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11 septembre 2025
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LA TRAGEDIE DE L'EMIGRATION CLANDESTINE VERS LES CANARIES
Selon l'Organisation internationale des migrations, plus de 500 décès ont été enregistrés depuis début octobre au large des côtes ouest-africaines. Parmi eux se trouvent de nombreux Sénégalais.
L'émigration en direction de l'archipel espagnol est en pleine recrudescence. Selon l'Organisation internationale des migrations, plus de 500 décès ont été enregistrés depuis début octobre au large des côtes ouest-africaines. Parmi eux se trouvent de nombreux Sénégalais qui ont péri en tentant de rejoindre l'Europe à bord de pirogues. Leurs proches témoignent.
Dans la ville côtière de M'bour, située au sud de Dakar, la famille Cissé ressent une tristesse infinie. Elle déplore la mort de Daouda, âgé de 18 ans, qui a perdu la vie début novembre en tentant de rejoindre l'archipel espagnol des Canaries à bord d'une pirogue. Sa mère Coumba Fleur est inconsolable.
Malgré les dangers que représente cette traversée, de plus en plus de candidats et candidates tentent de partir des côtes sénégalaises dans le but d'échapper à la crise économique causée par le Covid-19.
PREMIÈRE ÉDITION DE LA JOURNÉE DE SOLIDARITÉ DES FORCES ARMÉES, MARDI
Sidiki Kaba, préside mardi la première édition de la Journée de solidarité des Forces armées dont la cérémonie se déroulera à partir de 10 heures au Cercle mess des officiers colonel Emmanuel Gomis (ex-amirauté), annonce un communiqué.
Dakar, 23 nov (APS) - Le ministre des Forces armées, Maître Sidiki Kaba, préside mardi la première édition de la Journée de solidarité des Forces armées dont la cérémonie se déroulera à partir de 10 heures au Cercle mess des officiers colonel Emmanuel Gomis (ex-amirauté), annonce un communiqué.
Il précise que la manifestation va enregistrer la participation du chef d’état-major des Forces armées, le général de corps aérien Birame Diop, et du Haut commandant de la Gendarmerie nationale, le général Jean Baptiste Tine.
Selon le communiqué, cette première édition de la Journée de solidarité des Forces armées sera axée sur le thème : "Fraternité et solidarité dans les armées : hommage aux militaires blessés et invalides".
Cette initiative vise ainsi à apporter "un soutien moral et matériel aux personnels blessés et invalides des armées" et à "revivifier la cohésion ainsi que l’esprit de solidarité à l’égard des frères d’armes méritants."
LA NOUVELLE REPRÉSENTANTE RÉSIDENTE A PRIS SES FONCTIONS
Nommée à ce poste par le Directeur exécutif du PAM, Mme Terki aura la charge de diriger les opérations d’assistance et de résilience menées au Sénégal par le PAM dans le cadre de son Plan stratégique Pays
Dakar, 23 nov (APS) - La nouvelle directrice et représentante résidente du Programme alimentaire mondial (PAM) au Sénégal, Fatiha Terki, a pris ses fonctions, ce lundi, à la suite de la présentation, le même jour, de sa lettre de mission au ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’extérieur, Aïssata Tall Sall, annonce un communiqué transmis à l’APS.
Nommée à ce poste par le Directeur exécutif du PAM, David Beasley, Mme Terki aura la charge de diriger les opérations d’assistance et de résilience menées au Sénégal par le PAM dans le cadre de son Plan stratégique Pays (PSP 2019-2023), renseigne le texte.
Médecin, spécialisée en épidémiologie, elle rejoint le PAM au Sénégal, après quatre années de fonction au siège de l’organisme humanitaire à Rome. Dans la capitale italienne, elle a successivement occupé les postes de directrice adjointe et directrice par intérim de la Division de la nutrition, selon la même source.
De nationalité algérienne, Fatiha Terki totalise 25 ans d’expérience dans le domaine du développement international, qui l’ont menée dans plusieurs pays à travers le monde, particulièrement en Afrique, au Moyen Orient et en Asie.
La nouvelle directrice et représentante résidente du PAM compte se "mettre à la disposition du Gouvernement afin de contribuer au mieux à la réalisation des priorités du Sénégal en matière de développement socio-économique telles qu’énoncées dans le Plan Sénégal Emergent (PSE 2014-2035)".
