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13 septembre 2025
LOCALES 2022, OUSMANE CLARIFIE ET MET EN GARDE SON CAMP POLITIQUE
Le leader de Pastef / Les Patriotes, Ousmane Sonko, a mis en garde ses militants qui ne respectent pas la discipline de parti. "Depuis quelques jours, relève-il, nous découvrons des communiqués de presse émanant de sections communales ou de coordinations
Le leader de Pastef / Les Patriotes, Ousmane Sonko, a mis en garde ses militants qui ne respectent pas la discipline de parti. "Depuis quelques jours, relève-il, nous découvrons des communiqués de presse émanant de sections communales ou de coordinations départementales de Pastef, qui annoncent des décisions de suspension de leur participation à la Coalition Yewwi Askan Wi."
Selon l’opposant, ces décisions sont prises par certaines sections "sans aucune concertation" avec le bureau politique, "qui est mis devant le fait accompli." Du coup, il parle de "violation flagrante des règles d’organisation et de discipline internes du parti". Ainsi, menace-t-il, "de tels agissements sont à proscrire définitivement ou appelleront des mesures fermes." Pour finir, il rappelle "qu’aucune coordination, section ou cellule ne constitue une entité autonome, pouvant prendre des décisions impactant nos relations avec nos alliés, sans la consultation préalable et l’approbation du Bureau politique du parti."
Pastef – Dakar, qui rentre dans les rangs, a investi, ce vendredi, ses candidats à la candidature, des dix-neuf (19) communes de la capitale, avec Abass Fall comme candidat à la Mairie de Dakar.
Face à la presse, ce dernier a garanti "qu’il n’y aura pas d’implosion. Je suis candidat à la candidature mais si au niveau de la Coalition Yewwi Askan Wi, le choix est porté sur quelqu’un d’autre qui peut-être ferait mieux que moi, ce sera avec beaucoup plus d’engagement et d’enthousiasme que nous allons accompagner ce candidat-là. C’est-à-dire qu’il faut être réaliste, tous ces 19-là, ne peuvent pas être candidats à la candidature. Ce n’est pas possible sinon nous ne serions pas partis en coalition".
"Nous avons déjà tenu nos primaires. A l’issue de (celles-ci), nous avons souhaité présenté aux Dakarois les candidats de Pastef à la candidature. C’est dans le cours normal des choses. C’est vrai qu’il y a une coïncidence avec la petite pause que nous avions marqué au niveau de la coalition Yewwi Askan Wi".
PR AMSATOU SOW SIDIBE TRACE UNE 3EME VOIE
Dans une déclaration rendue publique, la coalition la 3ème Voie/ Sàmm Jikko Jàmmoo Jariñ Senegaal à l’assaut des locales, présidée par Professeur Amsatou Sow Sidibé fait un diagnostic des maux qui gangrènent le pays
Dans une déclaration rendue publique, la coalition la 3ème Voie/ Sàmm Jikko Jàmmoo Jariñ Senegaal à l’assaut des locales, présidée par Professeur Amsatou Sow Sidibé, a fait un diagnostic des maux qui gangrènent le pays et formulé des recommandations pour le développement.
Dans le secteur de l’éducation, elle a proposé «la mise en place d’un système éducatif en complément du rôle des familles», «la promotion de la discipline et du civisme», « la bonne organisation des Daaras » et « le relèvement du niveau et de la qualité de l’enseignement ». En ce qui concerne la santé, la coalition s’engage, entre autres, au « renforcement du budget alloué à la santé », à « l’amélioration du plateau médical et des services », à un « système de sécurité sociale plus performant ».
Sur la lutte contre le chômage, la coalition la 3ème Voie/ Sàmm Jikko Jàmmoo Jariñ Senegaal propose, « l’amélioration des conditions de vie des jeunes par la réalisation effective des programmes de lutte contre le chômage » et « l’adéquation entre l’éducation, la formation et l’emploi ». Sur le plan économique, elle s’est fixée comme objectif de « promouvoir la productivité et la qualité qui ont un effet d’entrainement sur la prise en charge de l’éducation, de la santé, de l’emploi, etc.», « d’assurer la sécurité alimentaire par la promotion de l’agriculture, de l’élevage et de la pêche » et de « garantir une bonne gestion de nos ressources naturelles ».
