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20 juin 2025
LA TASK-FORCE REPUBLICAINE RECADRE L’OPPOSITION
La task-force républicaine est formelle sur la décision d’irrecevabilité du recours en annulation : le Conseil constitutionnel n’a dit que le droit et l’opposition se trompe de combat.
La task-force républicaine est formelle sur la décision d’irrecevabilité du recours en annulation : le Conseil constitutionnel n’a dit que le droit et l’opposition se trompe de combat.
Dans un communiqué transmis à la presse, elle relève ainsi : « Par la décision numéro 2/c/2021 du 20 juillet 2021, le Conseil constitutionnel a rendu son délibéré relativement à la demande de députés de l’opposition pour qui, certaines dispositions des lois modifiant le Code pénal et le Code de procédure pénale sont contraires à la Constitution. Mais pour le Conseil constitutionnel, la demande de l’opposition est irrecevable et les articles visés ne sont pas contraires à la Constitution. L’opposition savait que les modifications apportées par l’Assemblée nationale le 25 juin 2021 sont conformes à notre Constitution.
En vérité, les députés de l’opposition voulaient naïvement profiter du fait qu’un juge constitutionnel est décédé et que deux autres juges avaient des mandats en expiration pour s’adonner à leur stratégie classique d’enfumage afin de semer le doute dans l’opinion », a déclaré la Task force République dans un communiqué hier, vendredi 23 juillet 2021, parvenu à la rédaction de Sud.
Et de poursuivre : « Les désinformations de l’opposition semblaient ignorer qu’au terme de la loi organique 2016-23 du 14 juillet, le Conseil constitutionnel pouvait délibérer avec quatre membres. En effet, pour la Task force républicaine, l’article 23 de la loi organique 2016-23 dit : « le Conseil constitutionnel ne peut délibérer qu’en présence de tous ses membres, sauf empêchement temporaire de trois d’entre eux au plus dûment constaté par les autres membres ». Selon la Task force, c’est comme si ces opposants voulaient faire prendre l’ombre pour la proie en feignant d’oublier que la quintessence de la réforme pénale du 25 juin 2021 est surtout dans le remplacement des travaux forcés par la réclusion criminelle pour les infractions d’actes terroristes « commises intentionnellement lien avec une entreprise individuelle ou collective dans le but de troubler gravement l’ordre public ou le fonctionnement normale des institutions par l’intimidation ou la terreur ».
Dans la foulée, le communiqué note : « il faut être un terroriste ou potentiel naïf inculte pour s’ériger radicalement contre cette réforme majeure qui vise la protection des citoyens et la garantie de l’intégrité territoriale ainsi que le bon fonctionnement des institutions. Dans un monde globalisé avec le terrorisme (Sous toutes ses formes et motivations) qui a fini de s’internationaliser en s’appuyant sur des relais intérieurs dans quasiment tous les Etats, « l’opposition républicaine doit refuser de suivre les aventures qui n’ont pour ambition que la désinformation de notre pays », souligne pour finir la Task force républicaine.
L’OPPOSITION CRIE AU SCANDALE ET AVERTIT
Le rejet par le Conseil constitutionnel du recours en annulation des modifications apportées au Code pénal et au Code de procédure pénale le 25 juin dernier, a fait sortir l’opposition de ses gonds
Le rejet par le Conseil constitutionnel du recours en annulation des modifications apportées au Code pénal et au Code de procédure pénale le 25 juin dernier, a fait sortir l’opposition de ses gonds. Ne comprenant pas la décision prise par les 4 juges, en violation de la loi organique qui régit le fonctionnement dudit Conseil constitutionnel, en son article 23, le député Cheikh Bamba Dieye du Front pour le socialisme et la démocratie/Benno Jubël (Fsd/Bj), et le président du parti Action pour la citoyenneté et le travail (Act), Abdoul Mbaye, dénoncent l’illégalité de ladite décision n°2/C/2021, tout en prévenant d’une éventuelle instabilité sociale à cause des agissements des membres du Conseil constitutionnel.
