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22 juin 2025
LA FGTS-B EXIGE DES DELEGATIONS SPECIALES DANS LES COLLECTIVITES
Sidya Ndiaye et ses amis jugent cette prolongation illégale et exigent de l’état la mise sur pied de délégations spéciales au niveau de chaque collectivité territoriale
La Fédération Générale des travailleurs du Sénégal (Fgts/B) fustige l’attitude du gouvernement qui, depuis 2019, tarde toujours à fixer une date pour l’organisation des élections locales. Sidya Ndiaye et ses amis jugent cette prolongation illégale et exigent de l’état la mise sur pied de délégations spéciales au niveau de chaque collectivité territoriale.
Initialement prévues en juin 2019, les élections municipales et départementales ont connu deux reports successifs. Une prolongation qui n’est pas du goût de la Fédération Générale des Travailleurs du Sénégal (Fgts/B), qui s’est fendue d’un communiqué pour dénoncer cette situation qu’elle juge «illégale».
De l’avis de Sidiya Ndiaye et ses amis, le Sénégal est une République dont le fonctionnement repose sur des principes majeurs tels que la séparation des pouvoirs, le respect du calendrier électoral qui permet au peuple notamment, de choisir librement, et par la voie des urnes, son président, ses représentants, et ses élus locaux. Dès lors, « le respect de ces principes ainsi que leur stricte observance doivent constituer une performance républicaine qui entretient et consolide la démocratie et la paix sociale, pour le régime qui gouverne». Ils estiment que les dernières élections locales qui se sont tenues à date échue en 2014, devaient être suivies par celles de 2019.
«Cependant, il est encore désolant et inquiétant à la fois, de constater qu’en 2012 le peuple n’a toujours pas la possibilité de jouir de son droit de vote pour choisir de nouveaux élus». Ce qui pose problème, à leurs yeux, puisqu’autant les mandats que le calendrier électoral appartiennent au peuple. Même s’ils reconnaissent que des contingences particulières ont pu constituer des contraintes pour une organisation des élections locales en 2019, les membres de la Fgts estiment que ce n’est pas le cas pour les années 2020 et 2021. Pour ces dernières années, ils indiquent que les raisons évoquées semblent provenir d’une part, de la complexité du dialogue politique entre partis de l’opposition, la société civile et la coalition au pouvoir, caractérisée par une absence de consensus. S’y ajoute aussi la crise sanitaire mondiale induite par la pandémie du Covid 19.
Minimisant ces raisons invoquées, ils soutiennent que cela n’ a pas empêché les pays démocratiques du monde entier, pourtant dans les mêmes contextes, à tenir leurs différentes élections parce que «c’est une exigence démocratique qu’ils respectent et un Etat de droit qu’ils consolident». Aussi, relèvent-ils de nombreuses dérives au Sénégal «depuis cette prolongation illégale du mandat donné aux élus locaux en 2014». Des dérives qui ont pour nom «spoliation foncière», «abus de toutes sortes, foulant ça et là l’orthodoxie administrative», «mépris total du mérite et de la carrière des braves travailleurs des collectivités territoriales».
Profondément sidérés par cette situation, Sidiya Ndiaye et ses camarades indiquent que «bon nombre de ces élus en situation irrégulière, ont fini de perdre la confiance des populations et d’exaspérer leurs municipalités». Et ils ajoutent que cela ne milite pas en faveur d’une bonne gouvernance du travail, de la protection sociale, de l’emploi des jeunes, qui sont des priorités permettant d’assurer la promotion d’un développement socio-économique territorial capable de satisfaire les besoins essentiels des populations.
Par conséquent, la centrale syndicale invite le président de la République à réagir au plus vite, « en mettant en place des délégations spéciales au niveau de toutes les collectivités territoriales». Ce qui permettra, selon elle, de stopper «le coup d'État en cours contre le peuple pour éviter de mettre le pays dans une situation politique sans précédent très préjudiciable à notre démocratie».
LE PATRON DE LA DER CONSPUÉ PAR LES ÉLUS
Papa Amadou Sarr, n’oubliera de sitôt l’assemblée générale extraordinaire de l’association des Maires du Sénégal (AMS)
Le Délégué général à l’entreprenariat rapide des Femmes et des Jeunes (Der), Papa Amadou Sarr, n’oubliera de sitôt l’assemblée générale extraordinaire de l’association des Maires du Sénégal (AMS). Au cours de cette rencontre qui portait sur la territorialisation des politiques publiques, l’augmentation des ressources des élus et emploi des jeunes, la présentation du Délégué général à l’entreprenariat rapide des Femmes et des Jeunes (Der) a fait l’objet de vives critiques. Papa Amadou Sarr a été conspué même par les élus qui dénoncent leur non implication.