Concernant les femmes, Sàmm Jikko Jàmmoo Jariñ Senegaal a comme projet d’assurer « l’autonomisation sociale, économique, financière et politique des femmes », « le maintien des filles à l’école et le renforcement de leurs capacités ». « Nous invitons les mouvements, les associations, les familles, les personnes affiliées ou non à un parti politique, les partis politiques et coalitions, etc., en somme, tous ceux et toutes celles qui partagent ce projet alternatif construit sur l’idée de changement, à nous rejoindre dans un cadre de convergence autour de l’intérêt national. Ensemble, nous pouvons relever les défis qui nous interpellent», rapporte le communiqué.
L’EGALITE DE GENRE AU SEIN DES ARMEES SENEGALAISES EN MARCHE
La Gendarmerie nationale a rendu hommage à ses «amazones», ses femmes «Jambars» dont l’enrôlement de la première promotion en octobre 2006 aura consacré l’effectivité de la féminisation des Forces Armées sénégalaises
Ça allait passer inaperçu, à cause de la coïncidence avec le Gamou. 15 ans de présence «révolutionnaire» dans le secteur de la paix et de la sécurité, ça se fête. La Gendarmerie nationale a rendu hommage à ses «amazones», ses femmes «Jambars» dont l’enrôlement de la première promotion en octobre 2006 aura consacré l’effectivité de la féminisation des Forces Armées sénégalaises, après les premiers jalons déjà posés en 1984 par l’accueil de filles à l’École militaire de santé (EMS).
«Déjà 15 ans ! (...) Joyeux anniversaire et bravo à nos femmes Jambars», lit-on dans une note du département de la communication de la Gendarmerie nationale sur les 15 années de présence remarquée du personnel féminin dans les effectifs des Forces de défense et de sécurité au Sénégal. «En effet, depuis 2006, avec l’admission de jeunes filles à la Gendarmerie, les Forces Armées sénégalaises sont en train de faire des efforts significatifs en matière de réduction des inégalités de genre, conformément à ses engagements régionaux et internationaux.
A ce titre, l’intégration des femmes dans la Gendarmerie répond aux orientations des Nations Unies pour assurer l’égalité des hommes et des femmes dans le secteur de la paix et de la sécurité», renseigne la même source. 19 octobre 2006 - 19 octobre 2021 ; le premier jour d’école pour les premières filles futures gendarmes sénégalaises remonte à 15 déjà. Car c’est cette journée du jeudi 19 octobre 2006 que le Commandement a intégré les premiers membres de son personnel féminin à l’Ecole de Formation de la Gendarmerie nationale de Ouakam. Recrutées avec un niveau minimal du Brevet de fin d’études moyennes (BFEM), la première vague de filles admises dans l'Institution sera une promotion attendue aussi bien par le Commandement que par les Sénégalais, après une formation militaire et professionnelle de deux (02) ans à l’issue de laquelle ces premières gendarmes sénégalaises ont officiellement occupé ou été affectées à des postes.
Issues des milieux les plus divers de la société sénégalaise, ces jeunes filles ou dames, sont entrées par la grande porte de l’histoire des Forces Armées sénégalaises, étant de la première promotion d'Elèves sous-officiers féminins. Après les premiers jalons de la féminisation des Forces Armées sénégalaises posés en 1984 par l’accueil de filles à l’École militaire de santé (EMS), et à la Gendarmerie en 2006 avec cette première promotion d'Elèves sous-officiers, recrutées par appel ouvert aux jeunes filles sénégalaises, la messe est ainsi dite pour une marche vers une égalité de genre au sein des Armées sénégalaises. Et c’est le Décret N°2006-515 du 9 juin 2006 de l’ancien président Abdoulaye qui est a accéléré cette révolution en genre dans les effectifs des Forces Armées sénégalaises.
