SenePlus | La Une | l'actualité, sport, politique et plus au Sénégal
5 août 2025
LE SÉNÉGAL S’ENFONCE DANS LA ZONE ROUGE DE L'INDICE DE PERCEPTION DE LA CORRUPTION
Les résultats de l’Indice de perception de la corruption (IPC) 2021 montrent que le Sénégal s’enfonce dans la zone rouge en perdant deux (2) points par rapport à l’IPC 2020
Les résultats de l’Indice de perception de corruption (Ipc), rendus publics par Transparency International, ont révélé que le Sénégal a perdu deux points par rapport à l'année dernière et s'enfonce dans la zone rouge avec une note de 43/100. Ainsi, le Sénégal se retrouve avec la note qu’il avait obtenue en 2014.
Les résultats de l’Indice de perception de la corruption (IPC) 2021 montrent que le Sénégal s’enfonce dans la zone rouge en perdant deux (2) points par rapport à l’IPC 2020. « Malgré sa progression constatée à partir de 2013, le Sénégal avait finalement stagné dans la zone rouge de 2016 à 2020 avec une note de 45/100. Les résultats de l’IPC 2021 montrent, cependant, que le Sénégal est en train de régresser avec une note de 43/100 perdant ainsi deux (2) points par rapport à l’IPC de l’année dernière », indique le rapport de Transparency International dont nous avons reçu copie.
Ainsi, le Sénégal se retrouve avec la note qu’il avait obtenue en 2014 (43/100). Il faut noter aussi qu’à l’instar du Sénégal, aucun pays de l’UEMOA n’a obtenu la note de 50/100. Selon le rapport, tous les huit (8) pays de la zone-UEMOA sont dans la zone rouge. « Tous les pays de l’UEMOA sont dans la zone rouge. Aucun pays membre de l’organe communautaire n’a obtenu la moyenne de 50/100. Le Sénégal vient en tête avec un score de 43 points sur cent. Seuls le Bénin (+1), le Burkina Faso (+1), le Togo (+1) et la Guinée Bissau (+2) ont réalisé des progrès timides dans la zone UEMOA », rapporte la source.
Parmi les quinze pays de la CEDEAO, seul un pays est en dehors de la zone rouge, à savoir le Cap-Vert avec un score de 58 points sur 100. « Le CapVert conserve sa note des deux dernières années et perd deux places au rang mondial, 41eme dans l’IPC 2020, et occupe la 39eme place dans l’IPC 2021.Le Cap-Vert devance le Sénégal de 15 points. Au moment où le Sénégal s’enfonce dans la zone rouge avec la note de 43/100, d’autres pays progressent timidement tout en restant dans la zone rouge. Il s’agit du Bénin (42 points contre 41 dans l’IPC 2020), du Burkina Faso (42 points contre 40 dans l’IPC 2020), de la Sierra Léone (34 points contre 33 dans l’IPC 2020), du Togo (30 points contre 29 dans l’IPC 2020), du Libéria (29 points contre 28 dans l’IPC 2020) et la Guinée Bissau (21 points contre 19 dans l’IPC 2020) », lit-on dans le document.
Selon le coordonnateur du Forum Civil, Birahim Seck, dans l’IPC, l’élément substantiel qu’il faut considérer est plutôt le score que le classement. Ce dernier, souligne-t-il, varie en fonction du nombre de pays concernés. C’est pourquoi, il demande au Sénégal de faire encore beaucoup d’efforts pour sortir de la zone rouge, c’est-à-dire dépasser le score de 50/100
KEEMTAAN GI - LES MISERABLES
Sans fausse pudeur, ils avouent avoir joué sur la misère de certains citoyens pour se maintenir. Dans la capitale, les deux communes qui ont résisté à la razzia de la coalition Yewwi Askan Wi (YAW) ont la réputation d’avoir été inondées de billets de banque. Dans l’une d’elles, une responsable, usant de sa casquette de ministre de la République, a pu mettre dans la balance 100 millions. Vous avez bien lu. Cent millions sortis de son département pour amadouer des femmes à travers un réseau pompeusement appelé « les calebasses ».Ce qui leur a permis, disent –ils avec cynisme, de « cerner Grand-Dakar pour asphyxier l’opposition ». Ils disent bien avoir cerné. Les salauds !!! Ils ont ainsi pu tenir en laisse des humains qu’ils considèrent comme du bétail pour leur fournir du foin. L’argent public servi à des personnes selon des règles bien établies. Qu’elles votent pour leur bienfaitrice. La même méthode a été utilisée dans presque tous les quartiers de Dakar dont le dernier a été Grand Yoff à 48 h du vote. Ce qui n’a pas empêché les femmes de ce coin de leur donner une sévère correction. Des fonds destinés aux citoyens et distribués selon leur bon vouloir pour pérenniser leur règne. Pour se donner bonne