Ce lundi, Samba Ndiaye Seck, Directeur de cabinet du Secrétaire d’Etat chargé des Droits Humains et de la Bonne Gouvernance, et Moustapha Ka, Directeur des Droits de l’Homme, ont été relevés de leurs fonctions. Il leur est reproché de n'avoir pas exprimé, au comité des Droits de l'homme de l'Onu, la position officielle de l'Etat du Sénégal, notamment sur le cas Karim Wade. Pour Me Alassane Dioma Ndiaye, une telle décision est inexplicable.
"Cette décision est inexplicable. Je pense que le Sénégal ne s'attendait peut-être pas à une médiatisation de ces déclarations et surtout la remise en selle de quelqu'un qui est considéré comme un banni, ou un potentiel opposant. Cette décision est plus politique que rationnelle. L'Etat du Sénégal s'est peut-etre senti mal à l'aise quand on a dit qu'il reconnaissait ses torts. Peut-etre que c'est un sursaut d'orgueil, mal placé d'ailleurs, mais en aucun cas cela n' a été un juste procès pour ces fonctionnaires rigoureux", a souligné le défenseur des droits humains sur Rfm.
Samsidine DIATTA
MOUSTAPHA KA ET SAMBA N. SECK LIMOGÉS :
ASSANE DIOMA NDIAYE Y VOIT "UN SURSAUT D'ORGUEIL MAL PLACE "
Ce lundi, Samba Ndiaye Seck, Directeur de cabinet du Secrétaire d’Etat chargé des Droits Humains et de la Bonne Gouvernance, et Moustapha Ka, Directeur des Droits de l’Homme, ont été relevés de leurs fonctions. Il leur est reproché de n'avoir pas exprimé, au comité des Droits de l'homme de l'Onu, la position officielle de l'Etat du Sénégal, notamment sur le cas Karim Wade. Pour Me Alassane Dioma Ndiaye, une telle décision est inexplicable.
"Cette décision est inexplicable. Je pense que le Sénégal ne s'attendait peut-être pas à une médiatisation de ces déclarations et surtout la remise en selle de quelqu'un qui est considéré comme un banni, ou un potentiel opposant. Cette décision est plus politique que rationnelle. L'Etat du Sénégal s'est peut-etre senti mal à l'aise quand on a dit qu'il reconnaissait ses torts. Peut-etre que c'est un sursaut d'orgueil, mal placé d'ailleurs, mais en aucun cas cela n' a été un juste procès pour ces fonctionnaires rigoureux", a souligné le défenseur des droits humains sur Rfm.
Samsidine DIATTA
MOUSTAPHA KA ET SAMBA N. SECK LIMOGÉS :
ASSANE DIOMA NDIAYE Y VOIT "UN SURSAUT D'ORGUEIL MAL PLACE "
Ce lundi, Samba Ndiaye Seck, Directeur de cabinet du Secrétaire d’Etat chargé des Droits Humains et de la Bonne Gouvernance, et Moustapha Ka, Directeur des Droits de l’Homme, ont été relevés de leurs fonctions. Il leur est reproché de n'avoir pas exprimé, au comité des Droits de l'homme de l'Onu, la position officielle de l'Etat du Sénégal, notamment sur le cas Karim Wade. Pour Me Alassane Dioma Ndiaye, une telle décision est inexplicable.
"Cette décision est inexplicable. Je pense que le Sénégal ne s'attendait peut-être pas à une médiatisation de ces déclarations et surtout la remise en selle de quelqu'un qui est considéré comme un banni, ou un potentiel opposant. Cette décision est plus politique que rationnelle. L'Etat du Sénégal s'est peut-etre senti mal à l'aise quand on a dit qu'il reconnaissait ses torts. Peut-etre que c'est un sursaut d'orgueil, mal placé d'ailleurs, mais en aucun cas cela n' a été un juste procès pour ces fonctionnaires rigoureux", a souligné le défenseur des droits humains sur Rfm.
Samsidine DIATTA
MOUSTAPHA KA ET SAMBA N. SECK LIMOGÉS :
ASSANE DIOMA NDIAYE Y VOIT "UN SURSAUT D'ORGUEIL MAL PLACE "
Ce lundi, Samba Ndiaye Seck, Directeur de cabinet du Secrétaire d’Etat chargé des Droits Humains et de la Bonne Gouvernance, et Moustapha Ka, Directeur des Droits de l’Homme, ont été relevés de leurs fonctions. Il leur est reproché de n'avoir pas exprimé, au comité des Droits de l'homme de l'Onu, la position officielle de l'Etat du Sénégal, notamment sur le cas Karim Wade. Pour Me Alassane Dioma Ndiaye, une telle décision est inexplicable.
