Sénégal-Ouganda : «Pensez tous à nos cœurs et Frappez vos balles au fond !!!»
Comment crier à nos Lions que ce jour est important pour le peuple sénégalais, pour son amour du football, pour toute une jeunesse qui a besoin de rêves et envie d’histoires à raconter plus tard à leurs enfants ? Ils en ont le souffle coupé d’angoisse à quelques heures de toucher du doigt le rêve de voir enfin cet agrégat de talents avérés devenir enfin une équipe de football conquérante et surtout allante d’enthousiasme. Qu’avons-nous à vous dire ? Comment vous le dire ? Imaginez dans vos vestiaires les ombres tutélaires de Mawade Wade, de Jules François Bocandé, qui vous conjurent d’abord de faire acte de patriotisme, même si pour nombre d’entre vous les paroles de notre hymne national vous semblent désuètes, de démontrer une solidarité exemplaire, qui commence d’abord à ne pas descendre de votre bus, chacun sous son casque, vous isolant dans ce monde surfait qui suinte d’individualisme. Nous avons besoin de rêver et nous comptons sur vous, même si nous n’avons même pas un stade digne de ce nom et digne d’une nation qui aspire à être championne d’Afrique. Nous vous demandons de faire preuve d’humilité et de respect de vos adversaires du jour. Nous vous demandons de faire «équipe» et d’effacer de nos ressentis cette impression que chacun d’entre vous pense plus à être en première page de nos journaux, célébré comme notre sauveur. Nous vous exhortons de faire briller cette étoile qui scintille au milieu de nos couleurs et qui devrait frapper vos poitrines en faisant battre vos cœurs de guerriers. « Gaïndé Ndiaye Barawacc» espère-t-on chanter ce jour sous d’exquises étoiles nocturnes, ce qui nous redonnerait goût au sens de la fête, perdu dans des effluves de pétrole et de gaz qui empestent l’atmosphère. Rendez-nous notre fierté d’être sénégalais, tellement bafouée ces derniers temps par d’insouciants politiciens qui saccagent nos existences et piétinent nos rêves d’enfin entrer dans l’HISTOIRE… Et si vous avez de la peine à entonner notre hymne national, chantez phonétiquement «Pensez tous à nos cœurs et Frappez nos balles au fond». Nous en serons comblés. La balle est dans votre camp et nos espoirs dans vos godasses. Mais surtout «JOUEZ» au football. Jouez… Après tout ce n’est qu’un jeu… Sans plus… Le ballon n’est rond que pour les C… Goal de France.
Carnet rose :
Abc, Cheikh Ba, Ahmed Amar, Tahirou Sarr, Babacar Ngom … Lorsque l’ancien ministre du Budget Birima Mangara invite, c’est sans doute le Sénégal des finances et des Vip qui se bousculent. Parrain du fils de Pape Fall de «Ami boutique» qui se mariait hier, l’ancien ministre du Budget a mobilisé, sous une tente dressée sur l’Esplanade de la mosquée mouride Massalikul Jinane, les milliardaires : Tahirou Sarr, Babacar Ngom, Ahmed Amar, Abdoulaye Dia Senico etc. En plus de ces hommes d’affaires fortement représentés, il y avait aussi le nouveau Dg de la Cdc, Cheikh Ba, l’ancien ministre Abdou Ndéné Sall, Bougane Dani Guèye (DMedia), Mamoudou Ibra Kane (I Media), le Médiateur de la République Alioune Badara Cissé, Isma Dioum, Serigne Mboup (Sar) et plusieurs Mbacké Mbacké venus honorer l’Inspecteur général d’Etat, Birima Mangara. Et visiblement bien inspirés, les préposés au micro Hadj Mansour Mbaye, Mbaye Pekh et Khadim Samb égrenaient les noms de tout ce beau monde. Au finish, il a été scellé l’union devant Dieu et devant les hommes entre Abdou Khadre Fall et Maïmouna Fall
Le conservateur du Parc de Niokolo Koba écope 2 ans de prison
La sentence est tombée dans l’affaire de l’exploitation illicite de l’or dans le Parc national de Niokolo Koba qui a impliqué le conservateur, son adjoint, le régional du service des mines, des Chinois et Ghanéens. Le juge du Tribunal de Grande Instance (TGI) de Kédougou a eu la main lourde. Le tribunal a sanctionné sévèrement les agents des Parcs nationaux à la hauteur de leur faute. En effet, le juge a infligé une peine de 2 ans de prison ferme au conservateur du Parc national de Niokolo Koba, le lieutenant-Colonel Amar Fall, à son adjoint le capitaine Mamadou Marone, au lieutenant Soultang Diop. Le Ghanéen Kusi Kwabéna et les deux Chinois Kun Deng et Wan Hu ont également écopé de 2 ans de prison ferme. Leurs co-accusés sont plus chanceux même s’ils ne sont pas pour autant libres. Il s’agit du Directeur régional des Mines de Kédougou, Adama Diop. Ce dernier a été condamné à une peine d’un an de prison ferme. Le lieutenant Kane, en service à la Direction de la Protection des Eaux, écope de 6 mois de prison ferme. Les deux autres Chinois ont écopé de 2 mois de prison.