conscience, ils disent que c’est pour permettre aux bénéficiaires de s’autonomiser. Des pratiques aux antipodes des règles démocratiques dont l’objectif est bien entendu de maintenir ces misérables dans la pauvreté comme avec les bourses familiales. Dans les régions où ils ont obtenu des scores fleuves, les mêmes procédés sont utilisés. Cerner des humains et les maintenir dans les serfs. Jamais l’argent n’a été aussi présent dans une élection que lors des locales de dimanche dernier. En comparaison de ceux qui sont actuellement au pouvoir, les socialistes qui ont inauguré cette dépendance financière vis –à-vis de leurs militants et les libéraux passés maîtres dans cet art de la corruption, eh bien tous ces gens-là sont des amateurs. Chapeau bas, les artistes ! KACCOOR BI CASAMANCE L’ARMÉE DÉPLORE LA DISPARITION DE 9 MILITAIRES AUX MAINS DU MFDC
L’Armée a déploré hier la disparition de 9 militaires en Casamance. A travers un communiqué de la DIRPA, elle informe que cet incident est survenu lors de l’accrochage du 24 janvier survenu en Gambie, au sud de Bwiam, sur l’axe Kampanti-Kappa-Kambagol. L’accrochage s’est produit dans le cadre d’une action de sécurisation et de lutte contre les trafics illicites, notamment contre l’exploitation criminelle du bois sur la frange frontalière avec la Gambie. Au cours des affrontements consécutifs à une vigoureuse action militaire, un rebelle a trouvé la mort et 3 autres ont été faits prisonniers. De même, 9 militaires portés disparus seraient probablement détenus en otages par le MFDC. Les opérations se poursuivent pour les retrouver et sécuriser la Zone. L’Armée, à travers la Dirpa, rappelle que durant les cinq derniers mois, 77 camions transportant illégalement du bois provenant du Sénégal ont été immobilisés par le 5è détachement sénégalais (DETSEN5/MICEGA) déployé au sein de la Force internationale en Gambie. « Plus que jamais engagées dans leur mission sacrée de protection du sanctuaire national, les Armées continueront à s’investir sans relâche pour retrouver les disparus et pour la préservation du potentiel forestier » indique le communiqué de la Dirpa. LIESSE POPULAIRE 50 SCOOTERS DE BBY « DÉTOURNÉS » VERS YAW
Cette anecdote électorale que « Le Témoin » quotidien vous raconte s’est passée dans une commune d’arrondissement de Dakar. Une histoire qui atteste la triste réalité du « door marteau » électoral dont sont victimes les candidats et hauts responsables de Benno Book Yakar (Bby). Tenez ! En pleine campagne électorale, des jeunes du quartier se réclamant « Apr » ont reçu un financement de 50 motos-scooters de la part d’un haut responsable politique investi tête de liste de Bby. Les jeunes bénéficiaires avaient pour mission d’animer la caravane de leur candidat à travers des parades dans les rues de Dakar. Ensuite, de fêter la victoire de Bby par des klaxons et démonstrations au soir du 23 janvier 2022 dès 18 heures ou l’heure du verdict. Après ce show motorisé, les scooters devaient leur revenir de droit comme outil de travail dite livraison « tiak-tiak ». Hélas, ne rigolez surtout pas ! Car dès la proclamation des résultats, les scootéristes de Bby ont immédiatement rallié le camp adverse. Autrement dit, le candidat vainqueur de la coalition Yaw menée par Ousmane Sonko et Khalifa Sall. Au guidon de leurs scooters, ces jeunes de Bby se sont invités dans la liesse populaire de Yaw. Dans cette parade motorisée, les scooters aux couleurs et effigies Bby se sont bien distingués à travers des cascades et acrobaties sous des vivats « Vive Yewwi, vive Sonko ! ». Triste décor qui prouve ô combien le « door marteau » a atteint son pic d’ingratitude et de déloyauté dans la campagne de la mouvance présidentielle. DÉMOGRAPHIE ÉLECTORALE BBY REVENDIQUE LE…DÉSERT
