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25 mai 2025
LE PRESIDENT FAYE INAUGURE UN MUSEE DEDIE A MOHAMED ET A LA CIVILISATION ISLAMIQUE
“Première du genre en Afrique de l’Ouest, cet ouvrage nous offre une vision complète de la vie du prophète Mohamed (PSL), réalisée avec des moyens d’exposition modernes et des technologies avancées”, a déclaré le chef de l’État,
Le président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a inauguré, jeudi, le musée international du prophète Muhammad (PSL) et de la civilisation islamique, a constaté l’APS. “Première du genre en Afrique de l’Ouest, cet ouvrage nous offre une vision complète de la vie du prophète Mohamed (PSL), réalisée avec des moyens d’exposition modernes et des technologies avancées”, a déclaré le chef de l’État, à l’occasion de la cérémonie d’inauguration au Musée des civilisations noires de Dakar (MCN).
Selon le président Faye, “l’inauguration de ce musée consacré à la biographie du prophète Mohamed (PSL) est la réaffirmation de l’ancrage de notre pays dans les valeurs prônées par l’islam”. Au fil des générations, a-t-il rappelé, “des érudits et des savants, venus de chez nous, ont produit et inscrit dans la postérité des ouvrages sur la vie et l’œuvre du prophète (PSL), qui font autorité dans la communauté islamique mondiale”. Il a souligné, à ce propos, qu’il est “remarquable que des compatriotes sénégalais aient pu, à leur époque, accéder à des sources parfois rares pour approfondir leurs recherches et offrir à la postérité des éclairages précieux sur les enseignements de notre prophète”. Il note que grâce à “ce riche héritage, les séquences de la vie du prophète (PSL) sont connues des Sénégalais abreuvés aux sources de nos anciens”.
Le chef de l’État a rappelé que le Sénégal, “terre de croyance, de tolérance religieuse, a toujours été, depuis des siècles, un niveau de stabilité où l’amour porté au prophète, se transmet de génération en génération et forge une part fondamentale de notre identité”. “Cet héritage, nous avons le devoir de l’entretenir, de le sauvegarder, de le partager avec toute l’humanité islamique et même au-delà”, a-t-il dit.
Bassirou Diomaye Faye a toutefois relevé que “nous sommes à une époque où les centres d’enseignement islamique, les daaras, ne sont pas accessibles à tous pour y étudier la vie du prophète (PSL) et l’histoire de l’implantation de l’islam et de sa dissémination à travers le monde”. C’est tout le sens, dit-il, de l’inauguration de ce musée consacré au prophète Mouhammad, à sa famille, à son séjour sur notre terre, “un moment solennel et historique dont la finalité est de contribuer à la vulgarisation chez le grand public de l’histoire de cet élu de Dieu comme le modèle accompli”. Construite sur l’esplanade du musée des civilisations noires de Dakar, cette œuvre culturelle et civilisationnelle fondée sur le Saint-Coran et la Sunna, a été réalisé grâce à l’appui du royaume d’Arabie Saoudite.
Les installations à l’intérieur rendent compte des événements historiques de l’islam et offrent aux visiteurs, l’occasion de faire un voyage dans le temps, de se transporter 14 siècles en arrière. Elles permettent ainsi de se mouvoir virtuellement à travers les rues de La Mecque et de Médine, reconstituées en trois dimensions et animées par les outils technologiques les plus modernes. Construit avec un système numérique et des outils technologiques avancés, on y retrouve des séquences qui unissent la relation du prophète Mouhammad aux enfants, aux êtres vivants, aux autres espèces et à l’environnement, ainsi qu’une description détaillée de ses appartements et de ses lieux de vie. Le musée, riche de plus de 330 ouvrages et encyclopédies basés exclusivement sur le Coran et les Hadiths, a été conçu par des personnalités scientifiques musulmanes réputées.
Le projet a été validé par plus d’un millier de savants à travers le monde, notamment des élus du Royaume d’Arabie Saoudite, de l’Université Al-Azhar Al-Sharif, ainsi que d’éminents savants du Sénégal et de la Mauritanie, des Oulémas du Maroc et de plusieurs autres savants du continent africain. Les matériaux ont été traduits et approuvés par l’Université Al-Azhar d’Égypte et les documents ont également été traduits en wolof.
LE GEEP ET L'AMBASSADE DES PAYS-BAS SIGNENT UN PARTENARIAT
Le ministère de l'Éducation nationale, en partenariat avec l'Ambassade des Pays-Bas et le Groupe d'Études et d’Enseignements pour la Population (GEEP) s'attèlent à lutter efficacement contre les mariages et les grossesses précoces des filles à l'école
Le ministère de l'Éducation nationale, en partenariat avec l'Ambassade des Pays-Bas et le Groupe d'Études et d’Enseignements pour la Population (GEEP) s'attèlent à lutter efficacement contre les mariages et les grossesses précoces des filles dans le milieu scolaires. Le projet a été lancé hier, jeudi 27 février 2025, au lycée de Ngane Saer, en présence des autorités administratives, académiques, des enseignants, élèves et une forte mobilisation des associations de parents d'élèves. Financé à hauteur de 12 millions de FCFA pour une phase pilote, ce projet a pour objectif d'accompagner les jeunes adolescents et adolescentes sur la santé à la reproduction.