REDUCTION DES INEGALITES DE GENRE DANS LES FORCES ARMEES : Le Décret N°2006-515, base d’un virage révolutionnaire
L’ouverture du personnel des Forces Armées aux filles et aux femmes trouve son fondement juridique, entre autres, dans le Décret N°2006-515 du 9 juin 2006 portant recrutement exceptionnel et à titre transitoire de personnel féminin dans la Gendarmerie. Le texte signé par l’ancien président Abdoulaye Wade, indique, en son article premier : «Un recrutement exceptionnel et transitoire d’élèves sous-officiers de Gendarmerie est ouvert aux jeunes filles de nationalité sénégalaise, titulaires au moins du Diplôme de fin d’études moyennes (D.F.E.M.) ou de tout autre diplôme admis en équivalence».
Et le document de préciser, dans l’article 2 que «Les candidates devront en outre remplir les conditions fixées par l’article 19 du décret 79-050 du 11 janvier 1979, exception faite de l’âge, de la taille, des diplômes et de la situation matrimoniale. Elles doivent être célibataire sans enfant, avoir une taille minimum de 1,60 mètre et être âgé de 18 ans au minimum et 21 ans au maximum, à la date du dépôt de la candidature. Cet âge peut être porté à 24 ans au plus pour les titulaires d’une licence de l’enseignement supérieur ou de tout autre diplôme admis en équivalence».
Toutefois, encadre le texte, «Le nombre de candidates à recruter est fixé par le Ministre des Forces Armées» (article 5). Dans l’article 6, il est écrit que «Les candidates admises effectuent leur service militaire au titre de la Gendarmerie en qualité d’engagée volontaire. Elles contractent un engagement volontaire de deux ans au titre de cette Arme».
Et l’article 7 de relever : «Incorporées à l’Ecole de Formation de la Gendarmerie, elles y suivent une préparation militaire et professionnelle d’une durée de deux ans à l’issue de laquelle elles sont nommées au grade et à l’emploi de gendarme», détaille-t-on dans le décret qui soumet, pendant la durée de la formation, les élèves gendarmes féminins au règlement intérieur de l’Ecole de Gendarmerie, conformément à son article 8.
MACKY ET IDY, UN NEW DEAL POUR LES LOCALES DE 2022
Idrissa Seck récupère la ville, se maintient dans les trois communes et Macky Sall et l’Apr se consolent du conseil départemental. Selon des informations obtenues par Emedia, Macky et Idy ont fait leurs choix sur Thiès
Emédia |
Isidore Alexandre SENE |
Publication 23/10/2021
Idrissa Seck récupère la ville, se maintient dans les trois communes et Macky Sall et l’Apr se consolent du conseil départemental. Selon des informations obtenues par Emedia, Macky et Idy ont fait leurs choix sur Thiès. *En cas de victoire de la mouvance présidentielle*, le dernier nommé va récupérer la mairie de la Ville de Thiès dirigée par Talla Sylla, les communes de L’Est du nord et de l’ouest jusque-là dirigées par les partisans d’Idrissa seck vont revenir encore au Rewmistes. Notre source digne de fois avance que cette décision a été actée ce vendredi.
L’Alliance pour la république va devoir se contenter du conseil départemental dirigé jusqu’à présent par le président du conseil économique social et environnemental par ailleurs, président du Parti Rewmi. Et le poste devrait selon nos informations revenir à l’ancien directeur général de la poste Pape siré Dia membre de l’Apr.
Si pour le conseil départemental un coin du voile est levé sur le nom de celui qui sera le candidat de Bby, pour les communes et la ville c’est mystère et boule de gomme pour le moment.
