Photographe et sérigraphe de profession, Abdou Razzak Kane a été tué par des agresseurs sur la VDN 3, à hauteur de Malika. Ce denier était sur la VDN pour honorer un rendez-vous avec un client car il devait confectionner des blouses pour une école de formation.
Selon des sources, alors qu’il attendait avec sa petite amie le client, les agresseurs, ont surgi de nulle part, et ont voulu le dépouiller de ses biens.
Abdou Razak leur oppose une résistance. Ces derniers, en supériorité numérique, lui ont donné trois coups de couteaux avant de disparaître dans la nature. Le photographe perd beaucoup de sang et meurt au cours de son évacuation à l’hôpital. Une enquête est ouverte pour mettre la main sur les agresseurs.
EVASION DE DEUX SUSPECTS DE RETOUR DE PARQUET
Selon Libération ces derniers étaient transportés par des policiers appuyés par des gardes de l’administration pénitentiaire.
Deux suspects ayant bénéficié d’un retour de parquet se sont évadés de la voiture devant les amener au commissariat du Port. Les faits, informe Libération, se sont passés à hauteur du marché Sandaga. La même source signale que même si on ne sait pas, pour le moment, comment ces personnes, déférées devant le parquet et n’ayant pas pu faire face au juge, ont pu sortir du véhicule qui les amenait au commissariat. Les deux fugitifs sont encore dans la nature.
Selon Libération ces derniers étaient transportés par des policiers appuyés par des gardes de l’administration pénitentiaire. Deux enquêtes ont été ouvertes pour retrouver les deux suspects dont les identités n’ont pas été révélées et permettre de comprendre ce qui s’est réellement passé.
Dakar, 20 nov (APS) - Le feuilleton médiatique autour de l’affaire Boughazelli, du nom du député sénégalais Seydina Fall Boughazelli cité dans une affaire de trafic présumé de faux-billets de banque, est le sujet qui tient le plus en haleine les quotidiens avec l’annonce de la démission du mis en cause de son mandat parlementaire.
Le député de la coalition Benno Bokk Yaakaar (BBY), regroupant les partis de la majorité présidentielle, a finalement déféré à la convocation de la section de recherches de la gendarmerie nationale, après avoir fait plusieurs faux bonds aux enquêteurs, rapporte le journal Le Quotidien.
’’Il a été libéré, mais va y retourner cette après-midi. Boughazelli, cité dans une affaire de trafic présumé de faux-billets, a également démissionné de son mandat de député et sera remplacé dès la prochaine plénière’’ de l’Assemblée nationale, écrit le journal.
’’Bougazelli se rend et démissionne de l’Assemblée’’ nationale, indique L’As, selon lequel le député démissionnaire va être entendu ’’avec beaucoup de risques d’être envoyé devant le juge d’instruction, qui pourrait l’inculper en même temps que ses co-accusés, déférés depuis avant-hier, lundi.
Walfquotidien relève que Seydina Fall était ’’porté disparu depuis sa première entrevue avec les enquêteurs de la section de recherches de la gendarmerie’’ de Colobane. Vox Populi revient jette un regard critique sur le cours des évènements et parle de ’’show’’.
Mieux, ajoute ce journal, Noughazelli ’’se lave les mains du ...+lavage de faux billets+’’, Le Témoin quotidien affirmant que celui qui est accusé d’être "le cerveau’’ de cette affaire de faux billets a été simplement ’’+démissionné+ par le pouvoir’’.
’’Lynché par l’opinion, traqué par les gendarmes, lâché par ses alliés, enfoncé par ses complices, Seydina Fall Bougazelli a, en plus, été poussé à la démission (...)’’, écrit Le Témoin quotidien.
Kritik’ laisse entendre que Boughazelli s’est livré pour que sa mère et sa femme soit préservé. ’’L’imbroglio !’’, affiche Enquête au sujet de l’annonce de la démission du désormais ex-député.