CHEIKH BAMBA DIEYE DU FRONT POUR LE SOCIALISME ET LA DEMOCRATIE/BENNO JUBËL (FSD/BJ) : «Le Conseil constitutionnel s'est réuni en toute illégalité pour rejeter notre recours»
«En violation de l'article 23 de la loi organique n°2016-23 relative au Conseil Constitutionnel, le CC s'est réuni en toute illégalité pour rejeter notre recours sur les lois 10-2021 et 11-2021 portant code pénal et CPP. L'allégeance à un homme prime sur le droit et le respect des lois», a protesté sur son compte Twitter, le député Cheikh Bamba Dieye du Front pour le socialisme et la démocratie/Benno Jubël (FSD/BJ). Le parlementaire auteur, avec ses collègues de l’opposition, du recours déposé à la Haute juridiction pour contrôler la conformité à l’esprit général de la Constitution et aux principes généraux du droit des lois 10-2021 et 11-2021 portant Code pénal et Code de procédure pénale adoptées le 25 juin 2021 par l’Assemblée nationale, n’en revient pas suite à la décision rendue par Papa Oumar Sakho, président du Conseil constitutionnel avec seulement 4 magistrats. Joint hier, vendredi 23 juillet, par la rédaction de Sud quotidien, le député de l’opposition se demande «comment est-ce que le Conseil constitutionnel peut-il violer la loi organique et se prononcer sur des recours qui ont été déposés ? Ils auraient dû avoir la décence d’attendre qu’ils soient au complet pour pouvoir statuer sur ce cas-là». Très remonté sur ce qu’il qualifie de «décision prise en toute illégalité», donc «nulle et non avenue», l’ancien maire de Saint-Louis estime par conséquent que les Sénégalais devraient se poser des questions sur : «pourquoi certains individus peuvent-ils se prévaloir le droit d’être le Conseil constitutionnel alors que légalement, ils ne le sont pas ?». Ne s’en limitant pas là, il avertira que, si toutefois le pays s’enflammait, ce serait à cause des juges du Conseil constitutionnel qu’il accuse d’être les «premiers ennemis du pays», car ils n’ont eu «aucune vergogne à se retenir». Pour cause, l’honorable député prévient que «l’opposition ne restera pas les bras croisés. Nous n’allons pas assister les bras croisés à ce qu’une escroquerie constitutionnelle se passe dans ce pays». Cela, d’autant plus que, à son avis, «chaque Sénégalais doit savoir qu’on ne plus organiser d’élections crédibles dans ce pays parce que le Conseil constitutionnel s’est arrogé le droit de choisir les candidats, de choisir en toute illégalité qui faire et quoi faire». Qui plus est, note-t-il pour le déplorer, «nous avons constaté aujourd’hui que la volonté de Macky Sall prime sur le droit sénégalais». Pis, poursuit-il, «il (Macky Sall) est à la recherche de la personne rare qui sera à ses services, pour accepter n’importe quoi». Le député Cheikh Bamba Dieye n’a pas manqué d’annoncer, très prochainement, une conférence de presse de l’opposition, dans laquelle sera développée toute la panoplie de mesures à prendre.
ABDOUL MBAYE PRESIDENT DU PARTI ACT : «Le Conseil constitutionnel…usurpe des pouvoirs régaliens dévolus au Président de la République»
Le parlementaire de l’opposition, Cheikh Bamba Dieye n’est pas le seul à s’étonner de la décision n°2/C/2021 rendue le 20/07/2021, par le Conseil constitutionnel. Dans une note rendue publique hier, vendredi 23 juillet, Abdoul Mbaye, président du parti de l’Action pour la citoyenneté et le travail (Act) trouve d’une «gravité extrême» ladite décision du Conseil constitutionnel (CC) qui s’est attribué des pouvoirs dévolus aux législateur et au président en mettant sur pied une nouvelle règle de quorum. «En s’octroyant des pouvoirs éminemment politiques relevant d’une responsabilité qu’il s’octroie «au nom de l’intérêt général, de l’ordre public, de la paix, de la stabilité des institutions et du principe de la nécessaire continuité du fonctionnement des institutions», le Conseil constitutionnel, sous la houlette de son Président Papa Oumar Sakho, usurpe des pouvoirs régaliens dévolus au Président de la République», déplore l’ancien Premier ministre.