Sauf coup de théâtre et rectificatif, notre source est formelle, les carottes sont cuites pour bon nombre de responsables Apr dans la capitale du rail qui avaient annoncé leur candidatures pour les locales ou leur candidature portée par des mouvements religieux et sociaux . Certains observateurs de la scène politique Thiessoise avancent que bby ira au locales avec des listes parallèles quid à recevoir des sanctions de leurs patrons politique.
LE TRAVAIL REMARQUABLE DES «CASQUES BLEUES» SENEGALAISES
Stabilisation et maintien de la paix et de la sécurité dans le monde
La féminisation des effectifs pour réduire les inégalités de genre est en marche dans tous les corps habillés militaires et paramilitaires ou presque du Sénégal (Armée, Gendarmerie, Police, Douane, Eaux et Forêts, etc.). Et il ne pouvait en être autrement.
Très actif dans le secteur de la paix et de la sécurité dans le monde, étant un des plus grands contributeurs (il est le 11e pays) de troupes et de personnel de Police aux opérations de maintien de la paix de l'ONU, le Sénégal ne pouvait que se conformer à la nouvelle directive des Nation Unies (ONU). En effet, le Conseil de sécurité de l’ONU a adopté, en 2000, une Résolution historique sur les femmes, la paix et la sécurité, qui reconnaît pour la première fois qu’il n’y aura jamais de stabilité durable tant que les femmes ne seront pas à la tête des négociations, des efforts d’instauration de la paix et de reconstruction des sociétés ravagées par la guerre.
Pour l’ONU, la capacité des femmes à apaiser les tensions, à favoriser la compréhension et à promouvoir la réconciliation, est reconnue par toute la communauté internationale. Ce qui explique la présence désormais depuis plusieurs années de femmes Jambars et policières sénégalaises dans les contingents de Casques bleus. Mieux, elles ne cessent de jouer les premiers rôles et d’honorer leur pays dans les nombreuses missions de stabilisation et de maintien de la paix de l’ONU où elles sont déployées, notamment SENFPU-MONUSCO, par exemple, qui en est à plusieurs contingents envoyés en République Démocratique du Congo (RDC).
D’ailleurs, c’est pour ses actions louables dans ce pays que le Commandant Seynabou Diouf (du contingent sénégalais de MONUSCO) a reçu le Prix de la policière des Nations Unies en 20219. Elle a été sélectionnée parmi 30 candidatures examinées, provenant de huit (08) missions. Mme Seynabou Diouf, Commandant de la Police nationale du Sénégal a reçu, le 5 novembre 2019, le Prix de la Policière des Nations Unies «pour son travail remarquable qu’elle a accompli au sein de la Mission des Nations Unies pour la Stabilisation en République démocratique du Congo (MONUSCO) à Goma, dans le Nord Kivu».
Responsable du Réseau des femmes de la Police de la MONUSCO qui relie des policières dans des activités de formation, d’accompagnement et de développement professionnels et d’appui mutuel, Mme Diouf a pris d’importantes initiatives qui ont renforcé la Police nationale congolaise. Elle a également assisté des victimes de violences sexuelles au sein du Réseau des femmes de la Police de la MONUSCO. Elle incarne les valeurs et les vertus cardinales de l’ONU. «Elle est un exemple pour nous tous», déclarera le Commissaire Luis Carrilho, Conseiller de Police des Nations Unies.
«IL Y A AUJOURD’HUI AUTANT DE FEMMES QUE D’HOMMES PARMI LES CHEFS OU CHEFS ADJOINTS DE MISSION»
Et le 21 octobre 2021, dans son discours prononcé au cours du débat public tenu par le Conseil de sécurité sur les femmes et la paix et la sécurité, le Secrétaire général de l’ONU, António Guterres, a demandé d’ouvrir aux femmes la voie à leur participation véritable aux processus de médiation et de paix. Non sans relever que «près de 18% des officiers d’Etat-major et des experts militaires sont aujourd’hui des femmes, contre 8 % en janvier 2018.
Parmi les policiers hors unités constituées, ce taux est passé de 20 à 30%. Jamais autant de femmes n’ont été à la tête de missions des Nations Unies – il y a aujourd’hui autant de femmes que d’hommes parmi les chefs ou chefs adjoints de mission».
