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12 septembre 2025
FOOTBALL : LA SOMALIE EST DE RETOUR !
Ravagé pendant plusieurs années par une guerre civile débutée en janvier 1991, la Somalie va abriter son premier match international le 16 février, plus de 30 ans après la dernière rencontre de la sélection locale, annonce le site Internet de la BBc
Dakar, 7 fév (APS) - La Somalie, pays de l’Afrique orientale ravagé pendant plusieurs années par une guerre civile débutée en janvier 1991, va abriter son premier match international le 16 février, plus de 30 ans après la dernière rencontre de la sélection locale, annonce le site Internet de la BBC, la radiotélévision publique britannique.
Ce match opposera au stade Benadir de la capitale somalienne, Mogadiscio, les équipes nationales des moins de 20 ans de la Somalie et de l’Erythrée, précise la même source.
A cause de l’insécurité, les sélections somaliennes recevaient sur des sites neutres loin de chez elles depuis plus de 30 ans, ajoute la BBC.
"Dans un avenir proche, nous pourrions organiser un tournoi Cecafa (régional)", a indiqué Abdiqani Said Arab, président de la Fédération somalienne de football.
"Maintenant que la paix est revenue dans le pays, nous sommes heureux de pouvoir accueillir un match international après 30 ans", a-t-il fait savoir.
En perspective de cette rencontre, la Fédération somalienne a installé un gazon artificiel au stade de Mogadiscio où s’est disputé un match de ligue locale pour la première fois en 2017, l’an dernier.
Selon le président de la Fédération somalienne de football, par ailleurs vice-président de la Cecafa, l’instance de la zone de l’Afrique centrale, son pays va débuter par abriter des compétitions zonales avant de s’ouvrir aux autres.
"Notre peuple somalien a faim de regarder un match international après plusieurs années", a-t-il expliqué.
Le dernier match international joué à Mogadiscio date de 1988, quand sa sélection a joué contre l’Ile Maurice lors des qualifications au tournoi de football masculin des Jeux olympiques de Séoul.
BAMBEY : 1536 CARTES D’ÉLECTEURS À DISTRIBUER D’ICI LE SCRUTIN
Le préfet de Bambey, Mor Talla Tine, a affirmé qu’au total, "1536 cartes" d’électeur doivent être distribuées dans le département à quelques jours de l’élection présidentielle du 24 février
Bambey, 7 fév (APS) - Le préfet de Bambey, Mor Talla Tine, a affirmé qu’au total, "1536 cartes" d’électeur doivent être distribuées dans le département à quelques jours de l’élection présidentielle du 24 février.
"Pour ce qui est des cartes issues de la refonte, dans tout le département, il ne nous reste que 1119 cartes. Et pour les cartes issues de la révision, c’est un total de 417 cartes", la somme de ces deux stocks faisant "un total de 1 536 cartes d’identité à distribuer d’ici la veille du scrutin", selon le préfet.
S’agissant des cartes issues de la refonte du fichier électoral, "nous sommes à un taux de distribution de 98%. Et pour ce qui est des cartes issues de la révision exceptionnelle de 2018, nous sommes à un taux de 93%", a-t-il poursuivi.
Selon Mor Talla Tine, "les commissions ne sont pas itinérantes parce que le besoin ne se fait pas sentir. Si nous prenons le cas de quelques communes, il arrive’’ que dans une commune, il reste "une cinquantaine ou une soixantaine de cartes" à distribuer.
"On estime que la mobilité ne s’impose pas mais d’ici quelques jours, si ce taux n’évolue pas comme nous le souhaitons, nous mettrons en place des stratégies de mobilité", a rassuré le préfet, expliquant que le non-retrait des cartes s’explique par l’exode rural.
"Ces électeurs qui se sont inscrits dans le département et qui n’ont pas encore retiré leur carte sont des citoyens qui sont à Dakar pour des activités économiques. Souvent, c’est deux à trois jours avant le scrutin, qu’ils rentrent dans leur terroir et en profitent pour retirer leur carte", a dit M. Tine.
ISSA SALL :"JE N’AI PAS UN ANTI-PROGRAMME’’
Le candidat du Parti de l’unité et du rassemblement (PUR), El Hadj Sall dit El Hadj Issa Sall, a déclaré, jeudi, à Mbirekelane, qu’il ne se basait pas sur le programme du gouvernement pour élaborer "un anti-programme’’
Mbirekelane, 7 fév (APS) - Le candidat du Parti de l’unité et du rassemblement (PUR), El Hadj Sall dit El Hadj Issa Sall, a déclaré, jeudi, à Mbirekelane, qu’il ne se basait pas sur le programme du gouvernement pour élaborer "un anti-programme’’.