Pis, poursuit-il, «faisant fi du principe fondamental selon lequel en matière juridique il ne peut y avoir de compétence sans textes, le CC a lui-même produit ses nouvelles normes. Il s’est ainsi substitué à l’Assemblée nationale, ce que ne manqueront pas d’apprécier nos honorables députés.» Toute chose qui lui fera dire que «force est par contre de constater à quel point la sécurité juridique s’est affaiblie dans notre cher Sénégal. Les principes et règles les plus élémentaires du droit sont piétinés. Le processus inexorable d’une fin de séparation des pouvoirs est mis en branle par l’Exécutif depuis plusieurs années ; il prend désormais également naissance au niveau du pouvoir judiciaire». Il a par conséquent estimé que «le recul démocratique surgit de toutes parts, mettant en sérieux danger cette paix sociale qui fit longtemps de notre pays une belle exception africaine». Cela, non sans se demander «Mais peut-être le projet est-il devenu la recherche d’un chaos qui semble malheureusement s’affirmer chaque jour davantage».
La Délégation à la solidarité nationale se meurt
En voilà une structure qui devrait changer de direction : la Délégation à la solidarité nationale et à la protection sociale, ce fleuron créé par le Président Sall à son arrivée au pouvoir. Sous Mansour Faye et même sous Anta Sarr dans une certaine mesure, elle était présente un peu partout au chevet des populations démunies et brillait de mille feux. Hélas ! Depuis quelque temps, la Délégation se meurt. Ses aides s’effritent et sont quasiment invisibles. Même les maigres enveloppes envoyées n’ont pu arriver à destination à temps pour permettre aux démunis de bien célébrer la fête de tabaski. Un dysfonctionnement est passé par là. D’où les complaintes parvenues à « L’As» où l’on se demande si vraiment Samba Diobène Kâ est l’homme qu’il faut à la tête du ministère ou encore, si vraiment la robe n’est pas trop ample pour la Déléguée Aminata Sow. En tout cas, ça bruit fort et L’As qui a capté le bruit a déjà largué ses amarres …
59 malades de covid-19 dont 02 hospitalisés
Fatick n’a pas été épargnée par la propagation fulgurante de la covid-19. Au centre de traitement des épidémies (CTE) qui polarise plusieurs districts sanitaires, les autorités sanitaires suivent 59 malades dont 02 hospitalisés. Au district de Fatick, on dénombre 39 cas, 06 cas au district sanitaire de Sokone, 02 cas au district de Passy, 08 au district de Dioffior et 02 cas à Niakhar. Les autorités médicales comptent mettre à contribution les ASC pour freiner la chaîne de contaminations. Le rythme de la vaccination est encore très lent. Seuls 9% de la cible sont vaccinés à ce jour.
Ndiaga Sylla sur la décision du Conseil constitutionnel
Le débat sur la décision du Conseil constitutionnel à propos du recours en annulation du code électoral introduit par l’opposition continue de susciter moult commentaires. S’invitant dans le débat, l’expert électoral Ndiaga Sylla retient qu’en tout état de cause, par-delà les quelques remarques de forme qu’elle comporte, la décision rendue par le Conseil constitutionnel sénégalais est riche d’arguments juridiques, d’interprétations et d’enseignements. Même si, poursuit-il, sur bien des dispositions, elle prend le contrepied des standards internationaux en matière de respect du droit fondamental de suffrage. Toutefois, l’expert électoral trouve que le recours introduit par l’opposition devant le Conseil constitutionnel a donné à Pape Oumar Sakho et Cie l’opportunité de se prononcer, pour la première fois, sur la teneur de ce projet de loi portant code électoral.
