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18 septembre 2025
VIDEO
À 10 ANS, ELLE OFFFRE UNE LUXUEUSE MAISON À SES PARENTS
Comédienne talentueuse et extravertie, depuis l’âge de 5 ans, la star de youtube, Emmanuela gagné suffisamment d'argent au point d'offrir cette maison cossue et stylée à ses parents comme on le voit dans cette vidéo. Et elle ne veut pas s'en arrêter là.
Dans sa pièce de théâtre Le Cid, Pierre Corneille (l'auteur) à fait dire à Rodrigues (un de ses personnages) : «aux âmes bien nées, la valeur n’attend point le nombre des années. Cette assertion devenue célèbre et se dégustant à toutes les sauces ou presque s’applique de fort belle manière à l’histoire de cette enfant nigériane, Emanuela SAMUEL .
Comédienne talentueuse et extravertie, déplus l’âge de 5 ans, star de youtube, Emmanuela gagné suffisamment d'argent au point d'offrir cette maison cossue et stylée à ses parents comme on le voit dans cette vidéo. Et elle ne veut pas s'en arrêter en si bon chemin. Emmanuela prévoit encore d’autres surprises à ses pauvres et dignes parents qui voient, du coup, leur niveau de vie passer pratiquement de zéro à héro. Très populaire de la chaine Mark Angel Comedy, la jeune enfant promet notamment une voiture à son père. Son autoportrait est dressé grâce à BBC Pidgin (créole nigérian).
La jeune nigériane réussi ce pari grâce à son talent, sans doute, mais surtout à l'honnêteté de son oncle Mark Angel qui lui a mis le pied à l'étrier dans son projet une fois qu'il a décelé son talent. Comédien, scénariste et producteur de vidéos youtube, Mark Angel est surtout connu pour la série de courts métrages Mark Angel Comedy sur YouTube, où il met souvent en vedette des enfants comédiens dont sa nièce Emanuella Samuel.
Pape Diop décline l’offre de la Grande coalition
A l’instar d’Aj/Pads de Mamadou Diop Decroix, Bokk Gis Gis a décliné l’offre de la grande coalition initiée par Khalifa Sall, Pastef et PUR. Le secrétaire général de Bokk Gis Gis, Pape Diop, a reçu hierKhalifa Sall dans le cadre des concertations en cours au sein de l’opposition pour la mise sur pied d’une grande coalition, en perspective des élections locales du 23 janvier 2022. Selon un communiqué de Bokk Gis Gis, à l’issue de cet échange et tenant compte des discussions engagées initialement avec la direction du Pds, Pape Diop, après avoir consulté plusieurs responsables du parti, a informé M.Khalifa Sall de la décision de Bokk Gis Gis de ne pas intégrer la coalition. Pape Diop estime aussi que son parti n’a été associé ni de près ni de loin aux discussions qui ont jeté les bases de cette coalition. Il considère que ce qui se fait sans elle se fait contre elle. Par conséquent, Bokk Gis Gis décline la proposition de Khalifa Sall. Par ailleurs, Pape Diop pense qu’il est illusoire d’avoir un cadre unique regroupant toute l’opposition. Ainsi, le parti donne mandat à Pape Diop d’engager de larges concertations avec toutes les composantes de l’opposition qui le désirent pour la mise en place d’un autre grand pôle. Lequel pôle obéira uniquement à un souci d’efficacité et ne remettra nullement en cause la solidarité au sein de l’opposition, encore moins le combat commun contre le seul et unique adversaire, en l’occurrence le régime du Président Macky Sall, précise Pape Diop.