"Cette décision est inexplicable. Je pense que le Sénégal ne s'attendait peut-être pas à une médiatisation de ces déclarations et surtout la remise en selle de quelqu'un qui est considéré comme un banni, ou un potentiel opposant. Cette décision est plus politique que rationnelle. L'Etat du Sénégal s'est peut-etre senti mal à l'aise quand on a dit qu'il reconnaissait ses torts. Peut-etre que c'est un sursaut d'orgueil, mal placé d'ailleurs, mais en aucun cas cela n' a été un juste procès pour ces fonctionnaires rigoureux", a souligné le défenseur des droits humains sur Rfm.
"CETTE DÉCISION EST INEXPLICABLE"
Alassane Dioma Ndiaye revient sur les limogeages des deux personnalités du ministère de la Justice, suite à leurs interventions au comité des droits de l'homme des Nations Unies dans l'affaire Karim Wade
Ce lundi, Samba Ndiaye Seck, Directeur de cabinet du Secrétaire d’Etat chargé des Droits Humains et de la Bonne Gouvernance, et Moustapha Ka, Directeur des Droits de l’Homme, ont été relevés de leurs fonctions. Il leur est reproché de n'avoir pas exprimé, au comité des Droits de l'homme de l'Onu, la position officielle de l'Etat du Sénégal, notamment sur le cas Karim Wade. Pour Me Alassane Dioma Ndiaye, une telle décision est inexplicable.
"Cette décision est inexplicable. Je pense que le Sénégal ne s'attendait peut-être pas à une médiatisation de ces déclarations et surtout la remise en selle de quelqu'un qui est considéré comme un banni, ou un potentiel opposant. Cette décision est plus politique que rationnelle. L'Etat du Sénégal s'est peut-etre senti mal à l'aise quand on a dit qu'il reconnaissait ses torts. Peut-etre que c'est un sursaut d'orgueil, mal placé d'ailleurs, mais en aucun cas cela n' a été un juste procès pour ces fonctionnaires rigoureux", a souligné le défenseur des droits humains sur Rfm.
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DECLARATION DE SOKHNA AÏDA DIALLO SUITE A SA RENCONTRE AVEC SERIGNE MOUNTAKHA
DECLARATION DE SOKHNA AÏDA DIALLO SUITE A SA RENCONTRE AVEC SERIGNE MOUNTAKHA
DECLARATION DE SOKHNA AÏDA DIALLO SUITE A SA RENCONTRE AVEC SERIGNE MOUNTAKHA
LES SYNDICATS D’ENSEIGNANTS SUR LE PIED DE GUERRE
Le défi du respect total du quantum horaire s’annonce périlleux pour les acteurs du système éducatif sénégalais. Entre écoles inondées, absence des élèves dans les écoles et établissements, l’école publique risque de connaître encore des remous.
Le défi du respect total du quantum horaire s’annonce périlleux pour les acteurs du système éducatif sénégalais. Entre écoles inondées, absence des élèves dans les écoles et établissements, l’école publique risque de connaître encore des remous. Très alertes depuis le début de l’ouverture, les syndicats d’enseignants les plus présentatifs n’excluent, dans une perspective proche, de déposer des préavis de grève.
L’école publique sénég alaise risque encore de perdre des heures d’enseignements et apprentissages. Alors que les 1296 heures retenues par le décret 2019- 1363 relatif aux trimestres et à la durée des congés et vacances dans les établissements scolaires, commencent, dès la rentrée, à prendre des coups, les cours n’ont pas encore démarré dans certaines localités. Les conditions climatiques, notamment les pluies sont passées par là. Certaines écoles toujours sous les eaux. Qui plus est, l’absence d’abris provisoires dans certaines zones dans les écoles et établissements. Pourtant préconisé depuis plus d’une décennie, le concept « Ubbi tey, Jàng tey » devra encore rester à l’état de slogan, en dépit de tous les efforts et appels faits à l’endroit de la communauté éducative.
En effet, le contexte actuel de suivi des accords pousse désormais les syndicats à être sur le pied de guerre. La rencontre de monitoring en date du 27 septembre entre le gouvernement et les sept (7) syndicats les plus représentatifs, quoique rassurante sur le suivi des accords du procès-verbal, n’a pas dissipé les inquiétudes des enseignants sur la matérialisation des revendications.