Relaxe pour les maires de Nenefescha et de Tomboronkoto
Restons avec cette affaire de l’exploitation illicite de l’or dans le Parc national de Niokolo Koba pour dire que certains mis en cause se sont tirés d’affaire. Il s’agit des maires de Nenefescha et de Tomboronkoto qui ont été placés sous mandat de dépôt avant de bénéficier d’une liberté provisoire. Le tribunal les a relaxé purement et simplement. Notre confrère Boubacar Tamba de la radio «Sud Fm» s’en est sorti également avec la relaxe pure et simple.
Mobilisation de «Aar Li Ñu Bokk» Thiès aujourd’hui
Après le répit de la semaine passée, la plateforme «Aar Li Ñu Bokk» reprend ses manifestations à partir d’aujourd’hui et cela dans plusieurs localités à l’intérieur du pays. Selon les initiateurs de la plateforme, la lutte pour la transparence sur la cession des permis d’exploitation du pétrole et du gaz à Frank Timis se poursuit jusqu’à ce que le pouvoir apporte la lumière sur cette affaire. En attendant la mobilisation de Dakar prévue demain samedi aux allées du Centenaire, «Aar Li Ñu Bokk» de Thiès bat le rappel des troupes pour un grand rassemblement ce vendredi à 15h à la Place Mamadou Dia. Ziguinchor et Tivaoune annoncent également des rassemblements. C’est dire que cette affaire est loin de tomber dans l’oubli.
Visite sa majesté Mswati III, Roi de l’Eswatini
Le Président Macky Sall a accueilli hier à l’aéroport Léopold Sadar Senghor sa majesté Mswati III, Roi de l’Eswatini qui effectue une visite officielle de deux jours. Selon le pole communication de la Présidence, cette visite s’inscrit dans le cadre de la volonté du Président Macky Sall et de son hôte de raffermir davantage les relations d’amitié et de coopération entre la République du Sénégal et le Royaume de l’Eswatini. Macky Sall et le roi Mswati III auront des entretiens sur des sujets d’intérêt commun au plan bilatéral.
L’étudiant condamné à 2 ans ferme pour cession de drogue
Les étudiants Mamadou Mansour Sow, Alioune Thiam, Adama Alassane Diallo ainsi que les agents de sécurité du Coud El Hadji Malick Ba, Abdoulaye Sy, Solo Mbow et Ameth Sy ont fait face au juge du tribunal des flagrants délits de Dakar pour offre et cession de drogue à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar. Rendant son verdict, le juge a condamné Alioune Thiam à 2 ans de prison ferme. Plus chanceux, ses acolytes ont été purement et simplement relaxés. Pour rappel, les faits ont eu le 29 juin 2019. Les prévenus ont été arrêtés dans la chambre 39 de l’Ucad suite à une information anonyme qui dénonçait un trafic intense de chanvre indien au sein de l’université. Les agents du Coud ont trouvé la drogue sur Alioune Thiam surpris en train de conditionner de l’herbe prohibée dans la chambre. A la barre, les prévenus ont, à l’unanimité, nié les faits qui leur sont reprochés. Si à l’enquête préliminaire, Alioune Thiam avait reconnu les faits, devant le juge, il a retourné sa veste. «La drogue ne m’appartient pas», a-t-il juré. Cependant, il a été chargé par ses co-prévenus qui lui imputent la paternité de la drogue saisie. Le procureur a requis 3 mois de prison ferme contre Solo Mbow pour usage de chanvre indien et 3 ans de prison ferme contre Alioune Thiam pour cession de drogue.
