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15 août 2025
HAUSSE DE 408 MILLIARDS FCFA DES ACTIFS EXTERIEURS DES BANQUES
Ces actifs sont passés de 1415,40 milliards FCFA en novembre 2017 à 1823,80 milliards FCFA un an plus tard, soit une progression de 28,9% en valeur relative (1 FCFA équivaut à 0,0017 dollar)
Ces actifs sont passés de 1415,40 milliards FCFA en novembre 2017 à 1823,80 milliards FCFA un an plus tard, soit une progression de 28,9% en valeur relative (1 FCFA équivaut à 0,0017 dollar). Cette hausse est occasionnée à la fois par la BCEAO et les banques primaires. La position de la BCEAO a progressé de 29,6% à 1171,10 milliards FCFA contre 907,80 milliards FCFA en décembre 2017.
De leur côté, les banques primaires ont vu leur position progresser de 28,6% à 652,70 milliards FCFA contre 507,60 milliards FCFA en décembre 2017.
Comparés au mois de novembre 2018 où ils se situaient à 1721,80 milliards FCFA, on note une hausse des actifs extérieurs nets de 102 milliards FCFA en valeur absolue et 5,9% en valeur relative. Cette situation est imputable essentiellement aux banques primaires dont la position extérieure nette a évolué de 19,1%. La BCEAO a vu sa position se dégrader légèrement de moins 0,2%.
RENCONTRE SUR LES PERSPECTIVES DE COOPERATION AUTOUR DE LA GESTION DU FLEUVE SENEGAL
L’organisation pour la mise en valeur du fleuve Sénégal (OMVS) organise vendredi, à Dakar, une séance d’information et d’échanges sur les perspectives de la coopération autour de la gestion du fleuve Sénégal, entre les pays membres, annonce un communiqué
L’organisation pour la mise en valeur du fleuve Sénégal (OMVS) organise vendredi, à Dakar, une séance d’information et d’échanges sur les perspectives de la coopération autour de la gestion du fleuve Sénégal, entre les pays membres, annonce un communiqué transmis à l’APS.
Prévue au siège de l’organisation à Dakar, la rencontre entre dans le cadre de la célébration de la journée mondiale de l’eau, ajoute la même source.
’’L’OMVS, c’est plus 3 500 000 personnes vivant dans le bassin du fleuve Sénégal pour une population totale de plus de 44 millions de personnes dans les pays membres’’, renseigne le texte.
Seul organisme inter-Etats produisant de la richesse (vente de l’eau et de l’électricité) avec un impact direct sur la vie des populations, rappelle le communiqué, l’OMVS totalise aujourd’hui 47 ans de coopération ’’stable, pacifique, ayant un patrimoine commun géré de façon consensuelle’’.
L’organisation regroupe la Guinée, le Mali, la Mauritanie et le Sénégal.
DAKAR ACCUEILLE « AGRICULTURE NUMERIQUE EN AFRIQUE 2019 » DU 28 AU 30 AVRIL
Après un premier workshop à Montpellier en 2018, ce symposium «Agriculture Numérique en Afrique » rassemble les acteurs académiques, les industriels et la société civile à Dakar. L’événement organisé par le CIRAD, le LIRIMA et l’UMR TETIS
Dakar, la capitale du Sénégal va abriter du 28 au 30 avril 2019 l’édition 2019 du symposium Agriculture Numérique en Afrique (AgriNumA 2019).
Après un premier workshop à Montpellier en 2018, ce symposium «Agriculture Numérique en Afrique » rassemble les acteurs académiques, les industriels et la société civile à Dakar. L’événement organisé par le CIRAD, le LIRIMA et l’UMR TETIS et soutenu par #DigitAg.
Le symposium «Agriculture Numérique en Afrique» présente des travaux scientifiques ainsi que des tables-rondes et des ateliers pour débattre sur : les avantages et les conditions des recherches interdisciplinaires à mener ; les bénéfices mutuels d’un partenariat public/privé avec les grands acteurs et les start-up du secteur numérique (opérateurs téléphoniques, développeurs de logiciels, industriels du capteur..). On aura également les modalités pour conduire une analyse fonctionnelle de la demande des acteurs des filières en termes de conseil et de services.
