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22 juin 2025
DIOURBEL, LES CANDIDATS A LA MAIRIE APPELLE A LA PAIX
Les élections municipales et départementales prévues le 23 janvier 2022, doivent se dérouler dans le calme, la paix et la concorde et la sérénité. C’est du moins la conviction des candidats au poste de maire de la commune de Diourbel.
Les élections municipales et départementales prévues le 23 janvier 2022, doivent se dérouler dans le calme, la paix et la concorde et la sérénité. C’est du moins la conviction des candidats au poste de maire de la commune de Diourbel. Ils l’ont tous réaffirmé lors du lancement du mouvement Gouddi Gouddi Baol.
Opposition et majorité présidentielle autour d’une seule et même tribune, le temps d’un meeting. C’est la prouesse réussie par la coordonnatrice du mouvement Gouddi Gouddi Baol dirigée par Penda Cissé. Lors de cette rencontre, les candidats au poste de maire de la commune de Diourbel se sont tous retrouvés au terrain des sapeurs-pompiers et ont chacun appelé à la paix.
Dame Diop, candidat de la coalition Benno Bokk Yaakaar : ‘’Nous appelons au calme, au fair-play et à la discipline. Après les élections qui vont se dérouler un seul jour, il faut se ceindre les reins et comme un seul homme, travailler pour le développement de cette commune qui nous est si chère et cela quelles que soient les chapelles politiques. Ne pas laisser le développement de la commune aux seuls politiciens, parce qu’il incombe à tous les enfants de la cité. Accepter les résultats, féliciter le gagnant et fédérer toutes les forces vives de Diourbel’’.
Candidat de la coalition Goxx Yu Bess, Mamadou Dioum a, lui, fait une esquisse de son programme. ‘’Nous allons faire une campagne axée sur notre programme. Lors de cette campagne que nous voulons civilisée, le bilan du maire ne sera pas occulté’’.
Présent à la rencontre, Me Ibrahima Guèye, candidat de la coalition Guem Sa Bopp, a déclaré : ‘’Ce qui est important, ce ne sera pas le maire, mais l’équipe qui sera mise en place. Cette dernière dépasse le cadre du conseil municipal. Je pense qu’un manager sera capable de réunir toutes les compétences pour que Diourbel amorce véritablement son développement.’’
Malick Fall, le maire sortant et candidat de la grande coalition Wallu, de renchérir : ‘’Il faudrait que le 24 janvier, nous puissions nous congratuler et féliciter le vainqueur, parce qu’en définitive, c’est Diourbel qui gagne au change.’’
Revenant sur les objectifs de ce mouvement, la coordonnatrice Penda Cissé a confié : ‘’Il vise à accompagner les femmes dans la politique, car elles n’ont pas une bonne assise en politique dans le département. Il s’agira de rétablir les femmes à leur vraie place. Nous voulons accompagner les jeunes, à travers des actions de développement, en formation, pour gérer de façon pratique les affaires de la cité.’’
Ce mouvement, qui se veut une sentinelle de la bonne gouvernance, va, d’après sa coordonnatrice, ‘’être en alerte, et en veille par rapport à tout ce qui se passe dans la cité. Toutefois, ce mouvement n’exclut pas d’aller en appoint à un leader politique qui aura un engagement fort au chevet des populations’’.
Le Sénégal déjà qualifié affronte ce mardi à partir de 19 heures, le Togo pour le compte de la 5ème et avant dernière journée des éliminatoires de la coupe du monde Qatar 2022. Si les Lions ont tué l’enjeu de ce groupe H depuis la 4ème journée, le duel entre Aliou Cissé et Paolo Duarté reste encore vivace. Ce, depuis l’élimination du Burkina Faso par le Sénégal lors des qualifications au Mondial russe en 2018. Le match de Polokwane reprogrammé après une défaite des Lions marquée par une corruption avérée de l’arbitre ghanéen Lamptey, reste en travers de la gorge du technicien Portugais.