"Je n’ai pas un anti-programme. Je ne me base pas sur le programme du gouvernement pour faire mon programme. Je n’ai pas besoin de le faire. Je n’ai pas besoin de dire aux Sénégalais ce que je dois faire pour eux", a-t-il lancé lors d’une rencontre avec ses militants de Mbirekelane, dans la région de Kaffrine (centre).
"Je n’ai pas besoin de me baser sur le programme du gouvernement pour faire un anti-programme. Ne cherchez pas à ce que moi je fasse un anti-programme. Ce qui m’intéresse, c’est ce que je propose aux Sénégalais, mais ce n’est pas ce que les autres ont proposé aux Sénégalais", a ajouté le candidat du PUR.
Il a aussi indiqué qu’il n’avait pas l’intention de s’échiner à "tirer sur le gouvernement’’. "Ça ne m’intéresse pas", a-t-il martelé, balançant la même réponse au sujet du retour ce jeudi de l’ancien chef de l’Etat, Abdoulaye Wade.
"Abdoulaye Wade est un citoyen comme tout le monde, il peut le faire s’il le veut. Ça ne me dérange pas du tout", s’est-il contenté de dire au sujet du retour au bercail de l’ancien président.
Au sujet de l’enseignement supérieur public et privé, Issa Sall dit vouloir miser sur une harmonisation.
"L’enseignement supérieur privé et l’enseignement supérieur public sont les mêmes. Maintenant, les étudiants sont orientés dans le supérieur privé. Ce qu’il faut faire, c’est de faire une harmonisation, c’est-à-dire harmoniser les programmes et les curricula", a-t-
BAMBEY : 1536 CARTES D’ÉLECTEURS À DISTRIBUER D’ICI LE SCRUTIN
Bambey, 7 fév (APS) - Le préfet de Bambey, Mor Talla Tine, a affirmé qu’au total, "1536 cartes" d’électeur doivent être distribuées dans le département à quelques jours de l’élection présidentielle du 24 février.
"Pour ce qui est des cartes issues de la refonte, dans tout le département, il ne nous reste que 1119 cartes. Et pour les cartes issues de la révision, c’est un total de 417 cartes", la somme de ces deux stocks faisant "un total de 1 536 cartes d’identité à distribuer d’ici la veille du scrutin", selon le préfet.
S’agissant des cartes issues de la refonte du fichier électoral, "nous sommes à un taux de distribution de 98%. Et pour ce qui est des cartes issues de la révision exceptionnelle de 2018, nous sommes à un taux de 93%", a-t-il poursuivi.
Selon Mor Talla Tine, "les commissions ne sont pas itinérantes parce que le besoin ne se fait pas sentir. Si nous prenons le cas de quelques communes, il arrive’’ que dans une commune, il reste "une cinquantaine ou une soixantaine de cartes" à distribuer.
"On estime que la mobilité ne s’impose pas mais d’ici quelques jours, si ce taux n’évolue pas comme nous le souhaitons, nous mettrons en place des stratégies de mobilité", a rassuré le préfet, expliquant que le non-retrait des cartes s’explique par l’exode rural.
"Ces électeurs qui se sont inscrits dans le département et qui n’ont pas encore retiré leur carte sont des citoyens qui sont à Dakar pour des activités économiques. Souvent, c’est deux à trois jours avant le scrutin, qu’ils rentrent dans leur terroir et en profitent pour retirer leur carte", a dit M. Tine.
EN 2017, 41% DES DÉCÈS CAUSÉS PAR LES MALADIES NON TRANSMISSIBLES
Docteur Aloïse procédait à la réception officielle d’un matériel médical destiné à renforcer le plateau technique de six cliniques du diabète et de l’hypertension artérielle (CDH) et de leurs centres satellites, un don des laboratoires Sanofi
Dakar, 7 fév (APS) – Les maladies non transmissibles qui représentent une menace de santé publique, ont été responsables de 41% des décès enregistrés en 2017 au Sénégal, a indiqué jeudi le directeur de cabinet du ministère de la Santé et de l’Action sociale, docteur Aloïse Waly Diouf.
‘’C’est pourquoi, elles constituent les nouvelles priorités de notre système de santé, lesquelles sont explicitement formulées dans les objectifs de développement durable (ODD) […]’’, a-t-il dit.
Docteur Aloïse procédait à la réception officielle d’un matériel médical destiné à renforcer le plateau technique de six cliniques du diabète et de l’hypertension artérielle (CDH) et de leurs centres satellites, un don des laboratoires Sanofi.
