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11 mai 2025
OPERATION ANTI-ORPAILLAGE ILLEGAL A LA FRONTIERE SENEGALO-MALIENNE
Des équipements d’orpaillage illégal, dont 37 pompes, ont été saisis par l’armée sénégalaise à Sekhoto au bord de la Falémé, dans le cadre de l’application du décret présidentiel interdisant cette activité minière dans un périmètre de 500 mètres de l'eau
Des équipements d’orpaillage illégal, dont 37 pompes, ont été saisis par l’armée sénégalaise à Sekhoto au bord de la Falémé, dans le cadre de l’application du décret présidentiel interdisant cette activité minière dans un périmètre de 500 mètres autour du cours d’eau.
Un important site d’orpaillage clandestin a été démantelé à Sekhoto, en bordure de la Falémé, selon un communiqué de la Direction des relations publiques des armées (Dirpa) publié ce dimanche 10 novembre. L’opération, menée le 9 novembre par les forces de la Zone militaire N°4, a permis la saisie d’équipements substantiels utilisés dans l’exploitation minière illégale, notamment 37 pompes et plusieurs groupes électrogènes.
Du matériel de transport, incluant des motos, ainsi que divers autres équipements ont également été confisqués. Cette intervention s’inscrit dans le cadre des patrouilles régulières effectuées dans la région, visant à faire respecter le décret interdisant les activités minières aux abords de la Falémé. Lors de sa visite à Kédougou le 18 octobre dernier, le président Bassirou Diomaye Faye avait souligné l’urgence environnementale dans la zone de la Falémé, affluent majeur du fleuve Sénégal.
Face aux menaces que représente l’orpaillage illégal pour les ressources hydriques et l’écosystème, un décret présidentiel a instauré une zone d’exclusion de 500 mètres autour de la Falémé, interdisant toute activité d’orpaillage jusqu’en juin 2027. Cette mesure vise à garantir l’approvisionnement en eau potable de plusieurs agglomérations majeures, dont Dakar, Touba, Thiès et Mbour. « C’est une préoccupation majeure quand on sait que la Falémé est un affluent du fleuve Sénégal qui alimente jusqu’à Dakar l’eau à usage domestique », avait déclaré le président Faye lors de sa visite.
LA GALERIE DES ARTS OFFRE UNE LIBRE EXPRESSION AUX ARTISTES
Le vernissage de l’exposition qui a pour thème «Mains Libres» entre dans le cadre des événements Off de la 15e édition de la Biennale des Arts de Dakar (Dak’Art 2024).
La Galerie des Arts du Soleil a accueilli, vendredi 8 novembre, plusieurs artistes africains dont un Sénégalais qui ont exposé leurs talents à travers des tableaux d’arts. Le vernissage de l’exposition qui a pour thème «Mains Libres» entre dans le cadre des événements Off de la 15e édition de la Biennale des Arts de Dakar (Dak’Art 2024). La Galerie donne ainsi libre cours à ces artistes d’exprimer leurs sentiments sans être liés par un thème préalablement défini.
«C'est l'expression libre puisque, le mois de mai passé, vous savez, la biennale a été reportée. Les artistes avaient travaillé sur des thèmes. Cette fois-ci, la Galerie a décidé que chaque artiste choisit son propre thème et développe sa sensibilité pour cette biennale», a déclaré Samson Gahoui, artiste-peintre béninois. L’artiste-béninois dit avoir développé, sur six œuvres, le thème de l’Amour et sur des Relations spirituelles. Et Gahoui d’indiquer : «J'ai débattu un peu sur l'Amour, sur la connexion sentimentale. J'ai parlé un peu des Relations entre le monde spirituel et le monde physique. J'ai développé beaucoup de choses dans les œuvres que j'ai exposées dans la Galerie»
A ce propos, «le ‘’Un pour tous’’ là, que j'ai exposé, c'est un puits dans lequel se trouve l'eau. En regardant, on voit que tous les êtres viennent dans ce puits. Les papillons, les oiseaux, les abeilles... tous viennent dans ce puits. Donc le puits est là pour tout le monde et tout le monde est là pour le puit», a-t-il expliqué, précisant son intention de montrer que le contenu du puits est vraiment vital, nécessaire à la survie de la créature divine. De son côté, Ibrahima Balayara, seul Sénégalais parmi ces artistes, s’est lui aussi réjouis de ce format de travail proposé par la Galerie des Arts du Soleil. «Ce qui me plait dans cette exposition, c'est qu'on n'est aucunement lié à un thème. On travaille librement», a s’est réjoui Ibrahima Balayara, artiste-peintre sénégalais sortant de l’Ecole des Beaux-Arts.
