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18 septembre 2025
MACKY LIBERE 804 PRISONNIERS
Lle Président de la République a accordé son pardon à 804 personnes définitivement condamnées pour des infractions diverses et incarcérées dans les différents établissements pénitentiaires du Sénégal.
Conformément à la Constitution, par décret n°2018-2287 du 31 décembre 2018, le Président de la République a accordé son pardon à 804 personnes définitivement condamnées pour des infractions diverses et incarcérées dans les différents établissements pénitentiaires du Sénégal.
Selon un communiqué de la Direction des Affaires criminelles et des Grâces du ministère de la Justice, cette mesure de clémence concerne des délinquants primaires, des condamnés présentant des gages de resocialisation, des personnes âgées de plus de soixante cinq(65) ans, des condamnés gravement malades et des mineurs.
INTERDICTION DE LA PROPAGANDE DANS LES MÉDIAS
Le Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA) annonce, en perspective de la campagne électorale du scrutin présidentiel du 24 février, l’interdiction, à partir de vendredi à 00 h, de toute propagande politique dans les médias.
Le Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA) annonce, en perspective de la campagne électorale du scrutin présidentiel du 24 février, l’interdiction, à partir de vendredi à 00 h, de toute propagande politique dans les médias.
Dans un communiqué reçu à l’APS, mardi, le Conseil précise que la période de précampagne durant laquelle est interdite la diffusion de ‘’toute manifestation ou déclaration publique de soutien à un candidat’’ s’étend du vendredi 4 janvier 2019 à 00 heure au samedi 2 février 2019 à minuit.
L’instance de régulation rappelle que durant la précampagne, ‘’est interdite la diffusion, par les médias (presse écrite, presse en ligne, radio et télévision), de toute manifestation ou déclaration publique de soutien à un candidat, faite directement ou indirectement par toute personne ou association ou groupement de personnes, quelle qu’en soit la qualité, nature ou caractère’’.
Est également interdite la diffusion par les médias de ‘’toute manifestation ou déclaration publique de soutien faites lors des visites et tournées à caractère économique, social ou autrement qualifié, effectuées par toutes autorités de l’Etat sur le territoire national’’.
Dans le même communiqué, le CNRA annonce que la campagne électorale pour la présidentielle démarre officiellement le dimanche 3 février 2019 à 00 h et prend fin le vendredi 22 février 2019 à minuit.
L’organe de régulation rappelle que ‘’pendant la campagne électorale, est interdite l’utilisation à des fins de propagande électorale de tout procédé de publicité commerciale par la voie de la presse écrite, de la presse en ligne, de la radio et de la télévision’’.
Le CNRA signale que le service public de l’audiovisuel ’’est assujetti à l’obligation de respect du principe d’égalité, dans le temps d’antenne mis à la disposition des candidats’’.
Il ajoute que ‘’les médias, autres que l’audiovisuel public, qui traitent de la campagne électorale, sont tenus au respect rigoureux des règles d’équité et d’équilibre dans le traitement des activités des candidats’’.
Le CNRA rappelle que ‘’la veille de l’élection et le jour du scrutin, est interdite la diffusion, par les médias (presse écrite, presse en ligne, radio et télévision), de toute propagande électorale’’.
Il précise que ’’cette interdiction concerne tout élément relatif à la campagne électorale y compris les débats, interviews, communiqués, et revues de presse’’.
Le CNRA signale également que ’’la radio communautaire ne peut diffuser des informations, messages ou débats à caractère politique’’.
L’instance de régulation en appelle à ’’l’esprit de responsabilité de tous les acteurs pour le strict respect de ces dispositions’’.
PAPY DJILOBODJI SIGNE POUR «UNE OPERATION COMMANDO DE 6 MOIS»
Sans club depuis la résiliation de son contrat avec le club anglais de Sunderland. Papy Djilobodji a officiellement signé son retour en France. Et ce sera pour une « opération commando» avec l’équipe de Guingamp où il s’est engagé pour six mois.
Le défenseur sénégalais passé par Chelsea et formé à Nantes, sera la quatrième recrue pour le club en lutte contre la relégation en Ligue1 française.
Annoncé il y a quelques jours, l’ancien nantais Papy Djilobodji, s’est engagé ce lundi 31 décembre en faveur de l’En Avant Guingamp pour une durée de six mois. Goal.com informe qu’il a déjà été présenté sous ses nouvelles couleurs et portera le maillot floqué du numéro 3. La même source précise que le défenseur international sénégalais, débarque gratuitement à Guingamp, puisqu’il était libre de tout contrat après la résiliation de son contrat avec les Black Cats, englués en troisième division anglaise
C’est chez le club voisin du FC Nantes que Djilobodji s’était fait connaitre. Après une belle ascension avec les Canaris, il avait pris la direction de Chelsea.
