Dakar, 16 juil (APS) - Le chef de l’Etat, Macky Sall, a procédé, vendredi, à Dakar, à la pose de la première pierre de deux tours multifonctions de trente-deux niveaux dénommés "Daktower" sur le site de l’ancien ministère des Transports et des Infrastructures.
"C’est un projet structurant que je soutiens, un projet qui donnera un visage nouveau à Dakar parce qu’en termes d’espace, ça va être la tour la plus importante en attendant d’autres tours de dimensions similaires", a-t-il dit, lors de la cérémonie marquant le lancement des travaux de ce projet.
"Les travaux de ce projet vont générer 2000 emplois pendant la phase de construction et c’est un investissement de 111 milliards 167 millions 840 mille francs CFA", a précisé le chef de l’Etat, estimant que "c’est donc important comme investissement direct étranger".
"A côté, nous aurons bientôt le mémorial de Gorée qui va être un mémorial érigé par l’Etat en mémoire à la traite négrière mais surtout pour que le devoir de mémoire ne soit pas oublié et tout cela va participer à donner un visage nouveau à Dakar pour laquelle nous avons une très grande ambition", a indiqué Macky Sall.
Il a rappelé que "le projet emblématique Daktower a été initié en réalité, il y a plusieurs années’’. ’’A mon accession à la magistrature suprême, j’avais déjà trouvé le projet qui était inscrit pour être réalisé sur l’emplacement du stade Assane Diouf", a t-il rappelé.
"Nous avons connu beaucoup de difficultés et des péripéties mais finalement vous avez accepté les solutions qui vous ont été présentées", a-t-il ajouté.
"Ces solutions ont permis de reprendre 1, 5 ha sur le terrain qui constituait le stade et sur cette emprise, l’Etat a repris 1,5 en donnant la moitié pour l’extension de la mosquée omarienne et un hectare à la commune de Dakar-Plateau pour servir de terrain de football avec des commodités pour sa jeunesse", a-t-il expliqué.
Il signale que "l’Etat a dû rembourser 1,5 ha repris au promoteur pour donner ce site où nous sommes, qui est un site de l’Etat pour permettre à cet important projet de Daktower de pouvoir enfin démarrer".
Le président du Conseil d’administration d’ACCI, Xian Qiang Dai, a, de son côté souligné que "Daktower sera le plus haut bâtiment du Sénégal, atteignant 122 mètres de haut avec une surface de construction totale de 18000 mètres carrés".
"Le Daktower sera le plus grand complexe du Sénégal composé de commerces, d’hôtel et de logement", a-t-il ajouté.
Selon lui, le Daktower utilisera des technologies de conception et de construction avancées, des matériaux de construction de pointe pour la protection de l’environnement, ce qui en fera un bâtiment très agréable à vivre
Il précisé que "ce sont des investisseurs canadiens, américains et chinois qui ont contribué à l’investissement du projet, faisant de ACCI une société composée d’actionnaires du Canada, des Etats-Unis et de la Chine’’.
"Je suis convaincu que ses partenaires amèneront davantage d’investisseurs au Sénégal et le succès de notre projet Daktower sera également un modèle pour montrer l’attractivité du Sénégal aux autres investisseurs du monde entier", a-t-il dit.
VIDEO
DE L’APPROPRIATION DE NOS LANGUES FACE À L’OMNIPRÉSENCE DES LANGUES COLONIALES
Dans cet échange, Boubacar Boris Diop raconte ses différentes et enrichissantes vies, ses expériences diverses, l’origine de sa passion littéraire, son contact avec des littératures du monde. Le célèbre écrivain parle surtout de sa production en wolof
Dans cette conversation (Voir la vidéo), le célèbre écrivain, intellectuel et journaliste sénégalais Boubacar Boris Diop discute de littératures, de l’appropriation des langues africaines face à la concurrence des langues étrangères entre autres thématiques. Écrivain de renommée internationale, Boubacar Boris raconte l’origine de sa passion littéraire, son contact avec d’autres auteurs africains et les littératures du monde ainsi quelques points de l’histoires de l’Afrique. Boubacar parle aussi de ses différentes et enrichissantes vies, son militantisme au sein du RND dans son jeune âge.