"Je suis ravie d’être aujourd’hui acceptée par le gouvernement du Sénégal qui, à travers son ministère en charge des Affaires Etrangères, a reçu ma lettre d’accréditation, ce qui rend officielle ma mission dans le pays", a-t-elle déclaré.
"C’est pour moi un honneur, mais surtout une grande opportunité de servir le Sénégal en tant qu’agent humanitaire et de développement afin de jouer ma partition au nom du Programme Alimentaire Mondial pour l’atteinte des Objectifs de développement durable, notamment les ODD 2 et 17 qui consistent à éliminer la faim, assurer la sécurité alimentaire, améliorer la nutrition et promouvoir l’agriculture durable à travers un partenariat fort d’ici 2030", a-t-elle conclu.
L’UNAPAD SE DOTE D’UNE COOPÉRATIVE NATIONALE
L’Union nationale pour la promotion de l’agriculture durable s’est dotée d’une coopérative nationale officiellement mise sur pied au cours d’une assemblée générale tenue lundi à Kaffrine, dans le cadre de la commémoration de son premier anniversaire.
Kaffrine, 23 nov (APS) - L’Union nationale pour la promotion de l’agriculture durable (UNAPAD) s’est dotée d’une coopérative nationale officiellement mise sur pied au cours d’une assemblée générale tenue lundi à Kaffrine, dans le cadre de la commémoration de son premier anniversaire.
Cette assemblée générale a été présidée par le directeur régional de développement rural (DRDR), Samba Ndao Tall, en présence des antennes départementales et régionales de l’UNAPAD dans le Ndoucoumane.
La nouvelle coopérative devrait permettre à l’UNAPAD "d’attirer l’attention des partenaires au développement et de mieux travailler avec l’Etat du Sénégal", a expliqué son président, Sadimb Cissé, en rappelant que sa structure prône la multiplication des semences pour amener le Sénégal à disposer d’un capital semencier conséquent.
L’UNAPAD veut de cette manière contribuer à révolutionner l’agriculture, à moderniser l’élevage pour au final inciter les Sénégalais à consommer davantage les produits locaux, selon son président.
L’UNAPAD, qui regroupe des acteurs du secteur primaire, veut "renforcer et mettre en valeur les acquis des politiques de l’Etat dans les filières de l’agriculture, de l’élevage et de l’environnement", a-t-il indiqué.
Dans cette optique, elle milite "pour une autosuffisance alimentaire, pour la résilience et pour le consommer local", a ajouté M. Cissé, se disant satisfait des résultats engrangés par sa structure créée le 23 novembre 2019.
Le lancement de la coopérative de l’UNAPAD "est une étape importante", qui "va permettre à l’organisation de développer le partenariat avec l’Etat du Sénégal", a souligné le directeur régional du développement rural de Kaffrine, Samba Ndao Tall.
"L’UNAPAD va être un interlocuteur formellement reconnu. Elle va avoir un partenariat fécond avec les institutions financières et les partenaires internationaux dans le sens du développement durable de l’agriculture", a-t-il ajouté
L’Union nationale pour la promotion de l’agriculture durable (UNAPAD) compte environ 20.000 membres dans tout le Sénégal, selon ses responsables.
À MBOUR, L’INQUIÉTUDE PERSISTE
L’inquiétude ne s’estompe pas au quai de pêche de Mbour depuis l’apparition, il y a quelques jours, de plusieurs cas de dermatoses d’origine inconnue chez des pêcheurs de retour de la mer.
Dakar, 23 nov (APS) - L’inquiétude ne s’estompe pas au quai de pêche de Mbour depuis l’apparition, il y a quelques jours, de plusieurs cas de dermatoses d’origine inconnue chez des pêcheurs de retour de la mer.
Cette dermatose qualifiée de maladie mystérieuse a déjà touché 230 pêcheurs dans le département de Mbour (ouest), selon le coordonnateur du Conseil local de la pêche artisanale (CLPA), Ndiaga Cissé.
"Dans la commune de Mbour, on a recensé onze cas, quatre cas à Joal-Fadiouth et 215 à Ndayane, dans la commune de Popenguine", a-t-il révélé dans un entretien avec l’APS.
Il précise que les cas recensés à Mbour concernent des pêcheurs des quartiers Téfesse et Golf, mais aussi d’autres pêcheurs qui viennent de Mbao, dans la banlieue dakaroise, et d’autres points de pêche de la capitale sénégalaise.
Au quai de pêche de Mbour, si certaines personnes rencontrées semblent minimiser le phénomène, de nombreuses autres affichent par contre peur et inquiétude.