L’annonce de la démission du député de Guédiawaye, un département de la grande banlieue dakaroise, souligne le même journal, ’’met en évidence plutôt un échec cuisant, aussi bien dans sa forme que dans ses causes profondes. Et soulève des questions’’.
Ce qui amène également Tribune à s’interroger, au vu de sa manchette. ’’Boughazelli dans le clair-obscur’’, affiche le journal, avant de revenir sur les péripéties de cette affaire, du temps mis par le mis en cause pour répondre à la convocation des enquêteurs à l’annonce de sa démission, qu’il a démentie avant de finalement confirmer avoir renoncé à son poste de parlementaire.
Sud Quotidien, sur un tout autre sujet, revient sur l’examen et l’adoption par l’Assemblée nationale du projet de loi portant report des locales et prorogation des mandats des conseillers des collectivités territoriales.
’’L’opposition divisée, Ngouille déroule’’, titre le journal, illustrant sa Une par une photo du ministre de l’Intérieur, Aly Ngouille Ndiaye, dont le département a en charge l’organisation des élections et qui a donc défendu ce texte devant les députés.
Le Soleil ouvre sur les résultats du sommet Compact Africa à Berlin, à l’issue duquel l’Allemagne va octroyer 70,9 milliards de francs CFA au Sénégal, selon le journal.
SIX SÉLECTIONS FONT CARTON PLEIN À L’ISSUE DES DEUX PREMIÈRES JOURNÉES
Les champions d’Afrique en titre, les Fennecs, logés dans le groupe H, ont dominé les Chipolopolos de la Zambie (5-0) à Blida à domicile avant de forcer le destin en déplacement contre les Warriors du Botwana, 1-0.
Le Caire, 20 nov (APS) - Six sélections dont les quatre demi-finalistes de la CAN 2019, ont fait carton plein à l’issue des deux premières journées des éliminatoires de l’édition de la Coupe d’Afrique des nations, prévue au Cameroun.
L’Algérie, le Sénégal, le Nigeria et la Tunisie ont ainsi gagné leurs deux premières rencontres de ces éliminatoires.
Les champions d’Afrique en titre, les Fennecs, logés dans le groupe H, ont dominé les Chipolopolos de la Zambie (5-0) à Blida à domicile avant de forcer le destin en déplacement contre les Warriors du Botwana, 1-0.
Les Lions du Sénégal, finalistes malheureux de la dernière CAN, ont pour leur part battu le Congo 2-0 à Thiès avant d’aller s’imposer confortablement à Manzini contre l’Eswatini, 4-1.
Les Super Eagles ont aussi assis leur suprématie dans le groupe L, à l’issue des deux premières journées de ces qualifications en dominant d’abord à domicile les Ecureuils (2-1) avant d’aller s’imposer (4-2) au Lesotho.
Les Aigles de Carthage de Tunisie ont de même fait respecter leur rang dans le groupe J avec deux victoires respectivement contre la Libye, 4-1, et la Guinée Equatoriale (1-0).
Pour le reste, les Baréas de Madagascar, une des sensations de la dernière CAN, font partie des équipes ayant fait carton plein.
Après avoir battu (1-0) l’Ethiopie à domicile, les Malgaches sont venus à bout du Mena (6-2) à Niamey, ce mardi, pour le compte de la 2-ème journée du groupe K.
Le Ghana a aussi fait le plein de points en deux journées, avec deux victoires contre l’Afrique du Sud à domicile (2-0) et à l’extérieur contre Sao Tome et Principe (1-0).
La Mauritanie et les Comores, sans avoir gagné leurs deux matchs, se présentent comme les sensations de ce début d’éliminatoires.
Les Comores, dans un groupe où évoluent les Pharaons d’Egypte, ont réussi à se placer en tête avec quatre points au compteur : une victoire probante 1-0 à Lomé contre le Togo et un nul à domicile contre l’Egypte.