Détention illégale d’armes blanches
Aliou et Mamadou K., respectivement cireur de chaussures et tailleur, âgé de 22 ans, ainsi que Amadou B., ont passé leur fête de Tabaski en prison. Les mis en cause sont tombés dans les filets du Commissaire Abdou Sarr de Grand Yoff au cours d’une patrouille à la Zone de captage. Les quidams ont été surpris par les limiers dans une baraque de Grand Yoff, en train de mettre sur pied leur plan maléfique. Sommés de s’expliquer sur la détention d’armes blanches, les susnommés ont déclaré les avoir achetées pour la Tabaski. Des allégations qui n’ont pas convaincu les limiers. Ils ont été placés en garde à vue pour détention illégale d’armes blanches.
Usage de produit cellulosique
Charretier de son état, Mamadou Nd. habitant à Hlm Grand Yoff, aime prendre du diluant cellulosique pour se droguer. Il a été surpris par les limiers à la zone de captage en train d’inhaler ce produit. Conduit au Commissariat de police de Grand Yoff où il a été placé en garde à vue avant d’être déféré au parquet pour usage de produits cellulosiques. Usage de chanvre indien Carreleur de profession, M. S. est un adepte de l’herbe qui tue. Venu au quartier Arafat de Grand Yoff pour s’approvisionner en chanvre indien M. S aura la malchance de tomber sur une patrouille de police de la localité. Les policiers ont trouvé par devers lui deux cornets de chanvre indien. M. S. sera conduit au poste de police de Grand Yoff avant d’être déféré au parquet pour détention aux fins d’usage de chanvre indien.
Centrale solaire
La société Senico d’Abdoulaye Dia se met au vert. Elle sera accompagnée dans sa transition énergétique par l’entreprise Green Yellow, spécialisée dans la production solaire photovoltaïque pour installer une nouvelle centrale en autoconsommation de 1,56 MWc. D’ailleurs, Green Yellow a signé le contrat pour la construction de la plus grande centrale solaire photovoltaïque en autoconsommation du Sénégal. Elle sera installée à Diamniadio, sur l’autoroute entre Dakar et l’Aéroport International Blaise Diagne. A travers ce projet, le producteur d’énergie solaire entend accompagner Senico dans l’accomplissement de ses objectifs environnementaux. Par ailleurs, Green Yellow envisage déjà la réalisation de projets d’extension de cette centrale en vue d’aboutir à la signature prochaine d’un autre contrat avec un second leader du secteur. Green Yellow poursuit son ambition d’asseoir sa position d’acteur majeur sur le marché du solaire photovoltaïque et de l’énergie verte sur le continent.
Mansour Faye au secours de familles de pêcheurs
La situation des familles des victimes de la mer ne laisse pas indifférent le maire de la commune de Saint-Louis. Mansour Faye a, à l’approche de la fête de la Tabaski 2021, offert des moutons et une enveloppe financière d’une valeur de 850 000 FCFA pour permettre à ces familles qui ont perdu des proches de passer une très bonne fête. Absent de la capitale du Nord lors du drame, il a dépêché une forte délégation dirigée par la député Bineta Fall. Après avoir délivré le message de compassion du maire, la délégation a procédé à la remise des 17 enveloppes financières et des moutons destinés aux familles des 17 disparus en mer. Pour rappel, ces jeunes de Pikine étaient disparus dans la nuit du 20 octobre 2020 au large de Dakar, à la suite d’une explosion de leur pirogue qui se rendait en Espagne. Les bénéficiaires se sont réjouis du geste de l’édile de la commune de Saint-Louis qui est «toujours à leurs côtés».