Passé par Chelsea où il n’a malheureusement que très peu joué, il a été cédé rapidement aux Allemands de Werder Brême. L’international sénégalais avait été prêté l’an dernier à Dijon (30 matchs, tous comme titulaire). Le défenseur sénégalais de 30 ans, aurait, selon le site mercato, préféré la Bretagne à une offre venue de Turquie. Il faut rappeler qu’après une longue absence, le défenseur sénégalais avait été rappelé dans la sélection du Sénégal par Aliou Cissé. Il a fait son retour en vue des matchs amicaux face à l’Ouzbékistan le 23 mars dernier et contre la Bosnie le 27 mars et préparatoire de la Coupe du monde de 2018 en Russie.
Sans toutefois réussir à assurer sa place sur la liste des 23 joueurs. Papy Djilobodji est la quatrième recrue du mercato hivernal de l’En Avant de Guingamp. Un quatrième renfort pour mener l’opération maintien pour une 7e saison au sein de l’élite. Il devrait, indique le site sportif, apporter son expérience (89 matches de Ligue 1 et 112 de Ligue 2) à la formation de Jocelyn Gourvennec. Son apport ne devrait pas être de trop pour une équipe engagée dans une difficile lutte pour le maintien (20e au classement).« Avec Papy, on cherchait un défenseur central supplémentaire et c’est bien qu’on ait pu finaliser “, se réjouissait Jocelyn Gourvennec dans l’attente de la présentation officielle du joueur
PERSONNALITÉS SPORTIVES DE L’ANNÉE 2018
Le choix de ces différentes personnalités a été fait par un jury composé de journalistes, dirigeants, techniciens et observateurs du monde sportif.
Le site sportif sport221.com a publié la liste des sportifs et personnalités sportives qui ont marqué l’année 2018, annonce un communiqué transmis à l’APS.
Le choix de ces différentes personnalités a été fait par un jury composé de journalistes, dirigeants, techniciens et observateurs du monde sportif.
Ces nominés vont recevoir des trophées lors d’une cérémonie dont la date sera communiquée ultérieurement, ajoute le site dirigé par le journaliste Amédine Sy.
-Personnalités sportives de l’année : Matar Bâ (ministre des Sports) et Mamadou Diagna Ndiaye (président du Comité national olympique sportif sénégalais, CNOSS).
-Meilleurs dirigeants sportifs : Maître Augustin Senghor (président de la Fédération sénégalaise) et Seydou Diouf (président de la Fédération sénégalaise de handball)
-Technicien de l’année : Fréderic Bougeant ( entraîneur des Lionnes de handball) et Omar Ngalla Sylla (entraîneur des Lions de beach soccer)
-Coupe sportive de l’année : Equipe nationale de beach soccer (championne d’Afrique 2018) et Equipe nationale féminine de handball ( finaliste Coupe d’Afrique)
-Managers sportifs : Ibrahima Ndiaye "Chita’’ (manager équipe nationale beach soccer) et Amadou Gallo Fall (vice-président NBA)
-Sportif de cœur : Sadio Mané (Liverpool)
CAF AWARDS : SADIO MANÉ, SALAH ET AUBAMEYANG FINALISTES
Le ’’Ballon africain 2018’’ sera dévoilé lors du gala des CAF Awards, le 8 janvier 2019, au Centre international de conférence Abdou Diouf de Diamniadio, à Dakar.
L’attaquant sénégalais de Liverpool, Sadio Mané, son coéquipier, l’Egyptien Mohamed Salah et le Gabonais Pierre-Emerick Aubameyang, sont les trois finalistes du ‘’Ballon d’or africain 2018’’, a annoncé la Confédération africaine de football (CAF) sur son site.
Tous les trois joueurs étaient finalistes l’année dernière et l’Egyptien avait remporté le titre.
Le ’’Ballon africain 2018’’ sera dévoilé lors du gala des CAF Awards, le 8 janvier 2019, au Centre international de conférence Abdou Diouf de Diamniadio, à Dakar.
L’entraîneur des Lions, Aliou Cissé, est en course pour le titre d’entraîneur de l’année en compagnie du technicien français Hervé Renard (sélectionneur du Maroc) et de l’entraîneur de l’Espérance de Tunis, Moine Chaabani, rapporte le site officiel de l’instance dirigeante du football africain.
