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9 juin 2025
LES ETUDIANTS EN SIT-IN SUR LA NATIONALE POUR EXPRIMER LEUR DESARROI ET LEUR RAS-LE-BOL
Ugb-manque criard d’eau et retard dans le paiement des bourses - Les étudiants de l'Université Gaston Berger ont observé dans la matinée d’hier, lundi 10 juillet, un sit-in sur la Route Nationale No.2 pour exprimer leur colère et leur ras-le-bol
Les étudiants de l'Université Gaston Berger ont observé dans la matinée d’hier, lundi 10 juillet, un sit-in sur la Route Nationale No.2 pour exprimer leur colère et leur ras-le-bol face au manque criard d'eau qui sévit dans leur campus. Ils ont dénoncé par la même occasion et avec la dernière énergie le retard noté dans le paiement de leurs allocations de bourses. Ces étudiants de Sanar interpellent directement les autorités étatiques sur ces questions qui risquent de paralyser cette université.
Munis de leurs bidons de 20 litres et d’autres récipients servant à puiser de l’eau, les étudiants de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis, sur invite des responsables de leur Coordination (CESL), ont pris d’assaut dans la matinée d’hier, la route nationale no.2 pour y observer un sit-in avant de s’adresser à la presse.
À l’origine de cette colère, le manque criard d’eau qui hante sans cesse leur sommeil au niveau de leur campus social. En effet, l’eau ne coule plus correctement des robinets. Ainsi, pour se procurer le liquide précieux, ces étudiants de Sanar sont obligés de se rabattre sur les camions-citerne de la SONES qui les ravitaillent. Une situation vivement décriée par la Coordination des étudiants de Saint-Louis (CESL) qui a initié des rencontres avec les autorités internes de cette Université pour résoudre ce désagrément que constitue le manque criard d’eau. Et comme si cela ne suffisait pas, le retard noté souvent dans le paiement des allocations de bourses vient allonger la liste de leurs maux au niveau de ce temple du savoir. Ils ont saisi l’occasion pour rappeler aux autorités étatiques que « c’est cette question du retard dans le paiement des bourses qui a été à l’origine de la mort par balle de l’étudiant Mouhamadou Fallou Sène tombé le 15 mai 2018 lors de rudes affrontements entre étudiants et forces de l’ordre. » Face à la presse, les responsables de la Coordination des étudiants de SaintLouis ont mis en garde ces dernières avant de menacer de passer à la vitesse supérieure si jamais rien n’est fait notamment pour le manque criard d’eau au niveau du campus et le retard dans le paiement des allocations de bourses.
DAKAR ETOUFFE SOUS L’EFFET DE LA CHALEUR
Pics de température en ce début d’été, Depuis presque un mois, Dakar suffoque à cause de la chaleur, mettant mal à l’aise nombre de personnes notamment pendant leurs activités quotidiennes.
Depuis presque un mois, Dakar suffoque à cause de la chaleur, mettant mal à l’aise nombre de personnes notamment pendant leurs activités quotidiennes. Alors que certains sont obligés de réaménager leurs emplois du temps afin de s'adapter, tout en restant opérationnels, d’autres développent des stratégies d’adaptation à la situation.
La saison estivale, entre juin et octobre, apporte chaleur et pluies... en cette période où plusieurs localités de l’intérieur du Sénégal notamment les régions Sud, Sud-Est et Centre sont déjà en plein hivernage, une vague de chaleur intense inquiète plus d’un partout dans le pays, y compris la capitale, Dakar. Le Sénégal suffoque.
La majorité des localités du pays suffoquent à cause de températures qui dépassant les 40°C. En ce début du mois de juillet, alors que l'hivernage pointe le bout du nez dans le reste des régions de l’Ouest et du Nord, une chaleur plus ou moins extrême gagne Dakar. La capitale Sénégalaise étouffe, faute d’espaces publics, d’aires de jeux, d’arbres, les maisons étant exiguës, les constructions en béton ayant eu raison de tout ce qui pouvait servir d’aménagement paysager.
