève l’ire de l'opposition
L’arbitrage auquel s’attendaient nombre d’acteurs politiques de la part du chef de l’Etat, sur les points de désaccord actés lors du dialogue politique, semble avoir accouché d’une souris. Ou du moins, les quelques modifications apportées au Code électoral par le chef de l’Etat, Macky Sall, ont soulevé un tollé venant de tout bord politique, même de la société civile. Ce qui fausse inéluctablement l’objectif de départ, consistant à créer un cadre inclusif pour apaiser le climat politique très tendu.
Grosse déception de la part de beaucoup d’acteurs ayant pris part au dialogue politique qui a duré environ 2 ans. C’est le moins que le puisse dire au vu des réactions et autres critiques notées après lecture du projet de loi portant modification du Code électoral soumis pour vote aux parlementaires par le chef de l’Etat. En effet, le traitement que le président Macky Sall a fait des conclusions de la Commission politique du Dialogue national a soulevé l’ire de son opposition, qui n’a pas manqué de lui envoyer du bois vert.
Sur son mur tweeter, l’ancien Premier ministre, Abdoul Mbaye n’a pas été tendre avec son ancien patron. Très acerbe, le président du parti Alliance pour la citoyenneté et le travail (Act) dira que «M. Sall ne cesse d’étonner. Face à l’histoire il choisit d’être le plus petit des présidents du Sénégal. Diouf a fait voter un code électoral consensuel sans en changer une virgule. Wade a laissé manifester le 23 juin. Lui, reste dans sa petite ruse et ses calculs de petit politicien». Grosse est aussi la déception du côté du Congrès de la renaissance démocratique (Crd) qui n’a pas manqué de le faire savoir dans un communiqué rendu public, le jeudi 8 juillet dernier. Thierno Alassane Sall, président de la République des valeurs et ses camarades du Crd s’offusquent que le chef de l’Etat entretienne autant de monde durant 2 années pour arriver à ce piètre résultat. Ils trouvent, en fait que le président Sall a esquivé «les questions politiques et les questions d’enjeu démocratiques qui pourraient contribuer à la tenue d’un scrutin intègre, transparent et démocratique».
Ces points sont, entre autres, «la question du bulletin unique, la caution pour les élections locales, les articles L31 et L32 qui constituent de fait un moyen de confiscation permanente des droits civils et politiques de Karim Meissa Wade, de Khalifa Ababacar Sall, d’Abdoul Mbaye et très prochainement d’autres leaders de l’opposition démocratique entre les mains de Macky, qui en use et en abuse», pestent-ils. Les modifications du Code électoral ont aussi provoqué la colère des acteurs de la société civile, à l’image de Ndiaga Sylla, Expert en Démocratie, Gouvernance et Élections.
Sur sa page Facebook, l’expert électoral étale toute sa désillusion suite aux réformes «mineures», à son avis, au regard de ce qui avait été préconisé. Il estime, en fait, que les deux années de concertation, ainsi que les deux reports des élections, sans oublier les deux missions d’audit du fichier et d’évaluation du processus électoral, étaient du «gâchis». «En effet, il n'y aura pas de changement de modèle de gestion électorale (autorité chargée de l'organisation des élections), ni modification du système de parrainage en dépit de l'injonction de la Cour de Justice de la CEDEAO, ni l'introduction du bulletin unique. Il s'y ajoute le statu quo acté par le refus d'abroger ou de modifier les articles L.31 et L.32 qui instituent la déchéance électorale de manière générale, automatique et indifférenciée alors que cela violerait les droits de l'homme», déplore le Président de Dialogue Citoyen, même s’il admet que «du point de vue de la forme, les concertations ont été inclusives».