L ’équipe du Togo devant affronter celle du Sénégal ce jeudi pour le compte de la 5ème journée des éliminatoires de la Coupe du monde 2022, sera amputée de plusieurs éléments, rapportent les médias locaux. L’attaquant Kodjo Laba (Al Ain, Emirats arabes unis), malade, a déclaré forfait de même que Barcola Malcolm (Lyon, France) et Gustave Akueson (FC Versailles, France). Les deux derniers joueurs cités ont déclaré forfait pour raison de blessures et seront remplacés par le gardien de l’ASCK (élite togolaise), Attissou Paroussie, et Balgou Yendoutie, le défenseur d’Arabia prêté à l’ASCK. Malcom Barcola avait été titularisé dans les buts des Eperviers lors de la rencontre aller remportée par le Sénégal, 2-0.
L’autre absent côté togolais est Elom Nya-Yedji (Suduva, Lituanie). Les médias togolais rapportent qu’il a été libéré par le sélectionneur, Paulo Duarte, parce que devant finaliser "les papiers administratifs pour obtenir son visa dans l’optique de sa signature de contrat". Nouvellement convoqué, le milieu de terrain Ouro Samsondin ne fera pas non plus le déplacement, retenu qu’il est par son club, le NS Mura (Slovénie), selon les mêmes sources.
Dans ce groupe H, le Sénégal qui a gagné ses quatre matchs, a validé sa qualification aux barrages à deux journées de la fin des éliminatoires. Quant au Togo qui court derrière une qualification à la CAN depuis l’édition 2017 jouée au Gabon, il est en phase de reconstruction, a expliqué son coach Duarte pour qui cela ne veut guère dire un manque d’ambitions.
D’ailleurs l’objectif des Eperviers et de leur sélectionneur "est de regarder le Sénégal dans les yeux", a prévenu le technicien portugais, ancien sélectionneur du Burkina Faso lors des éliminatoires de la Coupe du monde 2018. Ce qui promet un bon duel des techniciens entre le Sénégalais Aliou Cissé et le Portugais, Duarte qui a encore en travers la gorge l’élimination des Etalons du Burkina Faso par les Lions lors de la coupe du monde Russie 2018. Ce, après le fameux match de Polokwane qui a été rejoué à cause d’une corruption avérée sur l’arbitre ghanéen, Lamptey. Les dirigeants burkinabé avaient criés au scandale accusant même la secrétaire générale de la Fifa, la Sénégalaise Fatma Samoura d’être derrière ce match à rejouer entre Lions et Bafana Bafana. Si les Lions avaient perdu lors de la première manche, ils avaient réussi à renverser la vapeur lors du match rejoué (2-0).
Il s'agit d'un complot politique. J'irai au tribunal mercredi, mais ce sera la dernière fois. Le problème du Sénégal, c'est sa justice - Avant sa comparution au tribunal dans l'affaire Ndiaga Diouf, Barthélémy Dias s'est montré plus offensif que jamais
Barthélémy Dias, candidat de la coalition Yewwi Askan Wi (YAW) aux élections locales du 23 janvier 2022, a décidé de répondre au tribunal qui l’a convoqué le mercredi 10 mai. Il avait fait appel de sa condamnation à deux ans de prison dont six mois ferme dans l’affaire Ndiaga Diouf, cet homme tué en 2011 lors de l’attaque contre la mairie de la commune de Mermoz Sacré-Cœur qu’il dirige.
« J'irai au tribunal le mercredi avec mes enfants, mais je n'accepterai plus un renvoi. J'ai été condamné deux ans de prison dont six mois ferme. J'ai fait appel. Depuis cet appel, le dossier ne fait que l'objet de renvois. J'ai pris l'engagement de n'insulter aucun magistrat », a-t-il indiqué lors d’un point de presse organisé aujourd’hui à la mairie de Mermoz Sacré-Cœur.
« Le problème du Sénégal, c'est sa justice. Celle-ci est en train de s'écarter de la priorité. (…) Dire que aujourd'hui que ma convocation a été programmée bien avant ma candidature à la mairie de Dakar, cela relève d'un gros mensonge », lance Barthélémy Diaz.
« J'ai déposé ma demande de candidature le 4 novembre, le 5 novembre, ils m'ont envoyé ma convocation. La preuve, ils en sont où avec le dossier d’Ousmane Sonko ? On sait que c'est un dossier signalé. On en a marre de cette justice. Cette justice devra dire le Droit. Ce que le juge a à faire, il le sait. Au nom de quoi on refuse de vider ce dossier », s’est-il interrogé.