C’est ainsi que dans ses œuvres, souligne l’artiste-peintre habitant des Parcelles Assainies, on retrouve, en plus de la solidarité, les enfants victimes des conflits armées. «J'ai travaillé sur le cas des enfants innocents qu'on tue dans les guerres. De la même manière, j'ai travaillé sur le côté solidarité entre les filles et les hommes.» A propos de l’impact de ce vernissage dans sa carrière, l’artiste peintre-sénégalais confie : «cette exposition pourrait m'apporter une grande ouverture dans ma carrière artistique franchement parce que on a beaucoup amplifié, travaillé avec des toiles de très bonnes qualités. Et, comme nous sommes en période de biennale, les gens peuvent venir de partout (pour visiter) ; je pense que ça pourrait impacter énormément sur notre carrière», espère-t-il.
LA COMPLEMENTARITE ENTRE ART ET DROIT EN QUESTION
Dans le cadre de la Biennale de Dakar, la Fondation Léopold Sédar Senghor a accueilli une conférence sur le thème "Art et Droit", célébrant le lien entre ces disciplines à travers l'héritage de Senghor et la diversité artistique mondiale.
Dans le cadre de la Biennale de Dakar, la Fondation Léopold Sédar Senghor a accueilli une conférence sur le thème "Art et Droit", célébrant le lien entre ces disciplines à travers l'héritage de Senghor et la diversité artistique mondiale. Cette rencontre a rassemblé des experts du Sénégal et de divers horizons pour discuter de l'importance de la réglementation juridique dans le domaine artistique.
La première intervenante, le Professeur Chiara Modica Dona dalle Rose, présidente de la Foundation Dona dale Rose ( Italie) a évoqué son attachement personnel à la pensée de Léopold Sédar Senghor, rappelant l'importance de la préservation de la culture africaine et des valeurs humaines. Elle a souligné que la fondation est un lieu de convergence pour artistes et intellectuels qui, par leur diversité, enrichissent la mémoire collective et l'héritage de Senghor. L’intervention a également mis en avant la participation de figures académiques internationales, comme le professeur Carlo Condalani, qui étudie l’interaction entre mathématiques et art, illustrant l’esprit de collaboration entre différentes disciplines et pays.
Le professeur Sankhalé, ancien avocat spécialiste du droit des arts, a insisté quant à lui sur le rôle fondamental du droit dans les métiers de l’art. Fort de son expérience en tant qu’avocat et critique d’art, il a expliqué les défis juridiques auxquels sont confrontés les artistes, notamment en matière de droits d’auteur et de contrats. Il a illustré ces difficultés par des exemples concrets, tels que la gestion des droits d’image et la négociation de contrats pour les expositions, où de nombreux artistes peinent à protéger leurs intérêts. Selon lui, la sensibilisation au cadre juridique est essentielle pour éviter des malentendus pouvant nuire aux artistes et à leurs œuvres.