Tout est parti d'un constat selon lequel il existe une forte croissance de la sexualité dans les écoles, mais aussi des mariages et beaucoup de grossesse précoces. Ce qui, du coup, constituent des obstacles majeurs au développement et à la scolarisation des filles. Déjà en 2024, au moins 1264 cas de grossesses ont été enregistrés dans les établissements scolaires du pays. Et, selon les statistiques, Kaolack, Ziguinchor et Fatick enregistrent les plus forts taux.
D'ailleurs, c'est pour cette raison que le partenariat entre le GEEP et les Pays-Bas a préféré mettre plus l'accent dans ces régions dont Kaolack qui vient d'abriter le lancement du projet. Ainsi, dans cette trajectoire, le projet sera exécuté dans deux (2) départements de chacune de ces régions. Du côté du GEEP et son partenaire, l'espoir est permis, car lors de la cérémonie de lancement, ce sont les élèves eux-mêmes qui ont confectionné leurs propres poèmes, sketchs et «slams», pour sensibiliser leurs camarades et leurs propres parents sur les mariages et grossesses précoces qui constituent une entrave à leurs carrières scolaires et le développement du potentiel pour les filles.
En plus des apprenants et les personnels d'encadrement, la sensibilisation contre ces mariages et grossesses précoces sera portée par les équipes de santé, les structures des organisations non gouvernementales (ONG) et partenaires telles que la Coopération Belge avec ENABEL, Plan International, l'Association pour la promotion de la femme sénégalaise (APROFES) et autres acteurs qui vont accompagner les enseignants pour leurs formations et celles de leurs protégés. Mais également dans les mobilisations communautaires afin d’amener les communautés à prendre conscience des risques que constituent ces maux de l'école.
LE P2R, UN PROGRAMME AUX RESULTATS TANGIBLES
Lancé en avril 2021 et prévu jusqu’en mars 2025, le Programme de Résilience et de Relance des Micro-entreprises et des Petites et Moyennes Entreprises (P2R) a surpassé ses objectifs initiaux en accompagnant 274 entreprises, contre les 250 prévues
Lancé en avril 2021 et prévu jusqu’en mars 2025, le Programme de Résilience et de Relance des Micro-entreprises et des Petites et Moyennes Entreprises (P2R) a surpassé ses objectifs initiaux en accompagnant 274 entreprises, contre les 250 prévues, avec une forte inclusion des femmes (48,9 % contre 30 % ciblés) et des jeunes (35 % contre 20 % visés).
Le programme dont la cérémonie de clôture s’est déroulée hier, jeudi 27 février 2025, à Dakar, a permis de renforcer les capacités des entreprises à travers des formations en hygiène, marketing digital, transformation artisanale du cuir et des aliments, et a accompagné plusieurs laboratoires vers leur accréditation. Par ailleurs, il a promu des innovations ayant bénéficié à des centaines d’acteurs économiques répartis dans les 14 régions du pays.
En matière de financement, plus d’une trentaine d’entreprises ont été soutenues dans l’élaboration de leurs plans d’affaires, parmi lesquelles huit ont obtenu des accords de financement s’élevant entre 5 et 200 millions de FCFA. Parallèlement, plus de 200 entreprises ont reçu des appuis sous forme d’équipements spécifiques adaptés à leurs besoins dans des secteurs clés comme l’agroalimentaire, la santé, la logistique et l’artisanat.
DES PROJETS STRUCTURANTS ET INNOVANTS
Parmi les réalisations majeures du P2R, l’installation d’une souffleuse de bouteilles en plastique PET à Kolda constitue une avancée significative. Cette infrastructure, capable de produire jusqu’à 1 000 unités par heure, permet aux entreprises locales de conditionner jus, huiles, produits laitiers et cosmétiques, tout en facilitant l’approvisionnement en emballages des MPME de cinq régions du Sénégal, ainsi que de la Gambie et de la Guinée-Bissau.
Le programme a également contribué à la mise à niveau de six laboratoires d’analyses médicales et physico-chimiques en vue de leur conformité aux normes ISO 17025 et ISO 15189, dépassant ainsi l’objectif initial de cinq laboratoires. Cet accompagnement s’est traduit par la mise en œuvre de plans d’action sur mesure, l’acquisition d’équipements modernes et la formation des techniciens spécialisés.
