Dakar, 23 août (APS) – Les dégâts causés par les pluies tombées jeudi à Dakar et à l’intérieur du pays et les remous au sein du Parti démocratique sénégalais (PDS) sont les principaux sujets en Une des quotidiens reçus vendredi à l’APS.
’’Beaucoup d’eau et de dégâts’’, affiche en Une Le Soleil qui note ‘’le réveil difficile des Dakarois’’ et des ‘’centaines de sinistrés à Kaolack’’.
’’Le Sénégal se noie’’, dit Sud Quotidien qui indique : ‘’Dakarois et Kaolackois dans le désarroi ; le tunnel de Soumbédioune fermé pendant plusieurs heures ; le transport urbain perturbé à Dakar ; l’office national de l’assainissement, désarmé, indexe le comportement des Sénégalais ; Matam coupé du reste du Sénégal (…)’’.
’’Catastrophe !’’’, s’exclame La Tribune au sujet des pluies tombées jeudi à Dakar et à l’intérieur du pays. ‘’Des routes coupées, des maisons submergées par les eaux, des voitures tombées en panne, des embouteillages monstres : tel était le décor dans la capitale et ses environs inondés par les eaux de pluie’’, écrit le journal.
’’A Bambilor, dans le département de Rufisque, des constructions ont obstrué certaines voies de passage des eaux de pluie vers les cours d’eau qui alimentent le lac Rose. Ainsi, il n’est pas rare d’assister à des torrents impressionnants sur les rares voies qui restent. C’est dans ces circonstances que deux enfants ont perdu la vie, hier, noyés’’, souligne Enquête.
Alors que Macky Sall est à Biarritz (France) en vacances et pour les besoins du sommet du G7 qui se tient ce week-end, le journal Source A relève que ‘’Goorgorlu (est) dans les fosses’’ après les pluies de jeudi. Selon le journal, ‘’les eaux prennent le pouvoir’’ un peu partout au Sénégal.
Le quotidien Vox Populi relève que ‘’le Sénégal (est) noyé sous la pluie (alors que) le gouvernement est en vacances’’.
Le quotidien Libération souligne qu’en banlieue dakaroise, ‘’les travaux du Train express régional (TER) ont rendu la situation catastrophique. Les populations réclament, vivement, des canalisations’’.
L’Observateur parle de ‘’pluies de désolation sur le Sénégal’’. ‘’Pluies de malheurs sur le pays’’ (L’As).
Les remous au sein du Parti démocratique sénégalais (PDS) sont également relayés par les quotidiens.
Le PDS est en proie à une fronde menée par des responsables dont Oumar Sarr suite au dernier réaménagement du Secrétariat national décidé par le Secrétaire général national Me Abdoulaye Wade.
Cette réorganisation fait la part belle à des figures présentées comme des proches de Karim Wade, qui devient Secrétaire général-adjoint chargé de l’Organisation, de la modernisation et de l’élaboration des stratégies politiques.
Au sujet de ces contestations autour du Secrétariat national, Le Quotidien titre : ‘’Nuages sur le PDS’’. Selon le journal, ‘’+frondeurs+ et loyalistes s’affrontent par points de presse ce vendredi’’.
Et la publication d’ajouter : ’’Jusqu’ici confronté à des frondes d’une figure du parti, Me Wade fait aujourd’hui face à une défiance menée par plusieurs responsables qui rejettent la composition du nouveau secrétariat national du PDS. Les stratégies déroulées ce vendredi dans son camp comme dans l’autre pourrait dessiner le visage de l’avenir du PDS’’.
Selon Walfadjri, ’’la fronde contre Wade et son fils ne va pas durer. Les rebelles vont se ranger ou seront exclus du parti pour +activité fractionniste+, l’arme fatale du patriarche+’’.
Parlant de cette situation, Enquête affiche en Une : ’’Entre infanticide et parricide au PDS, la sarabande des bannis’’.
’’D’Idirssa Seck à Oumar Sarr, Me El Hadji Amadou Sall et consorts, la plupart de ceux qui ont quitté le PDS ont accusé Wade-fils, devenu le parfait bouc émissaire. Pourtant, les mêmes l’ont toujours adulé tant qu’ils étaient dans les bonnes grâces du Maître, prenant même à partie tous ceux qui ont osé s’en prendre au +fils adoré+ qu’ils voulaient porter à la tête du Sénégal’’, écrit le journal.