En cette période, l’on constate que les gens se fâchent rapidement, les programmes s’annulent, les gens ne restent pas à la maison. Si certains fréquentent les plages, d’autres, dès le coucher du soleil occupent les devantures des maisons ou les terrasses pour se procurer de l’air. Le jeune Diop trouvé devant la porte de sa voisine, habillé en Lacoste avec une casquette sur la tête et un mouchoir, a déjà bu sa bouteille d’eau et demande encore une autre. «Il fait très chaud ; je dois aller au Parcelles, mais je n’ai pas envie d’y aller à cause de la chaleur. Et si je quitte là-bas, je ne vais pas continuer à travailler, j’irai à la plage pour bien respirer». Il ajoute : «Dakar n’a pas d’espace, les bâtiments sont serrés et très hauts, des R+7. Tu vois rarement d’arbres, c’est pourquoi l’air ne passe pas. Et cela peut entrainer des problèmes pour respirer» de l’air pur.
A CHACUN SA STRATEGIE D’ADAPTATION
Cette chaleur n’empêche pas les jeunes de faire leurs sports, mais les poussent à réaménager leurs emplois du temps et activités. Junior, un jeune sportif habillé en tenue de sport, dira : «je dois avouer que l'alternance des temps est importante pour le cycle de vie de tout homme. Mais, il joue sur notre quotidien quant aux activités que nous menons.
La chaleur, particulièrement, nous oblige non pas à revoir nos priorités mais nous pousse à réaménager notre emploi du temps, afin de nous adapter, tout en restant opérationnel. J'essaie ainsi de vivre tout en m'adaptant. Et le week-end, je m'organise pour aller à la plage prendre de la fraicheur. C’est une expérience assez compliquée, mais l'adaptation devrait permettre à tout un chacun de survivre, d'autant plus que c'est pour un temps seulement : l'été». Les entrepreneurs sont obligés de s’habituer à cette chaleur, en changeant leurs créations et autres. C’est le cas de Khadim Fall Bamba, élève-ingénieur en planification économique et gestion des organisations et fondateur de la marque BEA (Bamba élégance africaine). «En tant qu'entrepreneur, je crée des chemises et des costumes africains qui allient tradition et modernité. En cette période de chaleur, je m'efforce de m'adapter en proposant des tenues spécifiques qui conviennent aux conditions météorologiques chaudes. J'aborde cette adaptation de différentes manières, en commençant par le choix du tissu». Et il poursuit: «Pour les chemises et les costumes destinés à être portés pendant les périodes chaudes, je privilégie l'utilisation de tissus légers et respirant. Les tissus tels que le coton, le lin et les mélanges de fibres naturelles sont excellents pour aider à la circulation de l'air et à l'évacuation de la chaleur du corps. Ils permettent également à la peau de respirer, ce qui aide à rester frais et confortable»
L’ORDRE LEVE UN COIN DU VOILE
L’Ordre des médecins du Sénégal a tenu, à Dakar, sa journée ordinale sur le thème : « médecins : droits et obligations dans l’exercice de leur profession».
L ’Ordre des médecins du Sénégal a tenu, à Dakar, sa journée ordinale sur le thème : « médecins : droits et obligations dans l’exercice de leur profession». Une rencontre qui a permis de poser les bases juridiques de la profession tout en levant quelques coins du voile. Pour le professeur Mouhamed Soumah, les médecins ont peu de droits mais beaucoup de devoirs contrairement aux clients qui n’en ont que deux devoirs dont le respect de la prescription médicale et le paiement des honoraires.