La cérémonie a été sanctionnée par une nouvelle convention de partenariat de trois ans entre le ministère de la Santé et de l’Action Sociale et les laboratoires Sanofi, d’un montant de plus de 12 millions de FCFA.
D’après le directeur de cabinet du ministère de la Santé, les maladies non transmissibles, principalement le diabète et l’hypertension artérielle, représentent un fardeau économique pour tous les pays.
Le directeur général de Sanofi, Abderrahmane Chakibi, estime qu’il y va de la responsabilité de son groupe d’agir aux côtés des institutions de santé pour les accompagner dans leur défi de réduire l’impact des maladies chroniques.
‘’La situation, a-t-il dit, est de loin plus critique et si en 2017 on estimait à 16 millions le nombre de personnes atteintes du diabète en Afrique, en 2045 le nombre pourra atteindre 41 millions.’’
Quant à l’hypertension artérielle, Abderrahmane Chakibi indique que sa progression est deux fois plus rapide qu’en Occident. Sa prévalence devrait passer de 80 millions de malades en 2010 à 150 millions en 2025.
Selon lui au Sénégal, l’enquête STEPS 2015 montre l’ampleur de ces maladies avec des prévalences de 3,4% (diabète) et 24% (HTA). ‘’Il est inadmissible qu’au Sénégal, des personnes meurent du diabète et de l’ypertension artérielle, du fait d’un diagnostic tardif ou d’un manque de suivi de son traitement’’, a-t-il affirmé.
‘’Dans les pays occidentaux, ce même profil de patients malades du diabète et de l’HTA, décède plutôt des suites de vieillesse’’, en encore précisé le directeur général de Sanofi.
Venu de Ziguinchor, le docteur Jean Jacques Malomar, au nom des bénéficiaires des unités choisies pour abriter les cliniques de diabètes et d’hypertension artérielle, a dit que ce matériel va jouer un double rôle.
‘’Ce matériel va, d’une part, nous aider à renforcer le plateau technique, et d’autre part, faciliter les interventions des acteurs sur le terrain afin de permettre de contribuer efficacement à la prise en compte des populations en matière de lutte contre le diabète’’, a-t-il dit.
VIDEO
«DAMA ÑEUW POUR QUE MACKY SALL DEM… »
Les premiers mots de Me WADE à son arrivée au Sénégal
POINT DE MIRE SENEPLUS - De retour à Dakar, l'ancien chef de l'Etat est à l'offensive - Il dénonce un complot de Macky contre Sonko - Il sera ce vendredi à Touba et à Tivaouane - PHOTOS ET VIDÉOS
Dernière minute : Le Président Abdoulaye WADE se rend à Touba ce vendredi 8 février 2019 pour rendre visite au Khalif Général des Mouride Serigne Mouhamadou Mountakha MBACKE et assister à la prière du vendredi. En fin d’après midi, il se rendra à Tiouaone puis à Ndiassane avant de rentrer à Dakar le même jour. Heure de départ 1O heures 30
L'ex-président Abdoulaye Wade est arrivé jeudi au Sénégal, où son appel à empêcher l'élection présidentielle du 24 février, "verrouillée", selon lui, pour assurer la reconduction de son successeur Macky Sall, rencontrait peu d'écho.L'ancien chef de l'Etat (2000-2012), qui réside en France, est arrivé dans l'après-midi à bord d'un jet privé après deux ans d'absence, vêtu d'un boubou bleu et d'un châle blanc et coiffé d'un bonnet rouge. Il a notamment annoncé le lancement d'une "alliance nationale stratégique pour une alternance immédiate". Un programme qui selon ses dires, débute dès ce samedi. ‘’Nous allons commencer par des meetings et des marches sur toute l’étendue du territoire national jusqu’au 23 février. Ensuite, nous lancerons la deuxième phase le jour de l’élection présidentielle. La dernière phase débutera après les élections", a annoncé Abdoulaye Wade, devant les nombreux militants venus à sa rencontre.
Dans une vidéo diffusée mardi, il a appelé la population à s'"opposer à la tenue d'une élection entièrement fabriquée", dénonçant l'invalidation des candidatures des deux principaux rivaux potentiels de Macky Sall, son fils Karim et le maire déchu de Dakar Khalifa Sall, tous deux frappés par des condamnations judiciaires. "Wade seul contre tous" ou "Me Wade recalé" titraient jeudi les quotidiens, constatant "l'échec" de l'ancien président, 92 ans, toujours chef de la formation qu'il a fondée, le Parti démocratique sénégalais (PDS), à convaincre les autres opposants à se rallier à sa stratégie.Même parmi la poignée de militants venus l'attendre à l'aéroport avec des tee-shirts à l'effigie de son fils sur lesquels on pouvait lire: "Karim Wade président 2019" ou encore "je vote Karim Wade", certains pensaient que "le vieux", selon son surnom affectueux, allait devoir changer de discours.