Diop Decroix aussi non partant
A l’image du Pds qui s’est soustrait de la grande coalition des quatre grands, Aj Pads de Mamadou Diop Decroix a décliné aussi l’offre de Khalifa Sall et compagnie. Le folliste en chef a reçu hier, à son domicile, Khalifa Ababacar Sall venu présenter le projet de coalition XXL de l’opposition et le projet de charte qui l’accompagne. A la suite de discussions franches dans un esprit fraternel, Mamadou Diop Decroix a rendu compte au Secrétariat permanent de son parti. A l’en croire, le secrétariat permanent a remercié Khalifa Ababacar Sall de sa visite et réaffirmé la disposition naturelle d’Aj/Pads à œuvrer en permanence pour l’unité de l’opposition. Toutefois, au vu de fortes réserves exprimées quant à la méthode, Aj/Pads ne peut s’associer à l’initiative en cours, indique Mamadou Diop Decroix. Malgré tout, les follistes pensent qu’il faut unir le maximum de forces susceptibles d’être unies pour faire face au régime en place et créer les conditions de sa défaite aux prochaines élections locales et à celles qui suivront. Pour Decroix, ce nouveau pôle oppositionnel devra être fondé sur de solides bases démocratiques et populaires pour l’objectif patriotique de libération nationale et d’émancipation sociale. Seulement, il est d’avis que le principe d’égale dignité même si les uns et les autres sont de poids électoral différent, doit être constamment préservé pour mettre à l’aise tous ceux qui veulent prendre part au combat pour une alternative réellement crédible.
Amadou Ba à la mairie des Parcelles
La candidature d’Amadou Ba à la mairie des Parcelles Assainies est de plus en plus agitée. Hier, des responsables de l’Alliance pour la République de la commune ont plébiscité la candidature de l’ancien ministre de l’Economie. A l’unanimité des responsables de structures, le député Alioune Badara Diouf, le conseiller spécial du président de la République, Pape Khouma, la présidente des Femmes APR, Mbathio Niakhasso, le coordonnateur de la Cojer, Moustapha Cissokho et le coordonnateur des sages, Mamadou Sall ont approuvé la proposition de candidature d’Amadou Ba. La proposition a été soumise par le coordonnateur de la Cojer qui souhaite que Amadou Ba soit le candidat de la mouvance présidentielle à la mairie des Parcelles Assainies.
Mort par pendaison à Pikine nord
On en sait un peu plus sur les circonstances de la mort de l’agent de la Loterie nationale sénégalaise (Lonase). Marcel Apologan a été retrouvé mort récemment dans un kiosque au marché Zinc de Pikine nord. En effet, le rapport du médecin légiste de l’hôpital Aristide le Dantec fait état d’une mort à la suite d’une asphyxie mécanique associée à un traumatisme rachidien secondaire à une pendaison. Ce qui confirme la thèse du suicide.
Marché «le Joola»
La forte pluie qui s’est abattue avant-hier à Dakar et sa banlieue a engendré d’énormes dégâts matériels au marché «le Joola» sis au marché central de Pikine. La toiture en zinc du hangar a été emportée par les rafales de vent. Pire, la principale voie d’accès du marché est devenue impraticable à cause des eaux usées provenant des fosses septiques mélangées aux eaux pluviales. Ce cocktail a entraîné une journée sans travail au marché. Les pensionnaires du marché sollicitent de l’aide pour reprendre leurs activités.
Bilan de l’accident à Fatick : 10 morts et 14 blessés
Un violent accident de circulation s’est produit tard dans la nuit du mardi au mercredi entre Ndiongolor et Diouroup. L’accident implique un bus en partance pour Sédhiou et un camion transportant du bois. Le choc frontal a occasionné le décès de 07 personnes sur le coup et plusieurs blessés. Les sapeurs-pompiers ont évacué les blessés à l’hôpital régional de Kolda. Il nous revient que trois blessés ont fini par succomber à leurs blessures, portant ainsi le bilan à 10 morts et 14 blessés qui sont pris en charge à l’hôpital de Fatick.
Le maire de Sédhiou au chevet des blessés
Restons avec cet accident qui a décimé des familles à Sédhiou où se rendait le bus pour dire que le maire de Sédhiou s’est rendu sur le lieu de l’accident avant d’aller au chevet des blessés. Abdoulaye Diop a indiqué que le gouvernement va prendre en charge les frais médicaux et l’hospitalisation des blessés. Aussi, il assurera le transport des dépouilles à Sédhiou. Il faut souligner, par ailleurs, que les accidents sont récurrents sur l’axe Ndiongolor-Diouroup. Les habitants de ces villages avaient saisi les autorités, il y a deux ans pour l’érection de ralentisseurs afin de réduire les accidents. L’inertie des autorités avait poussé les jeunes à manifester sur la route. Plusieurs jeunes avaient été interpellés par les gendarmes. Les autorités continuent de faire la sourde oreille alors que de terribles accidents continuent de se produire sur cet axe.