Sur le plan littéraire, après avoir longtemps écrit en langue française et souvent traduit en maintes langues étrangères, il a décidé depuis quelques années de produire des œuvres en wolof. Boubacar Boris Diop est, de ce point de vue, l’un des rares écrivains africains qui prêchent par l’acte dans la volonté de promouvoir les langues africaines et de les utiliser pour la transmission du savoir. La finalité étant de décoloniser les mentalités, les pratiques et les comportements.
Dans cette conversation avec Mamadou Diallo de Raw Material Company, Boubacar Boris explique comment il a commencé à écrire précocement en langue nationale de manière très marginale jusqu’à en arriver à produire un roman entier.
Lecteur éclectique Boubacar Boris Diop explore toutes les littératures ou presque : des auteurs francophones aux auteurs anglo-saxons en passant par les auteurs russes et latino-américains. Bref en matière de littérature cet auteur énorme et prolifique, qui a eu beaucoup de Prix pour sa fine plume, n’a pas de sens interdit.
Dans cette même discussion, explorant quelques pans de l’histoire de l’Afrique contemporaine, il est revenu sur la tragédie qu’a connu en 1994 le Rwanda. Un pays qu’il connaît bien.
Boubacar Boris Diop soutient mordicus que la France a bel et bien trempé dans le génocide des tutsi et qu'il l'a toujours su d’ailleurs depuis 98. Et si la France a laissé faire cette tragédie c'est pour des raisons évidentes de géopolitique, de sa volonté de promotion de la langue française. Journaliste de formation, Boubacar Boris Diop avoue que « le plus beau métier du monde » a boosté sa carrière d’écrivain et a, de facto, contribué à sa renommée en tant qu'écrivain.
CE VILLAGE ANGLAIS AU NOM INTERMINABLE ET IMPRONONÇABLE, VÉRITABLE ATTRACTION TOURISTIQUE
Il s’agit d’un nom avec 58 lettres, à l’agencement improbable de consonnes et pratiquement imprononçable même pour des villageois. Certains y parviennent à force d’exercices ardus. Une petite chanson a été composée pour aider certains.
Un nom aux 58 lettres. Presque le double de l’ensemble de l’alphabet français. C’est rare voire unique, mais c’est le vrai nom que porte fièrement un village gallois (Royaume-Uni) depuis les années 1800. Il s’agit d’un nom interminable, à l’agencement improbable de consonnes et pratiquement imprononçable même pour certains villageois. Certains y parviennent à force d’exercices ardus : Llanfairpwllgwyngyllgogerychwyrndrobwllllantysiliogogogoc.
En gallois, ce nom signifie : «L’église de Sainte-Marie dans le creux du noisetier blanc près du tourbillon rapide et l’église de Saint Tysilio près de la grotte rouge».
Malgré la difficulté, ce présentateur de météo ( voir vidéo N°2) a réussi à prononcer avec une aisance déconcertante ce nom en direct à la fin de son bulletin météo avec une grande aisance.
Pour aider ceux qui ont de la volonté , une chanson polyphonique a été proposée afin d'apprendre ce nom kilométrique.
L’histoire de la paternité de ce nom est incertaine. Mais ce qui est sûr, son initiateur avait une visée marketing derrière la tête comme explique Alun Mummery, un fils du village.
L’Object serait semble-t-il de sortir la gare du village de l’anonymat. Opération réussie. En effet, étant donné l’étrangeté de ce toponyme, le village est devenu une véritable attraction touristique. Les étrangers de passage dans le village s’essaient à l’exercice sans succès, mais ils s’en amusent.
GESTION CORONAVIRUS : LE GRAND DILEMME !