’’Les frustrés du PDS vont-ils enterrer Me Wade vivant après le bouleversement de l’instance suprême du parti libéral ? La bande à Oumar Sarr a-t-elle la légitimité pour s’opposer aux décisions émanant du Pape du Sopi ?’’, s’interroge le quotidien Kritik.
Pour ce journal, ’’rénovation ou refondation, les +fils+ de Me Wade divorcent pour l’orientation et l’héritage du Secrétaire général national du PDS’’
LE SECTEUR ASSOCIATIF PESE 8%
Une étude monographique auprès des institutions exerçant une activité à but non lucratif au service de la population sénégalaise est annoncée pour Dakar, Thiès et Saint-Louis à compter du 26 août jusqu’au 7 octobre prochain.
Elle vise les Associations sportives et culturelles, ou religieuses, les Organisations non gouvernementales, les Fondations, les Partis politiques, les Syndicats professionnels, les Fédérations sportives et les Clubs sociaux, culturels, récréatifs ou sportifs.
Ace jour, la disponibilité des comptes de gestion des institutions sans but lucratif au service des ménages (Isblsm) faisait défaut à la comptabilité nationale. Un manque à gagner que l’Agence nationale de la statistique et de la démographie (Ansd) entend corriger en mettant en place un dispositif de suivi dudit secteur, à travers une étude monographique qui démarre ce 26 août jusqu’au 7 octobre 2019 à Dakar, Thiès et Saint-Louis.
Le directeur des statistiques économiques et de la comptabilité nationale, Mbaye Faye, l’a annoncé hier jeudi 22 août, à Dakar à l’ouverture d’un atelier de partage et de sensibilisation pour validation une enquête auprès des Institutions exerçant une activité à but non lucratif au service de la population sénégalaise. «Et pourtant sa contribution est à 8% du produit intérieur brut (Pib)», fait-il savoir. Il précise: «Ces localités concentrent plus de ménages Isblsm et les autres régions suivront». Selon toujours M. Mbaye, «ce secteur regroupe les Associations (sportives et culturelles, ou religieuses), les Organisations non gouvernementales, les Fondations, les Partis politiques, les Syndicats professionnels, les Fédérations sportives et les Clubs sociaux, culturels, récréatifs ou sportifs».
L’objectif général de cette enquête est d’appréhender la contribution de ce secteur à l’économie. Elle vise entre autres, l’identification des activités exercées, la localisation des unités, les coûts de leur gestion ainsi que les dépenses effectuées au profit des ménages. Selon le directeur : «ce dispositif comprend deux composantes à savoir un répertoire statistique et une banque de données économiques et financières». Il ajoute: «la mise en place d’une Banque de données économiques et financières du secteur associatif (Isblsm) s’avère nécessaire pour disposer de manière régulière des informations fiables requises pour une évaluation de ce secteur dans les comptes nationaux et également satisfaire les besoins des décideurs et autres utilisateurs».
Légitimant la portée d’une telle étude, M. Faye dira: «il n’existe pas un dispositif de suivi permettant la collecte régulière des données économiques des unités du secteur, même si, selon la réglementation, elles sont assujetties à la déclaration de leurs activités». De plus ajoute-t-il: «il est noté une absence de répertoire à jour dudit secteur, compte tenue, de sa disparité et sa diversité». Toujours au compte de difficultés, il fait savoir qu’«en général, l’organisation disparait par cessation de ses activités sans déclarer ce changement».
INONDATIONS ET CALVAIRE DES DAKAROIS
La pluie de la matinée d'hier, jeudi 22 août 2019, n'a pas été sans conséquences dans la capitale, Dakar et sa banlieue.
Cette pluie, relativement fine mais qui a un peu duré, a causé beaucoup de désagréments. Déjà depuis 6h du matin hier, les populations Dakaroises commençaient à vivre le calvaire avec cette troisième «forte» pluie, surtout en ce qui concerne la mobilité urbaine. Des routes ont été inondées, barrées par les eaux, perturbant ainsi la circulation des automobiles et les déplacements des piétons et autres travailleurs. Le mauvais curage des égouts en est l'une des principales raisons.