Autant de critiques et d’attaques contre les modifications apportées au Code électoral par le président Sall qui laissent planer un climat délétère entre acteurs politiques, à quelques mois des élections locales, prévues le 23 janvier 2022. Cela, alors que le dialogue politique initié par le chef de l’Etat avait pour objectif de départ, entre autres, de créer un cadre où tous les acteurs du système politique se sentiraient impliqués par le biais d’un «pacte de stabilité». Hélas, la montagne semble avoir accouché d’une souris, car le climat de suspicion demeure toujours.
4 MILITAIRES BLESSES, DONT 3 FRACTURES ET 01 SOUFFRANT DE CONTUSIONS
Il s’agit d’un engin militaire blinde de transport de troupes qui a heurté un explosif hier, vendredi 09 juillet 2021, dans la zone de Bankhass, dans la région de Mopti située au centre du Mali.
Quatre (04) militaires blessés, dont trois (03) fracturés et un (01) souffrant de contusions. C’est le bilan d’un accident des contingents du dixième (10e) détachement sénégalais de la MINUSMA (DETSEN10MINUSMA).
Il s’agit d’un engin militaire blinde de transport de troupes qui a heurté un explosif hier, vendredi 09 juillet 2021, dans la zone de Bankhass, dans la région de Mopti située au centre du Mali. «Le vendredi 09 juillet, vers 13h00, de retour d’une mission sur l’axe Sévaré-Bankhass, un engin blindé de transport de troupes de type PUMA du DETSEN10MINUSMA a heurté un engin explosif improvisé (IED), à 04 km au Sudest de Diallo (04 km Sud-ouest de Bankhass).
Le bilan de l’accident s’élève à quatre (04) militaires blessés, dont trois (03) fracturés et un (01) souffrant de contusions. Les blessés ont été évacués par hélicoptère vers l’hôpital de niveau 1 du contingent à Sévaré.
Le Chef d’Etat-major général des Armées adresse ses vifs encouragement au commandant du contingent ainsi qu’à l’ensemble de son personnel et souhaite prompt rétablissement aux blessés», informe un communiqué de la Direction de l’information et des relations publiques des Armées (DIRPA), daté du même jour, reçu à la Rédaction de Sud Quotidien.
«YOUTH CONNECT SENEGAL», POUR CONNECTER LES JEUNES ET CREER 3000 EMPLOIS
Le Sénégal emboite le pas aux pays comme le Rwanda, la Guinée, le Burkina Faso, etc. qui ont déjà lancé le projet «Youth Connect» (une «Jeunesse connectée»).
Le projet «Youth Connect Sénégal» («Jeunesse connectée») a été présenté hier, vendredi 9 juillet 2021, au King Fahd Palace. Ce projet est un outil digital initié par l’Union Africaine (UA – «Youth Connect Africa») qui vient apporter de solutions, selon les acteurs, aux questions de l’entreprenariat et l’insertion socio-économique de la jeunesse principalement. Le projet qui va être officiellement lancé dans 2 mois, vise à créer 3000 emplois directs.
Le Sénégal emboite le pas aux pays comme le Rwanda, la Guinée, le Burkina Faso, etc. qui ont déjà lancé le projet «Youth Connect» (une «Jeunesse connectée»). C’est un projet de mise en commun des initiatives de la promotion de la jeunesse, adopté par les chefs d’Etat et de Gouvernement de l’Union Africaine (UA - «Youth Connect Africa») et l’ensemble des partenaires techniques et financiers, avec à leur tête le Programme des Nations unies pour le Développement (PNUD). Le ministère de la Jeunesse, à travers son Secrétariat général, a procédé à la présentation du projet hier, vendredi 9 juillet 2021, au King Fahd Palace. Un projet qui va être officiellement lancée dans 2 mois. La plateforme «Youth Connect Sénégal» est une composante du PSE-Priorité Jeunesse, pour accompagner la jeunesse sénégalaise dans la recherche d’emploi et à l’insertion socioéconomique. A en croire au Secrétaire général du ministre de la Jeunesse, Makhoudia Guèye, le projet a pour finalité la création de 3000 emplois directs. «Les Systèmes des Nations Unis sont prêts à travailler avec le ministère de la Jeunesse, en suivant un processus inclusif dans lequel le Conseil national de la Jeunesse doit occuper la place qui lui revient, pour qu’on puisse travailler, dans 2 mois, à mettre en forme la plateforme ‘’Youth Connect Sénégal’’. Qu’il puisse constituer, en tout cas, un outil pertinent, assez important pour la mise en œuvre du PSE-Priorité Jeunesse. Donc, c’est un processus qui va démarrer bientôt avec les jeunesses et tous les acteurs qui sont impliqués dans la mise en œuvre du PSE-Jeunesse», souligne Makhoudia Guèye.