Un étudiant meurt d’un arrêt cardiaque
Un étudiant de 29 ans, en vacances dans son village natal de Manécounda, dans la commune de Dioudoubou (région de Sédhiou), a succombé, mardi soir, à un arrêt cardiaque lors d’une séance d’entraînement de football. Moustapha Adrien Mané était en année de licence 3. Il est père d’un enfant. Le maire de Dioudoubou, Ibrahima Djité, estime que l’enclavement de sa commune et l’éloignement du poste de santé situé à plus de 8 kilomètres n’ont pas facilité l’organisation des premiers secours.
Le conducteur du camion malien écope 4 ans de prison
Le verdict du conducteur du camion immatriculé au Mali qui avait écrasé un taxi à Kaolack est tombé hier. En détention à la prison de Kaolack, Idrissa Doumbouya qui était devant la barre du tribunal de Kaolack hier a été condamné à 4 ans de prison ferme en plus de la suspension, pour 2 ans, de son permis de conduire. Pour rappel, l’accident avait fait 4 morts, à savoir le conducteur du taxi et ses trois passagers.
Suivi des réformes du Doing Business
Dans ce contexte de morosité économique mondiale, le Président Macky Sall veut consolider l’attractivité et les performances économiques du Sénégal. A ce propos, il a souligné hier l’impératif d’intensifier, dans chaque ministère, le suivi des réformes du Doing Business et l’amélioration de l’environnement des affaires, en vue de consolider l’attractivité et les performances économiques du Sénégal. A cet égard, il a demandé au ministre de l’Economie, du Plan et de la Coopération et à l’Apix, de préparer le Conseil présidentiel de l’investissement, prévu en octobre 2021. Quant au ministre en charge du Commerce, elle est invitée à veiller à la bonne organisation de la participation du Sénégal à l’exposition universelle de Dubaï.
Deuxième compact du MCC
C’est désormais officiel. Le Sénégal va bénéficier du deuxième Compact du Millennium Challenge Corporation (MCC). Le Président Macky Sall a informé hier le gouvernement, en réunion de conseil des ministres, que le Millennium Challenge Corporation (MCC) Washington a donné son accord de non-objection à la dernière condition préalable d’entrée en vigueur du deuxième Compact pour le Sénégal. Il s’est félicité de la décision.
Forces armées
Le directeur de l’action sociale des armées, Colonel Cheikhna Dieng, a réceptionné hier le bâtiment abritant le siège social des armées, au camp Idrissa Fall ex Le Clerc. Le colonel Dieng a rassuré les femmes des soldats représentant les bureaux fédéraux, que le siège flambant neuf sera fonctionnel dès la semaine prochaine. Désormais, ce joyau fera office de siège pour la Fédération des Groupements et Associations Féminines de la Famille Militaire du Sénégal (Fegaffamis), souligne Colonel Dieng qui renseigne dans la foulée que le Chef d’état-major des forces armées (Cemga) a pris l’engagement d’accompagner les épouses des militaires dans leurs projets. Sur ce, il prendra en charge les financements de leurs projets, sans remboursement, dit-il. Toutefois, Colonel Cheikhna Dieng a relevé que l’approvisionnement en eau du camp Idrissa Fall est un problème. A l’en croire, le camp est situé dans une zone qui fait partie des sites de la capitale confrontés à des coupures d’eau chroniques.
Remise de denrées alimentaires aux femmes des militaires
Restons avec le Colonel Cheikhna Dieng pour dire que l’action sociale est une réalité chez les forces armées. Hier, les femmes des bureaux fédéraux de la Fegaffamis ont reçu des lots de denrées alimentaires constitués de sacs de riz, de sucre, des bouteilles d’huile. C’est un don de l’ambassade de Chine à Dakar, informe le directeur de l’action sociale, Colonel Cheikhna Dieng. Ce don vient au moment opportun étant donné que la population sénégalaise est confrontée depuis deux mois à une flambée des prix des denrées de consommation courant. Pis, le sucre devient de plus en plus rare dans certaines parties du pays.