Idy chez Khaf
Ces derniers temps, le leader de Rewmi est fréquent à la prison de Rebeuss. La semaine dernière, il a rendu visite aux jeunes de l’opposition qui étaient détenus à la maison d’arrêt et de correction de Rebeuss. Hier, Idrissa Seck y est retourné pour rendre visite à Khalifa Sall. Toutefois, rien n’a filtré de cette entrevue qui intervient au moment où le Parti socialiste a exprimé publiquement sa volonté de réintégrer les khalifistes qui étaient frappés d’une mesure d’exclusion. Lors de son point de presse tenu au lendemain de la publication des résultats définitifs de la présidentielle, Idrissa Seck avait exigé la libération sans condition de son allié Khalifa Sall.
Abdou Ndéné Sall invite Macky Sall à rester jusqu’en 2035
Interpellé sur la question du 3e mandat du président de la République, le ministre délégué en charge du réseau ferroviaire, Abdou Ndéné Sall a répondu sans ambages qu’il est d’avis que le meilleur président de la République jusqu’à 2035 pour exécuter le Plan Sénégal émergent, c’est Macky Sall. M. Sall s’exprimait lors d’une émission politique de la 7 Tv, animée par Pierre Edouard Faye. L’autre message de Abdou Ndéné Sall est d’appeler au travail, après la parenthèse de la présidentielle.
Nouveau gouvernement
Il y en qui ne dorment pas du sommeil des justes en cette veille de mise en place d’un nouveau gouvernement. Alors que le chef de l’Etat se prélasse à Marrakech, certains de ses ministres sortants et des ministrables sillonnent le monde rural à la recherche de faiseurs miracles pour taper dans l’œil du Boss et rester dans le Gouvernement. Mais puisque Macky Sall est blindé, gageons qu’il ne va même pas trembler quand il prendra son décret.
Ministre sur siège éjectable
Alors qu’on parle de liste de ministres qui finançaient des opposants, «L’As» a appris qu’il y a des ministres qui refusaient d’aller sur les plateaux de télévision pour défendre le bilan du gouvernement , lors de la campagne électorale. Certains trouvaient toujours un prétexte pour ne pas répondre à l’appel de la cellule de Communication. Même s’il y en a un de l’intérieur du pays qui n’est jamais allé sur un plateau de télévision ou une radio, mais le plus gros de la troupe se trouve dans la capitale où un ministre refusait systématiquement de débattre. D’après nos sources, Macky Sall a été informé et a pris bonne note.
Don de matériel médical à l'hôpital régional de Fatick
Le Directeur de l'hôpital régional de Fatick a réceptionné le week-end passé un important lot de matériel médical offert par l'ONG «Vivre en brousse» et l'Association des pharmaciens humanitaire d'Oveine. D'un coût de plus de cinquante millions de francs Cfa, le matériel composé entre autres de fauteuils roulants, de lits électriques, de tables, de déambulateurs et d’armoires a été obtenu grâce à l’entregent du Directeur général de L'AEME, Birame Faye, qui a diligenté la prise en charge du transport du matériel. Ce geste humanitaire vient, selon l'adjoint au gouverneur en charge du développement, à son heure en ce sens que l'hôpital a entamé une montée en puissance avec les efforts consentis par l'Etat. A l’en croire, la structure sanitaire est aujourd’hui parmi les plus modernes au Sénégal. Pour sa part, Birame Faye s'est réjoui d'avoir contribué au relèvement du plateau médical de l'hôpital. Il s’engage à continuer dans la même dynamique en accompagnant les actions de l'Etat du Sénégal dans le développement de Fatick.