COMMUNICATION DIGITALE, UNE RADIO ET UNE TELEVISION AVEC DES DEBATS ANIMES PAR DES JEUNES
Pour aider les jeunes à accéder aux opportunités qui s’offrent à eux, le ministère de la Jeunesse et ses partenaires comptent mettre en place un certain nombre d’outils, parmi lesquels il y a la territorialisation de la jeunesse avec la création de Maisons de jeunesse dans 40 départements du Sénégal. Il s’y ajoute la protection sociale, l’assurance retraite, l’assurance maladie. Aussi le projet permettra-t-il d’offrir des services de paiement des taxes dans le domaine de la santé et du transport. Bref, explique Makhoudia Guèye, en plus de la mise en place d’une plateforme dédiée à la protection sociale comme la retraite complémentaire et l’assurance-maladie, il et prévu la monétique. Un volet intégrant des approches multi-canal ineffaçables, l’offre de services de paiement de taxes communales, des impôts et factures domestiques, etc. que «Youth Connect Sénégal» va également couvrir.
Mieux, l’attente, c’est que «Youth Connect» Sénégal, puisse «contribuer à tirer le taux de digitalisation de 25 à 30% dans notre pays. Le projet ambitionne également de lancer sa propre plateforme de téléphonie entièrement digitale avec plus de 40 modules afin d’accompagner les jeunes sénégalais aussi bien dans la recherche d’emplois que dans la création de projets», ajoute M. Guèye. Il s’agit d’une contribution pour relever le défi de la digitalisation, avec la dématérialisation des procédures dans les communes. Et pour relever le défi de la digitalisation, la plateforme «Youth Connect Sénégal» ambitionne, dans le cadre de la communication digitale, de créer un centre d’appel, une radio et une télévision avec des débats animés par des jeunes sur des sujets d’entreprenariat, un studio d’enregistrement pour le monde culturel, un réseau de proximité avec un centre d’incubation virtuel dans chaque commune. «Ce dispositif donnera à la jeunesse et aux associations des moyens de communication dédiés aux jeunes», relève le Secrétaire général du ministère de la Jeunesse.
200 F CFA PAR JOUR SEULEMENT, POUR S’ASSURER UNE RETRAITE, QUAND N’EVOLUENT PAS DANS LE SECTEUR FORMEL
Et Alioune Kandji, le directeur général du Cabinet PCA, de souligner que l’objectif consiste aussi à incuber le milieu agricole, le secteur des micros finances, en créant un financement participatif pour les Sénégalais de la diaspora. «Avec seulement 200 F CFA par jour, nous comptons assurer, grâce au digital, une retraite à tous ceux qui n’évoluent pas dans le secteur formel», assure M. Kandji. «Youth Connect Africa» est une initiative panafricaine née au Rwanda en 2017. Elle a depuis été adoptée par beaucoup de pays du continent comme la Gambie, la Guinée- Bissau, le Burkina Faso, le Cameroun et la Côte d’Ivoire. Pour la réalisation de sa composante national, «Youth Connect Sénégal», le ministère de la Jeunesse est accompagné dans ce projet par le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), le Secteur privé et la société civile mais aussi d’autres partenaires comme des banques et d’autres structures de développement.