Formation de 1 000 acteurs de la pêche
Dans le but d’accompagner l’Etat dans sa politique de pêche, l’association nationale des mareyeurs du Sénégal dirigée par Thierno Mbengue a démarré une série de formations destinée aux acteurs de la pêche des régions de Dakar, Thiès et Saint-Louis. Il s’agit d’une formation aux métiers de l’aquaculture, la maintenance d’usines de glace, hygiène et qualité et la transformation de produits halieutiques. Les mareyeurs ont ciblé 1 000 jeunes. Cette session de formation se tient en collaboration avec 3 Fpt qui va assurer le suivi et l’encadrement des bénéficiaires.
Benno Bokk Yaakaar de Wakhinane-Nimzaat
Les femmes de Benno bokk Yaakaar de Wakhinane-Nimzaat demandent au chef de l’Etat de diminuer les prix des denrées de première nécessité pour soulager les ménages. Elles ont tenu un point de presse hier pour manifester leur soutien à leur coordonnateur communal, en l’occurrence le maire Racine Talla. Par la même occasion, elles ont appelé les responsables de la mouvance présidentielle à l’unité face aux enjeux électoraux qui se profilent à l’horizon. Toutefois, elles précisent qu’elles restent à l’écoute du Président Macky Sall et de leurs leaders sur les choix des candidats pour diriger les listes aux élections locales.
Le maire de Yeumbeul nord dans le viseur
Le maire apériste de Yeumbeul nord, Daouda Ndiaye, est secoué depuis quelque temps par la société civile et le 3e adjoint au maire de la Ville de Pikine, Matar Diop, sur les conditions d’attribution du foncier sur le littoral. Il faut noter que le responsable apériste Matar Diop lorgne son fauteuil en plus de l’opposition. Sept responsables de Bés du Ñakk, du Pds, Pur, Taxawu Senegaal, Pcs jengou Tabax entre autres ont décidé d’unir leurs forces pour déboulonner Daouda Ndiaye et trouver des solutions aux maux dont souffre leur commune. Ibrahima Diagne du Pcs/jengou Tabax a appelé les populations à aller s’inscrire massivement sur les listes électorales pour sanctionner le maire Daouda Ndiaye.
KEEMTAAN GI - NOTRE EPOQUE
A peine pubères, vous les verrez trainer avec des fortunes incroyables. De quoi faire le bonheur des agresseurs. Elles trimballent de coûteux accessoires. IPhone dernier cri, de belles robes, des chaussures à 100 mille balles, des cheveux dits naturels mais qui sont des tifs provenant de vieilles blanches et qui donnent à nos femmes des allures de guenons. De petits riens. Les délurées ne font leurs courses qu’en taxi, si elles ne roulent pas dans de belles bagnoles offertes par de gentils mecs aux fortunes de provenances douteuses. Mais puisque l’argent n’a pas d’odeur… Aux heures de crime, pendant que les jeunes de leur âge sont au lit, ces adolescentes se préparent à aller affronter les nuits chaudes de la capitale avec la complicité de leurs mamans ou de leurs pères qui trouveront à leurs gentilles filles des soutiens. D’ailleurs, elles ne s’intéressent guère aux garçons de leur âge, pas même aux mecs du coin même s’ils ne sont pas pauvres. Leurs cibles, c’est pour la plupart de vieux hommes inoffensifs en apparence mais qui ont besoin de sensations fortes. Ces petits plaisirs dont leurs bourgeoises d’épouses ne peuvent plus les combler. Vous voulez un dessin ? Bien entendu, ces plaisirs s’offrent au prix fort. Et ils casquent fort. Et quand ça tourne mal, bonjour les dégâts! Elles vous colleront au p…. une histoire de viol que nos magistrats goberont facilement avant d’envoyer les malheureux au purgatoire pour dix ans, oubliant que les plaignantes, aux allures de gamines, sont déjà bien rodées et se font sauter depuis leurs 15 ans. Voire avant. Les plus téméraires parmi ces donzelles vivent en concubinage dans une des cités qui pullulent en ville et souvent en compagnie d’autres ados. Ces garçons étant eux - mêmes dans des deals et d’autres coups fumants. Ils volent et agressent. Se font entretenir par de vieilles et riches rombières qui veulent retrouver une seconde jeunesse ou se rappeler certains plaisirs. Prendre leur pied quoi ! D’autres tombent facilement dans le piège « LGBT » qui rapporte gros. Ainsi est notre époque avec des ados qui tirent les ficelles. Il nous faut donc faire avec et cesser de jouer les hypocrites. Justement, la « petite » Dieynaba est victime de ce système. KACCOOR BI