L’exposition à la Fondation Senghor a réuni des œuvres variées d’artistes internationaux, soulignant les thèmes de droits humains et de liberté. Parmi les œuvres exposées, on retrouve celles de Nello Petrucci, qui propose des fresques en hommage aux droits humains, et d’Angelo Cardi, dont une sculpture inspirée de Vénus met en avant l’héritage africain et la naissance de l’humanité. Cette conférence et l’exposition associée à la Biennale de Dakar témoignent de l’interconnexion entre l’art et le droit, et de l’importance de ces deux domaines pour la préservation et la célébration de la culture et de l’identité humaine. Cette exposition Off qui se déroule dans l’enceinte de la fondation va durer pendant toute cette période de la biennale. Ainsi, du lundi au vendredi de 9h 00 à 17 h 00, les visiteurs peuvent accéder librement à l’intérieur du site.
PREMIERES «NOUVELLES RASSURANTES» POUR NOAH FADIGA
Sur ses réseaux sociaux, La Gantoise a émis un communiqué pour rapidement rassurer les supporters concernant l’état de santé de Noah Fadiga. Le Sénégalais s’est effondré en plein match contre le Standard Liège.
Sur ses réseaux sociaux, La Gantoise a émis un communiqué pour rapidement rassurer les supporters concernant l’état de santé de Noah Fadiga. Le Sénégalais s’est effondré en plein match contre le Standard Liège.
Plus de peur que de mal ?
Ces dernières minutes, des nouvelles plutôt rassurantes sont arrivées via un communiqué du club de La Gantoise. « Des nouvelles rassurantes concernant Noah Fadiga. Il a brièvement perdu connaissance lors d’un arrêt de jeu, peut-être à la suite d’une collision quelques minutes plus tôt. Les premiers examens cardiologiques n’ont montré aucun problème cardiaque », peut-on lire à travers une publication sur le réseau social X.
Pour autant, le Sénégalais de 24 ans a été transféré à l’hôpital par précaution. « Pour en être totalement sûr, Noah subira quelques tests supplémentaires à l’UZ Bruxelles (un établissement hospitalier de Bruxelles, ndlr). En tout cas, il va bien et remercie tout le monde pour son soutien », précise-t-on. A cause d’une irrégularité cardiaque, Noah quittait le Stade Brestois en 2023, après avoir été interdit de jouer en France.
TEUNGUETH FC SE DETACHE, LA LINGUERE MARQUE LE PAS
Sorti victorieux de la Linguère de Saint- Louis, Teungueth Fc a conforté son fauteuil de leader au terme de la 4e journée bouclé hier, dimanche 10 novembre 2024.
Sorti victorieux de la Linguère de Saint- Louis, Teungueth Fc a conforté son fauteuil de leader au terme de la 4e journée bouclé hier, dimanche 10 novembre 2024. Avec cette troisième victoire de rang, le club rufisquois accentue son avance sur le Jaraaf qui a lâché des points après le nul concédé face aux promus rufisquois d’AJEL. Les Rufisquois et les « Vert et Blanc » sont talonnés sur le podium par l’Us Gorée qui s’est offert la 3e place après son succès sur la pelouse de la Sonacos. Au bas du tableau, le Casa Sports a lui cédé sa place de lanterne rouge aux Saint-Louisiens de la Linguère.
Teungueth FC a enchainé ce samedi un nouveau succès lors de la 4e journée de Ligue 1 bouclée hier, dimanche 10 novembre. Le champion en titre s’est imposé sur sa pelouse du stade Ngalandou Diouf, face à la Linguère de Saint – Louis (16e ; 2 points). Un succès qui permet au club de Rufisque de conforter d’occuper seul la tête du classement avec dix points (1er ; 10 points). Mais aussi d’accentuer son avance sur le Jaraaf. Les « Vert et Blanc » (2e ; 7 points) ont encore lâché des points après le match nul (1-1 concédé contre l’AJEL de Rufisque (6e ; 6 points).
L’Us Gorée a pu réaliser l’une des meilleures opérations de la journée en ramenant trois précieux points lors de son déplacement sur la pelouse du stade municipal de Mbacké. Les Insulaires ont dominé les Huiliers de la Sonacos sur le score (0- 1). Ce qui leur permet de se hisser au podium (3e ; 7 points).