Entre la pression des médecins et les réalités socio-économiques, le gouvernement du Sénégal peine à trouver la voie la plus appropriée pour faire face à la pandémie, en évitant un chaos social et économique.
Entre la pression des médecins et les réalités socio-économiques, le gouvernement du Sénégal peine à trouver la voie la plus appropriée pour faire face à la pandémie, en évitant un chaos social et économique.
Dans sa croisade contre le coronavirus, le Sénégal, à l’instar de nombreux pays africains, semble avoir du mal à trouver une voie propre qui soit conforme aux exigences locales. Depuis mars 2021, le pays s’est engouffré dans une course à la vaccination, dont il ne semble maitriser ni les tenants ni les aboutissants. Plus de quatre mois après le démarrage, la campagne en est encore à ses balbutiements. Selon les chiffres communiqués par le ministère de la Santé et de l’Action sociale, moins de 5 % de la population totale est aujourd’hui vaccinée. Et déjà, ils sont nombreux les Sénégalais qui n’ont pu jusque-là bénéficier de la deuxième dose, alors que leur rendez-vous est arrivé depuis juin.
Au moment où le pays peine à se procurer ses deuxièmes doses, il est de plus en plus agité l’idée d’une troisième dose, au moins pour les couches les plus vulnérables, pour garantir l’immunité au bout d’une certaine période. Autrement dit, dans les milieux scientifiques, ils sont nombreux à envisager la possibilité d’un rappel vaccinal toutes les années pour assurer la protection des individus.
Dans son discours du 12 juillet dernier, il y a quatre jours, Emmanuel Macron disait : ‘’Je veux m’adresser à ceux qui, vaccinés les premiers (c’est-à-dire en janvier et février) verront prochainement leur taux d’anticorps baisser et leur immunité diminuer. Je veux ici les rassurer. Dès la rentrée, une campagne de rappel sera mise en place pour vous permettre de bénéficier d’une nouvelle injection, selon le même système et les mêmes conditions que la ou les premières. Les rendez-vous peuvent être pris dès les premiers jours du mois de septembre.’’ Ce qui dénote une baisse de l’efficacité du vaccin au bout seulement de six mois environ.
L’équation de la vaccination
Dès lors, la question qui se pose est de savoir si le Sénégal, les Etats africains ont les moyens de se payer chaque année des vaccins pour des rappels nécessaires ? Quelles dispositions mettre en œuvre pour une stratégie efficace de vaccination de toutes les populations ? La réalité a montré qu’il sera difficile, pour le pays, de respecter le nombre de doses pour chaque Sénégalais et dans le timing requis pour garantir leur efficacité.
Cela dit, pour les pays qui en ont les moyens, les scientifiques français estiment que les vaccins disponibles dans leur pays permettent se protéger solidement contre le virus, et même du variant Delta. ‘’Ils divisent par 12 son pouvoir de contamination et évitent 95 % des formes graves. L’équation est simple. Plus nous vaccinerons, moins nous laisserons des espaces au virus pour se diffuser, plus nous éviterons les hospitalisations et plus nous éviterons des mutations éventuellement plus dangereuses. Vacciner un maximum de personnes partout à tout moment’’, affirmait le président Macron.
Mais les pays en développement ont-ils les moyens de dérouler les campagnes de vaccination selon les standards ? Telle est la grande question qui se pose aux spécialistes.
Une chose est sûre : l’humanité sera obligée de vivre avec le virus pendant des mois, voire des années encore. Comme c’est le cas avec certaines maladies comme le paludisme et la grippe. Aussi, faudrait-il à la fois de l’endurance et de l’efficience pour une lutte efficace contre la Covid-19. A ce jour, l’Etat semble plus valser entre un attentisme ahurissant et des paradoxes révoltants. Après avoir tenu des rassemblements sur l’étendue du territoire, durant tout le mois de juin, alors même que le virus était en pleine expansion, il revient préconiser la limitation des rassemblements, le télétravail et la limitation des déplacements. D’ailleurs, les détracteurs n’ont pas tardé à tourner en dérision cette posture pour le moins incompréhensible.