Particulière a été l‘assemblée générale extraordinaire de l’Association des Maires du Sénégal (Ams) tenue avant-hier, samedi 10 avril 2021. A la place des traditionnels échanges sur les problèmes des collectivités territoriales, les édiles du Sénégal ont eu droit à des panels des directeurs des différentes agences et autres directions. Comme la question de l’emploi est actuellement en vogue, tous les exposés ont été articulés autour des opportunités et de la création d’emploi pour les jeunes particulièrement et les femmes.
En effet, plusieurs directeurs d’agences et de sociétés se sont relayés au présidium sous la présidence du maire de Dakar, Soham El Wardini. Parmi eux, on peut citer les directeurs de l’Agence Nationale de l’Aménagement du Territoire (Anat), de Tds (Tnt), d’Ageroute, du Pndl, du Fongip, de la Cdc et de la Der. Mais de tous les exposés, c’est uniquement celui du Délégué général à l’Entreprenariat Rapide des Femmes et des Jeunes (Der), Papa Amadou Sarr, qui a retenu plus d’attention. Ce dernier a été, d’ailleurs, conspué par les maires qui dénoncent sa démarche. Les édiles se sont plaints de leur non implication par la Der pour le financement des jeunes et des femmes. Et pourtant, Papa Amadou Sarr s’est glorifié d’avoir financé des projets de jeunes et femmes dans 552 communes sur les 557 que compte le Sénégal. Selon certains élus locaux, le Délégué général ne saisit les maires que pour un soutien pour le remboursement des fonds alloués à leurs administrés qui tardent à honorer leur engagement. En sus, les élus déplorent la faiblesse des financements de la Der. «Un jeune soumet un projet d’un coût par exemple d’un million et la Der lui octroie 200.000 F Cfa. Ce projet est alors voué à l’échec et le jeune aura des problèmes pour rembourser son financement», tonne un maire.
PAPA AMADOU SARR PROMET DE RECTIFIER AVEC L’OUVERT DE GUICHETS DANS LES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
Face à la salve de critiques, le Délégué général à l’Entreprenariat Rapide des Femmes et des Jeunes (DER), Papa Amadou Sarr, a promis de rectifier le tir en impliquant les élus locaux pour plus d’efficacité. D’ailleurs, Papa Amadou Sarr annonce l’ouvert de guichets dans les différentes collectivités territoriales pour le financement des projets des jeunes et des femmes. La rencontre des maires du Sénégal a été sanctionnée par une résolution. Dans le document, les édiles indiquent que les collectivités territoriales doivent s’approprier les politiques publiques pour le bien être des administrés.
Lisant la résolution, le secrétaire général de l’Ams, Mbaye Dione a indiqué qu’au-delà de la volonté des démembrements de l’État, de la politique de développement des secteurs stratégiques et de l’implication de tous pour la mise en place de dispositifs de collaboration avec les collectivités territoriales pour une grande efficacité sur le terrain, l’Assemblée générale félicite le Président Macky Sall qui est à l’origine de ces résultats probants. Une mention spéciale a été adressée aux maires pour leur engagement sans faille pour la bonne exécution des programmes de développement. Par ailleurs, les élus locaux réclament le renforcement des financements des collectivités territoriales pour le développement des territoires.
LES ELUS DE BBY PRETS A EN DECOUDRE AVEC L’OPPOSITION
Les élus de la coalition Benno Bokk Yaakaar (BBY) veulent que l’Etat du Sénégal organise les prochaines élections locales dans les meilleurs délais.
Les alliés du Président Macky Sall, composés des élus de Benno Bokk Yaakaar (BBY), n’ont pas peur des prochaines joutes électorales. D’ailleurs, ils veulent que les élections locales se tiennent dans les meilleurs délais. C’est au total 530 maires sur les 557, les 42 présidents de département, plus de 120 députés, des Hcct, des membres du Cese qui ont renouvelé leur allégeance au Président Macky Sall avant de réitérer leur impatience d’en découdre avec l’opposition aux prochaines locales dont ils sont sûr de sortir gagnants.
Les élus de la coalition Benno Bokk Yaakaar (BBY) veulent que l’Etat du Sénégal organise les prochaines élections locales dans les meilleurs délais. C’est ce qui ressort de la rencontre entre les membres du Haut Conseil des Collectivités Territoriales (HCCT), les Présidents de Conseils départementaux (PCD), les membres du Conseil économique, social et environnemental (CESE) et les députés de la mouvance présidentielle tenue hier. Même si le chef de l’Etat n’a pas présidé la réunion, comme prévue, Moustapha Niasse et Aminata Mbengue Ndiaye étaient de la partie. Confiante de l’issue de ces prochaines joutes électorales, grâce à leurs victoires qu’ils ont eues par le passé, la chambre des élus de Benno entend faire mieux que leurs scores précédents. « Nous devons nous préparer à assumer et assurer de grandes victoires lors des prochaines joutes électorales. Nous pensons, en particulier, à celles qui pointent à l’horizon et, reconnaissons-le, les plus difficiles. Il s’agit, bien sûr, des Locales. Elles nourrissent de grandes rivalités, suscitent des batailles internes de forte intensité suite à l’affirmation des ambitions individuelles et des échappées solitaires dangereuses, comme ce fut le cas lors des Locales de 2014 durant lesquelles 2700 listes avaient participé à la compétition.