L’innovation technologique a également été au cœur du P2R, avec l’identification et l’accompagnement de cinq projets novateurs dans des secteurs variés tels que l’agroalimentaire, la cosmétique et la production industrielle. Au nombre de ces initiatives figurent en bonne place la mise au point de ferments lactiques pour améliorer la conservation du poisson et du lait ; le développement de farines enrichies à base de céréales locales ; et l’industrialisation de la transformation des fraises au Sénégal.
UN IMPACT DURABLE SUR L’ÉCOSYSTÈME ENTREPRENEURIAL
Procédant hier, jeudi 27 février 2025, à Dakar, à la cérémonie de clôture du P2R, le secrétaire général du ministère de l’Industrie et du Commerce, Seydina Aboubacar Ndiaye, a tenu à rappeler les défis rencontrés par les entrepreneurs face à un choc économique sans précédent, soulignant que l’engagement de l’Union européenne a été décisif pour permettre aux entreprises de surmonter cette crise. A ce propos, dira-t-il : « Les entreprises ont traversé une période extrêmement difficile. Grâce au soutien de l’Union européenne et à la mise en œuvre rigoureuse du P2R par l’ONUDI, nous avons pu apporter des solutions concrètes et durables. Nous avons assisté à une montée en puissance de l’entrepreneuriat local, favorisée par des formations, des financements et des innovations structurantes. »
Le représentant de l’ambassadeur de l’Union européenne au Sénégal a salué l’impact significatif du Programme de Résilience et de Relance (P2R) sur le tissu entrepreneurial sénégalais. Il a rappelé l’engagement de l’Union européenne en faveur d’un développement économique inclusif et durable, soulignant les résultats remarquables du programme, notamment le dépassement des objectifs initiaux, l’inclusion renforcée des femmes et des jeunes, ainsi que le soutien concret aux MPME à travers des financements et des innovations.
UNE STRATEGIE NATIONALE POUR UNE CROISSANCE DURABLE EN ELABORATION
La Stratégie Nationale de Promotion et de Développement des PME/PMI se veut un cadre structurant qui prend en compte les grandes orientations des politiques publiques en matière de développement économique.
Dans le cadre du renforcement du tissu économique et du soutien aux Petites et moyennes entreprises (PME) ainsi qu’aux Petites et moyennes industries (PMI), le Sénégal a officiellement lancé hier, jeudi 27 février 2025, sa Stratégie Nationale de Promotion et de Développement des PME/PMI.
Une initiative qui s’inscrit dans la dynamique du nouveau référentiel des quotas publics, tout en suivant les orientations définies par le Premier ministre. L’objectif principal de cette stratégie est d’améliorer l’écosystème d’accompagnement et de favoriser l’émergence d’un cadre propice à la croissance et à la compétitivité des entreprises.
La Stratégie Nationale de Promotion et de Développement des PME/PMI se veut un cadre structurant qui prend en compte les grandes orientations des politiques publiques en matière de développement économique. Son ambition est double : mettre en place un dispositif efficace d’accompagnement des PME et PMI, aussi bien sur le plan du financement que sur celui du soutien non financier ; mais également proposer des réformes législatives et réglementaires visant à harmoniser et structurer l’environnement des PME/PMI. Cette démarche s’accompagne d’un plan d’action opérationnel, destiné à encadrer ces entreprises et à leur offrir un accès plus efficace aux ressources nécessaires à leur expansion.
DÉFIS STRUCTURELS À SURMONTER
Les PME et PMI au Sénégal sont confrontées à plusieurs problématiques majeures qui entravent leur développement. Parmi ces défis, on peut citer l’accès limité au financement, en raison de conditions bancaires contraignantes et d’un manque de garanties solides ; l’absence d’un encadrement adapté, qui freine l’innovation et la structuration des entreprises et la faible protection juridique des entreprises, notamment en ce qui concerne la sécurisation des transactions et des investissements.
Face à ces enjeux, la stratégie ambitionne de rationaliser l’intervention des structures d’appui et d’encadrement, en établissant une interconnexion efficace entre elles. L’objectif est de garantir un accompagnement mieux structuré et plus pertinent, tout en assurant une répartition équilibrée des ressources sur l’ensemble du territoire national.
DES SOLUTIONS ADAPTÉES POUR UN DÉVELOPPEMENT INCLUSIF
Pour relever ces défis, le gouvernement mise sur plusieurs leviers stratégiques au nombre desquels l’adoption d’une loi d’orientation des PME, assortie d’un décret d’application, afin d’offrir un cadre réglementaire stable et prévisible ; la mise en œuvre d’une stratégie de l’entrepreneuriat, visant à encourager la création d’entreprises et à renforcer l’esprit entrepreneurial chez les jeunes et les femmes, l’amélioration de l’accès au financement, notamment à travers la mobilisation de ressources conséquentes, avec un objectif d’investissement de 3 000 milliards de francs CFA à l’horizon 2029. Ces initiatives s’inscrivent dans une approche territorialisée, avec une concentration des efforts sur huit pôles économiques stratégiques, en vue d’une meilleure répartition des opportunités de croissance.