Pour le professeur Soumah, titulaire de la chaire de médecine légale à l’université Cheikh Anta Diop de Dakar, le médecin a l’obligation de reconnaitre et de réparer les dommages causés à autrui et/ou de subir toutes les sanctions qui en découleront. Il a aussi l’obligation de donner des soins consentis, mais aussi une obligation de moyens et non de résultats, d’agir avec attention et d’être compétent dans son domaine. Pour Dr E H Omar Ndoye, maitre-assistant en médecine légale à l’Ucad, compte tenu des bases fondamentales de l’exercice médical, le médecin a une véritable obligation de discrétion et cela représente un droit fondamental du patient. « Nous avons l’obligation de faire tout ce que l’on a lu, vu ou compris durant l’exercice de notre fonction. Aujourd’hui il faut noter qu’il existe des dérogations légales et des situations où le médecin a la possibilité de communiquer certaines informations » a-t-il fait comprendre. Et de poursuivre : « les dérogations à ce secret médical sont celles qui sont prévus dans l’intérêt du patient, la protection des personnes vulnérables. Le signalement des personnes pour violences sexuelles doit se faire par exemple avec l’accord de la personne adulte. Il y a aussi les dérogations qui sont motivées par des questions de santé publique ».
Pour le Docteur Ndoye, le secret médical n’est pas opposable au malade parce qu’il faut lui donner des informations pour ne pas trop l’alarmer. « L’information doit être partagée aux proches dans certaines situations surtout quand le médecin doit délivrer un diagnostic grave toujours avec l’accord du patient. Il y a aussi la possibilité de partager l’information entre collègues toujours pour la continuité du traitement sauf opposition du malade », a-t-il fait comprendre. Et d’ajouter : « dans le cadre du travail, le médecin peut se prononcer sur l’aptitude ou l’inaptitude du travailleur et non sur son diagnostic. Il a l’obligation de respecter le secret médical qui est un devoir pour le médecin ». Du côté du ministère de la Santé et de l’action sociale, son secrétaire général Abibou Ndiaye a souligné : « l’ordre dans son rôle de veille et pour le respect des devoirs professionnels, des règles d’éthique et de déontologie, a toujours œuvré au côté du ministère de la Santé pour développer une politique nationale de santé dans le pays ».
Pour Docteur Boly Ba, président de l’Ordre des médecins du Sénégal, le secteur de la santé a été secoué par des évènements malheureux ou scandales ces derniers temps. « Il revêt du rôle de l’ordre de se lancer sur la problématique. Il s’agit de voir entre acteurs du système de la santé et ceux du système judiciaire comment se parler et se comprendre. La rencontre est une occasion aussi de rappeler aux médecins les principes élémentaires des droits et des obligations de la profession, les relations entre le médecin et son patient mais aussi de bien discuter avec le secteur de la justice ». Et de poursuivre : « le médecin qui exerce est sujet à certaines difficultés. Il faut qu’on accorde nos violons et qu’on puisse se comprendre. »
VIDEO
DOYEN MODY NIANG « MACKY DEAD MOKO GENEL SONKO NEK PRESIDENT 2024 »
SOULEYMANE JULE DIOP AMBASSADEUR DU SENEGAL AUPRES DE L'UNESCO DANS MATIN BONHEUR AVEC ASTOU DIONE
Par El Hadj Hamidou KASSE
MACKY SALL: UN CHAPITRE DANS LE GRAND ROMAN NATIONAL
Macky Sall entre, en chapitre d’exception, dans le grand livre de gloire de la Nation sénégalaise. L’acte qu’il pose clôt une séquence de notre histoire politique
Macky Sall entre, en chapitre d’exception, dans le grand livre de gloire de la Nation sénégalaise. L’acte qu’il pose clôt une séquence de notre histoire politique. En même temps qu’elle en ouvre une nouvelle. On a dit qu’il est désormais le premier Président de la République du Sénégal en exercice qui organise une élection à laquelle il ne participe pas. Les premières sont des marqueurs indélébiles, « événements cruciaux » qui impose des bornes au temps. Cela est vrai. On a dit qu’il a respecté sa parole. Cela est d’autant plus vrai qu’en d’autres circonstances et en d’autres lieux, des leaders ont fait le choix de l’inflexion dans le sens contraire de leur engagement.