Les Mourabitounes, qui ont joué la première CAN de leur histoire en 2019, comptent également quatre points au compteur, bonifiant contre la République centrafricaine (2-0) le point précieux qu’ils ont obtenu contre le Maroc (0-0).
LA BANQUE MONDIALE ET LE FMI N'ONT JAMAIS PERMIS A UN PAYS DE SE DEVELOPPER
EXCLUSIVITE SENEPLUS : Le logiciel de ceux qu'on appelle experts de la Banque mondiale et du FMI est périmé, notre secteur privé en Afrique doit cesser de se comporter en des officines de lobbying - Pape Demba Thiam refait les comptes de l'économie
Il navigue aisément sur les questions budgétaires, d’entrepreneuriat, d’investissement innovants, et surtout sur les questions de développement.
C’est un ancien de la Banque Mondiale, a travaillé à l’OCDE pour le compte de prestigieux programme. Et pourtant, c’est lui qui flétrit le mieux le travail des experts des institutions de Bretton Woods et des grandes institutions de coopération bilatérale avec nos États en voie de développement.
Les classement « Doing business » et autres notations ne trouvent pas grâce à ses yeux.
Les plans de développement sortis des laboratoires de la BM et FMI non plus.
Pour l’économiste Pape Demba Thiam : « Il nous faut inventer un modèle alternatif de financement qui mobilise un minimum de fonds publics pour générer des investissements privés massifs ».
Mais pour autant, pour notre expert ancien fonctionnaire international reconverti dans les affaires, il ne s’agit nullement de tracer les sillons d’un protectionnisme au privé national au seul nom du patriotisme économique.
Dans cette première partie d’interview consacré au « Café sec » avec Abdoulaye Cissé, l’entrepreneur conseil en développement industriel et ancien fonctionnaire industriel Pape Demba Thiam évoque dans un style sans gants,
*les mécanismes de financement de notre développement,
*le service de la dette,
*les leviers à mettre pour porter la chaine des valeurs pour soutenir notre industrie de transformation,
*les perspectives pour le Ghana, 1er pays à annoncer devoir renoncer à l’argent des institutions financières internationales.
Bagarre mortelle à Wassétaké
C’est l’émoi et la consternation dans l’île à Morphil notamment à Wassétaké. En fait, une bagarre a tourné au drame. Seydou Tall âgé d’une quarantaine d’années a trouvé la mort lors de cette bagarre qui opposait éleveurs et agriculteurs dans cette contrée de l’Ile à Morphil hier mardi aux environs de 16 heures. Alertés, les sapeurs-pompiers de Pété, qui se sont déplacés sur les lieux, ont pris la dépouille qu’ils ont transférée au district de Pete et la gendarmerie a ouvert une enquête. Cette affaire défraie la chronique dans le Fouta.
Les manipulations des Habré révélées
Mme Habré est tenace et courageuse. Seule presque contre tous à défendre son époux. Si courageuse qu’elle n’hésite pas à user de la manipulation pour gagner la sympathie de l’opinion. C’est en tout cas la conviction des autorités de l’administration pénitentiaire. D’après des sources de «L’As» , Madame Habré cherche par tous les moyens à justifier les déclarations de la semaine dernière présentant comme gravement malade son époux.