En écoutant et analysant la conférence de presse des responsables politiques de Benno Bokk Yaakaar (Bby) avant-hier, « Le Témoin » s’est étranglé de colère. Vraiment ces vaincus de la mouvance présidentielle prennent les gens pour des idiots ! Certes, ils sont libres de faire des déclarations biaisées pour remonter le moral de leurs militants, mais pas berner ou conscientiser le président Macky Sall qui fut successivement ministre de l’Intérieur, Premier ministre et président de l’Assemblée nationale. Même les étudiants en sciences politiques ou en démographie n’ont pas besoin de faire la 1e année pour savoir qu’en dehors de Dakar, Guédiawaye, Pikine, Thiès, Kaolack, Ziguinchor, Touba, Rufisque, Keur Massar et Pikine, le reste c’est un…désert électoral. Pour preuve, le nombre d’inscrits d’un simple bureau de vote de Keur Massar, Grand Yoff ou Guédiawaye par exemple est équivalent à un centre de vote de Saint-Louis, Fouta ou Kédougou. Donc si on entend Hamidou Kassé jouant les sapeurs-pompiers dire que la majorité « a gagné massivement ces élections locales », c’est triste ! Avec des chiffres à l’appui, il dit que sur 43 départements, la coalition Bby a gagné 32. L’honorable Kassé a du oublier que dans ces départements revendiqués, il y a des communes en rase campagne qui ne font même pas 500 habitants. Sous d’autres pays, on les appelle des « communes-villages ». Au lieu de reconnaitre leur défaite et en tirer les enseignements pour les joutes futures, ces responsables de Bby font du…dilatoire. Peut être pour tenter de justifier les fonds de campagne et le travail raté à la base. JEAN BAPTISTE DIOUF (BBY) UNE «VICTOIRE» SOUS HAUTE SURVEILLANCE !
Quatre jours après les élections locales du 23 janvier 2022, les populations de Grand-Dakar attendent toujours le verdict. Entre le maire sortant de Benno Book Yaakar (Bby) Jean Baptiste Diouf et la candidate de Yewwi askan wi (Yaw) Mme Aissata Fall, il n’y a encore ni vainqueur, ni vaincu ! D’ailleurs, il faut rappeler et déplorer que le soir du scrutin, le maire Jean-Baptiste Diouf s’était autoproclamé vainqueur alors que les opérations de dépouillement se poursuivaient. Pendant ce temps, les premières tendances seraient favorables à Mme Aissata Fall de Yaw. D’ailleurs ses partisans étaient les premiers à descendre dans les rues de Grand-Dakar pour manifester leur victoire. Et aux alentours de 03 heures, c’était au tour des militants de Jean Baptiste Diouf de faire exploser leur joie pour une…courte durée. Pourquoi ? Le préfet de Grand-Dakar a donné des ordres à la police d’interdire toute manifestation de nature à provoquer des affrontements entre les deux camps. En poussant ses investigations, « Le Témoin » a appris que Yaw et Bby sont en ballotage très serré (plus ou moins 100 voix d’écarts). Avec tout le renfort financier et humain, Jean-Baptiste Diouf ne devait même pas en être réduit au recours à la Var ! Toujours est-il que, depuis dimanche à Grand-Dakar, la « victoire » de Bby est sous haute surveillance policière BBY MEDINA CHEIKH BA EXPRIME SA GRATITUDE AUX POPULATIONS
Dans une déclaration rendue publique ce 25 janvier par le Comité électoral de B.B.Y. de Médina qui s’est réuni le lundi 24 janvier pour évaluer l’élection locale du dimanche 23 janvier 2022, le candidat Cheikh Ahmed Tidiane Ba exprime sa «gratitude à la population médinoise et au Comité électoral, qui a courageusement occupé le terrain et n’ont jamais reculé devant des adversaires violents, qui ont cherché à installer la peur dans la Commune et perturber le scrutin en faisant arrêter le vote dans certains bureaux qui nous semblaient favorables». Le patron de la Caisse des dépôts et Consignations déplore cette violence que des nervis du camp de (son) principal adversaire ont exercée, en jetant, par exemple, des fumigènes dans des bureaux de vote. Il demande cependant aux populations de «rester sereines et d’être à l’écoute de la commission départementale de recensement des votes même si, pour l’instant, la Coalition estime les tendances sur le vote de la Commune à la mesure de ses projections». Le candidat de BBY tient aussi à «fustiger et dénoncer, la manipulation de l’opinion, à travers les média, avant la proclamation définitive des résultats car tout le monde sait que les deux principaux candidats sont en ballotage et que le contentieux n’est pas totalement vidé». RETRAIT DE MOTOS JAKARTAS AUX JEUNES LE PÔLE COMMUNICATION DE DOUDOU KA DÉMENT