D’aucuns souhaitent des "analyses sérieuses", afin d’édifier les uns et les autres sur la nature de cette pathologie, en vue de s’assurer si elle peut affecter ou pas le poisson, ou encore s’il est risqué ou non de continuer à aller en mer.
En attendant, Cheikh Ndoye, un jeune pêcheur, a lui choisi de ne plus aller en mer, "jusqu’à nouvel ordre". Il estime qu’il est "trop risqué d’embarquer dans des pirogues à la recherche d’une hypothétique ressource halieutique qu’on n’est même pas sûr de trouver". De toutes les manières, se désole-t-il, "les bateaux de pêche ont pris le dessus sur la pêche artisanale".
Cet ancien pêcheur qui ne veut pas être cité et qui revendique plus de quarante années d’activité déclare que "notre mer n’est plus sûre parce qu’avec la prolifération des navires qui pratiquent la pêche industrielle, il faut toujours s’attendre à toutes sortes de surprises désagréables".
Non loin du quai de pêche, au marché central de Mbour, de nombreuses personnes rencontrées, dont des femmes, déclarent ne plus consommer du poisson, "tant que les services compétents, après analyse de la situation, ne donneront pas les véritables causes" de cette maladie.
"Je préfère maintenant manger tout sauf des produits issus de la mer, car on ne peut pas dire avec exactitude l’origine des poissons qui sont mis sur le marché", fait valoir une jeune femme venue faire ses emplettes dans une cantine faisant face à la sortie principale du quai de pêche.
CES RÉJOUISSANCES PUBLIQUES EN PERTE DE RYTHME
Le « xawaare », le « furël », le « simb », la kermesse, les sauts en parachute…sont autant de réjouissances publiques qui disparaissent petit à petit de la palette des « plaisirs partagés »
À chaque époque, ses ardentes passions et ses inclinations. Et il ne restera que des souvenirs à ressasser pour entretenir la flamme d’une époque riche de ses vestiges. Le « xawaare », le « furël », le « simb », la kermesse, les sauts en parachute…sont autant de réjouissances publiques qui disparaissent petit à petit de la palette des « plaisirs partagés ».
Le reflet d’un des points lumineux de l’autoroute à péage éblouit le visage d’Ibrahima Agne. Ventre débordant, le quinquagénaire prend ses aises sur une chaise en bois, savourant les effleurements du vent frais en ces temps de canicule. Avec un demi-siècle de vie, il a vu passer bien des âges et réjouissances publiques. Sa fraîche mémoire revoit défiler les fêtes les plus marquantes d’une époque qu’il a bien aimée. Habitant de la banlieue, à côté du camp militaire de Thiaroye, Ibrahima ne manquait jamais les sauts en parachute. Très présent lors de la fête de Saint Michel, il s’était même fait la réputation « d’ami des militaires ». Avec le temps, cet événement a presque disparu du calendrier. Il l’apprécie, plein de regrets. « C’était la folie, nous courions, nous nous engagions de toutes nos forces pour regarder les parachutistes. C’était de l’art, des instants magiques. C’est durant ces journées que j’ai vu, pour la première fois, le chanteur Omar Pène. C’est dommage que cet événement ait disparu », dit-il, dominant difficilement ses émotions, les mains constamment agitées. « Nous marquions également la graille militaire », se souvient-il.
Ses mots sont empreints de nostalgie. Fatou Diouf, née en 1959, parle des « xawaare » (soirées musicales traditionnelles habituellement organisées la nuit). Thiaroye, Pikine, Yeumbeul, la dame ratait rarement ces festivités. Les envolées lyriques, les danses traditionnelles et les défilés des grandes dames la séduisaient. Fatou aimerait bien remonter le temps et revivre ces moments. « Les choses ont changé. Le monde a évolué. Je dirai dans le mauvais sens. Les réjouissances publiques très classes ont laissé la place à la vulgarité. Nous rivalisions d’élégance, dans la pudeur », lâche Fatou, haussant une tête couverte par un foulard gris. À chacun sa préférence, ses inclinations et passions ardentes.