Fort heureusement, nous autres de la Coalition Benno Bokk Yaakaar, avons beaucoup appris de cette expérience et bien compris la place et les rôles d’un maire», a déclaré le maire de la commune de Dangalma, par ailleurs Président de la Chambre des élus de l’Apr. « Le Président Macky Sall, Président de notre Coalition, est le Président des Territoires. En décidant de la Territorialisation des Politiques Publiques, il régénère nos Localités. En procédant à l’Acte 3 de la Décentralisation, il restitue à toutes nos Localités leur véritable dignité, l’équité entre elles. En créant les ‘’Pôles-Territoires’’, les ‘’Agropoles’’, le PUMA, le PUDC, il fait de nos territoires de véritables Bassins de vie.
En instituant le PACASEN, tant rural qu’urbain, il ouvre les portes de la vitalité économique dans toutes les localités. En multipliant la construction d’ouvrages sanitaires et de nombreuses Ecoles, il améliore la qualité de la vie dans nos Localités », a expliqué le ministre conseiller personnel du Président. D’après lui, « à tous les niveaux et dans tous les Secteurs d’activités, le Président Macky Sall, témoigne, si besoin en était, de son profond attachement à nos Localités ». Par ses choix, initiatives et Réalisations, selon le maire, le chef de l’Etat a fait pour les localités du Sénégal ce qu’aucun homme n’a pu ou su faire pour elles.
Ainsi, pour toutes ces raisons, précise-t-il, toutes les communes du Sénégal, à travers leurs représentants, reconnaissent que le Président Macky Sall est leur 1er avocat-défenseur, leur pilier et leur protecteur. Faisant l’éloge de BBY et évoquant par la même occasion les dernières manifestations violentes qui ont secoué le pays, Mor Ngom affirme que leur coalition qui est « incomparablement la plus puissante de notre pays, n’a pas le droit de douter ; n’a pas le droit d’avoir peur et a plutôt le devoir d’être en première ligne pour défendre son pouvoir et garantir la stabilité de notre pays menacé par des forces minoritaires d’une rare violence». Dans une résolution, les élus ont salué la « vision éclairée sur la nouvelle politique d’émergence de nos territoires, née de l’Acte III de la Décentralisation qui a l’ambition de construire le Sénégal à partir de ses territoires ».
Selon eux, la prise en charge des préoccupations majeures des Sénégalais s’est traduite par « la rationalisation-fusion des structures d’encadrement et d’orientation de la jeunesse pour aboutir à la mise en place de l’Agence Nationale pour la promotion de l’emploi des jeunes (ANEPJ); la mise en œuvre de la Convention-cadre Etat/Entreprise pour soutenir, par des mesures incitatives hardies, l’accès des jeunes à un emploi décent et rémunérateur au niveau de nos entreprise nationales ; la réorientation de certains financements vers le secteur productif primaire (agriculture et métiers connexes) au bénéfice des jeunes avec la mise en place du Projet Agri-jeunes ; ainsi que la mise en place de la Délégation à l’Entrepreneuriat Rapide (DER) avec un financement important qui défie toute concurrence.»
PROCHAINES ELECTIONS LOCALES : Les maires de la mouvance présidentielle «assurés» de garder leurs postes
A l’instar des autres élus locaux de la coalition Benno Bokk Yaakaar (BBY) et de la majorité présidentielle élargie, les 530 maires de la mouvance présidentielle sont convaincus qu’ils vont conserver leurs postes à l’issue des prochaines élections locales. « Nous sommes assurés et rassurés de nos prochaines victoires pour les échéances électorales à venir et demandons à l’administration d’organiser les prochaines élections locales dans les meilleurs délais. Nous sommes prêts et en avons envie plus que les autres », ont-ils déclaré dans une résolution faite après une réunion qu’ils ont tenue en marge de l’assemblée générale extraordinaire d’information sur les politiques publiques, hier à Dakar. Selon les maires, leur confiance réside du « soutien sans précédent au monde rural ayant permis d’assurer un meilleur accès aux facteurs de production (semences, engrais, produits phytosanitaires, matériel agricole) pour les exploitations familiales, grâce à la subvention à partir d’un financement des campagnes agricoles ayant atteint un pic de 60 milliards de francs CFA en 2020, et reconduit en 2021 ». Elle est motivée également, d’après les élus, par les « performances records enregistrées aussi bien pour la production agricole avec un quasi-triplement de la production de riz et d’arachide, un quasi-doublement de la production des autres céréales et de celle de l’horticulture avec une autosuffisance en légumes de grande consommation (oignons et en pomme de terre) quantitativement assurées »
Dakar, 12 avr (APS) – La sortie de Khalifa Sall, leader de Taxawu Sénégal (opposition) et la mobilisation des élus de la coalition Bennoo Bokk Yaakaar (BBY, majorité) sont largement relayés par les quotidiens reçus lundi à l’APS.