Pour montrer leur détermination cette année à en découdre avec l’Etat, les organisations syndicales du secteur de l’éducation ont décidé de lancer des alertes d’une éventuelle crise de l’école publique sénégalaise. Elles disent stop au temps de la négociation, mais plutôt de l’action. Car, l’épisode de la suppression de la Primature de l’architecture institutionnelle du Sénégal, est fini. C’est le Syndicat des enseignants libres du Sénégal (Sels), première force au niveau de l’élémentaire, qui a annoncé les couleurs à l’occasion de son congrès tenu quelques jours avant la rentrée des classes pour le personnel enseignant, 1er octobre. Les camarades de Souleymane Diallo entendent déposer un préavis de grève pour fustiger, avec beaucoup de déception, le faible niveau de mise en œuvre des accords du gouvernement. Le Cadre unitaire syndical des enseignants du moyen-secondaire (Cusems) entend observer la même démarche. En attendant de réunir les instances habilitées, les camarades d’Abdoulaye Ndoye, secrétaire général du Cusems, vont, selon une source, déposer un préavis de grève avant le 30 octobre.
Dès cette semaine, le Cusems va publier une lettre d’alerte pour attirer l’attention des ministères concernés sur l’état de mise en œuvre des accords. La prise en charge des préoccupations centrales sera aussi inscrite à l’ordre du jour de la réunion prévue, ce mercredi, du Syndicat autonome des enseignants du moyen secondaire (Saemss).
Saourou Sène, secrétaire général nouvellement réélu, se donne comme objectif de déposer les formalités administratives pour informer aux autorités concernées les décisions du dernier congrès. Ainsi, dans la légalité, le Saemss pourra dérouler ses actions qui seront retenues en secrétariat permanent, relatives aux points inscrits dans le procès-verbal. Ils n’excluent pas de déposer un préavis dans les prochains jours. Les syndicats moins représentatifs réunis autour du G20 ont décidé de déposer leur préavis de grève jeudi prochain, 24 octobre, juste après la séance plénière des secrétaires généraux qui sera sanctionnée par la rédaction d’une plateforme revendicative.
Pour l’Union démocratique des enseignants du Sénégal (Uden), le dépôt du préavis de grève n’est pas encore à l’ordre du jour, étant entendu que le ministère de tutelle et le médiateur du protocole ont fait montre d’une ouverture. Selon le syndicat, « Cheikh Kanté est en train de dérouler. Le format adopté par les autorités, me semble pertinent. Nous pensons qu’il est beaucoup plus judicieux d’accorder de temps pour voir ce qu’il va advenir sur la matérialisation du protocole. Nous privilégions le dialogue » Le secrétaire général de l’Uden, Abdourahmane Gueye, informe de la tenue d’une réunion des instances en fin octobre, pour soumettre la question. Les points qui seront inscrits dans les préavis de grève connaitront-ils des évolutions ? Les syndicats reviennent sur les mêmes points, notamment l’ouverture de négociations pour corriger les disparités criardes et arbitraires sur l’indemnité de logement, la question des passerelles professionnelles, la délivrance des actes d’avancement et de reclassement et in fine la question de l’habitat social.
MOUVEMENT D"HUMEUR AU CESTI
Le Syndicat autonome de l’enseignement supérieur (Saes) du Centre d’études des sciences et techniques de l’information (Cesti) va observer un débrayage de 72h mercredi, jeudi et vendredi prochains.
Le Syndicat autonome de l’enseignement supérieur (Saes) du Centre d’études des sciences et techniques de l’information (Cesti) va observer un débrayage de 72h mercredi, jeudi et vendredi prochains. Cela, suite «au silence du recteur et de la direction des Affaires pédagogiques» face à l’affaire des 52 attestions délivrées à des Béninois.
Le Syndicat autonome de l’enseignement supérieur (Saes), section Centre d’études des sciences et techniques de l’information (Cesti), ne décolère pas. Le Saes/Cesti a décidé en effet de sortir «de la réserve qu’elle s’était imposée depuis le 7 août 2019», afin de permettre aux instances ad hoc de l’Université cheikh Anta Diop (Ucad) de prendre en charge de façon efficiente l’affaire des attestations délivrées aux journalistes béninois par Cousson Traoré, directrice du Cesti, «sans délibération du comité pédagogique».
Dans un communiqué, la section appelle tous ses membres à observer un débrayage de 72h (mercredi 23, jeudi 24 et vendredi 25 octobre 2019), «au regard du silence du recteur et de la direction des Affaires pédagogiques face à cette forfaiture». Au syndicat d’informer en outre que dans toutes les correspondances adressées à l’administration universitaire, la section Saes/Cesti «a posé des questions de fond auxquelles elle attend toujours des réponses : sur quels critères ont été déclarés admis les 52 journalistes béninois ? Dans quel cadre les délibérations ont été faites ? Avec qui ? Sur quelle base juridique ? Où est le procès-verbal qui sanctionne ces délibérations ? Où sont les notes» ?