DIENEBA TUE SON EPOUX ET SE REND A LA BRIGADE
a dame aurait planté l’arme blanche dans la cage thoracique de son mari qui a succombé avant l’arrivée au centre de santé.
Une scène inédite plonge la commune de Bounkiling dans une profonde consternation suite au meurtre du sieur Lansana Sagna par son épouse, à coups de couteau. La dame aurait planté l’arme blanche dans la cage thoracique de son mari qui a succombé avant l’arrivée au centre de santé. Des témoignages font état d’un foyer très instable depuis un an. La présumée meurtrière s’est rendue elle-même à la Brigade de Gendarmerie et une enquête est ouverte pour en savoir davantage.
C’est à son retour des champs hier, vendredi 9 juillet 2021, peu avant 13 heures, que le sieur Lansana Sagna, âgé de 49 ans, a eu des disputes avec son épouse Diénéba, âgée d’une trentaine d’années, à leur domicile de Grand-Dakar, un quartier de la commune de Bounkiling, chef-lieu de département du même nom situé dans le Nord de la région de Sédhiou.
La dame qui était munie d’un couteau n’aurait trouvé mieux que de planter l’arme blanche dans la cage thoracique de son époux. Celui-ci s’est écroulé au sol, gisant dans le sang qu’il a beaucoup perdu. Il a succombé à ses blessures avant même l’arrivée au centre de santé de Bounkiling, à bord d’une ambulance. Pour l’heure, aucune explication claire n’est encore disponible sur les véritables mobiles du crime ; mais plusieurs témoignages s’accordent sur des conflits et autres formes de scènes de ménage qui les opposent très souvent, depuis plus d’un an.
L’homme est cultivateur/photographe de profession ; il est originaire de Kandion Mangana, plus au Nord, dans la zone du Fogny, et la femme originaire de Serrecounda Nding, en Gambie. Le couple s’était marié en septembre 2019 et de cette union est née une fille âgée de moins d’un an, selon nos informations.
D’autres témoignages, sous le couvert de l’anonymat, révèlent que la femme n’était pas consentante, au départ, pour ce mariage qu’elle avait fini de consommer sous la pression des proches. Après son acte délictueux, Diénéba s’est elle-même rendue à la Brigade de Gendarmerie de Bounkiling. Le corps sans vie de son époux est déposé à la morgue du centre de santé de Bounkiling et l’enquête suit son cours.
CES DEFIS POUR LA PAIX ET LA STABILITE EN AFRIQUE DE L'OUEST ET AU SAHEL
Malgré des progrès notables, la sous-région continue de faire face à des défis aussi multiples que persistants
«Malgré des progrès notables, la sous-région continue de faire face à des défis aussi multiples que persistants. Les défis sécuritaires, les défis liés à la participation des femmes et des jeunes dans les instances de décisions, ainsi que les défis liés au changement climatique, pour ne citer que ceux-là, constituent des obstacles majeurs à la paix et au développement de l’Afrique de l’Ouest et le Sahel». Mahamat Saleh Annadif en est convaincu.
Le Représentant spécial du Secrétaire général et Chef du Bureau des Nations Unies pour l'Afrique de l'Ouest et le Sahel (UNOWAS), Mahamat Saleh Annadif, a présenté en visioconférence avant-hier, jeudi 08 juillet 2021, au Conseil de sécurité, son premier rapport du Secrétaire général sur la situation en Afrique de l'Ouest et au Sahel et sur les activités de l'UNOWAS.
A cette occasion, «réitérant l’engagement de l’UNOWAS pour renforcer la paix et la stabilité en Afrique de l'Ouest et au Sahel, Annadif appelle les partenaires nationaux, régionaux et internationaux à accentuer leur mobilisation pour faire face aux multiples défis», informe un communiqué de presse de l’UNOWAS parvenu à la Rédaction de Sud Quotidien.