On la réclamait, sur fond de prières et de recueillements dans les mosquées et églises du pays. Elle est enfin là, après un très grand retard dans les régions Ouest et Nord et une longue pause dans celles du Centre, Sud et Est du Sénégal. Elle, c'est la pluie. Dans la matinée d'hier, jeudi 22 août, une pluie relativement fine mais qui a un peu duré dans le temps s’est abattue sur Dakar et sa région. Cette précipitation n’est pas sans désagréments dans la ville-capitale et certains quartiers de sa banlieue avec des axes routiers rendus impraticables, parce qu’occupés par les eaux de pluie. Bref, depuis 6h du matin hier, les populations dakaroises vivaient déjà les affres de cette troisième «forte» pluie qui s’est abattue dans la capitale et particulièrement dans la banlieue.
LES PARCELLES ASSAINIES BAIGNENT DANS LES EAUX
Dans la commune des Parcelles Assainies, même si des pertes matérielles ou en vies humaines n'ont pas été déplorées, il reste toutefois évident qu'elle est venue avec son lot de dégâts. En effet, beaucoup d'artères de la commune des Parcelles Assainies ont été inondées par les eaux de pluie, rendant la circulation impossible. C'est le cas sur la route séparant les Unités 17 et 18, tout près de la pharmacie Yacine. Le constat est le même sur la route qui divise les Unités 14 et 11. Le décor est identique au niveau de l'artère séparant les Unités 16 et 15. Aussi, à l'intérieur des Unités, plus particulièrement, à côté du marché de l'Unité 17, tout près de l’Agence de la sénégalaise des eaux (Sde), la route est aussi impraticable. La voie principale menant du croisement 22 à l’Eglise des Parcelle Assainies et celle reliant le pont de l’émergence Alioune Sow à cette commune ne sont pas en reste. Déjà, sur cet axe principal menant à Case-ba, jusqu’à la route des Niayes, il suffit de quelques gouttes de pluies pour que la circulation soit interrompue. Car, le point de collecte d’eau situé juste après ce pont déborde pour déverser le surplus d’eau sur la route très basse à ce niveau, créant ainsi une sorte de bassin… de rétention des véhicules. C’est aussi le même constat avec la pluie enregistrée en fin de soirée dimanche dernier. Conséquences : beaucoup de lignes de transport en commun ont été déviées. C'est le cas avec la société Dakar Dem Dikk Dikk (3D) dont la Linge 23 a laissé son itinéraire habituel. Tout comme la Ligne 1 de 3D qui quitte le terminus des Parcelles à destination du centre-ville, était obligée de se trouver un autre itinéraire. Il en est de même pour les minibus Tata, avec la Ligne 39, qui passait devant le Centre de santé Mame Abdou, contraint de dévier de son chemin pour passer entre les Unités 18 et 21. Que dire du bus Tata 37 qui avait l'habitude d'emprunter la route qui sépare les Unités 16 et 15 ? Il a contourné tout l'axe inondé pour passer entre les Unités 16 et 12. Des déviations qui ne sont pas sans conséquences pour les usagers obligés de se frayer des chemins en rasant les murs des maisons ou même de braver les eaux sales, pour rejoindre les itinéraires des bus, créés pour la circonstance.
CONSEQUENCES DU MAUVAIS CURAGE DES EGOUTS
Toutefois, force est de relever que cette année, le curage des égouts n'a pas été au rendezvous dans la commune. Même si par endroits, on avait noté le débouchage de certains regards d'eaux de pluies, dès la première pluie, il faut aussi déplorer le fait que le sable et la saleté, retirés de ces regards, ont été laissés sur place. A cela s'ajoute l'ensablement des routes des Parcelles Assainies, sans oublier les sachets plastiques qui dictent leur loi dans la localité. Tout ce cocktail de sable et de sachets plastiques ne peut que favoriser la rétention des eaux de pluie aux endroits bas, dès la moindre pluie.
PIKINE, GRAND-YOFF ET D’AUTRES ZONES DE LA CAPITALE FLOTTENT
En dehors des Parcelles Assainies, la commune voisine de Grand-Yoff a également beaucoup souffert de la situation hier, jeudi 22 août. Ici, au-delà des routes et rues, les eaux de pluie ont envahi certaines maisons, notamment à Arafat, avec comme conséquences des effondrements de pans de murs ou de bâtiments. Ravivant le spectre des inondations chez les populations. Toujours à Dakar, des avenues, comme Bourguiba, ont fait les frais de ces précipitations. Les eaux avaient élu domicile sur certaines parties de cette grande artère notamment des points bas entièrement inondés, transformés en lac artificiel par endroit. C’est le constat fait à hauteur de Castor, en face de l’agence de Senelec où des agents du service de l’assainissement s’activaient, hier jeudi, sur place pour libérer la voie. Plus loin, sur le boulevard Centenaire (Avenue Général De Gaulle), à hauteur de la BECEAO/Sénégal, les eaux dictaient également leur loi aux usagers.