Le Prix de la policière des Nations Unies a été créée en 2010 par l’Association internationale des policières pour rendre hommage à la contribution de celles-ci aux opérations de maintien de la paix. «Pour une victime qui a besoin de secours et de protection, rien n’est plus réconfortant que la vue de policières fortes…», a expliqué la ViceSecrétaire générale de l’ONU Asha-Rose Migiro, lors du lancement du Réseau international des policières du maintien de la paix, le 21 août 2011, à Lexington, dans le Kentucky (États-Unis d’Amérique).
BAMBEY BENEFICIE DE 4 INFRASTRUCTURES DE PACASEN
Le programme d’appui aux communes et agglomérations du Sénégal (PACASEN) a réalisé en 2021 quatre infrastructures dans la commune de Bambey pour un coût de 76 millions de francs CFA.
Bambey, 22 oct (APS) - Le programme d’appui aux communes et agglomérations du Sénégal (PACASEN) a réalisé en 2021 quatre infrastructures dans la commune de Bambey pour un coût de 76 millions de francs CFA.
’’A Bambey, les fonds alloués par Pacasen en 2021 d’un montant de 76 millions FCFA ont permis la réalisation d’un espace jeunes, d’un poste de santé et la rénovation de la place de l’indépendance et de la mairie’’, a déclaré, vendredi, El Hadji Alassane Diallo, responsable de la cellule de communication de l’Agence de développement municipale (ADM).
Il conduisait une mission de suivi du Pacasen pour voir l’état d’avancement des travaux des infrastructures inscrites dans le cadre de la phase pilote de ce projet.
Le Pacasen est financé à hauteur de 260 millions de dollars US (environ 130 milliards de FCFA) provenant des fonds propres de l’Etat du Sénégal et de crédits obtenus auprès de la Banque mondiale (BM) et de l’Agence française de développement (AFD).
’’Nous avons eu à identifier quatre projets depuis 2020. Il s’agit du poste de santé, la place de l’indépendance qui est un symbole de la commune. Il y a aussi la mairie qui depuis sa création n’a pas été réfectionnée mais aussi un espace jeune doté d’équipements sportifs’’, a dit le maire de Bambey, Ganna Mbaye.
Selon lui, ces infrastructures ont été choisies en concertation avec les populations, les délégués de quartiers sous la supervision de l’agence régionale de développement (ARD).
’’Le poste de santé est déjà fait et nous pensons sous peu l’inaugurer et le mettre à la disposition des populations. Il a été équipé aussi par la commune avec le soutien de nos partenaires français dans le cadre de la coopération décentralisée’’, a indiqué l’édile de la commune de Bambey.
A l’en croire, c’est après avoir réalisé une cartographie sanitaire de la ville que la municipalité et ses partenaires ont décidé de construire un poste de santé à hauteur de 20 millions FCFA au quartier DV qui a une forte densité.
’’Le quartier de DV qui aujourd’hui en termes de population est le quartier le plus dense n’avait pour structure de santé que la Croix-Rouge et on sait qu’elle n’a pas suffisamment de moyens pour prendre en charge les préoccupations sanitaires des populations’’, a fait remarquer Ganna Mbaye.
Il a assuré que toutes ces infrastructures devraient être inaugurées dans quelques mois pour que les populations puissent en bénéficier convenablement.
LE DIRECTEUR DU COUD S'ENGAGE A REDORER LE BLASON DE L’UNIVERSITE POUR LE BIEN-ETRE DES ETUDIANTS
Dans sa vision d’améliorer les conditions de vie et de travail des étudiants conformément à sa mission, le directeur du Coud a annoncé certaines dispositions
iGFM - (Dakar) Le directeur du centre des œuvres universitaires de Dakar (COUD), Maguette Sene, a procédé à une déclaration de politique environnementale de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar.