HAUSSE DES PRIX MACKY SALL EXIGE LA PRESERVATION DU POUVOIR D’ACHAT DES MENAGES
Le chef de l’Etat, Macky Sall, a insisté hier sur l’’’impératif de préserver le pouvoir d’achat’’ des ménages. ‘’Sur la régulation des prix de denrées de première nécessité, le chef de l’Etat rappelle au Gouvernement l’impératif de préserver le pouvoir d’achat des ménages et la stabilité des prix des denrées et produits de première nécessité sur l’ensemble du territoire national’’, rapporte le communiqué du Conseil des ministres. Les prix des produits de plusieurs denrées de base ont connu une hausse substantielle ces derniers jours dans notre pays, poussant le gouvernement à convoquer mardi le Conseil national de la consommation. Lors de cette rencontre, le directeur du commerce intérieur, Oumar Diallo, a indiqué que, malgré son homologation, le prix du riz brisé ordinaire est passé de 260 francs CFA le kg au détail à 360 CFA à Dakar. Concernant le fer à béton, il a signalé que le prix de la tonne est passé de 400 000 à 620 000 francs CFA pour le fer importé, le prix du fer local étant passé dans le même temps de 270 000 à 550 000 francs CFA La farine de blé a également vu son prix passer de 124 467 francs à 163 989 francs CFA entre septembre et avril 2021, selon le directeur du Commerce intérieur. Face à cette situation, le ministre des Finances, Abdoulaye Daouda Diallo, a demandé au directeur des douanes de suspendre la taxe conjoncturelle à l’importation appliquée sur le sucre raffiné importé, et ce jusqu’au 15 octobre.
GESTION DES INONDATIONS LES PIQUES DE MACKY SALL A SES MINISTRES
La gestion des inondations par le gouvernement n’a pas donné satisfaction au président de la République. En Conseil des ministres, ce mercredi 1er septembre, il a vertement interpellé ses ministres en leur demandant de prendre à bras-le-corps ce dossier. « Le Président de la République indique, sur la problématique des inondations, la nécessité pour le Gouvernement d’avoir une posture d’anticipation dans l’acquisition des équipements adéquats et adapter la formation des intervenants, tout en développant le sens des urgences et d’accélération des procédures », indique le communiqué. Alors autrement dit Oumar Guèye, Antoine Diome, Serigne Mbaye Thiam et Cie sont sommés d’être plus dynamiques dans la gestion des inondations. Outre les mesures conjoncturelles, Macky Sall veut aussi qu’on lui propose des mesures structurelles pour les 10 ans qui suivent l’actuel plan dont la fin est prévue en 2023. « Le Chef de l’Etat souligne également la nécessité pour le Gouvernement de préparer la formulation d’un nouveau programme décennal de gestion des inondations (2023-2033), en cohérence avec le Plan national d’Aménagement et de Développement des Territoires (PNADT) et dans une dynamique de développement de la politique d’assainissement ». Macky Sall veut également la généralisation de l’élaboration des plans directeurs d’urbanisme et d’assainissement dans toutes les collectivités territoriales du pays ainsi que le renforcement des ressources humaines, logistiques et financières de l’Office national de l’Assainissement du Sénégal (ONAS). Dans ce cadre, Macky Sall demande la signature d’un ‘’contrat de performances innovant avec l’Etat ».