UNE CARTOGRAPHIE ÉCONOMIQUE RÉVÉLATRICE
Les dernières études de recensement des PME au Sénégal remontant à 2016 ont révélé que le pays compte 408 000 PME, représentant 99,8 % du tissu économique national. Toutefois, parmi elles, seules 3 000 entreprises disposent d’une structure formelle avec des états financiers certifiés. Cela signifie que près de 407 000 PME évoluent encore entre les secteurs formel et informel.
Cette situation contraste avec d’autres pays comme le Maroc, où l’on dénombre 509 PME pour 10 000 habitants, contre seulement 9 PME pour 10 000 habitants au Sénégal. Cet écart souligne l’urgence d’une politique volontariste visant à encourager la création et la structuration des PME, afin de renforcer leur contribution au développement économique du pays
UN ENGAGEMENT FORT POUR L’AVENIR
Rappelons que le Recensement Général des Entreprises de 2016 a mis en évidence une forte concentration des PME dans la région de Dakar (39,5 % des unités recensées). D’autres pôles, tels que Thiès, Diourbel, Kaolack, Kolda et Saint-Louis, concentrent également une part significative des entreprises. Toutefois, certaines régions restent en retrait, nécessitant une action ciblée pour équilibrer le développement territorial.
Conscient du rôle déterminant des PME/PMI dans la croissance économique, l’État a multiplié les initiatives en leur faveur, à travers la loi d’orientation des PME (2020-02 du 07 janvier 2020), qui encadre juridiquement leur développement ; la Politique du Contenu Local, qui favorise l’intégration des entreprises locales dans les grands projets ; la Stratégie Nationale de Développement du Secteur Privé (SNDS), qui vise à dynamiser l’investissement privé et la création d’agences d’accompagnement, telles que l’ADEPME, la DER/FJ et le Bureau de Mise à Niveau.
VERS UNE TRANSFORMATION STRUCTURELLE DES PME/PMI
Malgré ces efforts, des défis subsistent : 60 % des PME ne dépassent pas cinq ans d’existence, illustrant leur vulnérabilité face aux aléas du marché. Leur faible compétitivité, leur accès limité aux financements et leur manque de structuration restent des freins majeurs à leur essor
L’Agenda National de Transformation - Sénégal Vision 2050 place ainsi le développement des PME/PMI au cœur des priorités économiques du gouvernement. Cette orientation a été confirmée par le Premier ministre lors de sa Déclaration de Politique Générale du 27 décembre 2025.Dans ce cadre, le Secrétariat d’État au Développement des PMI a initié un processus d’élaboration d’une Stratégie Nationale de Promotion et de Développement des PME/PMI, articulée autour des quatre moteurs de croissance à savoir les industries extractives ; les industries agroalimentaires ; les industries manufacturières ; les services à haute valeur ajoutée (numérique, tourisme, industries culturelles et créatives).
KEEMTAAN Gi – RAMDAM
Ce vendredi, si nos foyers confrériques s’accordent sur l’apparition de la lune, ce charmant pays débutera le jeûne. Mais puisqu’on ne fait jamais les choses comme les autres, il faudra s’attendre à ce qu’ils y aillent en rang dispersé. Un mois qui débute alors qu’une étude nous apprend que le Sénégal est dans le trio de tête des pays où l’on prie le plus quotidiennement dansle continent. Mais un Islam pas comme les autres. Le Ramadan, ce sont aussi des changements d’attitudes, de comportements et surtout, surtout, une baisse terrible de rendement ou de productivité pour les travailleurs. Ça va moins travailler, plus paresser, plus dépenser, plus rouspéter. Les Kàccoor et Katiapan feront montre d’une belle religiosité, même s’ils ne maitrisent que deux ou trois sourates. Ils seront nombreux à squatter les mosquées et à arborer des djellabas en plus de tenir ostensiblement des chapelets. Pendant un mois, ils ne pourront plus se mettre au coin des rues ou s’asseoir dans des grand-places pour reluquer les déhanchements coquins et souvent torrides de ces belles dames voire des disquettes allumeuses. Ça, c’est une de nos particularités qui font le charme de ce pays où les rétines ne peuvent observer le jeûne. C’est carrément impossible. Ça va se déchainer également dans nos télévisions locales. Et malgré l’avertissement de l’organe que préside celui qui a été le « marabout » du vilain Kàccoor Bi, on sera saoulés des sketches peu inspirés de nos drôles de metteurs en scène pour qui tout est bouffonnerie. Le ramdam, pardon ramadan, c’est également les