Le Pôle Communication et Veille stratégique de la Coalition Doggu pour le Grand Sénégal de Doudou Ka a démenti le retrait des motos « Jakarta » offertes par leur leader à des jeunes de la Casamance. « Des jeunes qui se présentent comme des conducteurs de “motos Jakartas” ont accusé ce mardi 25 janvier 2022, le Président de la Coalition Doggu pour le Grand Sénégal d’avoir retiré des motos qu’il leur aurait offertes. La coalition Doggu pour le Grand Sénégal tient à démentir de telles allégations. Les jeunes en question sont des militants de Pastef qui ont tenté d’arnaquer Doudou KA en promettant un vote en faveur du candidat Abdoulaye Baldé en échange de motos. Un chantage auquel Doudou KA a refusé de se soumettre et avait refusé de les recevoir pendant la campagne électorale. Le président de la Coalition Doggu Sénégal a toujours apporté son soutien aux jeunes de Ziguinchor. C’est dans ce cadre que des motos avaient déjà été offertes à plusieurs jeunes de Ziguinchor sans appartenance politique » souligne une note d’information signée Babacar Dione du Pôle Communication de Doudou Ka. INDICE DE CORRUPTION LE SÉNÉGAL PERD DEUX PLACES ET S’ENFONCE DANS LA ZONE ROUGE
Le Sénégal perd deux (2) points par rapport à l’année dernière et s’enfonce dans zone rouge avec une note de 43/100, relate le rapport 2021 de l’Indice de perception de la corruption de Transparency International. Pour rappel : après une progression à partir de 2013, le Sénégal stagne dans la zone rouge de 2016 à 2020 avec une note de 45/100. Dans l’IPC 2021, le Sénégal perd deux (2) points et renoue avec le score qu’il avait obtenu en 2014, c’est à dire 43/100. Les Seychelles en tête du continent avec une note de 70/100. Etant encore dans la zone rouge, Sao Tomé et Principe (45 points) régresse de deux (2) points par rapport à l’année dernière (47 points). Il est suivi de l’Afrique du Sud (44 points), du Ghana (43 points) puis du Sénégal (43 points) qui a perdu deux (2) points après plusieurs années de stagnation dans la zone rouge (45/100 de 2016 à 2020). Au moment où le premier africain (Les Seychelles) progresse, le Sénégal régresse. Nous constatons qu’entre les Seychelles et le Sénégal, il y a un écart très important de 27 points alors pour l’année dernière l’écart était de 21 points, remarque Transparency International.
MALI-CEDEAO : L’ALGERIE PROPOSE SA MEDIATION
Alger entend jouer un rôle de facilitateur pour trouver une issue à la crise entre le Mali à la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), a déclaré, lundi, à Bamako, l’Envoyé spécial de l’Algérie pour le Sahel, Delmi Boudjemaa
Alger entend jouer un rôle de facilitateur pour trouver une issue à la crise entre le Mali à la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), a déclaré, lundi, à Bamako, l’Envoyé spécial de l’Algérie pour le Sahel, Delmi Boudjemaa,
“Nous avons estimé que le moment est venu, après les sanctions extrêmement dures qui ont été imposées au Mali, de faire en sorte que nous puissions jouer ce rôle de facilitateur » , a déclaré l’émissaire algérien, à sa sortie d’une audience que lui a accordée le président de la Transition, le colonel Assimi Goïta, .
Cette médiation algérienne a pour objectif de permettre « aux frères africains de se retrouver autour d’une table et de dialoguer sereinement sur la meilleure manière d’envisager les problèmes et de les régler ”.
Le diplomate algérien, également président du Comité de suivi de l’Accord pour la paix et la réconciliation nationale au Mali issu du processus d’Alger (CSA), a révélé que la proposition de son pays consiste à proroger la Transition au Mali de seize mois pour permettre aux autorités d’organiser des élections crédibles.
Delmi Boudjemaa a souligné que cette proposition faite lors de la dernière réunion du Conseil de paix et de sécurité (CPS), a été avalisée. Elle comporte « deux paragraphes extrêmement importants, proposés et acceptés par le CPS et l’Union africaine UA, qui peuvent servir de base de travail » à cette concertation.
Il a poursuivi que la médiation algérienne s’inscrit dans une logique de dialogue, de consultation pour éviter le blocage ou la confrontation qui pourrait nuire aux intérêts de la Région sahélo-saharienne.
«Si cette facilitation est acceptée, il est clair que nous allons la faire accompagner par des mesures qui consisteraient à suspendre les sanctions qui frappent le Mali», a-t-il annoncé.
Avant d’expliquer que les autorités algériennes sont en relation quotidienne avec les membres de la CEDEAO pour faire en sorte que cette facilitation soit acceptée, qu’elle puisse travailler sur la base des principes qui sont ceux du Mali mais, également, des autres pays de l’organisation sous-régionale.