L'éthique est le moment où, ayant pleinement conscience qu'il a la force ou le droit, ou tous les deux, l'homme obéit à un impératif et agit selon une détermination intérieure propre. Macky Sall entre dans la grande Histoire et son geste, en rupture avec des événements récents dans notre pays et dans la sous-région, a été unanimement salué par son peuple et par toute la communauté internationale.
Si la conquête du pouvoir est une œuvre collective, la décision d'en sortir, dans certaines conditions, relève d'une option personnelle qui plonge l'homme dans la solitude, dans le face à face avec lui-même et avec l’histoire.
Je salue, à travers ces lignes que je suis en train d'écrire, un grand dirigeant politique, un homme d'Etat accompli dont l'ambition obstinée de hisser son pays aux plus hautes altitudes est incontestable.
Je salue l'homme tout court, agité par ses forces et ses faiblesses d'être humain, vents contraires en chacun de nous, qui a puisé dans ses propres ressources morales et une longue tradition de pacte de la parole donnée, pour proposer au Sénégal un nouveau tournant.
L'honneur d'un homme est de surplomber les contingences, de signer un bail avec la transcendance, de risquer les hauteurs d'où il entend les clameurs du monde. Alors sa parole saisit d'émoi son peuple avant qu'il n'entende les échos admiratifs du chant de ses contemporains, de ses nawlés, à travers le monde.
Collaborateur du Président Macky Sall depuis 2012, après la confiance qu'il m'a témoignée en m'invitant à être du groupe des fondateurs de l'APR, je témoigne ici que son choix de la république est un engagement résolu pour la grandeur de la Nation sénégalaise et le bien-être des populations sénégalaises.
J'ai le privilège d'être aux côtés du Président Sall. Je l'ai vu travailler. Je l'ai vu recevoir des personnalités, beaucoup de personnalités. Je l'ai entendu prononcer des discours au Sénégal, dans de nombreuses rencontres internationales, à l'occasion de voyages officiels. Je l'ai écouté s’adressant spontanément à ses interlocuteurs chefs d'Etat et de gouvernement, investisseurs, intellectuels, hommes et femmes de culture, ministres et directeurs généraux, partenaires techniques et financiers, jeunes et femmes, guides religieux et leaders d'organisations socioprofessionnelles, syndicales et patronales, fonctionnaires, étudiants et enseignants.
Oui, j'ai vu l'homme en œuvre. Dans le public et en privé. Dans des instances très élargies et des réunions plus restreintes. J'ai eu le privilège de partager sa cabine privée lors de nos voyages, d'être à sa table. J'ai eu des moments de discussion avec lui, en tête à tête, tantôt sur des questions de nature officielle, tantôt de façon informelle.
Je suis loin de dire que je connais toutes les facettes de l'homme, du Chef d’État, du Président de la République, du leader politique. On ne se connait jamais assez soi-même.
Mais, j'ai identifié des récurrences dans ses actes et ses comportements, dans les discours et les décisions. Dans ce qui fait que l'on peut fonder une confiance en l'autre. Je connais sa vision, ses principales réalisations, son rapport avec la chose politique, sa passion de la république, son ambition pour son pays, pour les jeunes et les femmes du Sénégal.
Je connais sa démarche sur la scène internationale, sa conception des partenariats entre le Sénégal, l’Afrique et le reste du monde, sa manière de voir les grandes questions qui structurent la marche du monde, les principales thématiques qui nourrissent ses discours ; en somme son dessein et son ambition pour le Sénégal.