Dans sa vision d’améliorer les conditions de vie et de travail des étudiants conformément à sa mission, le directeur du Coud a annoncé certaines dispositions. S’adressant à l’assistance, il a magnifié l’excellent travail abattu par le chef de département de l’environnement et son équipe pour la mise en place des espaces verts.
En tant que directeur du Coud, ce dernier pense qu’il est de leur devoir, avec l’implication de tous les acteurs, de redorer le blason de l’université pour le bien-être des étudiants. Et pour ce faire, au nom du Coud, il estime que l’hygiène de l’environnement, la certification ISO 14.001 version 2015 et de l’amélioration des résultats constituent les trois points essentiels pour l’atteinte des objectifs. A ce titre, le directeur du Coud se dit prêt à soutenir les étudiants dans le but d’atteindre tous ces objectifs.
« Eu égard aux enjeux, s’attachant à la gestion de l’environnement, le centre des œuvres universitaires de Dakar s’est engagé dans une démarche d’amélioration continu des conditions de vie et de travail des étudiants conformément à sa mission. A cet effet, la direction du Coud a pour ambition de faire des campus sociaux, des lieux d’épanouissement et de bien-être propices au développement des savoirs. Dans cette perspective, le Coud a pris l’option de s’inscrire dans une voie articulée autour de critères à savoir l’amélioration de sa performance environnementale, le respect des obligations de conformité, la réalisation des objectifs environnementaux. Ainsi, à court terme, le Coud vise la certification 14.001 version 2015, à moyen terme, la direction du Coud a pour objectif de redonner à l’étudiant sa place en créant une conscience collective environnementale et à long terme une amélioration significative des résultats académiques », conclut-il.
Le Coud, ainsi appelle à la cohésion et à la synergie des ressources (étudiants, professeurs et acteurs) à s’impliquer davantage pour assurer l’amélioration continue des prestations au profit des étudiants.
ATTAQUES VERBALES ENTRE RELIGIEUX, LE GOUVERNEMENT DIT STOP
Le ministre de l’Intérieur a déploré, vendredi, ’’les attaques verbales virulentes’’ contre des communautés via notamment les réseaux sociaux et prévenu que l’Etat ’’prendra-t-il toutes les mesures qui s’imposent’’.
Dakar, 22 oct (APS) – Le ministre de l’Intérieur a déploré, vendredi, ’’les attaques verbales virulentes’’ contre des communautés via notamment les réseaux sociaux et prévenu que l’Etat ’’prendra-t-il toutes les mesures qui s’imposent’’.
’’Il est constaté, de plus en plus dans les réseaux sociaux, des attaques verbales virulentes contre des communautés religieuses de notre pays’’, indique le ministère dans un communiqué dont l’APS a eu connaissance.
Fort de ce constat, le ministre de l’intérieur, en charge des Cultes, tient à rappeler que ’’les libertés et les pratiques religieuses sont consacrées dans notre constitution’’ et que par conséquent ’’nul n’a le droit de s’en prendre aux croyances des autres’’.
Ainsi, il a invité ’’au respect des convictions religieuses de tous nos concitoyens et à l’observation des principes qui fondent notre nation’’.
’’Aussi, prévient-il, l’Etat du Sénégal prendra-t-il toutes les mesures qui s’imposent pour d’une part, faire respecter les lois et règlements en vigueur et d’autre part, préserver la paix et la concorde qui ont toujours régné entre nos communautés religieuses’’.
Le khalife de Thiénaba Baye Assane Seck, par la voix de son porte-parole, a récemment lancé, une mise en garde contre les agressions verbales entre familles religieuses musulmanes, par réseaux sociaux interposés.
Dans une déclaration retransmise en direct sur Thiénaba TV, une chaîne de télévision locale, son porte-parole Ngagne Demba Sarr a indiqué que Baye Assane Seck recommande d’éviter de polémiquer sur les réseaux sociaux, car cela détruit les étroites relations entre familles religieuses que les anciens ont tissées.