« L’Algérie attache beaucoup d’importance à la sécurité, à la stabilité, à l’unité et à la préservation de l’intégrité territoriale du Mali. Mais, également, à la souveraineté et l’indépendance de ses décisions politiques », a encore dit l’Envoyé spécial Boudjemaa.
Il a indiqué que sa mission s’inscrivait dans le cadre des concertations normales entre deux pays frères qui entretiennent « des relations historiques, bonnes et prometteuses ».
Delmi Boudjemaa, également, porteur d’un message du président Abdelmadjid Tebboune au président de la Transition, a confié avoir écouté le colonel Assimi Goita sur son évaluation des derniers événements de la Région. « Une évaluation qui, selon lui, parait extrêmement objective et, peut-être, permettre que ces consultations puissent produire un effet positif sur le Mali et sur l’ensemble de la région sahélo-saharienne ». L’audience au palais de Koulouba, s’est déroulée en présence du ministre des Affaires étrangères et de Coopération internationale, Abdoulaye Diop, du ministre secrétaire général de la Présidence, Mamadou Oulalé, et des membres du cabinet du chef de l’État.
iGFM - Ayant remporté l’élection municipale dans sa commune de Niagha, Dr Idrissa Baldé est déjà placé en garde à vue.
Le Dr Idrissa Baldé, qui a remporté l’élection municipale à Niagha, est en garde à vue. Convoqué par la Brigade de gendarmerie de Samine depuis ce matin vers 8 heures, il a été placé en garde à vue dans l’affaire de l’incendie de la demeure du maire sortant, renseigne le correspondant de la Rfm.
Les partisans du Dr Baldé, qui sont accusés d’avoir incendié le domicile de Yoro Mballo, l’édile sortant, bottent en touche. Ils indiquent qu’à la suite de leur victoire, ils avaient initié une marche pour saluer les populations et les remercier. Et c’est une fois arrivés au niveau de la maison du maire sortant, que les choses se sont gâtées.
«Ses partisans, qui étaient dans la maison, ont commencé à nous insulter et à jeter des pierres. Nos partisans ont riposté. À un moment, ses partisans sont partis bruler les motos qui étaient garées à côté de la mairie puis sont allés saccager la maison du demi-frère du Dr Idrissa Baldé. C’est comme ça que les choses se sont passées jusqu’à ce que la maison du maire sortant a été brulée», se défend Omar Baldé, collaborateurs de Dr Baldé.
CAN 2021, COTE-D'IVOIRE-EGYPTE, A QUI LA VICTOIRE ?
À quelques heures du choc Côte d'Ivoire-Égypte, les deux équipes affichaient leur confiance et leur sérénité. La rencontre qui offre une place en quarts se jouera à Douala, dans le stade de Japoma
À quelques heures du choc Côte d'Ivoire-Égypte, les deux équipes affichaient leur confiance et leur sérénité. La rencontre qui offre une place en quarts se jouera à Douala, dans le stade de Japoma.
L’heure était aux ultimes ajustements, ce mardi 25 janvier. Avec sa star Mohamed Salah, l’Égypte affrontera la Côte d’ivoire mercredi 26 janvier. Si le pays détient le record du nombre de victoires en Coupe d'Afrique des nations avec 7 trophées, les Pharaons ont connu une entame de compétition peu éclatante. Pour autant, ils comptent bien arracher une nouvelle qualification en quarts. C'est ce qu'a expliqué le capitaine égyptien au lendemain de la bousculade qui a coûté la vie à au 8 spectateurs au Cameroun : « Nous sommes attristés par ce qui s’est passé hier, on souhaite que les blessés rentreront chez eux sain et sauf. En ce qui concerne le match, les Ivoiriens forment une bonne équipe, nous sommes aussi une bonne équipe. Nous avons eu 5 ou 6 jours pour préparer la rencontre et je pense que tous les joueurs sont prêts. »
Si les hommes de Carlos Queiroz sont déterminés à s’imposer mercredi au stade Japoma de Douala, face à eux, des Ivoiriens redoutables. Ils ont renversé l’Algérie, championne en titre, pour accéder aux huitièmes et ne comptent pas s’arrêter en si bon chemin. Le sélectionneur des Éléphants, Patrice Beaumelle, a d'ailleurs expliqué que son groupe emploierait la même recette gagnante : « un travail d’équipe », pour contenir cette fois les Pharaons.
Alors qui aura l'avantage ? Coup d’envoi du choc Côte d’Ivoire-Égypte à 16h GMT.