embouteillages. Ah, on allait oublier. En plus de nos deux ou trois lunes, il y a la dose de folklore. Ce «sukaru Koor » qui n’est pas du sucre pour ceux qui sont tenus de le donner. Car, en lieu et place du sucre traditionnel, ce sont désormais des liasses de billets de banque et autres cadeaux qui ruinent les hommes ou les malheureuses épouses, qu’il faut donner aux « goros ». Bon début de Ramadan à tous. Mais ce sera dans la morosité. Un pays aux finances charcutées par un mec qui nous tire la langue depuis son exil de Marrakech. « Mon bilan est là, visible, et je n’ai rien à cacher », a-t-il déclaré aux confrères de Jeune Afrique. Personne n’en doute ! KACCOOR BI - LE TEMOIN
PARTENARIAT COJOJ – SONATEL DIAGNA NDIAYE TOUJOURS LA MAIS JAMAIS LAS…
8 octobre 2018, de l’autre côté de l’Atlantique plus précisément à Buenos Aires, le sport sénégalais est à l’honneur. Le pays de la Teranga est désigné par le Comité international olympique (CIO) pour organiser les Jeux olympiques de la Jeunesse : Une première en Afrique. Pour y arriver, il a fallu l’intervention d’un dirigeant sportif émérite et de rang mondial pour donner à l’Afrique ces premiers jeux. Lui n’est autre que Mamadou Diagna Ndiaye, président du Comité national olympique et sportif sénégalais (CNOSS). De cette date à nos jours, il est au four et au moulin pour la réussite de cette manifestation au grand bonheur de l’Afrique d’où cette nouvelle devise de ces JOJ - « L’Afrique accueille, Dakar célèbre » - est l’incarnation de cette approche. Elle entend montrer que les jeunes Africains sont prêts à accueillir la jeunesse du monde entier afin de façonner ensemble leur avenir commun pendant les Jeux. Président du Comité d’Organisation de ces Jeux Olympiques de la Jeunesse, Mamadou Diagna Ndiaye multiplie les voyages, contacts afin de nouer des partenariats pour mener son projet à bon port mais surtout honorer le Sénégal et l’Afrique. Ce vendredi, sous sa direction, le CO - JOJ Dakar 2026 et la SONATEL vont signer un partenariat en vue de cette grande fête mondiale de la jeunesse. Pour rappel, ces Jeux, qui se dérouleront sur trois sites (Dakar, Diamniadio et Saly), ont l’ambition de servir de catalyseur à la transformation du Sénégal par le sport, tout en devenant un modèle pour les futurs hôtes des JOJ.
LE ROI DU MAROC APPELLE A NE PAS SACRIFIER LE MOUTON DE L’AÏD POUR CAUSE DE SECHERESSE
Le roi du Maroc Mohammed VI, qui a le statut de ‘’Commandeur des croyants’’ musulmans dans son pays, incite la population à ne pas s’adonner au sacrifice du mouton lors de la fête de l’Aïd prévue début juin. En cause, la diminution drastique du cheptel du fait de la sécheresse qui a frappé le pays et qui a fait grimper les prix des animaux. Le Roi toujours soucieux du bien-être de ses sujets, leur enlève un sujet de préoccupation majeure. Les prix du mouton en temps normal étaient élevés alors après la sécheresse, ces prix vont flamber à cause de la rareté des bêtes. Le Roi du Maroc, Commandeur des croyants, va sacrifier un mouton pour l’Aïd. Ce faisant, tous les croyants du royaume seront compris dans son geste qui a une importance économique de premier plan. Epargner des bêtes pour reconstituer le cheptel, c’est une excellente initiative. Sous nos cieux, cet appel du Roi n’aurait aucune chance d’être suivie parce qu’il y a plusieurs commandeurs …
RENCONTRE GOUVERNEMENT/SYNDICATS
Le ministre de la Fonction publique, Olivier Boucal, dans un entretien avec le quotidien national, a révélé les dépenses effectuées par l’Etat depuis 2022 pour travailleurs syndiqués de l’Administration. En trois ans 247, 6 Milliards ont concerné les secteurs suivants : Education : 157,8 Milliards, Santé : 18,2 Milliards, Administration générale : 26,5 Milliards, FDS : 20,3 Milliards. Il faut aussi compter la hausse des cotisations sociales : 13,8 Milliards, la défiscalisation de l’indemnité de logement des enseignants : 9, 6 Milliards et une nouvelle demande en cours d’évaluation : 16 Milliards pour indemnités de logement aux agents de l’Etat (7% des effectifs). Le ministre de la Fonction publique a aussi révélé le nombre d’agents de l’Etat qui de 183 693 avec une masse salariale de 1420,36 Milliards CFA. Notant que dans son rapport sur l’audit des Finances publiques, la Cour des comptes indiquait que la masse salariale de l’Etat est passée de 744,96 Milliards en 2019 à 1303 Milliards en 2023 soit une évolution de 74,97%.