En effet, note la source, abordant la situation sécuritaire, M. Annadif a souligné que «les actes terroristes dans le Liptako-Gourma et dans le bassin du Lac Tchad, et la criminalité le long des côtes du golfe de Guinée doivent être traités sous l’angle régional, car les risques d’une jonction entre la menace venant de la mer et celle venant du Sahel sont réels.»
A cet égard, il a loué l'Initiative d'Accra qui regroupe le Bénin, le Burkina Faso, la Côte d'Ivoire, le Ghana et le Togo, qui promeut une approche régionale, tout en notant «une nette amélioration de la coordination entre le plan d'action de la CEDEAO, la stratégie régionale de stabilisation du bassin du lac Tchad et la Stratégie intégrée des Nations Unies pour le Sahel, afin d'assurer une approche globale et une stabilisation à long terme», indique la source.
Selon le document, «un autre sujet pressant a occupé une place importante dans l’intervention du Représentant spécial, c’est celui du changement climatique et son impact sur la sécurité dans la sous-région. A cet égard, il a rappelé l’initiative de l’UNOWAS en coordination avec les agences du système des Nations Unies et d’autres partenaires qui vient de mettre en place un groupe de travail régional des Nations Unies pour mutualiser les efforts et renforcer la coordination avec la CEDEAO sur ce sujet».
Aussi, «en tant qu’acteurs importants dans la sous-région, les jeunes femmes et hommes ont également fait l’objet d’une attention particulière dans l’exposé du Représentant spécial qui s’est félicité des avancées des législations nationales telles que les lois sur les quotas et sur la parité, et a appelé à plus d’efforts pour consolider une dynamique positive en matière de participation des femmes et de jeunes», conclut le texte.
FACE A LA JSK, LE RAJA CASABLANCA PEUT EMBELLIR SA SAISON
Le Raja Casablanca peut embellir sa saison 2020-2021 s’il remporte la Coupe de la Confédération, ce samedi 10 juillet à Cotonou face à une JS Kabylie qui brûle de remporter son premier trophée continental depuis 2002
Éliminé piteusement en Ligue des champions, distancé par le Wydad en Championnat du Maroc, sorti en coupe nationale, le Raja Casablanca peut embellir sa saison 2020-2021 s’il remporte la Coupe de la Confédération, ce samedi 10 juillet à Cotonou. Pour cela, il faudra battre en finale une JS Kabylie qui brûle de remporter son premier trophée continental depuis 2002.
Une saison sans trophée majeur, ça n’arrive pas souvent au Raja Casablanca. Le champion du Maroc en titre - qui risque fort de céder sa couronne au voisin et rival du Wydad [1] - peut s’épargner une année vierge, ce samedi à Cotonou. C’est au Bénin que le club marocain va tenter de décrocher la deuxième Coupe de la Confédération (C2) de son histoire, après celle de 2018. Ce serait un beau lot de consolation après une période difficile. Période qui a débuté en janvier dernier lorsque les Rajaouis ont été piteusement éliminés au premier tour de la Ligue des champions (C1) par la modeste formation sénégalaise de Teungueth.
PIQURE DE RAPPEL FACE AU WYDAD
Reversés en Coupe de la Confédération, les Aigles verts sont ensuite passés de justesse face à l’US Monastir (Tunisie), en tour de cadrage. Leur élimination en Coupe du Maroc, face aux FAR Rabat, a également confirmé une certaine fragilité. Ils ont certes été impressionnants en C2, avec un sans-faute en phase de groupes (6 victoires) et une démonstration en quarts de finale face aux Orlando Pirates (Afrique du Sud). Mais une difficile qualification en demi-finale face au Pyramids FC (Égypte) et un revers 2-1 le 3 juillet face au Wydad en Botola ont rappelé le Raja à l’ordre.