"L'essentiel pour nous est que Macky Sall dégage. Nous sommes à son écoute mais je pense qu'il ne va pas réitérer la déclaration qu'il a faite pour empêcher l'élection. Les responsables qui sont venus l'accueillir vont le faire changer d'avis", a déclaré à l'AFP Boubacar Faye, la quarantaine qui se dit militant du PDS depuis 1998. Un de ses alliés, le député Mamadou Diop Decroix, a d'ailleurs préféré annoncer mercredi son ralliement au candidat Idrissa Seck, ex-Premier ministre d'Abdoulaye Wade.Macky Sall, en campagne dans le pays comme les quatre autres candidats, "ignore royalement Abdoulaye Wade", a assuré son service de presse dans un communiqué mercredi. La société civile a également donné une fin de non-recevoir à cet appel, à l'image du mouvement citoyen Y'en a marre, qui se dit à "équidistance" entre le pouvoir et l'opposition.
"Dans tous les pays, s'il y a un boycott, c'est le parti au pouvoir qui en bénéficie", a dit mercredi son coordonnateur Fadel Barro, en appelant les Sénégalais à se rendre "massivement" aux urnes.Plusieurs autres responsables de la société civile, dont ceux de la section sénégalaise d'Amnesty International et du Forum du justiciable, une ONG de défense des droits de l'Homme, ont rejeté l'appel de M. Wade.
KHALIFA, CANDIDAT À LA PRÉSIDENTIELLE?
EXCLUSIF SENEPUS - L'injonction de la CEDEAO sera connue vendredi - La Cour de Justice ouest-africaine considère la requête de Khalifa Sall recevable et se prononcera dans le fond demain à 10h
SAXEWAR DIANGE DE SENEPLUS |
Publication 07/02/2019
La Cour de Justice de la Cedeao s'est déclarée compétente et considère recevable la requête de Khalifa Sall contre la décision du Conseil constitutionnel sénégalais qui l'empêche d'être candidat à la présidentielle du 24 février.
SenePlus a appris de source proche de l'ancien maire de Dakar que la décision sera rendue demain vendredi 8 février 2019, à 10 h.
Selon une source au fait de ce dossier juridique et contactée par SenePlus, la Cour de Justice de la CEDEAO pourrait "ordonner à l'Etat du Sénégal de valider la candidature de Khalifa pour la présidentielle"qui doit se tenir dans deux semaines environ.
Rappelons que le 13 juillet 2015, la Cour de Justice de la CEDEAO a rendu la décision N°ECW/CCJ/JUG/16/15 dans la cause qui opposait au Burkina Faso le Congrès Pour la Démocratie (CDP) et autres requérants à l’Etat dirigé à l'époque par une équipe de transition qui voulait écarter de l'élection les proches du président déchu, Blaise Compaoré.
Dans cet arrêt historique, la Cour communautaire indiquait qu'elle "rejette les exceptions d’incompétence et d’irrecevabilité soulevées par l’Etat du Burkina etse déclarait "compétente pour examiner la requête qui lui est soumise", mentionnant ainsi la recevabilité de la requête. Plus important, sur le fond, elle disait que "le Code électoral du Burkina Faso, tel que modifié par la loi n° 005-2015/CNT du 07 avril 2015, est une violation du droit de libre participation aux élections" et de là, elle ordonnait en conséquence à "l’Etat du Burkina de lever tous les obstacles à une participation aux élections consécutifs à cette modification.
C'est sur ce précédent historique que le camp de Khalifa Sall fonde ses espoirs de voir leur leader sur la ligne de départ de la prochaine présidentielle.
VIDEO
MULTIPLE PHOTOS
ARRIVÉE DE WADE
EXCLUSIF SENEPLUS - Accueil à l'AIBD, procession dans plusieurs quartiers de la banlieue - Revivez l'arrivée ce jeudi de l'ancien chef de l'Etat, en photos et en vidéos
L'ancien président Abdoulaye Wade est à Dakar depuis quelques heures. SenePlus vous propose de revivre son arrivée depuis sa sortie de l'aéroport à son parcours de différentes localités de la banlieue en compagnie de plusieurs militants.