CHARLES FAYE SUR LA TOUCHE
Gaston Madera alias Charles Faye responsable de Maderpost et MADER TV dont la devise est ‘’Vis ton rêve’’ a vu son groupe de presse écarté de la liste reconnue officiellement pour exercer le métier de journalisme. Son groupe avait un NINEA, inscrit au Registre de commerce, payait ses impôts et a même bénéficié de l’aide à la presse ces trois dernières années. Tout le personnel de ces deux media va rejoindre la masse des chômeurs de ce pays. Les dégâts collatéraux touchent le logeur, le restaurateur du personnel, les factures de la Sénélec et la Sonatel. Charles s’est insurgé contre le manque d’accompagnement de son entreprise qui avait des ambitions nobles et généreuses et qui a finalement récolté un oukase de fermeture. Le ‘’cauchemar est aussi un rêve’’ nous rappelle Charles qui a également remercié l’ensemble des lecteurs et followers.
BANQUE MONDIALE
Anna Bjerde, Directrice des Opérations de la BM, termine aujourd’hui une visite entamée depuis le 26 dans notre pays. Elle vient renforcer le dialogue avec l’Etat, les acteurs de la société civile et le secteur privé. Avec le portefeuille actuel de la Banque au Sénégal qui comprend 21 projets d’investissement nationaux pour un montant de 1800 milliard de francs CFA et 11 opérations régionales financées hauteur de 500 milliards de francs CFA par l’Association Internationale de Développement (IDA) ? Les sujets à aborder durant la visite ont été l’élaboration d’un nouveau cadre de partenariat entre le Sénégal et la Banque mondiale, le soutien aux efforts du gouvernement pour renforcer la transparence et la redevabilité dans la gestion des finances publiques et enfin la mise en œuvre du Pacte national pour l’énergie, un programme visant un accès universel à l’électricité d’ici 2O30.
AFFAIRE FARBA NGOM VERS UNE CONFISCATION DE TOUS SES BIENS
Convoqué et entendu hier par le collège des juges d’instruction du Pool Judiciaire Financier (PJF), le député Mouhamadou Ngom alias Farba n’a pas pu convaincre les enquêteurs relativement aux chefs d’inculpations qui pèsent sur lui. Bref, les charges aux allures de crimes économiques et financiers sont tellement lourdes et n’auguraient rien de bon pour l’honorable député qui a été déposé à l’hémicycle carcéral le temps que l’instruction soit bouclée. D’ailleurs, selon des sources dignes de foi, tous les immeubles et villas appartenant à Farba Ngom et ses « parents » d’écran seront saisis. Il s’agit de fortes mesures conservatoires visant à faciliter la saisie et la confiscation des biens et avoirs bancaires en cas de condamnation. Pour éviter ces mesures conservatoires, les avocats de Farba Ngom s’étaient empressés pour proposer en garantie des immeubles d’une valeur équivalente au montant incriminé. Mais le juge financier a rejeté l’offre pour mieux passer au peigne fin la vie financière du richissime Farba Ngom. A cet effet, l’affaire Farba Ngom fera l’objet d’une commission rogatoire avec un blanc-seing aux juges marocains, français, américains etc pour passer le patrimoine du mis en cause au peigne fin.
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3 ANS DE GUERRE RUSSIE-UKRAINE…ET L’AFRIQUE EN SIMPLE SPECTATRICE?
FOCUS INTERNATIONAL | 3 ans de guerre Russie-Ukraine…et l’Afrique en simple spectatrice?
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LES UNES DE LA PRESSE DE CE VENDREDI 28 FEVRIER 2025
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Puissant maire d'Agnam, député influent et bras droit de l'ancien président Macky Sall, Son parcours, jalonné d'extravagances et de défiance vis-à-vis des institutions, illustre les dérives d'un pouvoir qui semblait sans limite
Du village de Nguidjilone aux fastes du pouvoir, Farba Ngom a connu une ascension fulgurante, devenant un intime de Macky Sall et un acteur majeur de la scène politique sénégalaise. Mais son influence grandissante, ses extravagances et les accusations de corruption qui pèsent sur lui ont fini par le rattraper. Aujourd'hui, la levée de son immunité parlementaire et son implication dans une affaire de blanchiment de capitaux marquent un tournant décisif dans sa carrière.
Le jeudi 13 février 2025, l’Assemblée nationale du Sénégal a voté la levée de l’immunité parlementaire de Farba Ngom, maire d’Agnam et proche de l’ancien Président Macky Sall. Cette décision survient dans le cadre d’une enquête judiciaire menée par le Pool judiciaire financier pour un présumé blanchiment de capitaux portant sur 125 milliards de francs CFA. Entendu par les enquêteurs, Farba Ngom devra de nouveau comparaître devant le juge d’instruction, ce jour, jeudi 27 février.
Cette affaire, qui éclate en pleine reddition des comptes amorcée par le nouveau régime (Pastef), met en lumière le rôle de Farba Ngom, considéré comme l’un des piliers de l’ancien pouvoir. Alors que certains dénoncent une chasse aux sorcières, ses partisans restent mobilisés, affirmant qu’il paie aujourd’hui son engagement et son influence sur la scène politique sénégalaise.