LE TUNNEL DE SOUMBÉDIOUNE FERMÉ
Le tunnel de Soumbédioune, envahi par les eaux a été fermé à la circulation pendant plusieurs heures. De même, le centre de santé Philippe Maguilen Senghor de Yoff était sous les eaux, etc. Le département de Pikine où beaucoup d’axes routiers traversent des zones de bas-fond n’est pas épargné. C’est le cas, par exemple, à Keur Massar où les eaux ont assiégé la route des Niayes à hauteur du rond-point du marché et de la pharmacie 24h. Deux camions hydro-cureurs étaient à pieds d’œuvres pour dégager la voie et faciliter la circulation aux véhicules et autres piétons qui procédaient par des détours dans les ruelles des quartiers pour se frayer un chemin. UNE SITUATION PREVISIBLE En somme, partout dans ces quartiers affectés de Dakar, c’était le calvaire, les usagers avaient du mal à se frayer un chemin pour vaquer à leurs occupations quotidiennes ou aller tout simplement au travail. Pis, par endroit, ce sont des embouteillages monstres et bouchons en à plus finir qui sont notés dans la circulation, ce qui fait que nombre de travailleurs ont accusé un grand retard pour se rendre à leurs services. Pourtant, cette situation était prévisible car l’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (ANACIM), dans ses bulletins, avait prévu des «manifestations pluvio-orageuses», la nuit dernière et durant la journée du jeudi, sur la quasi-totalité du territoire sénégalais.
LE FOUTA COUPÉ DU RESTE DU SÉNÉGAL, PATAUGE DANS DES EAUX
Des maisons inondées par la pluie. Des ponts qui craquent. Des routes bloquées. Désespérément attendue depuis de longues semaines, la pluie apparaît en trombe, prenant le Fouta par surprise.
Alors que certains y voient la providence, d’autres en subissent les conséquences car, les fortes précipitations enregistrées ces jours, ont, encore une fois, mis à nu, l’épineux problème du manque de réseau d’assainissement au niveau de plusieurs localités et surtout la défaillance des infrastructures routières.
Le Fouta a été submergé ces derniers jours par des pluies torrentielles. Si ces pluies sont salutaires pour enrayer un peu le manque de ressources en eau, face à un déficit pluviométrique qui perdure, elles n’ont pas fait la joie de nombreux individus victimes d’infrastructures défaillantes face aux intempéries. Les dernières pluies ont mis à nu les limites de «l’assainissement» de plusieurs localités qui ont renoué avec la fâcheuse situation des eaux stagnantes. Que dire de la mobilité au niveau des routes ?
La RN2, sur l’axe Ndioum-Ourossogui-Bakel, en réhabilitation, est tout simplement devenue un parcours de combattant sur lequel les usagers souffrent le martyr. Au niveau de Sinthiou Garba, dans la commune d’Ogo, où une passerelle de fortune construite au niveau de la déviation, a été emportée par les fortes eaux de ruissellement, le trafic routier s’est retrouvé bloqué durant plusieurs heures. «Une situation déplorable» comme le déclarent les populations qui ont assisté à l’évacuation des malades et de leurs accompagnateurs par des brancards de fortune et surtout des grues qui assuraient la traversée des grandes brèches…
Paradoxalement, ce sont toutes les déviations de cet axe routier en réhabilitation qui partagent la mauvaise réputation d’être des parcours de risque. De Aéré Lao - Agnam, Thilogne - Ourossogui, Hounaré- Bakel les déviations se présentent comme des parcours de combattant où les gros porteurs et les véhicules légers s’adonnent à un ballet effarant synchronisé de multiples zigzags à n’en plus finir qui provoquent de nombreux accrochages et parfois de graves accidents.
La piste du Ndandé Mayo reste un autre supplice des usagers. En cette période hivernale, la piste fortement endommagée du Ndandé Mayo se présente comme un autre enfer pour les usagers Si en saison sèche, malgré tous les aléas, les voitures arrivent à se frayer un chemin, pendant la saison des pluies, les choses se compliquent. C’est aujourd’hui le cas de Nawel à Dembancané où les automobilistes jouent aux équilibristes sur le tracé sinusoïdal de cette voie stratégique de la zone production agricole au risque d’abîmer la mécanique de leurs engins.