Sonatel améliore sa bonne dynamique opérationnelle
Le groupe Sonatel consolide ses performances opérationnelles et financières au premier semestre 2021. Avec ce résultat, le premier groupe de téléphonie conforte son leadership dans ses cinq pays de présence. Dans un communiqué parvenu à «L’As», on indique que les investissements importants réalisés en 2020 et au cours du premier semestre 2021 ont permis de maintenir l’avancée et la qualité de la connectivité. Ce qui a permis au groupe Sonatel de garder un niveau de marge appréciable grâce à une bonne maîtrise des coûts, à l’amélioration de la rentabilité de la data mobile et des services financiers mobiles. Selon la même source, l’évolution semestrielle des principaux indicateurs montre une évolution positive des résultats financiers par rapport à 2020 (chiffres d’affaires en croissance de +9,3%, marge opérationnelle (EBITDA) en croissance de 12%), malgré un marché toujours marqué par l’impact de la crise de la Covid19 sur l’activité économique ainsi que par la massification de la concurrence. Le document renseigne que la croissance du groupe est tirée par tous les pays, notamment le Mali, la Guinée mais aussi le Sénégal qui fait face à une forte offensive concurrentielle sur le Mobile Money, grâce au renforcement de la contribution de la Data, d’Orange Money, des projets de diversification et à la progression de la voix et des SVA face au recul de l’international entrant.
Les Futurs de l’Education de l’Unesco
Le président de la Coalition Education Pour Tous du Sénégal, Silèye Gorbel Sy, a participé hier au séminaire virtuel de l’Unesco intitulé : Preuves, Connaissance et Recherche dans le Contexte de la COVID-19 : Favoriser des partenariats équitables pour un apprentissage mutuel. Il s’agissait pour les acteurs de l’éducation du monde de ré imaginer la recherche et les connaissances en matière d’éducation pour des futurs durables à cause de l’impact de la crise sanitaire mondiale. Aujourd’hui, la pandémie de la COVID-19 a renforcé l’importance de la réflexion et de l’action sur les futurs de l’éducation. Le constat est que l’accent mis sur les politiques «basées sur des preuves» dans l’éducation et le développement international est parfois critiqué parce qu’il repose sur des connaissances produites par des relations de pouvoir inégales et de partenariats de recherche inéquitables. Ainsi la COVID-19 exige la nécessité de disposer de données probantes générées, testées et adaptées localement, en insistant sur l’importance de comprendre la dynamique des contextes spécifiques. Selon un communiqué parvenu à «L’As», l’un des principaux défis pour la communauté du monde de la recherche est de favoriser des partenariats plus équitables pour l’apprentissage mutuel et la co-création de connaissances.
La LSDH interpelle les ministres de l’Intérieur et de la Justice
La Ligue sénégalaise des droits humains (LSDH) a demandé aux ministres de l’Intérieur et de la Justice de diligenter des enquêtes rigoureuses pour traquer, arrêter et traduire devant les juridictions les auteurs de ces actes inqualifiables à l’encontre des éléments des forces de défense et de sécurité. Car la Ligue Sénégalaise des Droits de l’Homme (LSDH) est fortement préoccupée par la récurrence des décès d’agents des forces de défense et de sécurité et de la Douane au Sénégal. L’organisation cite les cas du policier Lat Ndiaye percuté à Rufisque par de jeunes garçons qui avaient forcé un barrage de contrôle en fin mai, celui de Samba Biaye percuté dans la nuit du 17 au juillet à Mbour par un conducteur qui est toujours en fuite, et récemment le cas du douanier Léon Youga Faye tué par balles à Rosso Sénégal.
Accident à Ndiéyène Sirakh, provoqué par un candidat
On en sait un peu plus sur le grave accident de la circulation survenu sur la route latéritique et précisément dans l’axe Ndiéyène Sirakh-Ndouf, département de Thiès, l’avant-veille de la tabaski et qui a avait fait 3 morts et une quinzaine de blessés. C’est un véhicule Mitsubishi immatriculé DK 5025 AN en partance pour Khombole qui s’est renversé à la sortie de Ndiayène Sirakh, le chauffeur ayant perdu le contrôle car roulant à vive allure, selon les témoignages. C’est ainsi qu’il a fait plusieurs tonneaux entraînant la mort de 3 personnes. Il s’agit de Amy Diouf 50 ans, habitant le village de Mbouleukhtène marché, Assane Ba âgé de 32 ans et Modou Bousso 17 ans tous deux originaires de Mbouleukhtène Séko. Aux dernières nouvelles, le véhicule était conduit par le jeune Fallou Barr, Président mouvement And Suxali Ndiéyène Sirakh, par ailleurs candidat au poste de Maire et qui est en pleine pré campagne. Et le plus drôle dans cette affaire est qu’il ne détenait pas de permis de conduire au moment des faits et qu’il y avait plus de 15 personnes dans un véhicule qui ne devait transporter que 4 ou 5. C’est dire selon nos sources que le candidat est actuellement dans de sales draps.