Son pool d’avocats est constitué de quatre ténors du barreau : Maîtres Doudou Ndoye, Baboucar Cissé, Alassane Cissé et Pascal Gomis.
Une ascension fulgurante au sein de l’APR
Farba Ngom est issu d’une famille de griots de Nguidjilone, un village de la région de Matam. Il s’est imposé comme un acteur incontournable dans le Fouta, jouant un rôle stratégique dans la montée en puissance de Macky Sall, après son départ du Parti démocratique sénégalais (PDS) en 2008. Dans le Fouta, les griots de Nguidjilone, situé au bord du fleuve Sénégal, sont soumis à la caste guerrière Ceddo, une composante de la noblesse dont fait partie Amadou Abdoul Boubou Sall, le père de l’ex chef de l’État, originaire, lui, de Ndouloumadji Founébé, le village voisin. ‘’Je suis, par mon père, issu de la lignée des Sall, dont la généalogie est encore jalousement entretenue par la grande famille de griots, nos historiens’’, écrivait en 2018 Macky Sall dans son livre ‘’Le Sénégal au cœur’’, publié aux éditions du Cherche Midi.
Dès le début des années 2010, il devient un soutien indéfectible de Macky Sall, l’accompagnant dans son ascension politique. Il s’illustre particulièrement lors de la Présidentielle de 2012, où il joue un rôle clé dans la mobilisation des électeurs du nord du Sénégal en faveur de son mentor. Ce soutien inébranlable lui vaut une ascension politique rapide, devenant un acteur influent au sein de l’Alliance pour la République (APR).
De la communication à l’action politique
Avant son entrée en politique, Farba Ngom animait une émission en pulaar intitulée ‘’Alamari’’ sur la RTS. Son éviction brutale en raison de son soutien affiché à Macky Sall marque un tournant dans sa trajectoire. Il ne se limite plus à être un simple communicateur traditionnel, mais devient un véritable stratège politique, organisant des mobilisations de masse et implantant l’APR dans le Fouta avec l’appui de l’homme d’affaires Harouna Dia.
Dès son élection en 2012, Macky Sall récompense sa fidélité en lui offrant un poste de député et en le plaçant comme intermédiaire privilégié entre le Palais et certaines bases électorales du Nord. Farba Ngom devient alors trésorier officieux et homme de confiance du régime.
Sa proximité avec le pouvoir lui permet d’acquérir une influence considérable, mais attire aussi les critiques. Il est accusé d’être au cœur d’un système clientéliste, favorisant un réseau d’alliés dans la gestion des ressources publiques.
Aujourd’hui, avec la fin du règne de Macky Sall, Farba Ngom se retrouve fragilisé. L’affaire de blanchiment de capitaux dans laquelle il est impliqué marque un tournant décisif dans sa carrière politique. Son sort est désormais entre les mains de la justice, tandis que l’ancien régime peine à se repositionner après sa déroute électorale.
Le procès qui s’annonce sera scruté de près, tant par ses adversaires politiques que par ses partisans, convaincus qu’il demeure une pièce maîtresse du jeu politique sénégalais.
L’extravagance, l’arrogance et la défiance de l’État
Au-delà des soupçons de corruption, Farba Ngom est connu pour son arrogance et son mépris des institutions. Son nom revient régulièrement dans les controverses liées à son comportement. Il incarne une certaine extravagance, affichant des signes extérieurs de richesse qui interrogent sur l’origine de sa fortune.
En 2017, il a notamment refusé de céder la voie au cortège présidentiel et s’en est pris violemment au policier chargé de lui rappeler la réglementation. Ce genre d’incident s’est multiplié, renforçant son image de défiance vis-à-vis des forces de l’ordre et du protocole républicain.
Son arrogance s’illustre également par sa propension à narguer publiquement ses adversaires politiques. Lors de plusieurs campagnes électorales, il n’a pas hésité à menacer, ridiculiser et provoquer ses opposants, affichant une assurance démesurée.
Un rôle clé lors des dernières Législatives
Malgré ces controverses, il a continué à peser sur l’échiquier politique. Lors des Législatives du 17 novembre 2024, son fief de Matam, historiquement acquis à l’APR, a été l’un des rares bastions à basculer dans l’opposition. Toutefois, il a su sauver son siège à l’Assemblée nationale, grâce au scrutin proportionnel.
Son rôle au sein de la coalition Takku Wallu Sénégal, regroupant l’APR et le PDS, a été décisif. Il a mobilisé d’importants moyens financiers et logistiques pour tenter de conserver l’influence de l’ancienne majorité. Mais le vent du changement avait déjà soufflé et la sanction des urnes a confirmé la fragilisation de l’ex-régime.