Pour appuyer leurs propos, les syndicalistes n’ont pas manqué de rappeler que dans un courrier en date du 25 juillet 2019, la section Saes/Cesti a informé le Professeur Ibrahima Thioub, recteur et président de l’Assemblée de l’Ucad, «de dysfonctionnements notés dans la formation des journalistes béninois. Cousson Traoré, en violation flagrante des textes qui régissent le Cesti, a organisé à Cotonou une cérémonie de remise de cinquante-deux (52) attestations à ces professionnels des médias». Un acte qu’ils qualifient de «tentative de blanchiment de formation qui porte atteinte à l’image de notre institution».
Par le canal de la coordination Saes du campus de Dakar, «nous avions appris qu’une commission était mise en place pour statuer sur la dimension pédagogique de ce dossier», lit-on dans le document. Lequel indique en sus que le 10 octobre 2019, une lettre de relance a été adressée au recteur de l’Ucad pour lui réitérer la disponibilité du Saes/Cesti. Pour des raisons liées aux procédures de contradiction dans ce genre de dossiers, renseigne davantage le communiqué, «nous pensions que cette commission devait, au moins, nous entendre avant le dépôt de ses conclusions. Nous étions prêts à déférer à sa convocation et cela nous paraissait indispensable à la manifestation de la vérité», soulignent les syndicalistes.
Considérant tous les faits précités, le Saes/Cesti a décidé de reprendre ses actions syndicales «afin d’ancrer la transparence et la reddition des comptes dans la culture organisationnelle du Cesti». Elle rappelle qu’elle ne cédera à aucune tentative d’intimidation jusqu’à la résolution de cette affaire. «Cousson Traoré sera tenue responsable des conséquences qui en découleront», menace le Saes/Cesti
L’UEMOA RECOMMANDE AU SENEGAL DE BOOSTER LA TRANSPOSITION DES TEXTES
La 5e édition de la Revue annuelle des réformes politiques, programmes et projets de l’Uemoa au Sénégal s’est tenue hier, lundi 21 octobre.
La 5e édition de la Revue annuelle des réformes politiques, programmes et projets de l’Uemoa au Sénégal s’est tenue hier, lundi 21 octobre. Au cours de cette rencontre, la Représentante résidente de la Commission de l’Uemoa au Sénégal, Aissa Kabo Sidikou, a relevé un certain nombre de difficultés rencontrées dans la transposition de certains textes. Ainsi recommande-t-elle de booster la transposition de ces textes par une implication plus forte des parties prenantes.
Dans le cadre de la mise en œuvre des réformes, politiques, programmes et projets communautaires, l’Union économique et monétaire Ouest Africaine (Uemoa) recommande de booster la transposition des textes par une implication de toutes les parties prenantes. «Nous avons quelques textes qui ont des difficultés de transposition notamment en termes de concurrence et de transport ferroviaire. Ce sont des textes qui font l’objet de suivi. Nous recommandons de booster la transposition de ces textes par une implication plus forte de toutes les parties aussi bien la partie sénégalaise que la partie Uemoa», a suggéré la Représentante résidente de la Commission de l’Uemoa au Sénégal, Aissa Kabo Sidikou. Elle s’exprimait hier, lundi 21 octobre, lors de la 5e édition de la Revue annuelle des réformes politiques, programmes et projets de l’Uemoa au Sénégal. En termes de politiques pour l’année 2019, elle informe que 113 textes seront examinés aussi bien dans le cadre de la gouvernance, de la convergence du marché commun que des politiques sectorielles. «Nous avons 30 projets surtout dans le domaine de l’agriculture et de l’énergie», ajoutet-elle.
Présidant la cérémonie d’ouverture de cette rencontre, Mohamadou Bamba Diop, directeur de cabinet du ministre de l’Economie, du Plan et de la Coopération, trouve que la mise en œuvre convenable des réformes et des politiques communautaires devrait permettre d’approfondir le processus d’intégration dans tous ses aspects.
Selon lui, ces réformes et politiques se présentent comme des leviers essentiels de la transformation progressive de notre espace communautaire pour la réalisation de l’émergence des Etats membres. Pour terminer, M. Diop rappelle que le taux moyen global de mise en œuvre des réformes au Sénégal est passé de 71% en 2017 à 76% en 2018, soit un accroissement de 05 points de pourcentage.
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REVUE DE PRESSE RFM
L'essentiel de l'actualité de ce Mardi 22 Octobre 2019 avec Mamadou Mouhamed Ndiaye