« Je souhaiterais le dire avec force : si je sors le 10 novembre sans décision, que personne ne m'appelle pour une convocation. Et je n'attends pas à beaucoup de choses de la justice de ce pays. Ce qui m'intéresse aujourd'hui, c'est de pouvoir convaincre les Sénégalais », a souligné Dias, en allusion aux élections municipales de janvier prochain.
De façon plus générale, Barthélémy Dias a dénoncé l’état des principes démocratiques et de leur instrumentalisation.
« Au mois de mars dernier, j'avais clairement dit qu'il ne s’agissait pas de Ousmane Sonko mais de la démocratie sénégalaise. Et aujourd’hui, je reviens dire encore qu'il ne s'agit pas de Barthélémy Dias mais de la démocratie sénégalais. Mais cela de passera pas », a-t-il ajouté.
Dans la première semaine du mois de mars dernier, des événements meurtriers avaient secoué Dakar et certaines zones du pays dont la région Sud. Ces manifestations politiques à l’origine pour soutenir l’opposant Ousmane Sonko dans le cadre d’une affaire de viol, s’étaient transformées en émeutes généralisées dirigées contre un pouvoir accusé d’instrumentaliser les institutions comme la justice à son profit. Au moins une quinzaine de morts avaient été signalés et pour certains documentés. Le gouvernement avait annoncé la mise en place d’une commission d’enquête dont on n’a plus entendu parler.
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LE DÉVELOPPEMENT PAR LA CULTURE
EXCLUSIF SENEPLUS - Comment se porte la culture sénégalaise ? Comment se décline la politique culturelle du pays ? Que rest-t-il de la vision de Senghor ? Quand Mohamed Mbougar Sarr débattait avec Elgas, Penda Mbow et Abdou Latif Coulibaly
Mohamed Mbougar Sarr, Elgas, Abdou Latif Coulibaly et Penda Mbow étaient appelés à débattre de la culture au Sénégal en 2019 dans l'émission Sans Détour conjointement organisée par SenePlus et l'école d'image numérique Sup'Imax. Nous publions à nouveau cet échange après le sacre de Mbougar Sarr au Goncourt 2021 grâce à son roman "La plus secrète mémoire des hommes".
NAISSANCE DE L’ACADÉMIE AFRICAINE DES SCIENCES RELIGIEUSES, SOCIALES ET POLITIQUES
L'acte de formalisation de cette institution panafricaine, œcuménique dans son organisation et appelée à réfléchir sur divers sujets de la société, aura lieu le 13 novembre à Dakar - COMMUNIQUÉ DE PRESSE
SenePlus publie ci-dessous, le communiqué annonçant la formalisation de l’Académie africaine des sciences religieuses, sociales et politiques, le samedi 13 novembre à Dakar.
« L’acte de naissance de l’Académie africaine des sciences religieuses, sociales et politiques sera formalisé le 13 novembre 2021 à Dakar, plus précisément à l’Hôtel Fleur de Lys du Point E (Dakar), à compter de 9h00.
La cérémonie d’ouverture sera présidée par S. Exc. Mgr Benjamin Ndiaye, Archevêque de Dakar
La Conférence inaugurale sera prononcée par M. le Professeur Abdoullah Cissé, éncien recteur de l’université de Bambey, baptisée Université Alioune Diop.
Qui sommes-nous ?
L’idée de créer une Académie africaine des sciences religieuses, sociales et politiques au Sénégal est née lors du colloque international « 50 ans après Vatican II, l’Afrique et l’héritage d‘Alioune Diop : le dialogue des religions et les défis du temps présent », organisé à Dakar en janvier 2016. Des laïcs chrétiens engagés et des religieux se sont retrouvés ensuite pour réfléchir. C’est de la réflexion et de la volonté de laics chrétiens et de religieux engagés à poursuivre le combat pour l’Afrique que leur est venue l’ambition de créer une académie afin de « perpétuer l’œuvre d’Alioune Diop au profit des générations montantes. »
L’Académie a son siège à Dakar.
Nature de l’Académie
Cette Académie est panafricaine, d’Afrique et de Madagascar, et ouverte sur le monde. Elle est d’initiative laïque et autonome.
Dans son organisation, elle est œcuménique, non confessionnelle dans le choix de ses membres.