Aujourd’hui, Farba Ngom se retrouve pris dans une tempête politique et judiciaire qui pourrait sceller son avenir. Entre ses démêlés judiciaires et la recomposition de la scène politique, son avenir demeure incertain. Ce qui est sûr, c’est que son nom restera gravé dans l’histoire politique récente du Sénégal, que ce soit en bien ou en mal.
Au moment où ses partisans dénoncent une chasse aux sorcières, ses détracteurs y voient une juste application de la loi. Seule la justice pourra déterminer si Farba Ngom est coupable ou non des faits qui lui sont reprochés.
Son lien avec la lutte sénégalaise
Bien qu’il soit connu pour son engagement politique, Farba Ngom a également joué un rôle important dans la lutte sénégalaise, un sport traditionnel profondément enraciné dans la culture du pays. Son implication dans ce domaine a été révélée par Eumeu Sène, l’un des champions les plus respectés de l’arène. Lors d’un meeting de mobilisation à Bosséa, Eumeu Sène a confié que Farba Ngom l’avait accompagné dès ses débuts, s’occupant du volet mystique de ses combats, alors qu’il n’avait que 14 ans. ‘’C’est lui qui m’appelait pour me conseiller sur ma manière de lutter et de gérer mes combats. C’est un véritable technicien et un passionné de la lutte’’, a-t-il déclaré dans une interview au journal ‘’La Tribune’’.
Cette facette moins connue du parcours de Farba Ngom illustre son ancrage profond dans la société sénégalaise, dépassant la seule sphère politique. Il a su, à travers son engagement dans la lutte, cultiver des relations étroites avec les acteurs de ce sport national, renforçant ainsi son influence sur certaines franges de la population.
Malgré son sort personnel, cette affaire met en évidence les enjeux de la transparence financière et de la lutte contre la corruption au Sénégal. Elle intervient dans un contexte de recomposition politique où l'ancien régime cherche à se repositionner après sa défaite électorale.
Farba Ngom, quant à lui, devra répondre devant la justice et l'histoire de son rôle dans la politique sénégalaise.
ALIOU CISSÉ PREND LES RÊNES DE LA SÉLECTION LIBYENNE
Le technicien aurait accepté un contrat de deux ans, assorti d'une prime substantielle en cas de qualification pour la CAN 2027. Ce défi s'accompagne d'une revalorisation financière significative
(SenePlus) - L'ancien sélectionneur du Sénégal s'apprête à relever un nouveau défi continental. Selon les informations exclusives de Sport News Africa, Aliou Cissé a trouvé un accord avec la Fédération libyenne de football pour diriger les Chevaliers de la Méditerranée.
Les négociations entre Cissé et les dirigeants libyens auraient abouti lors d'une visite du technicien sénégalais à Tripoli la semaine dernière. Le champion d'Afrique 2022 avec le Sénégal s'engagerait sur un contrat de deux ans, avec pour mission principale de qualifier la Libye pour la Coupe d'Afrique des Nations 2027. Sport News Africa indique également qu'"en cas de qualification, il bénéficiera d'une reconduction pour deux années supplémentaires".
Selon Sport News Africa, l'ancien capitaine de la sélection sénégalaise ne sera pas uniquement en charge de l'équipe A, mais devra également "chapeauter les sélections U23 et U20 afin de mettre en place un véritable programme autour des sélections libyennes, dans un rôle de quasi DTN".
Le média panafricain révèle que ce nouveau rôle devrait permettre à Cissé "de percevoir des émoluments bien supérieurs à ce qu'il touchait avec le Sénégal, pas loin du double".
D'après les informations recueillies par Sport News Africa, Aliou Cissé est "attendu en Libye le 5 mars afin de finaliser les derniers détails de son contrat et être officiellement présenté". Ce calendrier serré lui permettrait de prendre en main l'équipe dès les prochaines échéances internationales, notamment les 5ème et 6ème journées des éliminatoires pour la Coupe du monde 2026.
Le challenge s'annonce immédiatement relevé pour l'ancien sélectionneur des Lions de la Téranga. La Libye occupe actuellement la deuxième place du groupe D des qualifications mondialistes avec 7 points, "à égalité avec le Cap-Vert et 1 point derrière le Cameroun", précise Sport News Africa. Pour ses débuts à la tête des Chevaliers de la Méditerranée, Cissé devra d'abord "recevoir l'Angola, avant d'aller défier les Lions Indomptables" du Cameroun dans un match qui pourrait s'avérer décisif pour la qualification.
Cette nouvelle aventure marque le retour d'Aliou Cissé sur un banc de touche après son départ du Sénégal. Bien qu'"un temps approché par la Mauritanie" selon Sport News Africa, c'est finalement avec la Libye que le champion d'Afrique a choisi de poursuivre sa carrière d'entraîneur, avec l'ambition de qualifier cette nation pour une grande compétition internationale.