Ng. D. lacère le visage de Ndèye F. S.
Pour une banale histoire de linge, la dame Ng. D. s’est fait ouvrir bêtement les portes de la prison. Selon nos sources, tout serait parti d’une dispute à la terrasse de la maison. La dame Ndèye D. entend sa grand-mère en train de se disputer avec sa voisine Ng. D. Sur ce, elle se rend à la terrasse pour y voir un peu plus clair. Venue faire la médiation, Ndèye sera abreuvée d’injures par leur voisine Ng. D.. Mais cette dernière qui était déterminée à solder ses comptes avec Ndèye revient à la charge pour lui lacérer le visage. Grièvement blessée, Ndèye F. S. se rend alors dans une structure sanitaire de la place pour des soins intensifs. Elle revient avec un certificat médical d’incapacité temporaire de travail de 10 jours. Munie du document, Ndèye F. S. dépose une plainte au parquet contre Ng. D. Elle a réfuté les accusations devant les enquêteurs. Mais elle sera enfoncée par la grand-mère de Ndèye qui soutient que Ng. D. l’a traitée de sorcière avant de jeter son linge par terre. Suffisant alors pour que Ng. D. soit placée en garde à vue avant d’être déférée au parquet pour coups et blessures volontaires
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COVID-19 : «UNE EXCELLENTE OPPORTUNITÉ POUR L'AFRIQUE»
Pourquoi la Covid-19 est-elle une opportunité pour l'Afrique? Quelles sont les perspectives pour le continent de rebondir après cette crise ? Sur quelles ressources peut s'appuyer l’Afrique pour s’en sortir ? Réponses du docteur Demba Moussa Dembélé
Docteur en Économie et militant engagé du développement autocentré de l’Afrique, Demba Moussa Dembélé est l’un des initiateurs du Forum mensuel «Les Samedis de l’Économie», qui se tient à Dakar depuis bientôt 9 ans. Chercheur sur les questions de macroéconomie, Moussa Dembélé est président de l’Africaine de recherche et de coopération pour le développement endogène (Arcade).
Inlassable critique du système néolibéral avec son corolaire, le capitalisme, Moussa Dembélé, qui rencontré, à maintes reprises, l’ancien président brésilien Ignacio Lula Da Silva, est un fervent militant du mouvement altermondialiste.
Dans la première partie de la grande entrevue accordée accordé à AfricaGlobe tv et AfricaGlobe.net, Demba Moussa Dembélé se prononce sur la crise du Covdi-19 qui éprouve la planète toute entière depuis deux ans. Malgré toutes les conséquences engendrées par cette pandémie à l’échelle planétaire, le Docteur Dembélé estime, sans ambages, qu’elle constitue «une excellente opportunité pour l’Afrique ».
La pandémie de la Covid-19 constitue le moment opportun pour l’Afrique de trouver non seulement sa propre voie, mais surtout de compter sur ses propres forces pour réaliser son développement. Autrement personne, pas même les pompeuses institutions de Bretton Woods prétendument appelées partenaires au développement ou le G20 ne le feront.
La preuve lorsqu’il a été question d’acter l’annulation de la dette des pays africains du fait des effets de la pandémie, les pays riches notamment ceux du G20, ont préféré proposer aux dirigeants africains un moratoire de 6 mois. Pourtant, quantité de facteurs plaident en faveur d’une annulation pure et simple. Fort de cela, non seulement la Covid-19 constitue une opportunité, mais le chercheur en Économie y voit de belles perspectives pour continent.