Quartiers bouillonnants
À la retraite depuis deux ans, Moustapha Samb a la nostalgie des « mbapatt de quartier » (lutte traditionnelle sans frappe). Habitant du quartier Lansar qui abrite l’écurie éponyme, le bonhomme en blouson raconte son attachement à ces joutes sportives à l’intérieur du quartier. « La lutte traditionnelle n’est plus organisée dans nos quartiers. Au début des années 2000, nous vivions cette ferveur tous les week-ends grâce à Max Mbargane qui organisait régulièrement des séances. Ce sont les « mbapatt » de Lansar qui ont d’ailleurs révélé les Bombardier, Baye Mandione et autres », précise-t-il, croquant des cacahuètes. Influencé par l’un des plus grands « simb » (faux lions) de la banlieue du nom de Sadio Ndiaye, Ousmane Tamba, lui, avait fini par mettre sur pied un petit groupe. Sillonnant les quartiers, il offrait ses services, sans répit. « Nous allions partout. C’était beau. C’est dommage que les jeunes d’aujourd’hui ne jouent qu’avec leurs téléphones », chahute-t-il.
Il ne faut pas forcément être d’un autre âge pour connaître ou se rappeler des « furël » (festivités nocturnes organisées dans les quartiers). Mais depuis quelques années, cet événement se raréfie. Il n’est presque plus organisé alors qu’il drainait les foules. Vêtu d’un boubou bleu, Ibou Sèye, « en bon mouride », s’apprête à aller prendre part à une nuit de « Thiant » (procession) à Thiaroye. Dix ans auparavant, le jeune homme, âgé aujourd’hui de 28 ans, n’aurait jamais manqué un « furël ». C’était une occasion pour lui et son groupe de faire la cour aux jeunes filles du coin. Aujourd’hui, c’est une autre époque pour lui, avec de nouvelles priorités. « C’est marrant, nous accordions tellement d’importance à ces événements tels que le « furël » ou le « tannebeer ». Je me souviens qu’à cette époque, on se bousculait derrière le batteur de tam-tam. Les aguichantes silhouettes des filles nous envoyaient dans un autre monde. Nous jubilions. À la fin de l’événement, nous nous précipitions pour aborder ou raccompagner les jeunes filles », se rappelle-t-il d’une voix rauque et tout souriant.
Invitation-soutien
Président de la commission culturelle d’une association sportive et culturelle, Massamba Seck regrette la « mort » de ces événements qui servaient parfois à renflouer les caisses grâce aux invitations-soutiens. « Les commissions féminines organisaient tout le temps des « furël » et « tannebeer » pour financer leurs activités sportives. Aujourd’hui, la donne a changé. Les gens sont de moins en moins passionnés par ces réjouissances. Les soirées organisées par des artistes musiciens sont à la mode », confie Massamba, nostalgique. Les kermesses sont également dans ce lot. Très prisées il y a quelques années, elles sont de moins en moins organisées de nos jours aussi bien dans les écoles que dans les quartiers. Son évocation réveille des souvenirs chez Mor Lèye. Yeux bandés, ciseaux en main, avançant doucement vers les produits mis en jeu, il en a énormément participé et gagné. « Je préférais la série de penalties avec un pneu qui fait office de cage. Très adroit, je gagnais souvent des ballons. J’aimais aussi les jeux de cartes ou ludo. C’est dommage qu’on n’en voie plus. C’était d’excellents moments de distraction et de communion ». De beaux souvenirs menacés par les ravages du temps.
LA LUTTE CONTRE LES MGF AU MENU D’UNE FORMATION
Les acteurs de la protection de l’enfance sont en conclave à partir de ce lundi et pour trois jours pour une meilleure application de la loi sur les mutilations génitales féminines
Sedhiou, 23 nov (APS) - Les acteurs de la protection de l’enfance sont en conclave à partir de ce lundi et pour trois jours pour une meilleure application de la loi sur les mutilations génitales féminines (MGF), a appris l’APS.
La rencontre se déroule en présence de la Directrice de l’Education surveillée et de la Protection sociale au ministère de la Justice Ndeye Abbibatou Youm Siby.
Pendant trois jours, autorités administratives, les acteurs de la justice, les forces de l’ordre et acteurs de l’éducation vont échanger sur les difficultés rencontrées dans le cadre de la mise en œuvre de cette loi.
’’Le combat doit être mené par tout le monde et surtout les acteurs à la protection de l’enfance doivent miser sur la sensibilisation et la communication pour atteindre leur cible’’, a expliqué la directrice de l’éducation surveillée et de la protection sociale.