L’administration pénitentiaire dément l’Asred
L’Administration pénitentiaire tient à éclairer l’opinion publique sur l’information en date du 02 juillet 2019 donnée par l’ASRED et selon laquelle «des détenus de la Maison d’Arrêt de Rebeuss passent la nuit dans les toilettes à cause de la surpopulation carcérale». Selon les matons, cette information est fausse. Même si par ailleurs, ils reconnaissent une surpopulation carcérale dans certains établissements pénitentiaires, des mesures sont prises par les pouvoirs publics pour augmenter les capacités d’accueil des prisons. L’Administration pénitentiaire se désole de cette désinformation venant de personnes mal intentionnées et aux objectifs inavoués qui cherchent à induire l’opinion publique en erreur.
Atepa Goudiaby sur la route de l’acier et de l’aluminium
Initiateur de «La nouvelle route de l’acier et de l’aluminium», Pierre Atepa Goudiaby a entamé une tournée internationale pour la mise en œuvre du projet. A cet effet, il s’est rendu à Casablanca, sur le site de la Sonasid (leader sidérurgique, premier producteur marocain de rond-à-béton et fil machine destinés au BTP et à l’industrie). Ce géant de la sidérurgie, adossé au N°1 mondial de l’acier Arcelor Mittal, a développé une expertise technique et opérationnelle qui le positionne en acteur incontournable du marché marocain avec la gamme la plus complète de produits longs et conformes aux exigences des normes nationales du secteur. Il faut souligner que le projet de Atépa envisage un parc sidérurgique alimenté par une centrale à gaz.
Un enfant tue son frère avec l’arme à feu de son père
Drame au village de Kafori situé dans le Fongolimbi. Selon emedia.sn, un enfant de 7 ans a abattu à bout portant son grand frère de 12 ans avec l’arme à feu de son père. L’accident s’est produit, ce jeudi, vers 14 heures. Les deux frères, Ibrahima Diallo (7 ans) et Mamadou Diané (12 ans) s’amusaient avec le fusil de chasse de leur père. La gendarmerie et les sapeurs-pompiers sont sur les lieux du drame.
Coup de gueule de Abdoulaye Ba Nguer
On se tape dessus au Parti démocratique Sénégalais (Pds). Les cadres se crêpent le chignon. Le secrétaire chargé de l’administration et du suivi de la Fédération Nationale des cadres libéraux (FNCL / PDS), Abdoulaye Ba Nguer, rectifie leur président en soutenant qu’ils n’ont nullement validé une demande de conférence de presse de leur leader Me Wade sur l’affaire Petro-tim. Il qualifie la sortie de Cheikh Tidiane Seck d’une échappée solitaire injustifiée et maladroite. Selon M. Ba, par devoir militant, ce sont les cadres libéraux qui devaient s’y prononcer avec les arguments juridiques pertinents en notre possession. À défaut, ajoute-t-il, il appartient à Karim Wade, ministre de l’Energie de l’époque de se prononcer d’autant plus qu’il doit être à l’aise sur cette affaire dans la mesure où la procédure était inachevée à l’arrivée de Macky au pouvoir. « C’est dégradant à ses yeux, de vouloir, à chaque fois, envoyer le pape du Sopi au charbon quand des questions d’intérêt national interpellent leur parti », dit-il. Pour Abdoulaye Ba, Me Wade se trouve irrémédiablement dans une phase de retraite politique eut égard à son âge très avancé. Il estime que les libéraux doivent protéger l’image de Me Wade.