Sud Quotidien souligne que lors d’une rencontre organisée samedi par les jeunes du Mouvement Taxawu Sénégal pour lui ‘’renouveler’’ leur confiance, Khalifa Sall ‘’a montré toute sa détermination à revenir en force sur la scène politique’’.
Khalifa Sall ‘’sonne la charge’’ pour le respect du calendrier électoral, affiche à sa Une le quotidien Enquête. ‘’Le leader de la coalition Taxawu Sénégal a mobilisé ses troupes ce samedi. Cette grande mobilisation a été l’occasion pour Khalifa Sall d’exiger l’audit du fichier électoral et le respect du calendrier électoral. L’ancien maire de Dakar a aussi parlé des problèmes qui assaillent la capitale’’, écrit le journal.
Selon le quotidien Les Echos, ‘’Khalifa Sall monte au front et secoue l’opposition’’. ‘’Il faut une opposition forte, large, unie et qui s’oppose. Nos réunions dans les salons doivent cesser. L’opposition doit être conséquente et descendre sur le terrain’’, soutient M. Sall dans des propos rapportés par la publication.
Le Quotidien aussi se fait écho de cette ‘’mise en garde’’ de Khalifa Sall : ‘’Le fichier électoral de 2019 est corrompu’’. ‘’Pour Khalifa Sall, les élections locales peuvent bien se tenir en décembre 2021. Mais le leader de Taxawu Sénégal doute de la fiabilité du fichier électoral sur lequel Macky Sall a été réélu en 2019’’, rapporte le journal du groupe Avenir communication.
En politique toujours, L’As signale que ‘’les élus de la coalition Bennoo Bokk Yaakaar (BBY) s’impatientent ’’ pour la tenue des élections locales ‘’dans les plus brefs délais’’
Selon le journal, ‘’au total, 530 maires sur les 550, les 42 présidents de Conseil départemental, plus de 120 députés, des Conseillers territoriaux et des membres du Conseil économique, social et environnemental ont renouvelé leur allégeance’’, lors d’une rencontre qui s’est tenue au Grand Théâtre à Dakar.
Même si Macky Sall n’a pas présidé la réunion, comme prévue, Moustapha Niasse et Aminata Mbengue Ndiaye étaient de la partie, selon le journal.
Parlant de cette rencontre, Vox Populi affiche à sa Une : ‘’Grand Théâtre : concerts d’avant combats de BBY’’.
Dans sa livraison du jour, Source A s’intéresse à la mission des Chambres africaines extraordinaires (CAE) au Tchad, source d’un différend entre le magistrat Souleymane Téliko et le journaliste Madiambal Diagne.
Dans une émission radio, M. Diagne avait soutenu que ’’Souleymane Téliko a été épinglé, dans un rapport officiel sur l’affaire Hissein Habré, par l’Union européenne pour avoir perçu des frais de mission pour aller au Tchad, alors qu’il a été pris en charge totalement par le gouvernement tchadien’’.
Or, ’’le seul rapport dont Source A a eu connaissance et qui parle de frais de mission, est un rapport de fin d’activités des Chambres africaines extraordinaires. Il est entre les mains du ministère de la Justice. Ce document ne cite pas seulement le juge Souleymane Téliko, mais tous les 17 membres de la délégation qui avaient pris part au voyage’’.
Les CAE étaient chargé de juger l’ancien président tchadien Habré.
Le Soleil annonce que l’Etat a mobilisé 35 milliards de francs Cfa pour réhabiliter les hôtels de Ville.
’’Dans le but de permettre aux collectivités territoriales de travailler dans de meilleures conditions, l’Etat a initié un programme de réhabilitation/construction des hôtels de Ville. A cet effet, une enveloppe de 35 milliards de francs Cfa été mobilisée dont 2 milliards par an, selon le directeur général de l’AGETIP (…). C’était à l’occasion de l’Assemblée générale des maires du Sénégal, tenue à Dakar, hier’’, rapporte le journal.
LA RÉPONSE DE SANEKH
''L’actrice principale, appelée Adji Sarr dans le film n’a rien à voir avec la masseuse qui accuse Ousmane Sonko de faits de viols répétitifs et menaces de mort...'' précise le comédien
Adji Sarr, actrice principale d’une série télévisée. « Mbiling Mbalang » ! La bande annonce est déjà devenue virale. « L’actrice principale, appelée Adji Sarr dans le film n’a rien à voir avec la masseuse qui accuse Ousmane Sonko de faits de viols répétitifs et menaces de mort mais, le rôle qu’elle y incarne pourrait faire penser que le réalisateur s’est inspiré de l’histoire opposant le leader de Pastef à la masseuse la plus célèbre au Sénégal.