Vocation de l’Académie
De par sa nature, elle est une institution de réflexion et de recherche, privilégiant comme méthode la transdisciplinarité, elle est, en même temps, un lieu d’information et d’échanges multiconfessionnels pour tous ceux et celles qui sont épris-es de savoirs, hommes et femmes de bonne volonté. Ses activités de réflexion concernent les problèmes majeurs de notre société dans les domaines religieux, social, politique, scientifique, culturel et environnemental. Ainsi, la dimension intellectuelle et spéculative de l’Académie sera-t-elle nourrie par l’expérience pratique.
Objectifs de l’Académie
- Défendre le pluralisme religieux et culturel en assumant au sein de l’église et de la société une fonction de veille, d’ouverture et de dialogue multiconfessionnel ;
- Fédérer les compétences africaines au service de l’Église et de la société notamment africaine.
Programme et activités de l’Académie
L’Académie articule son programme autour de quatre (4) sections :
1) pensée, philosophie et traditions théologiques ;
2) histoire, sciences humaines et sociales, développement durable ;
3) identité africaine et réception des religions révélées ;
4) sciences (dures), foi et cultures.
Les commissions sont thématiques et transversales :
- Commission Formation des laïcs : éthique, citoyenneté, responsabilité, gestion…
- Commission Histoire comparée des religions, oecuménisme et dialogue interreligieux ;
- Commission Femme et Eglise ;
- Commission Arts, Spiritualité et Liturgie ;
Caractéristiques de l’Académie
- L’Africanité/ le panafricanisme
- L’œcuménisme
- Le dialogue interreligieux
- L’autonomie »
LE PÉRIL NOUS GUETTE
Des personnes rasent les murs et préfèrent caresser dans le sens du poil le pouvoir. Nos valeurs sont bafouées chaque jour sans que nous nous en indignions. La cohésion sociale en a pris un coup
Pourquoi parle-t-on de paix sans poser les conditions de son essor avec une certaine peur au ventre ?
Le monde traverse une crise sans précédent. Nos valeurs sont bafouées chaque jour davantage sans que nous nous en indignions. La paix est menacée si bien que la cohésion sociale en a pris pour son grade, notre commune volonté de vivre en commun itou. Les médias passent sous silence cela et préfèrent des programmes sans prise en compte de notre véritable vécu quotidien.
Les principes fondamentaux qui sous-tendent le Sénégal ne sont guère activés et la pierre angulaire sur laquelle elle repose est à chaise par l'absence de trois maillons essentiels dans la chaîne :
- une injustice qui refuse de dire le droit ;
- l’organisation d’élections libres et transparentes ;
- l'existence de dirigeants intègres.
Avec ce triptyque, la paix sera un vœu pieu, une utopie et sera difficilement atteinte. Les gens font fi de cela sans oser aller au fond des choses, oubliant Allah (swt) tout en espérant sa protection, j’ai failli dire sa Miséricorde. Ils refusent systématiquement d’enrober ces trois poumons qui permettent à la paix de respirer. Ces trois leviers sont dans les recommandations de Dieu et des enseignements de la meilleure des créatures Seydina Mouhamet saw.
Au Sénégal, une seule autorité est montée au créneau pour exiger du gouvernement l’organisation et la transparence dans tout le
processus électoral ou autres manifestations à venir. Pendant ce temps, quantité de personnes rasent les murs et préfèrent caresser dans le sens du poil les gens du pouvoir. Sans la véritable paix, ce vocable si cher, le chantier vers le développement ne saurait se bâtir correctement et reposerait sur du sable mouvant.
L’absence de paix ou cette chienlit au Mali voisin avait débouché sur un coup d'État lors des dernières législatives lorsque le pouvoir d'alors cherchait à confisquer la volonté de changement du peuple. Le pouvoir voulait faire main basse sur les ressources du pays par une gestion opaque, nébuleuse et scandaleuse qui exclut de fait la grande majorité des maliens. Cette importante frange des populations risquait de végéter dans la misère et la pauvreté…
Vouloir gouverner sans la paix, c'est ouvrir la boîte de Pandore et se mettre à dos les recommandations divines et les enseignements du prophète Seydina Mouhamet saw. Tout le monde en est conscient et le seul hic est que les Sénégalais au nombre de dix-sept millions refusent d’enfourcher ce cheval blanc qu’est la paix.
"Un Sénégal de tous, par et pour tous "est possible. Simplement il faut savoir trier pour sortir la bonne graine de l'ivraie. Et la vérité est la seule soupape de sécurité. Présenter ainsi, de la nation connaîtra une paix dépouillée de toute illusion. Sénégalais, évitons le parti pris, les jugements de valeurs et les susceptibilités facteurs de divisions et de dégringolades.