MACKY A SES MINISTRES « LE TEMPS EST AU TRAVAIL, DANS L’EFFICACITE, LA QUALITE, L’EFFICIENCE ET LA PERFORMANCE »
Le chef de l’Etat n’est pas content de son équipe. Il a profité hier de la reprise du Conseil des ministres pour remonter les bretelles à ses ministres. A l’entame de ses propos, le président Macky Sall a, en effet, rappelé « aux ministres et secrétaires d’Etat, la nécessité d’asseoir la solidarité, l’anticipation et le pragmatisme dans la conduite de l’action gouvernementale et dans le suivi évaluation des politiques publiques ». Il a également, à cet égard, indiqué que « les orientations politiques sont bien définies dans tous les secteurs, les programmations budgétaires, effectuées ». Dès lors, poursuit-il, « chaque Ministre doit s’atteler, au quotidien, avec ses administrations publiques mobilisées, à la réalisation des objectifs fixés, par le Président de la République, dans les délais prescrits ». Le Chef de l’Etat, sans doute irrité par les lenteurs notées dans la prise en charge en amont des inondations, entre autres dossiers, indique que « le temps est au travail, dans l’efficacité, la qualité, l’efficience et la performance : le Gouvernement doit plus que jamais, délivrer, cultiver la diligence et le résultat permanent, à la satisfaction des populations », renseigne le Communiqué du conseil des ministres. Le problème c’est que le président de la République fait ces injonctions alors que presque tous les ministres sont d’ores et déjà en campagne pour les élections locales ! Et n’ont donc guère le temps de travailler, lui-même Macky Sall passant le plus clair de son temps à manœuvrer en direction de ces locales présentées par l’Opposition comme des primaires avant la présidentielle de 2024 !
PROFONDE CRISE A L’HOPITAL LE DANTEC LE DG BABACAR THIANDOUM SUR « BRANCARD » EJECTABLE
La Commission médicale de l’hôpital Le Dantec regroupant les professeurs, médecins, infirmiers et autres agents de santé organise une conférence de presse. Un face-à-face avec les journalistes qui aura lieu, ce jeudi à 10 heures, à la salle Bacterio. L’objectif : Dénoncer la situation de dégradation des conditions de prise en charge des patients et des bâtiments hospitaliers en ruine. Les médecins conférenciers profiteront de l’occasion pour déplorer la rupture récurrente des produits pharmaceutiques, le sous-équipement des blocs opératoires et la gestion financière de l’hôpital. En tout cas, « Le Témoin » quotidien jure que cette conférence risque de provoquer le limogeage du directeur général, Babacar Thiandoum, déjà sur « brancard » ou « civière » éjectable. Suivant de près la crise qui plombe cette structure de référence, le président Macky Sall avait alloué une subvention spéciale de 500 millions cfa à l’Hôpital Le Dantec pour lui permettre de sortir du coma financier et technique. Et surtout d’éponger la totalité de la dette de l’établissement estimée en 2020 à plus de 600 millions cfa. « J’ai demandé au directeur de travailler avec la commission sur un plan de trésorerie, un plan d’utilisation de la ressource, pour validation avant d’engager les dépenses. Cette réunion lui permettra de proposer au chef de l’Etat une nouvelle allocation budgétaire pour un « endettement zéro » avait suggéré le ministre de la Santé Abdoulaye Diouf Sarr à propos de cette allocation de survie. Depuis lors, rien n’a changé ! Au contraire, la maladie de l’Hôpital s’est aggravée jusqu’à pousser le personnel médical à demander son euthanasie voire sa démolition. Ou alors dans le meilleur des cas sa « délocalisation » en Gambie voisine ! Hier mercredi, au moment où « Le Témoin » bouclait cette édition, quelques responsables de la commission médicale avaient été reçus au ministère de la Santé pour un plan de sauvetage et surtout de musellement. Peine perdue ! Car les membres de la commission médicale ont décidé de tenir, ce matin, leur conférence de presse. Une conférence de tous les déballages et de tous les dangers !