Habré se serait versé de l’eau chaude
«Depuis le démenti de la DAP, tout laisserait croire qu’il a opté pour l’auto agression. Habré s’est versé de l’eau chaude au pied dans la nuit du jeudi au vendredi 15 novembre 2019 et il s’est cogné l’épaule à la porte des toilettes vendredi dernier. Ce n’est pas le bras mais l’épaule. Curieux comment peut on tomber directement sur sa clavicule ( épaule)... Après tout, Habré a été évacué puis consulté par le médecin général Prof Momar sène…Le Général qui fait partie des plus grands spécialistes en orthopédie a décidé de le revoir lundi. Non contente de l’avis du professeur qu’elle a au passage traité de tous les noms d’oiseau parce qu’elle voulait de l’hospitalisation son mari pour justifier sa maladie. Une fracture à la clavicule qui ne justifie pas une hospitalisation. D’ailleurs après la consultation du médecin général spécialiste orthopédiste, Mme Habré a voulu présenter son mari au médecin de la famille qui est généraliste certainement pour obtenir l’hospitalisation. Il n’est pas soigné par l’administration pénitentiaire dit-elle. Habré a refusé de se présenter à son Rv médical du lundi ... Chercherait il un médecin qui pourrait accéder à la demande d’hospitalisation de son épouse ? »
Retour de parquet pour la fille de Nder et Cie
Adja Mbaye, la fille du chanteur Alioune Mbaye Nder, et sa bande ont été déférés hier au parquet à la fin de leur garde-à-vue. Poursuivis pour association de malfaiteurs et vol en réunion, ils ont fait l’objet d’un retour de parquet. Ils feront face aujourd’hui au procureur qui va sans doute les placer sous mandat de dépôt. Adja Mbaye et ses acolytes dictaient leur loi dans les quartiers huppés de Dakar. La Section de Recherches de la Gendarmerie a mis fin à leurs activités délictuelles. La bande a été arrêtée à la suite d’une plainte d’un nommé Mouhamadou Moustapha Diagne qui a été agressé par la bande vers la mosquée de la Divinité.
Trois pêcheurs portés disparus
Trois pêcheurs de Thiaroye/Mer qui étaient en mer la semaine passée sont portés disparus depuis samedi dernier. Leurs parents n’ont pas leurs nouvelles depuis qu’ils ont quitté la terre ferme. Une situation qui a plongé leurs camarades dans le désarroi le plus total.
La délinquance régresse de 70% à Pikine
La délinquance a considérablement régressé à Pikine. C’est l’avis du Commissaire sortant de l’Arrondissement de Pikine Adramé Sarr lors de la cérémonie de passation de service entre lui et son remplaçant le Commissaire Ousmane Fall tenue hier. « La délinquance a régressé de 70% en ces 04 dernières années. Je suis venu au Mois de Novembre 2015.De 2015 à nos jours, 24 mille personnes ont été interpellées à Pikine soit en moyenne 6000 par an et 500 par mois et 17 par jour. Durant cette période, la moyenne est de 03 déferrements par jour, 17 durant la semaine, 763 durant le mois. La délinquance a donc considérablement régressé » a fait savoir Adramé Sarr. « C’est l’occupation journalière des zones criminogènes qui a fait reculer le mal. Donc, il reste des poches où des cas de vol persistent ». Promu Commissaire Central de Ziguinchor, il a tenu à souhaiter bonne chance à son remplaçant le Commissaire Ousmane Fall âgé juste de 40 ans.
Les travailleurs de l’ONAS en colère contre leur DG
Les travailleurs de l’Office National de l’Assainissement du Sénégal (ONAS) étaient hier en assemblée générale dans les locaux de l’entreprise pour dénoncer la mauvaise gestion de leur Directeur Général, Lansana Gagny Sakho. Selon le représentant des délégués du personnel, Moussa Guèye, les employés sont confrontés à des problèmes d’ordre structurel, organisationnel et financier. Les travailleurs ont déploré les problèmes d’assainissement dans les régions dus en partie à l’absence de curage des caniveaux. Lorsqu’ils ont interpellé le Directeur Général sur la question, ce dernier leur a rétorqué qu’il n’y a pas d’argent. Pourtant, indique Moussa Guèye, le marché de curage des caniveaux a été bien approuvé par le Conseil d’Administration et attribué à une entreprise, mais il n’a pas été exécuté dans les régions. Il s’agit d’un marché de 294 millions Fcfa dénommé Opération Pré Hivernale (OPH). Ainsi, Moussa Guèye et ses camarades exigent de leur Directeur général des éclaircissements par rapport à cet argent. Le délégué estime que si la situation a été catastrophique pendant l’hivernage 2019, c’est parce que l’entreprise chargée du travail d’évacuation des eaux de pluie a vu son contrat annulé par la Cour Suprême. Et l’Onas qui fait recours à des prestataires depuis 20 ans n’a pas les moyens d’exécuter ce travail de terrain. Entre autres problèmes, les travailleurs dénoncent le non-paiement des primes de rendement annuelles.