De la 3e place, les promus de HLM (4e ; 4 points) perdent un rang et quittent la 3e pour la 4e place à la suite de la défaite subie (0-1) hier, sur leur pelouse du stade des HLM face à l’Us Ouakam (11e ; 4 points). Au même moment, l’autre promu Waalydaan de Thiès (5e ; 7 points) réussissait son coup en déplacement au stade Massène Séne de Fatick où il a battu (0-1) le Jamono Fatick (5e ; 7 points). Au stade Lat Dior de Thiès, Génération foot (8e ; 5 points) et son hôte Guédiawaye FC (9e ; 5 points) se sont quittés dos à dos (1-1).
De son côté, l’AS Pikine a bien profité de son retour au stade Alassane Djigo et a pu épingler sa première victoire en championnat. Le club de la banlieue a pris le meilleur (1-0) sur Oslo Football Académie (12e ; 4 points). Un court succès qui se révèle précieux puisqu’il lui permet de quitter sa position de premier relégable (15e) pour la 10e place (5 points). Après sa fulgurante entame avec un carton réussi d’entrée, Dakar Sacré Cœur ne bouge pas et peine encore à enchaîner.
Les Académiciens ont été tenus en échec (0-0) par le Casa Sports. Un résultat qui leur relègue désormais à la 7e place du classement (5 points). Quant au club ziguinchorois (9e, 5 points), il cède désormais sa place de lanterne rouge à la Linguère de Saint-Louis qui marque le pas avec deux nuls et deux défaites (16e ; 2 points)
RÉSULTATS 4E JOURNÉE
Dakar Sacré cœur Casa Sports (0-0)
Jamono Fatick WallyDaan (0-1)
Teungueth FC Linguère (2-1)
Jaraaf -AJEL de Rufisque (1-1)
AS Pikine-Oslo F.A (1-0)
Génération Foot-Guédiawaye FC (1-1)
ASC HLM-US Ouakam (0-1)
Sonacos-US Gorée (0-1)
MULTIPLE PHOTOS
LES UNES DE LA PRESSE DE CE LUNDI 11 NOVEMBRE 2024
Me Elhadji Amadou Sall dénonce une attitude jugée hostile envers toute forme de critique. "Il menace tout le monde, il ne laisse personne, dès qu'il ne supporte pas d'être attaqué, il passe son temps à attaquer"
Me Elhadji Amadou Sall, ancien ministre de la Justice et membre de la coalition d'opposition Takku Wallu Senegal, a vivement critiqué ce dimanche le comportement du Premier ministre Ousmane Sonko lors de l'émission "Objection" sur Sud FM.
L'avocat dénonce particulièrement l'attitude du leader de Pastef envers ses détracteurs : "Il menace tout le monde, il ne laisse personne, dès qu'il ne supporte pas d'être attaqué, il passe son temps à attaquer", a-t-il déclaré, rappelant notamment les récentes confrontations avec Madiambal et l'ancien président Macky Sall.
Me Sall pointe du doigt ce qu'il considère comme un manque de retenue incompatible avec la fonction de Premier ministre : "C'est un homme d'État à qui est confié la responsabilité de diriger l'exécutif de notre pays [...] Quoique sur le terrain politique, il peut s'exprimer politiquement, mais il y a la retenue de sa fonction."
L'ancien ministre évoque également le passé d'opposant d'Ousmane Sonko, rappelant "beaucoup d'outrages à l'endroit des journalistes, des militaires, des policiers, des gendarmes, des magistrats, des fonctionnaires, des juges, des avocats."
Concernant la plainte déposée contre Anta Babacar Ngom, Me Sall prédit que le Premier ministre ne se présentera pas s'il est convoqué par la justice : "Il n'y a qu'une seule chose qu'il craint, c'est de répondre à la justice. Et on le sait, on l'a vu. C'est dans son ADN."