NOUVEAU MODE DE COMMUNICATION DU GOUVERNEMENT
La nouvelle équipe gouvernementale compte tenir des conférences de presse tous les 14 jours. Le premier est prévu mardi à partir de 10 heures au building administratif Mamadou Dia
Le Gouvernement du Sénégal compte tenir des conférences de presse tous les 14 jours. Le premier est prévu mardi à partir de 10 heures au building administratif Mamadou Dia. Autour du ministre Porte-parole du Gouvernement, un certain nombre de ministres répondront aux questions de la presse sur des sujets d’actualité.
Pour cet exercice inaugural, les ministres concernés sont Antoine Félix Abdoulaye Diome, ministre de l’Intérieur, Abdoulaye Diouf Sarr ministre de la Santé et de l’Action sociale, Moussa Baldé, ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural, Serigne Mbaye Thiam, ministre de l’Eau et de l’Assainissement, Alioune Ndoye, ministre des Pêches et de l’Economie maritime, Aminata Assome Diatta, ministre du Commerce et des PME, Dame Diop, ministre de l’Emploi, de la Formation professionnelle, de l’Apprentissage et de l’Insertion et Moïse Sarr, secrétaire d’État chargé des Sénégalais de l’extérieur.
Toute la presse est invitée à participer ces séances de questions-réponses avec les ministres sous la coordination du ministre porte-parole du gouvernement.
15 NOUVELLES CONTAMINATIONS RAPPORTÉES CE LUNDI
El Hadj Mamadou Ndiaye Il a rapporté que 28 patients ont été par ailleurs contrôlés négatifs et déclarés guéris alors que 3 cas graves sont pris en charge dans les services de réanimation.
Dakar, 23 nov (APS) – Quinze nouvelles contaminations au Covid-19 ont été enregistrées au cours des dernières 24h, a indiqué, lundi, le ministère de la Santé et de l’Action sociale.
’’Sur 684 tests réalisés, 15 sont revenus positifs, soit un taux de positivité de 2,19%’’, a annoncé le directeur de la Prévention au ministère de la Santé.
Faisant le point quotidien sur l’évolution de la pandémie, le porte-parole du ministère de la Santé a indiqué que ces nouvelles contaminations concernent 4 cas contacts suivis et 11 cas issus de la transmission communautaire recensés à Dakar et à Kaolack.
Aucun décès n’a été enregistré, dimanche, selon El Hadj Mamadou Ndiaye.
Il a rapporté que 28 patients ont été par ailleurs contrôlés négatifs et déclarés guéris alors que 3 cas graves sont pris en charge dans les services de réanimation.
Depuis le 2 mars, le Sénégal a enregistré au total 15897 cas positifs au coronavirus dont 330 décès, 15516 guéris, 50 personnes encore sous traitement.
CASA SPORT VISE LE PODIUM DE LIGUE 1 ET UNE COUPE NATIONALE
L’équipe du Casa Sports (élite) vise une place sur le podium de la Ligue 1 sénégalaise et une coupe nationale pour la saison 2020-2021 qui doit démarrer le 2 janvier, a déclaré son président, Seydou Sané.
Dakar, 23 nov (APS) – L’équipe du Casa Sports (élite) vise une place sur le podium de la Ligue 1 sénégalaise et une coupe nationale pour la saison 2020-2021 qui doit démarrer le 2 janvier, a déclaré son président, Seydou Sané.
’’Nous allons viser une place sur le podium parce que cette année est transitoire, et, essayer de décrocher la coupe nationale ou la coupe de la Ligue’’, a déclaré le président du club fanion du sud du pays, en stage de préparation depuis le 2 novembre.
’’Ce stage a pris fin hier (dimanche) et un groupe de 40 personnes dont 32 joueurs vont se rendre en Gambie pour préparer la saison’’, a indiqué le président du Casa Sports.
En Gambie, en plus des installations et de la proximité, les joueurs et le staff technique peuvent travailler en synergie avec le partenaire allemand du Casa Sports appelé 4FC, a-t-il expliqué.
’’Notre partenaire est installé en Gambie où il dispose de ses propres infrastructures, d’ailleurs récemment quand notre attaquant Mamina Badji devait se rendre en Autriche, il est passé dans cette structure pendant trois semaines pour peaufiner sa préparation’’, a indiqué M. Sané, précisant que le partenaire de son équipe travaille dans le conseil et le trading de joueurs.
Le président du Casa Sport a également annoncé l’organisation d’une série de matchs amicaux avant l’ouverture de la saison. Il a assuré que cette préparation a coûté une quinzaine de millions de francs Cfa.