Le 1er mai dernier, à l’occasion de la traditionnelle cérémonie de remise de cahiers de doléances, le chef de l’Etat avait déclaré que la régulation du secteur des médias sociaux était "une urgence".
"On ne peut pas laisser continuer, ce qui se passe dans notre pays dans ce domaine. Ce n’est pas possible", avait lancé Macky Sall en présence du Secrétaire général du Syndicat national des professionnels de l’information et de la Communication du Sénégal (SYNPICS), Bamba Kassé.
Selon lui, le gouvernement a déjà engagé "une réflexion sur la régulation du secteur des médias sociaux et un texte est presque prêt", promettant de le partager avec les professionnels des médias.
CANCER DU SEIN : LES FEMMES DE L’ARTP DE PLAIN-PIED DANS LA SENSIBILISATION ET LE SOUTIEN
Madame Mbaye née Fatoumata Binetou Khouma, présidente de l’AFARTP, a témoigné toute sa gratitude à l’endroit du Dg de l’ARTP.
iGFM - (Dakar) L’Amicale des Femmes de l’ARTP (AFARTP), dans le cadre des activités de ce mois d’octobre rose, a initié, le vendredi 22 octobre 2021, une matinée de sensibilisation sur le cancer du sein en collaboration avec l'Association Cancer du sein Sénégal.
Ladite matinée, animée par le Dr Cheikh Tidiane Diarra, Gynéco-obstétricien, Chirurgien et Cancérologue, s’est déroulée dans les locaux de l’ Autorité de régulation, sis aux Mamelles.
Dans son mot de bienvenue, Madame Mbaye née Fatoumata Binetou Khouma, présidente de l’AFARTP, a témoigné toute sa gratitude à l’endroit du Dg de l’ARTP.
« M. Abdoul LY est présentement en voyage mais il a donné des instructions nécessaires pour la réussite de l’événement. Nous le remercions pour son engagement sans cesse renouvelé à l’endroit de notre amicale», dira t-elle.
La présentation du Dr Diarra était très intéressante, instructive, pleine d’humour et d’interactions positives.
L’assistance a beaucoup apprécié. Les femmes de l’ARTP en redemandent.
Et il n’y avait pas que de la sensibilisation sur le cancer du sein. L’AFARTP, fidèle à sa ligne de conduite qui repose essentiellement sur le social, a procédé à la remise d’un chèque d'une valeur d'un million cinq cent mille (1.500.000) francs cfa pour l’achat de 100 kits de mammographie destinés à des femmes du monde rural.
Le chèque a été remis à Madame Kébé née Mame Diarra Guéye, présidente de l’Association Cancer du Sein Sénégal.
Cette dernière s’est félicitée de ce geste « vital » et de haute portée sociale de l’AFARTP qui sensibilise et aide des femmes à se faire dépister du cancer du col de l’utérus et du Cancer du Sein en collaboration avec les associations de lutte contre cette pathologie.
Par ces bonnes actions, les Femmes de l’ARTP ont juste sacrifié à une vieille traduction en faveur des couches sociales défavorisées.
Juste rappeler que l’AFARTP est régulièrement au chevet des enfants atteints de Cancer et admis au Service Oncologie de l’Hôpital Aristide Le Dantec.
Et ce n’est pas tout, l’association est aussi en première ligne dans la lutte contre le Coronavirus.
Par le biais du Directeur Général de l’ARTP, Monsieur Abdoul LY, elle avait fait parvenir au « Fonds Force Covid-19 » sa modeste contribution avant de venir en aide plus tard à des établissements scolaires, triés sur le volet, dans la Banlieue dakaroise dans le cadre de la lutte contre cette pandémie.
Portée sur les fonts baptismaux le 8 mars 2007, l’AFARTP fait régulièrement des dons dans les daaras et pouponnières de la capitale et dans les régions, sans compter une opération annuelle de don de sang avec le concours du Centre National de Transfusion Sanguine, entre autres actions en faveur des couches sociales défavorisées.