La capitale sénégalaise va abriter, le 8 janvier, la cérémonie des "CAF Awards 2018", au cours de laquelle sera décerné le "Ballon d’or africain" de l’année.
Les "CAF Awards", une manifestation qui remonte à 1992 avec l’instauration du trophée destiné au "footballeur africain de l’année", a été depuis étendue à d’autres catégories avec notamment l’introduction du prix récompensant la meilleure joueuse.
Le Sénégalais El Hadji Diouf (2001, 2002), l’Ivoirien Yaya Touré (2011, 2012) et le Camerounais, Samuel Eto’o (2003, 2004) sont les seuls à avoir remporté le prix deux fois fois d’affilée.
Dakar, 1er jan (APS) – Macky Sall assure qu’il ne va pas briguer un troisième mandat en cas de réélection en février, estimant qu’il ‘’faudra partir’’ conformément à la Constitution qui limite le nombre de mandats à deux.
’’C’est moi qui ai écrit la Constitution. Quand on a ramené le mandat de 7 à 5 ans, j’ai dit que le mandat est renouvelable une fois. J’y ai rajouté une clause qui stipule que nul ne peut faire plus de mandats consécutifs’’, a dit le chef de l’Etat qui était interrogé par la presse sénégalaise, lundi soir, après son message à la Nation à l’occasion du nouvel an.
Le président sortant, candidat à sa propre succession, lors du scrutin présidentiel du 24 février, répondait à cette question, en wolof : ’’(…) En cas de réélection en février, ce sera votre deuxième mandat. Pouvez-vous dire aux Sénégalais que vous ferez deux mandats ?’’.
Pour le chef de l’Etat, la clause selon laquelle nul ne peut faire plus de deux mandats consécutifs a ‘’pour but de clore le débat sur la limitation du nombre de mandats’’.
’’Si réélu, je fais un deuxième mandat de 5 ans. Cela fera 7 plus 5 (….). Il faudra partir (…). C’est ça l’option fondamentale (…)’’, a déclaré Macky Sall qui affirme ne pas ne pas comprendre ce ‘’débat’’ sur le nombre de mandats ‘’malgré toutes ces clauses’’.
Selon l’article 27 de la Constitution du Sénégal, ’’la durée du mandat du président de la République est de 5 ans. Nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs’’.
"KABILA COUPE INTERNET POUR UNE PÉRIODE INDÉTERMINÉE"
République démocratique du Congo - Dysfonctionnement du processus électoral
La suspension d’internet est devenue une mode en période électorale en Afrique et la RDC ne fait pas exception à la règle. Les populations ont été privées d’internet au lendemain des élections générales.
Pendant l’attente des premiers résultats de l’élection présidentielle de dimanche qui doit désigner le successeur du président Joseph Kabila, contraint par la Constitution de ne pas se représenter après près de 18 ans au pouvoir, le pouvoir kinois a fait couper le réseau Internet pour éviter une propagation trop soutenue des résultats des bureaux de vote.
Vodacom a été le dernier opérateur à couper son réseau, sur le coup de 11h04, ce lundi 31 décembre.
Le grand public est donc privé d’internet mais les partis politiques comme la plupart des mouvements citoyens avaient prévu une parade et passent désormais par d’autres moyens de communication.
L’objectif pour le pouvoir congolais est d’empêcher la propagation de la remontée des chiffres venus des urnes.
Pour Barnabé Kikaya bin Karubi, l’un des conseillers du président sortant Joseph Kabila, l’accès a internet a été coupé afin de préserver l’ordre public alors que des « résultats fictifs » ont selon lui commencé à circuler sur les réseaux sociaux. « Cela pourrait nous conduire directement au chaos », a déclaré Barnabé Kikaya bin Karubi à Reuters.
« Nous demandons au gouvernement de ne pas bloquer les moyens de communication et notamment l’accès à internet ainsi que les médias », ont écrit les représentants de l’Union européenne et des Etats-Unis à Kinshasa dans un communiqué conjoint signé par d’autres pays.
Le nouvel ambassadeur des Etats-Unis, Mike Hammer s’est fendu d’un tweet en français:
La fréquence de Radio France Internationale (RFI), l’une des sources d’information les plus prisées en RDC, a elle aussi été suspendue dans la capitale et son principal correspondant dans le pays a été privé de son accréditation après la diffusion de résultats officieux sur l’antenne de la radio francophone.