En effet, dans la bande annonce, on voit une belle jeune dame, aux formes bien dessinées qui, s’activant dans le métier de massage, utilise des trucs et des astuces pour soutirer de l’argent aux hommes qui courent derrière elle.
Joint au téléphone, l’un des acteurs, en l’occurrence le comédien Sanex est formel. « Cette série ne parle pas de Adji Sarr. C’est une série qui traite des faits de la société. Elle n’a rien à voir avec cette affaire. Cette œuvre n’appartient même pas au groupe « Soleil Levant » mais plutôt à l’un des neveux de Aziz Niane. Nous voulons juste le soutenir. Les Sénégalais verront que la série n’a rien à voir avec l’histoire ou la vie de Adji Sarr. La bande annonce a été ainsi montée pour la recherche du buzz ».
Il poursuit : « personnellement, depuis que cette affaire a éclaté, je n’en parle pas ; ma famille n’en parle pas. Personne n’en parle dans notre groupe. C’est une affaire qui ne nous concerne pas. Jamais, je n’ai accepté à ce qu’on me pose des questions sur cette affaire. »
C’est devenu un rituel au Sénégal. Pendant le mois de ramadan des séries humoristiques, inspirées de la vie quotidienne des sénégalais, sont diffusées dans les différentes télévisions de la place. Déjà, les publicités de ces Sketchs ont démarré.
LA CDP A REÇU 12 SIGNALEMENTS ET PLAINTES AU PREMIER TRIMESTRE
Alerte rouge ! Les voleurs de données personnelles via le net sont là.
Au cours du premier trimestre de l’année 2021, la Commission de protection des données personnelles (CDP) a traité 45 dossiers, dont 33 déclarations et 12 demandes d’autorisation. en outre, les «gendarmes du net» ont reçu 12 plaintes et signalements.
Alerte rouge ! Les voleurs de données personnelles via le net sont là. Rien qu’en ce début d’année, la Commission de protection des données personnelles (Cdp) a reçu plusieurs signalements et plaintes d’utilisateurs du web dont les données ont été collectées dans le but de leur soutirer de l’argent.
En effet, dans un document consulté par «L’As», les «gendarmes du net» informent avoir émis un appel à la déclaration, reçu 12 plaintes et signalements et 6 demandes d’avis. «La CDP a reçu une plainte des MM. B.T, A.G et I.D, pour diffusion sur la page YouTube «Oreille du monde», d’enregistrements de paroles de leur guide religieux, sans son consentement».
A la suite de cette plainte, la président Awa Ndiaye et ses services ont requis des explications de l’administrateur de la page. Ainsi, en application des dispositions de la loi n°2008-12 du 25 janvier 2008, les enregistrements ont été supprimés de la page. En outre, la CDP renseigne également avoir reçu une plainte de M. S. S pour chantage et extorsion de fonds sur Internet et sur les réseaux sociaux. «Dans la plainte reçue, le plaignant se dit victime de chantage émanant d’une personne qui a obtenu, de manière illégale sur Skype, une vidéo compromettante le concernant. Le mis en cause a demandé, à plusieurs reprises, au plaignant, le versement de sommes d’argent, sous peine de publier ladite vidéo sur les réseaux sociaux», expliquent les membres de la CDP qui déclarent, par ailleurs, avoir recommandé à la victime de ne plus céder aux chantages, de rompre tout contact avec le mis en cause, et d’envoyer les liens de la vidéo, aux fins d’accompagnement à la suppression, en cas de divulgation sur les réseaux sociaux.
Les services de Awa Ndiaye informent, en outre, avoir reçu un signalement relatif à la diffusion d’images à caractère pédopornographique dans le groupe Facebook T. «En effet, l’auteur du signalement précise qu’il s’agit d’une photo d’une fille, subissant des attouchements, qui a été partagée sur la page.
Dans les commentaires, certains membres de ce Groupe affirment détenir la vidéo en question tandis que d’autres sollicitent le partage de ladite vidéo», s’offusque la CDP qui renseigne par ailleurs avoir reçu un signalement précisant que le centre d’appel Way2Call collecte, à partir de son site Internet, une donnée sensible, à savoir la religion, pour des besoins de recrutement. «En cliquant sur «nous rejoindre», le lien renvoie à une page Google form « Fiche d’enregistrement candidat », dans laquelle il est demandé au candidat à l’embauche de renseigner sa religion, à la rubrique 10».