Les 9 millions Fcfa du ministre Oumar Guèye
Le ministre des Collectivités Territoriales et de l’Aménagement du Territoire, Omar Guèye, à la tête d’une délégation s’est rendu à Mbour pour présenter les condoléances du Gouvernement aux familles des 9 pêcheurs disparus en mer en début de mois. La cérémonie a eu lieu dans la salle de réunion de la Mairie. Il a remis 9 millions Fcfa aux familles des disparus. Oumar Guèye en a profité pour lancer un énième appel aux pêcheurs pour le port du gilet. Evoquant les effets du changement climatique, il a indiqué que le niveau de la mer est devenu plus élevé. Par conséquent, dit-il, les pêcheurs doivent moderniser leurs pirogues parce qu’il très difficile de retrouver une pirogue disparue en mer. A l’en croire, le ministère de la Pêche est en train de tester la géolocalisation pour 200 pirogues.
Le Cusems tape du point sur la table
Le rythme de traitement des dossiers des enseignants au ministère de la Fonction Publique est loin d’être satisfaisant pour le Cusems. En réunion le weekend dernier, le Directoire national du syndicat dirigé par Abdoulaye Ndoye a vigoureusement dénoncé la persistance des lenteurs administratives et la surimposition des rappels. Le Cusems fustige aussi la généralisation des appels à candidatures aux postes de responsabilité vacants dans les établissements d’enseignement technique et professionnel, en violation des principes de la gestion démocratique. Le syndicat exige un retour rapide à l’orthodoxie et une matérialisation dans les plus brefs délais de l’accord relatif à la création du corps des administrateurs scolaires. Abdoulaye Ndoye et Cie s’offusquent également de l’écrémage d’établissements mal lotis en infrastructures, en matériel didactique et en personnel enseignant au profit d’écoles souvent bien mieux lotis à tous égards. Selon le directoire national du Cusems, les établissements victimes sont délestés à la fois de leurs meilleurs élèves, et de professeurs dont l’expérience et l’expertise profiteraient davantage aux pensionnaires desdits établissements ne disposant souvent pas du génie de leur pairs des écoles d’excellence, ni de l’environnement scolaire meilleur offert par ces dernières.
Le Cusems tape du point sur la table (bis)
Restons avec le Directoire national du Cusems qui condamne les nombreux dysfonctionnements déjà notés lors des commissions administratives paritaires d’avancement. Car à mi-parcours, les agents dont les fiches d’évaluation ont doublement été déposées par leur administration et par le syndicat n’ont pu bénéficier d’avancements auxquels ils avaient droit faute d’un classement desdits documents dans leur dossier par des agents de la Fonction Publique dont c’est une des missions. Le Cusems exige du gouvernement un système de rémunération juste et équitable, le reversement des MEPS dans le corps des Professeurs de Collège d’Enseignement Moyen en EPS et le recrutement des sortants des écoles de formation. Les syndicalistes réclament aussi le paiement de toutes les indemnités du Bfem et du Bac avant la date butoir du 30 Novembre 2019 et l’application des points d’accord relatifs à la mise en position de stage et aux passerelles professionnelles. A souligner que le préavis de grève du Cusems expire le 06 Décembre prochain. Le syndicat exhorte ses militants à la mobilisation pour exiger du gouvernement, le respect de ses engagements.