Homme politique et ancien Premier ministre, Abdoul Mbaye s’indigne sur sa page twitter : ‘’Qu’a-t-on fait au bon Dieu pour mériter ça ? Après avoir organisé les déplacements et rassemblements les plus importants depuis trois ans, mettant le Sénégal en campagne préélectorale, son gouvernement (le gouvernement de Macky Sall) demande la limitation des déplacements et rassemblements.’’
Entre paradoxes, mimétismes et impuissance manifeste
Aussi paradoxal que puisse paraitre la démarche, les spécialistes des épidémies s’accordent à admettre que ces deux mesures sont indispensables pour endiguer la propagation exponentielle du virus qui pourrait entrainer le pire. Docteur Cheikh Sadibou Sokhna : ‘’Avec les rassemblements politiques, religieux, sportifs, culturels comme les mariages, baptêmes et funérailles, le non-respect du protocole au niveau des marchés, des mosquées et des transports en commun, la recrudescence de la maladie était prévisible. Il est établi que les rassemblements augmentent les risques de propagation du virus. Il faut donc les éviter au maximum.’’
En tout cas, malgré les discours alarmistes des uns et des autres, il est des mesures qui ne semblent plus possibles à mettre en œuvre depuis le mois de mai 2020, quand le président de la République avait pris l’option jugée réaliste d’inviter les Sénégalais à apprendre à vivre avec le virus. C’était suite à deux mois d’intenses luttes où toute l’économie était à l’arrêt ou presque. Ce qui n’avait pas manqué de provoquer un désastre sur les plans économique et social. Au mois de mai, le président s’adressait à ses populations en ces termes : ‘’Après deux mois de mise à l’épreuve, nous devons sereinement adapter notre stratégie, en tenant compte une fois de plus de notre vécu quotidien. J’ai consulté, à cet effet, une équipe pluridisciplinaire d’éminents experts nationaux. Il ressort de leur analyse que, dans le meilleur des cas, c’est-à-dire si nous continuons d’appliquer les mesures édictées, la Covid continuera encore de circuler dans le pays jusqu’au mois d’août, voire septembre.’’
C’était pour montrer qu’il est impossible d’exiger certains sacrifices au Sénégal. Deux mois, c’était déjà largement suffisant. ‘’Ces projections, insistait-il, montrent que l’heure ne doit pas être au relâchement, mais à l’adaptation. Plus que jamais, l’Etat continuera de veiller à l’application des mesures de contingentement de la maladie. Mais plus que jamais, la responsabilité de chacun est engagée. Dans cette nouvelle phase qui va durer non pas quatre semaines, mais au moins 3 à 4 mois, nous devons apprendre à vivre en présence du virus, en adaptant nos comportements individuels et collectifs à l’évolution de la pandémie.’’
Dans la foulée, ont été levées ou allégées plusieurs mesures restrictives des libertés. Il en fut ainsi de l’allégement du couvre-feu, de la réouverture des lieux de culte et des marchés, de la levée de l’interdiction sur les transports, de l’annonce de la reprise des cours dans les écoles et universités, entre autres… C’était la fin d’une ère, le début d’une nouvelle dans la lutte contre la pandémie mortelle. Malgré les critiques acerbes, l’histoire a montré que, face à la Covid-19, il n’y a pas d’autre choix possible que l’adaptation, de s’adapter en fonction des moyens à disposition. Ceci est d’autant plus valable dans le continent africain où les conditions économiques et sociales ne permettent pas la mise en place de certaines mesures.
Au mois de juin 2020, alors que les cas continuaient de flamber, l’Etat prend la décision de lever le couvre-feu, au grand dam de certains médecins aux discours alarmistes.