A cette fin, les dirigeants africains gagneraient à s’évertuer à écouter leurs citoyens, notamment leurs chercheurs de toutes disciplines confondues et à appliquer les conseils et recommandation pour sortir l’Afrique de sa situation. Suivez Moussa Demba Dembélé dans cet entretien.
Dans la suite de suite de l'entretien (prochaines vidéos), le Dr Demba Moussa Dembélé expose comment Macron et Ouattara ont détourné le projet de monnaie commune de la CEDEAO avant d’être rappelé à l’ordre par Buhari bien.
JO DE TOKYO : L'AGENDA DES ATHLETES SENEGALAIS
Les 29emes Jeux Olympiques (Jo), vont se dérouler du 23 juillet au 8 août à Tokyo au Japon, sans public en raison de la pandémie de covid 19. Le Sénégal sera représenté par dix athlètes
Les 29emes Jeux Olympiques (Jo), vont se dérouler du 23 juillet au 8 août à Tokyo au Japon, sans public en raison de la pandémie de covid 19. Le Sénégal sera représenté par dix athlètes. Leur agenda ci-dessous.
SCRIME
1. NDEYE BINETA DIONGUE, EPEE DAME : 24 juillet à 9h, Makuhari Messe B
TENNIS DE TABLE
2. IBRAHIMA DIAW : 24 juillet à 9h, Gymnase métropolitain de Tokyo
CANOE SLALOM
3. JEAN PIERRE BOURHIS : 25 juillet à 13h, Centre de sla lom de Kasai
TIR
4. CHIARA COSTA : 25 juillet à 9h, stand de tir d’Asaka
NATATION
5. JEANNE BOUTBIEN : 100 m Nage libre, 28 juillet à 19h, Centre aquatique de Tokyo
6. STEVEN K. AIMABLE, 100m Papillon, 29 juillet à 19h 50, Centre aquatique de Tokyo
JUDO
7. MBAGNICK NDIAYE : + 100 Kg : 30 juillet à 11h à Nippon Budokan, Tapis 1
ATHLETISME
8. LOUIS FRANCOIS MENDY : 110 m haies : 3 août à 19h au stade olympique
LUTTE
9. ADAMA DIATTA : 6 août, à 11h 30, Makuhari Messe hall
QATAR : LE PROCUREUR, MEDIATEUR DANS L'AFFAIRE KARIM WADE, LIMOGE
Le Qatar a limogé son procureur général Ali Bin Fetais Al-Marri. Le magistrat qui occupait le poste depuis 2002, est celui-là même qui avait conduit Karim Wade dans son pays, après sa libération de prison suite à une grâce présidentielle.
Le Qatar a limogé son procureur général Ali Bin Fetais Al-Marri. Le magistrat qui occupait le poste depuis 2002, est celui-là même qui avait conduit Karim Wade dans son pays, après sa libération de prison suite à une grâce présidentielle.
Le désormais ex-procureur général a été très discrètement débarqué. Il fait l’objet de multiples plaintes internationales. Le site lepoint.fr rapporte que Ali Bin Fetais Al-Marri et ses nombreux complices sont accusés de détournement des richesses de l’État du Qatar « pour leurs seuls profits ». Et d’avoir « utilisé la France comme refuge pour commettre des actes délictueux en regard de la justice internationale ».
D'ailleurs, le journal renseigne que le 6 juillet dernier, Emmanuel Macron a reçu, à ce propos, une longue missive signée par le cheikh Ahmed bin Khalid bin Mohammed bin Ali bin Addullah bin Qassim bin Mohammed al-Thani.
Pour rappel, l'ancien procureur avait conduit Karim Wade à Doha, au Qatar, après sa sortie de prison en catimini, en 2016. Karim Wade avait été, le 23 mars 2015, condamné à une peine de 6 ans de prison ferme et 138 milliards de FCFA d'amende (210 millions d'euros) par la Cour de répression de l'enrichissement illicite.