Le monde occidental s'est développé parce qu'il a réglé définitivement deux problèmes majeurs : une justice devant dire le droit et l'organisation d'élections libres et transparentes.
Au Sénégal, rien de nouveau sous les tropiques, les vigies, sentinelles n'osent plus élever la voix si bien que les recommandations coraniques sont rangées dans un placard vermoulu à la merci des cafards.
Ps : Cet article ou petite contribution ne vise personne et aucune circulation ne le motive. Je veux uniquement susciter un débat sain afin que les Sénégalais dévissent tranquillement pour la paix, seul gage de stabilité.
Cheikh Meissa Ndiaye estncien sénateur, notable à Kébémer.
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MÉDECIN DU TRAVAIL, MODE D’EMPLOI
Quel est le rôle d’un médecin du travail ? Où et comment travaille-t-t-il ? Une entreprise de plus de 400 personnes est censée recruter un médecin du travail, différent du médecin d’entreprise. Cette norme est-elle respectée ? Réponse dans cette interview
Sa mission dans la société est capitale en termes de sécurité, mais certainement peu comprise. À la fois clinique que préventive, le médecin du travail est un homme/une femme de terrain au sein des entreprises et autres structures. Est-ce que les entreprises respectent cette norme ? Qui peut avoir besoin d'un médecin du travail ? Comment opère-t-il Le Sénégal a-t-il suffisamment de médecins du travail pour couvrir le besoin ? Pour répondre à ces questions AfricaGlobe Tv recoit comme invité le Dr Moustapha Sakho, médecin du travail affecté à l’hôpital Aristide Le Dantec depuis 2017.
Conformément à la loi, une entreprise de plus de 400 personnes doit recruter au moins un médecin du travail différent de qu’on appelle médecin d’entreprise. Mais force est de constater que ce n’est malheureusement pas toujours le cas. La medecine du travail fait partie des spécialités qui manquent de ressources humaines. D'ailleurs l'hopital Ariste Le Dantec qui pas pratiquement un siècle d'existence, Moustpah Sakho est le premier médecin du travail. Toutefois, il note de plus en plus l'intéret de jeunes médecins pour cette spécialité qui ne court pas les rues dans le pays. Suivez son entretien.
Est-ce que les entreprises respectent cette norme ? Qui a besoin de médecins du travail ? Comment opère-t-il Le Sénégal a-t-il suffisamment de médecins du travail pour couvrir le besoin ?
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RUGBY, UNE MAL AIMÉE DES DISCIPLINES SPORTIVES?
Au Sénégal, il y a des sports qui sont politiquement rentable, économiquement profitable et socialement adoptable. Parmi ces sports, il y a la lutte et le football. En revanche, beaucoup d’autres sport sont presque orphelins et parfois catalogués
Dans la deuxième partie de cet entretien, le coach de Rugby Alexis Arnal Bass nous parle de cette discipline sportive, bien présente au Sénégal, pratiquée par des Sénégalais y compris dans les banlieues et ce, en dépit du manque de soutien.
Au Sénégal, trois disciplines sportives, voire une, ont (a) l'attention de l’Etat et/ou des sponsors. Ce sont respectivement le football, la lutte et de manière marginale, le basket.
Le football et la lutte par exemple, sont très populaires. Le football a toujours eu le soutien des autorités en termes de financement, sur le plan symbolique et moral. C’est souvent une cause nationale quand Les Lions/Lionnes vont participer à des compétitions.
De même dans la lutte, quand bien même la présence de l'État n'est pas manifeste, au moins les sponsors soutiennent cette discipline pour y faire du business.
En revanche, la plupart des autres disciplines sportives, à part peut-être le basket, n'ont pas le soutient qu’il faut pour émerger. C’est dans cette catégorie de sport délaissé, que se place le du Rugby, encore considéré, à tort, comme un sport de toubab, ou un sport trop violent. Pourtant, malgré les maigres moyens de l'équipe nationale du rugby, elle fait des résultats lors des grandes compétitions.
Même si les autorités ne font pas une remise symbolique du drapeau aux joueurs quand ils doivent partir en compétition comme c’est le cas avec le football ou le basketball.