Suffisant pour que Awa Ndiaye et son équipe rappellent àWay2 call qu’il est interdit de procéder à la collecte, et au traitement de données personnelles, relatives aux convictions religieuses. «Ainsi, la CDP a demandé des explications à Way2 call sur la collecte de cette catégorie de données et sur le non-respect de la formalité de déclaration des données recueillies sur le site Internet du responsable du traitement».
CORONAVIRUS : 34 NOUVELLES CONTAMINATIONS ET 01 DÉCÈS
Depuis le 2 mars 2020, le Sénégal a enregistré 39 465 cas positifs dont 39 125 guéris, 1079 décédés, et 170 donc sous traitement
Dakar, 12 avr (APS) – Le ministère de la Santé et de l’Action sociale a rapporté, lundi, 34 nouvelles contaminations au Covid-19 et un décès lié à cette maladie.
’’Sur 1287 tests réalisés au cours des dernières 24h, 34 sont revenus positifs, soit un taux de positivité de 2,64%’’, a indiqué le ministère dans son bulletin quotidien sur l’évolution de la pandémie.
Ces nouvelles contaminations concernent 11 contacts suivis et 23 cas issus de la transmission communautaire recensés à Dakar et dans d’autres endroits du pays.
Un (01) décès a été enregistré, dimanche.
Le ministère a rapporté que 41patients ont été contrôlés négatifs et déclarés guéris alors que 17cas graves sont pris en charge dans les services de réanimation.
Depuis le 2 mars 2020, le Sénégal a enregistré 39 465 cas positifs dont 39 125 guéris, 1079 décédés, et 170 donc sous traitement
Le ministère a signalé qu’à la date du 12 avril, 351 372 personnes ont été vaccinées.
ALIOUNE NDOYE SANCTIONNE LES MAUVAIS ELEVES
A Mboro où il se trouvait, Alioune Ndoye a annoncé la résiliation du contrat, déplorant le non-respect des clauses contractuelles. «L’entreprise est hors délai, hors procédure», a-t-il expliqué.
Depuis 2012, le gouvernement du Sénégal a consenti d’énormes efforts dans la modernisation des outils et l’amélioration des conditions de travail de tous les segments de la pêche. Cela s’est traduit par la construction de quais de pêche, des aires de transformation des produits halieutiques, de clés de séchage. Malheureusement, dans l’exécution de ces chantiers, des entreprises adjudicatrices n’honorent pas leurs engagements ou n’exécutent pas les travaux dans les délais. a ces chefs d’entreprises, le ministre des Pêches et de l’économie maritime invite au respect des délais et à la qualité du travail.
A la tête d’une forte délégation de son département, le ministre des Pêches et de l’Economie maritime s’est rendu en trois jours dans plusieurs localités dont Cayar, Mboro, FassBoy, Thiès (région de Thiès), Missirah, Djiffer, Fimela , Ndangane Sambou, Missirah,Bettenty (région de Fatick). Alioune Ndoye affirme avoir initié cette visite pour s’enquérir de l’état d’avancement des travaux dans certains sites, mais aussi des difficultés notées dans le processus.
A Mboro où il se trouvait, Alioune Ndoye a annoncé la résiliation du contrat, déplorant le non-respect des clauses contractuelles. «L’entreprise est hors délai, hors procédure», a-t-il expliqué. Le ministre note que c’est l’une des difficultés de la commande publique. «Nous passons commande suivant des procédures claires par appel d’offres. Mais nous ne pouvons pas préjuger de celui qui va gagner le marché. Quand ce n’est pas fait, ce sont des conséquences préjudiciables pour la commande publique, mais également pour l’utilité économique et sociale pour laquelle ces infrastructures devaient servir. Nous avons pris la décision de résilier certains marchés parce qu’ils traînent, en étant hors délai, hors procédure et hors termes contractuels entre le ministère et les entreprises adjudicatrices», a déploré Alioune Ndoye. Le ministre a également insisté sur la qualité des ouvrages à réaliser afin que ceux-ci puissent durer. Aux acteurs, il a demandé d’assurer l’entretien des ouvrages, rappelant que ce sont d’importantes ressources publiques qui sont mobilisées pour leur réalisation, et de mieux s’organiser. Alioune Ndoye leur a suggéré de constituer des fonds d’amortissements, afin de pouvoir réhabiliter les ouvrages, du fait de l’usure du temps ou de l’obsolescence.
RÉSILIATION DES MARCHÉS HORS DÉLAIS
A chaque étape de sa tournée entamée jeudi dans les régions de Thiès et Fatick, les acteurs de la pêche et de l’économie maritime ont apprécié le pragmatisme, le discours et le sens de l’écoute du ministre Alioune Ndoye. Sur le chemin pour Cayar, première étape de sa visite, il s’est spontanément arrêté jeudi, à Bawane, pour discuter avec une poignée de personnes qui arboraient des brassards rouges. Celles-ci dénonçaient l’implantation de l’usine de fabrication de farine de poisson et ont demandé sa fermeture. Après les avoir écoutés, Alioune Ndoye a clarifié les choses et précisé que son département n’a pas encore délivré un agrément à cette société.