LES 12 LIONS A LA LOUPE
Les « Lions » affûtent leurs armes en direction de la Coupe du monde masculin qui se déroulera du 31 août au 19 septembre prochain en Chine. A quelques jours de cette compétition, focus sur ces 12 « Lions » qui vont défendre les couleurs du Sénégal .
A 27 ans 2m06, le natif de Sindia va mener ses coéquipiers au mondial chinois en tant que capitaine de la sélection. Le puissant et explosif ailier du Sénégal, l’homme aux Dreadlocks, toujours spectaculaire sur les parquets sera un relai de poids pour le coach Moustapha Gaye.
XAN DALMEIDA
A 36 ans, 1m83, le franco-sénégalais est l’un des doyens de la sélection, Xan qui a fait toute sa carrière en France, a démarré en Pro A à l’Élan Béarnais Pau Orthez. Le virevoltant meneur des « Lions » sera à coup sûr un atout indéniable pour le mondial en Chine.
DJIBRIL THIAM
L’ailier des « Lions » désormais un des cadres de la tanière, avec son 2m06 et ses 33 ans, il déjà gouté aux joies d’un mondial, notamment celui de 2014, avec un certain Cheikh Sarr aux commandes. Thiam sera un atout de taille pour Moustapha Gaye.
PAPE MOUSTAPHA DIOP
La pépite de Saint Louis Basket club, passé par l’As Douanes, brille désormais en Europe. Il est l’une des valeurs sûres du Basket Sénégalais. Après avoir éclaboussé le championnat local de son talent, l’ailier de 22 ans intraitable dans le un contre un et les transitions offensives, compte bien déployer ses 2 mètres en Chine.
LAMINE SAMBE
International sénégalais depuis pratiquement 3 ans, l’arrière des « Lions », aujourd’hui âgé de 29 ans, pour 1m88, taquine la balle orange depuis ses 6 ans. Rien d’étonnant quand on voit sa facilité dans le jeu notamment sa dextérité sur les shoots à trois points.
MOUHAMMAD FAYE
Réputé fantasque, parfois ingérable, le bonhomme a du talent plein les baskets. À 33 ans, l’ailier fort Sénégalais, qui évolue à l’Etoile rouge de Belgrade, a été désigné meilleur marqueur de l’Afrobasket 2011 et double médaillé de bronze en 2013 et 2015 avec les « Lions » toujours en Afrobasket. Une longue présence dans la tanière gage de sa performance et de son apport de haut de son mètre 08.
MOMAR NDOYE
Né a Rufisque, le Franco-Sénégalais a rallié la France à l’âge de 7 ans, suivant les traces de son père Basketteur professionnel en France. Agé de 24 ans pour 1m98, Momar Ndoye sera à surveiller au sein de la Team Sénégal.
IBRAHIMA FALL FAYE 22ans.
Le pivot des Leuven Bears en Belgique, devra dominer dans la raquette et faire usage de ses mètres 07 pour s’imposer et faire briller le Sénégal dans ce groupe H relevé, où les «Lions» seront en compagnie du Canada, de l’Australie et de la Lituanie.
MACTAR GUÈYE
Avec ses 2m9, 22ans, le jeune Lion de l’Université d’Alabama à Birmingham, très doué au football, a finalement penché du côté de la balle Orange. Avec une mère coach de Basket, le Rufisquois qui a rallié les USA depuis ses 16 ans, est un talent brut !
BABACAR TOURÉ
A 33ans, 2m05, le Kaolackois évolue au poste de pivot, à Fribourg Olympic
HAMADY BARRO NDIAYE
A 32 ans, Le ministre de la défense comme on aime à l’appeler, est une impressionnante somme de puissance et d’envergure 2m13, 107 kg. Hamady Ndiaye très en mode Showman sur le parquet, a passé une grande partie de sa carrière aux USA avant de faire un crochet en Chine puis en Italie ou il évolue actuellement.
YOUSSOUPHA NDOYE
Avec ses 2m13 pour 113kg, l’autre géant de la Tanière, redoutable dans la raquette, le pivot de Nanterre (Première division Française) Non drafté lors de la draft 2015 de la NBA, Ndoye avait quand même rejoint les Spurs de San Antonio pour la Summer League de 2015. Un bref passage dans l’Elite Américaine avant de changer de cap.