UNE JSK EN CONFIANCE
Ce samedi, en finale de la Coupe de la Confédération, il y aura en outre une JS Kabylie avide de trophée continental après deux décennies de disette. Une JSK irrégulière cette saison mais en confiance depuis deux mois, avec 9 victoires, 2 nuls et 2 défaites, toutes compétitions confondues. Face aux Canaries, les principaux atouts du Raja seront encore ses deux attaquants, le Marocain Soufiane Rahimi et Ben Malango. Le Congolais est actuellement co-meilleur buteur de Botola avec 14 réalisations et meilleur artificier de la C2, avec 5 buts. Coup d’envoi de la finale prévu ce samedi 10 juillet à 19h TU.
LES LIONCEAUX BUTENT SUR LES CHAMPIONS EN TITRE
Le Sénégal s'est arrêté en quart de finale du mondial U19. Les Lionceaux se sont inclinées devant les États-Unis sur le score de 88 à 58.
Le Sénégal s'est arrêté en quart de finale du mondial U19. Les Lionceaux se sont inclinées devant les États-Unis sur le score de 88 à 58. Soit un écart de 30 points qui reflète la toute domination des champions du monde en titre américains et détenteurs du titre.
Terminus ! Le parcours de l'équipe du Sénégal à la Coupe du monde U19 s'est achevé hier, vendredi 9 juillet, en quart de finale. Les Lionceaux se sont butés aux États-Unis et se sont inclinés sur la marque de 88 à 58. Un écart de 30 points qui reflète la toute domination des champions du monde. Une domination qui s'est exercée d'un bout de l'autre de la rencontre. Dépassés d'entrée de jeu, les poulains de Sir Parfait Adjivon encaissent d'entrée un 9-0. La team américaine impose son jeu et enlève d'autorité le premier quart-temps (32-14).
Les vice-champions d'Afrique retrouvent le parquet avec plus d'allant. Mais les Lionceaux trouvent au fil des minutes quelques vertus offensives. Au prorota des points marqués, les Sénégalais prennent même le dessus (18- 15). Mais cette bonne tenue offensive sera toutefois insuffisante pour revenir à la hauteur de l'adversaire.
Avec une succession de tirs primés, les États-Unis avaient en effet commencé à creuser l'écart à la mi-temps (47-32). Un score qui ira crescendo puisque les champions du monde ne tardent pas à corser l'addition en larguant les poulains de Sir Parfait Adjivon à 23 points au terme du troisième quart temps (42-65). Le money time ou dernier acte de jeu ne sera qu'une simple formalité pour les jeunes américains qui terminent en roue libre avec un matelas de 30 points d’écart (88- 58).
Éliminé, le Sénégal redescend ce samedi sur le parquet pour un match de classement qui l'opposera à l’Espagne.
Vainqueurs à sept reprises de cette compétition, les Etats-Unis vont croiser le Canada en demi-finale.
COSAFA CUP; LE SENEGAL SE REPREND !
Battu par la Namibie (1-2) mercredi pour son entrée en lice à la Cosafa Cup, le Sénégal a relevé la tête en disposant du Mozambique (1-0) hier, vendredi 9 juillet à Port-Elizabeth en Afrique du Sud.
Battu par la Namibie (1-2) mercredi pour son entrée en lice à la Cosafa Cup, le Sénégal a relevé la tête en disposant du Mozambique (1-0) hier, vendredi 9 juillet à Port-Elizabeth en Afrique du Sud.
Attaquant du CNEPS Excellence, Pape Massar Djitté a inscrit le seul but de la partie après l’heure de jeu (62e).
Pour rappel, les Lions participent en tant qu’invités à cette compétition normalement réservée aux nations d’Afrique australe.
Composée de jeunes et de locaux, la sélection dirigée par Joseph Koto conserve ainsi ses chances de qualification avant d’achever la phase de groupes contre le Zimbabwe mardi et le Malawi le lendemain.