LE DEVOIR DE FAIRE FACE AUX CONSPIRATEURS DE TOUS BORDS
Le réservoir d'espoir de nos réactionnaires contestataires de circonstance, est d'instrumentaliser les difficultés économiques temporaires dans une conjoncture qui peut être négativement perçue et mal vécue par nos compatriotes
On le tait, mais tout le monde le sait. Notre beau pays, le Sénégal est sous l'œil des radars d'agitateurs professionnels, promoteurs de l'anarchie dont seuls les ennemis de la patrie pourront tirer profit.
Une atmosphère de conspiration nauséabonde est installée par le quarteron d'envieux non représentatifs de la minorité dans l'opposition.
Ce groupe composé d'habitués des salons sulfureux, frustrés par leurs échecs répétés se radicalisent, n'admettant pas une posture hors des affaires de l'Etat dans le contexte d'une ère nouvelle d'exploitation pétrolière.
Conscients de leur incapacité à gagner aujourd'hui ou demain le cœur des sénégalais à travers des élections démocratiques, ils s'acharnent à démotiver les citoyens.
Ils adoptent et encouragent la défiance vis à vis de l'autorité publique.
La campagne outrancière de délation et diffamation à l'endroit des proches du Président de la République entre dans leur plan de déstabilisation commandée par leurs parrains mécontents de ne pouvoir faire main basse sur nos ressources.
Ils procèdent par "l'agit-prop", initiant l'épreuve de force sur la voie publique avec l'objectif d'altérer le jeu démocratique pour affaiblir les Institutions.
Tous les moyens et accointances sordides sont mis en œuvre et de manière honteuse pour que le deuxième mandat du Président Macky Sall et la phase 2 du Plan Sénégal Emergent (PSE) n'aboutissent pas, concrétisant le saut qualitatif attendu des réalisations qui feront le bonheur de nos hommes et femmes, jeunes et vieux.
Le réservoir d'espoir de nos réactionnaires contestataires de circonstance, est d'instrumentaliser les difficultés économiques temporaires dans une conjoncture qui peut être négativement perçue et mal vécue par nos compatriotes.
Ils s'efforcent dans des manœuvres antinationales d'arrimer cette impatience aux intérêts occultes des cercles et lobbys cupides dans le monde.
Face à cette désinformation, la concertation initiée par le gouvernement le 02 juillet 2019 sur la mise en œuvre de la Loi sur le contenu local dans le secteur des hydrocarbures a permis de donner des réponses à la majorité des senegalais.
Nous savons que rien n'y fera, les saboteurs poursuivront la mission pour laquelle ils sont assignés, mais nous refusons que le Sénégal soit un pays où les plus bavards disent des choses débiles et ne soient pas rectifiés.
Notre vigilance citoyenne est aujourd'hui plus que jamais mise en alerte.
L'Etat ne peut pas travailler au profit du bien-être de sa population ni à la perpétuation des valeurs qui fondent la Nation si son existence ou sa stabilité est exposée à des faits hostiles venant d'éléments étrangers ou d'ennemis implantés.
L'une des premières responsabilités de tout gouvernement en matière de sécurité, c'est de prévenir tout acte attentatoire à la sécurité de l'Etat et de sécuriser les intérêts vitaux et stratégiques de la Nation.
Dans ce contexte, en plus des moyens mis en place par l'appareil d'Etat, visant à la défense du territoire et de l'ordre social sénégalais, la sécurité nationale se présente comme préoccupation de tous les citoyens honnêtes.
Prendre au sérieux ces menaces, c'est comprendre que cette paix civile qui n'est appréciable à sa juste valeur que lorsqu'on la perd; elle est à défendre envers et contre tous les égoïsmes.
Les handicapants à notre progrès se trouvent également dans les arcanes de notre administration ; les complicités sont nombreuses qui facilitent les nuisances de la nouvelle race de conspirateurs.