TRUMP ÉLU, LES AMÉRICAINS CHERCHENT LA SORTIE
En moins de 24 heures, des dizaines de milliers d'Américains ont cherché comment quitter leur pays. Le Canada, l'Australie et la Nouvelle-Zélande sont les destinations privilégiées par ceux en quête d'exil afin d'échapper à la gouvernance du Républicain
(SenePlus) - La perspective d'un second mandat de Donald Trump semble provoquer une onde de choc chez de nombreux Américains, comme en témoignent les données de Google analysées par Reuters. Dans les 24 heures suivant la fermeture des bureaux de vote sur la côte Est, les recherches pour "déménager au Canada" ont bondi de 1.270%, tandis que celles concernant la Nouvelle-Zélande et l'Australie ont grimpé respectivement de 2.000% et 820%.
Le phénomène prend une ampleur inédite : le site de l'Immigration néo-zélandaise a enregistré 25.000 connexions d'utilisateurs américains le 7 novembre, contre seulement 1.500 à la même date l'année précédente.
Les professionnels de l'immigration sont submergés de demandes. "Nous recevons une nouvelle demande par email toutes les demi-heures", confie à Reuters Evan Green, associé gérant du plus ancien cabinet d'avocats spécialisé en immigration du Canada, Green and Spiegel.
Cette vague rappelle celle observée après la victoire de Trump en 2016, mais le contexte apparaît plus tendu. Selon les sondages de sortie des urnes d'Edison Research, près des trois quarts des électeurs américains estiment que la démocratie américaine est menacée.
"Trump est évidemment le déclencheur, mais c'est aussi sociétal", analyse Evan Green. "La majorité des Américains a voté pour lui et certaines personnes ne se sentent plus à l'aise de vivre dans ce type de société. Les gens ont peur de perdre leurs libertés."
Sur Reddit, le groupe "r/AmerExit" devient un forum d'échange actif où les Américains partagent conseils et destinations potentielles. Cependant, comme le souligne Heather Bell, consultante en immigration au cabinet vancouvérois Bell Alliance, peu de ces projets se concrétisent : "Immigrer au Canada n'est pas facile, particulièrement maintenant que le gouvernement réduit le nombre de migrants temporaires et permanents."
DÉMANTÈLEMENT D’UN SITE D’ORPAILLAGE CLANDESTIN À SEKHOTO
Les éléments militaires en patrouille ont saisi un important matériel utilisé pour l’exploitation illégale de l’or : 37 pompes, plusieurs groupes électrogènes...
La Zone militaire n°4 a procédé le 9 novembre au démantèlement d’un site d’orpaillage clandestin dans la localité de Sekhoto, située au bord de la Falémé, dans le cadre d’une opération de sécurisation. « Les éléments militaires en patrouille ont saisi un important matériel utilisé pour l’exploitation illégale de l’or : 37 pompes, plusieurs groupes électrogènes, des motos ainsi que divers équipements » selon la Direction de l’information et des relations publiques des Armées sénégalaises (DIRPA) sur son compte X.
Ces patrouilles, organisées de manière régulière, ont pour objectif de sécuriser cette zone frontalière sensible et de faire respecter le décret interdisant toute activité minière à proximité de la rivière Falémé. Les autorités s’inquiètent en effet des conséquences de l’orpaillage clandestin sur l’environnement et les ressources hydriques, la Falémé étant une source précieuse pour les communautés locales.
Cette nouvelle saisie témoigne de la détermination des forces de sécurité à lutter contre l’exploitation minière illégale qui menace l’écosystème local et constitue un défi pour le maintien de l’ordre. Les autorités rappellent leur engagement à renforcer la surveillance et à poursuivre les actions de démantèlement des sites clandestins, en sensibilisant les populations locales aux risques liés à l’exploitation irrégulière des ressources naturelles.