APPLICATION DE LA TAI SUR LE BLE ET LE MAÏS A PARTIR DE CE JEUDI
Le démarrage de l’application de la Taxe d’Ajustement à l’Importation (TAI) sur le blé et le maïs prendra effet à partir de ce jeudi 02 septembre jusqu’au 31 décembre 2022, annonce un communiqué reçu ce mercredi du ministère des Finances et du Budget. La TAI estimée à -5% sur le blé et le maïs fait partie ‘’des mesures complémentaires de protection du Tarif extérieur commun (TEC) de la CEDEAO’’, indique la même source. Selon elle, la Taxe d’Ajustement à l’Importation (TAI) a été décidée lors des réunions du comité de Gestion de l’Union douanière, des directeurs généraux des Douanes et des ministres des Finances de la CEDEAO. Ces réunions sur l’application de la TAI ‘’se sont tenues à Abuja, au Nigéria, les 18 au 22 novembre 2019’’, précise-t-on.
FATICK 14 MORTS DANS UN ACCIDENT ENTRE DIOUROUP ET DJONGOLOR
Une collision entre un bus et un camion a fait 14 morts et une vingtaine de blessés, dans la nuit de mardi à mercredi, entre Diouroup et Djongolor, dans l’arrondissement de Tattaguine, a appris l’APS. Le bus de transport en commun en partance pour Sédhiou est entré en collision avec un camion transportant du bois de chauffe. Sept personnes sont mortes sur le coup tandis que les trois autres ont succombé à l’hôpital régional de Fatick où ont été évacués les blessés. Selon un responsable des pompiers, les opérations de secours ont duré plus de 5 tours d’horloge. Le maire de Sédhiou, par ailleurs ministre de la Culture et de la Communication Abdoulaye Diop, s’est rendu dans cet hôpital pour s’enquérir de la situation et apporter sa solidarité et son appui pour la prise en charge des blessés ainsi que pour l’évacuation des corps sans vie. Il a magnifié le professionnalisme des services de secours qui ont fait preuve d’une grande promptitude dans l’assistance et l’évacuation des victimes.
KAOLACK LE CHAUFFEUR DU CAMION MALIEN CONDAMNE A 4 ANS DE PRISON FERME
Le chauffeur du camion malien à l’origine du violent accident qui avait fait 4 morts à Kaolack le 15 août dernier a été édifié sur son sort ce mercredi. Jugé hier, Idrissa Doumbiya a été condamné à 4 ans de prison ferme en plus de la suspension, pour 2 ans, de son permis de conduire. Devant les juges du Tribunal de Grande instance de Kaolack, Idrissa Doumbiya a reconnu avoir dormi au volant. Il a été même incapable de restituer le film des événements à la demande du juge. Il a tenu à préciser que c’est suite à l’absorption de médicaments pour soigner un mal qu’il a dormi au volant. Idrissa Doumbiya avait prévu de garer le véhicule à la sortie de Kaolack pour se reposer. D’ailleurs, il a indiqué que c’est son apprenti qui avait attiré son attention en l’informant qu’il venait de passer sur un taxi. Dégâts lourds. 4 personnes tuées. A la suite de cet accident, il y avait eu des saccages de camions maliens à Kaolack et de camions sénégalais à Kayes. Le calme était revenu après que les ministres des Transports des deux pays étaient montés au créneau pour appeler à un apaisement.
L'analyste politique René Lake, revient au micro de VOA, sur le départ américain d'Afghanistan et ce que cela augure pour les relations entre l'administration Biden et les talibans à l'heure où la menace de l'État islamique reste prégnante
L'analyste politique René Lake, revient au micro de VOA, sur le départ américain d'Afghanistan et ce que cela augure pour les relations entre l'administration Biden et les talibans à l'heure où la menace de l'État islamique reste prégnante.
LE PDS S'ÉCARTE DU FRONT DE L'OPPOSITION EN GESTATION
Le parti constate plusieurs jeux dans l’ombre ainsi que des détours et subterfuges inutiles qui plombent toute initiative de cette nature - COMMUNIQUÉ DE PRESSE
SenePlus publie ci-dessous, le communiqué du PDS daté du 1er septembre 2021 relatif à l’initiative de création d’une coalition de l’opposition en perspective des locales.
« Le Parti Démocratique Sénégalais (PDS) s’étonne de la circulation d’une charte pour la création d’une coalition sous la mention ‘’ont signé le PDS, Taxawu Senegaal, Pastef et le PUR.’’
Le PDS informe n’avoir signé aucun document à ce propos.