Tensions dans toute la RDC
L’opposition a dénoncé de nombreuses fraudes et elle accuse le pouvoir sortant de conspirer pour garantir la victoire de son candidat, l’ancien ministre de l’Intérieur Emmanuel Ramazani Shadary. Le gouvernement réfute ces accusations et assure que le scrutin s’est déroulé de manière équitable.
Des barrages tenus par la Garde républicaine arrêtent les véhicules depuis plusieurs nuits dans la commune résidentielle de la Gombe, siège de la présidence et de l' »hôtel du gouvernement » qui abrite plusieurs ministères. Mais la nuit du Nouvel An a été calme à Kinshasa où les restaurants, bars, boîtes de nuit ont ouvert normalement, nous a rapporté Lecho.
SAMANTHA MARKLE FICHÉE PAR SCOTLAND YARD
La demi-sœur de Meghan Markle placée sur la liste des « menaces fixes » de la police britannique
Benin web tv |
Vincent DEGUENON |
Publication 02/01/2019
Après ses nombreuses critiques acerbes contre sa demi-sœur Meghan dans les médias, Samantha Markle est fichée par Scotland Yard, la police britannique, comme « un risque » pour la famille royale
Le «Sunday Times» a rapporté que les membres de l’équipe de protection de Meghan Markle se sont entretenus avec le Fixated Threat Assessment Center (FTAC) à propos de Samantha Markle, la demi-sœur de la duchesse de Sussex. Après plusieurs discussions, cette dernière a été placée sur la liste des «menaces fixes», ce qui veut dire que la police et la sécurité royale garderont un œil sur elle si elle décide d’aller au Palais de Kensington.
Une unité spécialisée en protection ainsi que la police royale ont déterminé que Samantha Markle pose un «risque de réputation». «Je voudrais seulement dire que c’est ridicule. Je ne suis pas un risque de réputation», a rétorqué la demi-sœur au journal britannique.
Samantha Markle a défrayé les manchettes en raison de ses nombreuses critiques envers la duchesse, son mari le prince Harry et la famille royale. L’équipe de sécurité de Meghan Markle a avisé les détectives de l’équipe de Fixated Threat Assessment Centre de Scotland Yard des problèmes que Samantha Markle pourrait causer.
Le FTAC s’occupe des risques que les personnes obsessives peuvent poser pour les politiciens et les membres de la famille royale. «Tu ne peux pas protéger quelqu’un comme la duchesse de Sussex sans connaître son historique familial. Mais quelqu’un comme Samantha présente un risque plus qu’une menace», a affirmé une source chez Scotland Yard.
JAIR BOLSONARO OFFICIELLEMENT INVESTI PRÉSIDENT DU BRÉSIL
Les cérémonies d’investiture du président Jair Bolsonaro ont débuté mardi après-midi à Brasilia, capitale d’un Brésil qui voit s’ouvrir une ère de rupture chargée de lourdes incertitudes.
Jair Bolsonaro, dont la carrière politique se limite à 27 ans de députation sans autre relief que ses outrances verbales, n’a pas fait mystère de sa volonté de renverser la table pour sortir le Brésil de ses crises multiples. Lundi, il a déclaré à la chaîne Record TV qu’il allait « mettre en place une politique totalement différente de ce qui a amené le Brésil à la corruption et à l’inefficacité ». « Nous avons l’intention de changer le destin de notre Brésil », a-t-il tweeté juste avant la cérémonie mardi, demandant au peuple « son soutien indispensable ».
Le capitaine de réserve devrait lancer au pas de course une série de réformes pour inaugurer son mandat de quatre ans à la tête de la première puissance d’Amérique latine, en remplacement du conservateur Michel Temer. Premier chef d’Etat d’extrême droite jamais arrivé au pouvoir au Brésil par les urnes, Jair Bolsonaro a suscité énormément d’attentes avec ses promesses de redresser une économie atone et de mater la corruption et la violence qui désespèrent les 208 millions de Brésiliens.
Mais son arrivée à la tête du pays suscite de nombreuses inquiétudes, notamment en matière de respect des valeurs démocratiques, des minorités, des alliances avec les partenaires traditionnels du Brésil et de protection de l’environnement. Ses dérapages racistes, machistes ou homophobes comme ses éloges de la période noire de la dictature militaire (1964-1985) lui ont aliéné des millions de compatriotes.
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Ancien parachutiste, Jair Bolsonaro, 63 ans, s’est fait élire avec 55% des suffrages le 28 octobre, mettant fin à une série de quatre victoires électorales du Parti des Travailleurs (PT, gauche) de Luiz Inacio Lula da Silva, aujourd’hui en prison pour corruption.