La revanche de l’économie sur la santé
Avec la nouvelle vague de coronavirus, la panique reprend sa place, mais l’Etat semble résolument se résoudre à laisser l’économie et les activités suivre leur cours. Ceci était d’ailleurs l’une des motivations principales de la première levée des mesures restrictives. A l’époque, le chef de l’Etat assumait : ‘’Il nous faut adapter notre stratégie de façon à mener nos activités essentielles, en faisant vivre notre économie, en veillant à la préservation de notre santé et celle de la communauté. Au regard de ces considérations, j’ai décidé de l’assouplissement des conditions de l’état d’urgence.’’
Lors de sa dernière réunion hier, le CNGE, après avoir constaté une hausse importante du nombre de cas de contamination à la Covid-19, a pris un certain nombre de recommandations dont la limitation des rassemblements. Mais, à ce jour, cela reste une simple invite, puisque les actes sous-jacents n’ont pas encore été pris pour les rendre obligatoires. Nous sommes loin de la tonalité empruntée par le président au soir du 23 mars, pour proclamer l’état d’urgence pour la première fois. Quand il disait : ‘’Le virus gagne du terrain. A ce jour, il n’y a ni vaccin ni médicament homologué contre le Covid-19. Ce soir, mes chers compatriotes, et je vous le dis avec solennité, l’heure est grave. La vitesse de progression de la maladie nous impose à relever le niveau de la riposte. A défaut, nous courrons un sérieux risque de calamité publique. En conséquence, je déclare l’état d’urgence sur l’ensemble du territoire national.’’
Paradoxalement, à l’époque, il n’y avait que 71 cas sous traitement pour zéro décès, avec des taux de positivité relativement faibles. Comme quoi, la logique économique a bien pris sa revanche sur celle de la santé.
«SI LA COVID-19 CONTINUE DE PROGRESSER, NOUS ALLONS FERMER A NOUVEAU»
Le chef de l’Etat Macky Sall met en garde les Sénégalais face à la flambée des cas de Covid-19 notée, ces dernières semaines.
Le chef de l’Etat Macky Sal, qui recevait vendredi le rapport d’activités du Comité de suivi du Fonds Force Covid-19, a mis en garde les Sénégalais face à la flambée des cas de Covid-19 notée, ces dernières semaines.
« Si la maladie continue de progresser, nous allons fermer à nouveau », a-t-il martelé. Le président de la République a exhorté les Sénégalais à respecter les mesures barrières et à limiter les déplacements pour empêcher une plus grande expansion du variant Delta.
« Si les uns et les autres continuent de fouler au pied ces règles, l’État prendra ses responsabilités », a notamment averti le chef de l’État.
Il pourrait notamment s’agir du retour du couvre-feu et du confinement des villes les plus touchées comme Dakar et Thiès.
MANIFESTATION NON AUTORISEE DEVANT LE MINISTERE DE LA JUSTICE: GUY MARIUS SAGNA ET 5 AUTRES PROTESTATAIRES MIS AUX ARRETS
Le coordonnateur de « Frapp/France dégage », Guy Marius Sagna, a été arrêté vendredi avec cinq membres des familles de détenus
Le coordonnateur de « Frapp/France dégage », Guy Marius Sagna, a été arrêté vendredi avec cinq membres des familles de détenus. Il s’agit des nommés Aïssatou Niang, Daouda Niang, Awa Niang, Balla Biaye et Babacar Coly. Ces derniers et l’activiste étaient partis déposer une lettre de protestation au ministère de la Justice sis au Building administratif Mamadou Dia.
D’après les proches du leader de Frapp, « cette lettre de protestation est relative à l’affaire Vieux Diop et compagnie qui sont en prison depuis bientôt 3 ans sans jugement, avec plusieurs demandes de liberté provisoire rejetées. Au même moment, les étrangers arrêtés dans cette affaire ont bénéficié d’une liberté provisoire et sont rentrés chez eux ».
Le Secrétariat exécutif national dudit mouvement, qui exige « la libération immédiate » de Guy Marius Sagna & Cie, demande aux autorités compétentes de se saisir du dossier et de rétablir ces compatriotes dans leurs droits.