Je sais la passion du Président dans la lutte contre les inégalités et les injustices sociales. La République, dans sa vision, n'est pas seulement une logique institutionnelle avec ses instruments de gouvernance. La République est surtout une puissance de régulation sociale. Le Président aime rendre grâce à l'école publique qui a permis d'infléchir des destins. Et à l'action de l'Etat de sensibilité sociale qui, par une politique de transfert direct et de soutien par l'éducation, la formation, la santé et autres services sociaux de base, permet aux plus démunis de sortir du cercle vicieux de la dépendance.
Je sais la passion du Président pour la modernisation de son pays. L’impératif d’être démesurément ambitieux, y compris contre les bons conseillers, l'anime au quotidien. La ville révolutionnaire de Diamniadio et les infrastructures de dernière génération sont des repères tangibles de cette volonté d'arracher le Sénégal au minimalisme, pour ne pas dire au misérabilisme.
Je sais la passion du Président pour les grands combats de l’Afrique, son parti pris pour une panafricanité soustraite au slogan et portée par une démarche pragmatique de construction intérieure et d'ouverture autonome au monde. Ses batailles sont inscrites dans le marbre des engagements essentiels pour l'unité politique et l'intégration économique de l'Afrique, pour la souveraineté de l'Afrique dans les domaines de la santé et de la politique des ressources naturelles, pour la présence de l'Afrique dans les instances où se décide le sort du monde comme le Conseil de Sécurité des Nations Unies et le G20, pour l'image de l'Afrique injustement élevée à un niveau exagéré de risque. Je sais la passion du Président pour le Dialogue. Depuis 2016, le Dialogue national est quasi institutionnalisé. Lorsqu'il préparait la première édition, il nous expliquait que son initiative n'est pas la conséquence imposée d'une crise, comme il est de coutume. Il y voyait un moment de conversation entre toutes les forces vives de la Nation afin que la démocratie ne soit pas uniquement un espace de confrontation permanente. Le Dialogue national est une procédure de régulation démocratique et un mécanisme de gestion prévisionnelle des conflits et des crises. Le modèle sénégalais de Dialogue national est une invention politique significative dans un contexte mondial de crise de la démocratie libérale marquée l'essor des populismes, l'explosion des réseaux sociaux, la persistance des inégalités, entre autres.
Si le Président Abdou Diouf a été confronté à une « société civile » embryonnaire et l’émergence des médias privés, le Président Abdoulaye Wade verra l’explosion des quotidiens et des radios privés, mais également l’émergence de la presse en ligne et une amorce de la télévision privée. Le Président Macky Sall cumule toutes ces mutations dans les modalités de l’expression. Mais il gouvernera surtout avec de « nos nouveaux acteurs » aussi teigneux qu’étranges au sens de l’inédit : « lanceurs d’alerte », « activistes », « influenceurs » et maintenant « chroniqueurs » dans un contexte de réseaux sociaux qui montent en puissance en l’absence de nouveaux mécanismes de régulation pertinents. S’y ajoute que le citoyen-média est devenu une réalité massive : l’accès au smartphone fait de chacun de nous un potentiel « producteur et diffuseur d’information ». Un tel contexte génère ainsi de nouveaux phénomènes : fake news, récits alternatifs, post-vérité, entre autres fléaux de l’époque. Macky Sall a gouverné dans ce contexte hautement tendu entourant son œuvre colossale à la tête du Sénégal de multiples bruits d’adversaires dont certains ont poussé trop loin le bouchon de la manipulation et de la désinformation.
Le moment du bilan viendra et chacun, dans le silence des passions et le dialogue avec soi, saura mesurer l'œuvre exceptionnelle du Président qui a su, en ce 3 juillet 2023, seul sur les hauteurs de l’histoire, et juché comme qui dirait sur le cheval emblème de son parti, que l'honneur d'un homme, son immortalité et l'éternité de son labeur sont très souvent inscrits dans un seul et court instant qui défie le temps. Parce qu'il a su conclure, en une phrase, et en quelques secondes, une histoire admirable de douze ans
El Hadj Hamidou KASSE
Ministre, Conseiller en Arts et Culture Présidence de la République