A l’usine Barna Sénégal où il n’était pas prévu d’escale, il s’est entretenu avec le directeur M. Diallo, en présence de nombreuses personnes qui disent soutenir la société. Celui-ci a apprécié le sens de l’écoute du ministre. «Nous vous remercions d’avoir bien voulu nous écouter. Les problèmes ne peuvent être résolus que par la discussion. Nous avons investi 7 milliards de FCfa et créé 800 emplois. Cette unité est la première en Afrique de l’ouest », a soutenu le directeur général de Barna Sénégal. Le ministre lui a rappelé que sa société n’a pas encore reçu d’agrément de ses services. Ce que M. Diallo a reconnu, même s’il précise avoir les agréments des autres ministères. Malgré cette situation, Alioune Ndoye a déclaré que le problème sera étudié, en tenant compte des intérêts de toutes les parties prenantes.
A Cayar, Mboro, où il a visité les chantiers, le ministre des Pêches et de l’économie maritime a insisté sur la qualité des ouvrages à réaliser et sur le respect. Outré par l’arrêt des travaux du quai de pêche de Mboro, il a annoncé que le marché sera résilié puisque l’entrepreneur est « hors délais et hors procédure ».
A Ndangane Sambou dans la région de Fatick, le président du conseil local de pêche artisanale se dit séduit par le ministre. « C’est la première fois que je vois un ministre des Pêches et de l’Economie maritime dire à un entrepreneur que le matériau utilisé n’est pas adéquat, par rapport au cahier des charges », a confié Abdou Kaling. « Il tient également un discours de vérité aux acteurs. Je l’ai interpellé sur l’interdiction de la pêche dans certaines zones. Il m’a répondu que c’est pour permettre à la ressource de se régénérer », ajoute-t-il. Mor Mbengue, vice-président du quai de pêche de Cayar, souligne que le ministre ne prend pas un engagement qu’il ne respecte pas. « Quand vous posez une doléance, il dit toujours qu’il va l’étudier avec ses collaborateurs », déclare-t-il
IMBOUA-NIAVA DE L’OMS DEDOUANE ASTRAZENECA
Invitée de de l’émission l’objection de la Radio Sud Fm dimanche 11 avril 2021, le Représentant de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), Dr Lucile Marie Imboua-Niava, a été formelle sur le vaccin AstraZeneca
Invitée de de l’émission l’objection de la Radio Sud Fm hier, dimanche 11 avril 2021, le Représentant de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), Dr Lucile Marie Imboua-Niava, a été formelle sur le vaccin AstraZeneca qui a suscité la polémique, quant à son efficacité et ses dommages collatéraux. Non sans assurer que l’Oms joue en faveur de l’équité.
Selon docteur Lucile Imboua, la représentante de l’Organisation mondiale de la santé(OMS) qui était l’invitée de Sud Fm hier, dimanche, le vaccin est l’une des solutions pour lutter contre la Covid-19.
Concernant les inquiétudes sur l’AstraZeneca, elle affirmera qu’« on a des manifestations qui ont été observées, mais pour le moment, on n’a pas les preuves que c’est lié au vaccin.
Le travail continue même si d’autres pays l’ont suspendu en attendant ». Une mesure de précaution d’après ses dires en attendant que plus de recherches soient effectuées « pour pouvoir vérifier l’imputabilité du vaccin AstraZeneca».
Toujours concernant les risques en cas de vaccination d’AstraZeneca, Dr Lucile Imboua donne comme conseil de continuer à l’utiliser. « Les études qui ont été faites autour des manifestations jusqu’à présent ne lient pas ces manifestations au vaccin AstraZeneca. Donc on n’a aucune preuve, ces vaccins sont nocifs au point qu’on doit les arrêter », a-t-elle dit.
Avant d’ajouter: « Le vaccin peut nous éviter de tomber malade, peut aussi nous aider à éviter la mort ». De ce fait, «on doit continuer de sensibiliser la population sur l’innocuité du vaccin et les bénéfices qu’on en tire », soutient-elle.
Pour sensibiliser les populations, il y a selon elle des stratégies qui sont des fondamentaux qu’il faut appliquer. « Il y a des mécanismes en place pour s’assurer que ça soit fonctionnel. Il faut poursuivre la sensibilisation, car il est pour tous, et tout le monde doit pouvoir suivre les conseils qu’on donne sur les mesures barrières, si cette baisse est avérée, qu’elle soit durable ».