Sans en être informé officiellement, le PDS a appris qu’une cérémonie de signature est prévue ce jeudi 02 septembre 2021, alors que jusque là des points de désaccords signalés par plusieurs partis subsistent et n’ont pas été résolus.
Le PDS constate plusieurs jeux dans l’ombre ainsi que des détours et subterfuges inutiles qui plombent toute initiative de cette nature. »
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LE PETIT POUCET AUX GRANDES AMBITIONS
Après avoir eu des collaborations avec quelques grands noms de la musique africaine et sénégalaise en particulier, le jeune artiste de la nouvelle scène émergente Sym Sam rêve de se hisser aux côtés des icônes de la trempe de la diva béninoise Angélique
Diplômé en génie civil et directeur artistique dans le marketing sonore, Sym Sam fait partie de la jeune génération montante de la musique au Sénégal. Depuis quelques temps il prend ses marques et s’illustre de plus en plus dans la scène live de Dakar. Dans cette interview avec AfricaGlobe Tv (voir vidéo), l'artiste se dévoile sans détour.
Après avoir eu des collaborations avec quelques grands noms de la musique africaine et sénégalaise en particulier, le jeune artiste de la nouvelle scène émergente Sym Sam rêve de se hisser aux côtés des icônes de la trempe de la diva béninoise Angélique Kidjo. Ambition ou prétention, le temps le dira.
Spécialiste de musique highlife (style de musique africain apparu dans les années 1900 à Accra) et d’Afro fusion (musique africaine mixa avec du jazz ou du classique), Sym Sam doit forcer les portes pour pouvoir passer notamment dans les médias puisque son style musique reste à être découvert.
En revanche alors que lui prône une musique qui met en avant les valeurs, la pudeur et la sobriété dans le divertissement il se désole de savoir que le voyeurisme, l’obscénité ont le vent en poupe dans la société. Lui est sur le thème de la paix, la coexistence pacifique et le respect et l’amour dans son sens le plus noble.
En côtoyant quelques manitous de musiques africaine le jeune artiste dit avoir ouvert les yeux sur certains aspects du showbiz comme la manière dont ceux-ci organisent, la manière de signer des contacts pour ne pas se faire gruger par des partenaires. Voir l'interview.
HAUSSE DES PRIX, LE GOUVERNEMENT TENTE DE DÉSAMORCER LA CRISE
Confrontée à une hausse des prix des produits de base, la ministre du Commerce, Aminata Assome Diatta, a convoqué les professionnels du secteur. Suffisant pour apaiser des tensions grandissantes ?
Jeune Afrique |
Marième Soumaré |
Publication 01/09/2021
Flambée des prix des produits de première nécessité. Pénurie de sucre. Et une population exaspérée de voir le coût de la vie augmenter sans que le pouvoir d’achat n’en fasse autant.
Ce mardi 31 août, la ministre du Commerce, Aminata Assome Diatta, avait provoqué une réunion du Conseil national de la consommation. L’occasion pour le gouvernement de s’expliquer sur la hausse de prix et de rencontrer les acteurs du secteur (administration, douanes, impôts, associations de consommateurs, commerçants et industriels). Mais aussi de désamorcer une situation potentiellement explosive.
Après les émeutes du mois de mars dernier qui avaient mêlé, au moment de l’arrestation de l’opposant Ousmane Sonko, revendications politiques et économiques, après aussi une série d’inondations qui avaient déclenché la colère des Sénégalais, c’est cette fois la flambée des prix qui a suscité leur mécontentement. Sur les réseaux sociaux, les hashtags #DundBiJaffeNa (« la vie est chère »), #Sonounaniou (« nous sommes fatigués ») et #Meunatouniou (« nous n’en pouvons plus ») ont fleuri pour dire cette exaspération.
Hasard du calendrier ? Le Conseil national de la consommation, qui ne s’était pas tenu depuis deux ans, a donc été réuni par Aminata Assome Diatta le 31 août. « Nous n’avions pas suffisamment de raisons de le convoquer plus tôt, affirme toutefois le directeur du Commerce intérieur, Oumar Diallo. Nous avions bien senti des tensions sur certains produits, comme l’huile ou le blé, mais il nous fallait observer cette inflation sur une période assez longue. »