Nous avons assez vécu pour savoir les contraintes liées à l'exercice du pouvoir.
Nous soutenons totalement la pertinente décision du Chef de l'Etat de rationaliser la gestion de l'administration.
Sortir notre pays de la médiocrité sociale et la morosité économique suppose qu'on se débarrasse de la corruption et les scories de privilèges de fonctionnaires hérités de l'époque coloniale.
Nous appelons les frères et sœurs militants de l'Alliance pour la République à l'engagement aujourd'hui, plus qu'hier.
Les titres, rangs et qualités ne sont pas des visas dans le décor des vanités mais les servitudes destinées à forger les chaines de responsabilités garantissant notre cohésion nationale.
Les reformes voulues par le Président Macky Sall, appréciées de nos partenaires pour faire de notre administration un véritable outil de développement requiert l'acceptation de sacrifices et le retour à des valeurs patriotiques.
Certaines personnes voudront en faire une opportunité de couverture de leurs forfaitures, faire passer pour pertes et profits leurs indélicatesses.
Aux agents de l'Etat de rester vigilants pour aider à assainir nos écuries d'Augias pour que le service public soit efficient mais pas un environnement hostile aux populations qui doivent en être les premières bénéficiaires.
LE SÉNÉGAL À L'ÉPREUVE DE L'OUGANDA
Placé parmi les favoris de la CAN 2019, le Sénégal va se frotter à l’Ouganda en huitièmes de finale vendredi 5 juillet à 19h (TU). Les Cranes, très séduisants au premier tour, ne comptent pas s’arrêter en si bon chemin
En près de dix ans sur le continent africain, l’entraîneur français de l’Ouganda, Sébastien Desabre a déjà prouvé son savoir-faire technique, mais jeudi, il a montré ses talents en termes de communication de crise. Quand la préparation de son équipe est perturbée par une affaire de primes, poussant ses joueurs à boycotter une séance d’entraînement, et à retarder de plus de trois heures une autre, Desabre parle de « mini-évènement, pas très important ». On n’est pas obligé de le croire…
Par contre, il faudra bien être d’accord avec lui quand il estime que cette situation va « influer de manière positive » et « renforcer la cohésion » du groupe au moment d’affronter le Sénégal, annoncé comme favori de ce huitième de finale qui va se jouer au Stade international du Caire.
Retour de Sané et Sabaly
Si l’Ouganda n’avait rien à perdre en faisant face au Sénégal, les Cranes se sont trouvé le moyen de se mettre une pression en déclenchant ainsi une action pour une revalorisation des primes. Ce n’est peut-être pas une bonne nouvelle donc pour Aliou Cissé et ses hommes, qui, après avoir rassuré face au Kenya (3-0), après une défaite devant l’Algérie (0-1), doivent éviter une sortie de route dès les huitièmes. « L’Ouganda, c’est une équipe qui est un cran au-dessus de la Tanzanie et du Kenya, reconnaît Aliou Cissé, le sélectionneur des Lions. C’est une équipe très costaude, défensivement en place avec deux lignes de quatre, qui presse beaucoup et qui met souvent en difficulté des équipes qui jouent la possession. »
Au premier tour, la RDC a été ainsi punie par l’efficacité ougandaise (2-0), et l’Egypte s’en est bien sortie avec une victoire en trompe-l’œil (2-0). Aujourd’hui, les Cranes, qui n’avaient plus franchi le premier tour depuis 1978, veulent prolonger le plaisir. « Nous allons tout donner contre le Sénégal », jure le capitaine et gardien de but Denis Onyango
En face, les Lions ont tout intérêt à se méfier d’un adversaire qui ne les a jamais battus en cinq confrontations. Et si le Sénégal va encore se passer de son gardien titulaire, Edouard Mendy, désormais forfait pour le reste de la compétition (fracture d’un doigt), il récupère tous ses anciens blessés dont Salif Sané, Youssouf Sabaly en lice pour une place de titulaire en défense. Cela ne sera pas de trop pour faire mal aux Cranes.