Quid de la problématique de l’équité ? « Aujourd’hui, avec l’avènement des vaccins et toutes les difficultés que nous voyons pour certains pays au sud de disposer des vaccins, le problème d’inégalité persiste et il faut vraiment travailler à les réduire pour asseoir l’équité. Car, l’équité en santé, c’est aussi le droit à la santé », a déclaré le Dr Imboua qui poursuit en disant que «l’Organisation Mondiale de la Santé(OMS) joue sa partition en faveur de l’équité, elle ne peut pas imposer mais elle peut faire un plaidoyer pour que cette équité en santé en général puisse être une réalité et pour les vaccins encore plus parce que c’est le problème que nous vivons ».
Avant de poursuivre en faisant savoir que : « En fait, je pense que la création de l’initiative Covax milite pour cette équité, puisqu’on connait suffisamment des problèmes d’inégalité pour avoir été proactif, pour mettre en place avec les autres partenaires cette initiative qui permettait d’avoir un vaccin pour tous, surtout pour tous les pays les moins nantis »
LE SIENS INSTRUIT MAMADOU TALLA
Face à la problématique de l’emploi, le président de la République, Macky Sall avait annoncé, lors de son discours du 3 avril dernier, un recrutement de 5000 enseignants
Face à la problématique de l’emploi, le Président de la République, Macky Sall avait annoncé, lors de son discours du 3 avril dernier, un recrutement de 5000 enseignants. Fort de cela, le Bureau exécutif national du Syndicat des inspectrices et inspecteurs de l’éducation nationale du Sénégal invite à un « recrutement en nombre et en qualité ». Ce, face au « déficit » d’enseignants.
Dans sa déclaration publique faite avant-hier, samedi 10 avril, le Syndicat des inspectrices et inspecteurs de l’éducation nationale du Sénégal (SIENS) « suggère au ministre de l’Education nationale d’œuvrer conformément à la doxa de la grande communauté des acteurs de l’éducation au respect des valeurs et du consensus fort pour un recrutement en quantité et qualité, notamment sur la base du vivier indiqué et de ne point céder aux chants des sirènes allant dans le sens d’un recrutement fondé sur une vue à court terme et non en adéquation avec une éthique de refondation de l’Ecole comme socle de production du capital humain et d’un Sénégal moderne et authentique ».
Cette suggestion qui fait suite à l’annonce d’un « recrutement de 5000 enseignants pour le préscolaire, le primaire, le moyen et le secondaire, y compris les daaras modernes et l’enseignement arabe » par le Chef de l’Etat lors de son discours du 3 avril dernier, se fonde sur plusieurs considérations faites par le SIENS. « Selon certaines estimations, le Sénégal aurait besoin dans les projections les plus optimistes de plus de 40.000 enseignants au primaire d’ici 2023. Le déficit est donc réel et les autorisations de recrutement et quotas annuels doivent impérativement être à la hauteur de ce gap; ce qui ne semble pas être le cas depuis plusieurs années à tout le moins avec un niveau de recrutement moyen d’environ 2000 enseignants par an pour l’élémentaire », a précisé le SIENS.
En effet, à en croire El Cantara Sarr et ses camarades, « toute décision allant dans le sens de la création d’emplois dans le secteur hautement stratégique de l’éducation doit impérativement s’inscrire dans une logique de planification rigoureuse, de quête d’un accroissement de l’efficacité interne et externe, de la durabilité et de l’intégration des impératifs de l’agenda 2030, ainsi que du respect des principes, valeurs et objectifs partagés vers une scolarisation universelle de qualité, sans « laisser personne au bord de la route ». Parmi les considérations du SIENS, il y’a, entres autres : la valorisation de la plateforme qu’offrent les CRFPE et la FASTEF, le démarrage de la formation initiale, la disponibilité des formateurs permanents (132 pour les 14 centres), l’existence de centaines de jeunes sénégalais qui ont déjà assumé les contraintes du concours d’entrée et placés sur la liste d’attente du CREM (sur les deux dernières années seulement, environ 1418 en français et arabe ), de même que tous ces jeunes sans emplois, déjà titulaires de diplômes professionnels tant pour l’élémentaire que pour le moyen secondaire ».
Dans sa note, le SIENS a également demandé au « Président de la République, au-delà de ce recrutement exceptionnel bien salué, de mettre en place un plan de relance du système d’Education et de Formation qui intégrerait d’ici à 2024 la question du financement massif et innovant du secteur, le recrutement d’agents en nombre et qualité, y compris, comme annoncé récemment lors De la cérémonie officielle de lancement du rapport international du Programme d’Analyse des Systèmes éducatifs de la CONFEMEN (PASEC), celui d’inspecteurs de l’enseignement en charge de la conception, du contrôle et de l’encadrement, ainsi que la mise en place de conditions attrayantes de rémunération et de performances seule gage de maintien, de stabilité et d’efficacité interne et externe ». Mieux, il convie « l’ensemble des acteurs à garder un niveau élevé de vigilance et à exercer leur droit de regard et leur capacité critique, afin que notre projet d’Ecole ne soit pas dévoyé ».