Seydi Gassama dénonce les longues détentions
Le directeur exécutif de la Section sénégalaise d’Amnesty International se plaint du traitement réservé aux personnes arrêtées pour soupçons d’actes terroristes. Selon Seydi Gassama, ils sont oubliés dans les prisons. C’est le cas de l'élève Saër Kébé, en détention depuis maintenant 4 ans, et qui attend toujours son procès pour apologie du terrorisme. Le jeune élève avait juste posté sur sa page facebook à l’attention d’une ambassade occidentale après les attentats terroristes de Paris : «vous n'avez encore rien vu». Seydi Gassama dénonce la violation des droits de ces derniers. D’ailleurs, Saër Kébé a entamé une grève de la faim pour exiger son procès. Anniversaire de la première Alternance démocratique en 2000 Sous le règne du président Abdoulaye Wade, le 19 mars était un jour mémorable. Il était fêté à grandes pompes par la mouvance présidentielle d’alors. Le Sénégal a connu sa première alternance démocratique le 19 mars 2000 à la suite de la victoire du candidat Abdoulaye Wade contre le président Abdou Diouf au second tour de la présidentielle. Il y a de cela 19 ans que le pape du Sopi mettait fin à 40 années de règne sans partage du parti socialiste. Même si cette date d’anniversaire de la première alternance n’est pas fêtée par les acteurs de la seconde alternance, elle reste quand même inscrite en lettres d’or dans l’histoire politique du Sénégal.
Fin de la crise au Cesti Tout est bien qui finit bien.
Réunie en assemblée générale hier, la section Saes-Cesti se réjouit de la signature d’un protocole d’accord avec la directrice de l’école. Le syndicat l’accusait de tentatives d’intimidation, de chantage et d’intoxication exercées à l’endroit du personnel d’enseignement et de recherche (PER), des étudiants et des enseignants vacataires, pour faire échec au débrayage de la Section Saes-Cesti. Un protocole d’accord, comportant 14 points à incidences exclusivement pédagogiques, a été finalement signé par les parties prenantes le vendredi 15 mars 2019, suite aux initiatives rectorales pour trouver une issue à la crise qui secoue l’établissement depuis le 05 février 2019. La section Saes-Cesti a ainsi décidé de lever son mot d’ordre de débrayage après la satisfaction de tous les points de sa plateforme revendicative. Elle exhorte cependant ses camarades à rester très vigilants sur la mise en œuvre exhaustive des points d’accord, selon les délais convenus dans ledit protocole
La Section Saes-Cesti s’en prend au Sudes/ESR
Après avoir fumé le calumet de la paix avec la Directrice du Cesti, la Section Saes-Cesti s’en est pris à ses camarades du Sudes/Esr. Ils reprochent en effet au Sudes/Esr d’avoir voulu jeter en pâture l’honorabilité, la crédibilité et le sens élevé des responsabilités de collègues PER. Ils qualifient de mensongères les allégations du Sudes/Esr, selon lesquelles des «attaques sexistes» ont été proférées contre la directrice du CESTI. A les en croire, la Section Saes-Cesti avait juste pointé du doigt les multiples dysfonctionnements institutionnels de l’école. Ils ont pour noms la suppression ou l’introduction de cours sans l’avis du comité pédagogique, la réduction unilatérale du volume horaire de certains cours à l’insu des collègues (PER ou vacataires), le non-respect des prérogatives dévolues aux chefs de département, le retrait des techniciens des séjours pédagogiques, la signature de conventions de partenariat à incidences pédagogiques, la rénovation d’un bloc situé dans une zone pédagogique pour en faire un réfectoire des PATS en dépit des risques d’incendie et de nuisances sonores, un projet d’édification d’une cantine destinée aux étudiants dans le jardin du CESTI, à proximité des salles de cours, etc.
Livre hommage au Pr Assane Seck
Un nouvel ouvrage intitulé «Un homme de son temps» en hommage à l’universitaire et homme politique sénégalais, le professeur Assane Seck, décédé en novembre 2012 à l’âge de 93 ans, vient de paraître aux éditions L’Harmattan Sénégal. Ce livre de 150 pages est une compilation de textes de la table ronde organisée par la section sénégalaise de la Communauté africaine de culture (CACSEN), pour honorer l’ancien ministre et premier professeur africain de William Ponty. Une dizaine d’auteurs y ont apposé leurs signatures parmi lesquels les professeurs Saliou Mbaye, Penda Mbow, Cheikh Hamidou Kane (géographe), Abdoulaye Racine Senghor, Amadou Mahtar Mbow, préfacier de l’ouvrage, sous la direction des professeurs Amadou Alpha Sy, philosophe, et Mohamed Fadel Dia. Ils ont réfléchi selon un communiqué reçu à l’Aps, sur le parcours multidimensionnel du Pontin, du jeune cadre casamançais, du tirailleur sénégalais, de l’étudiant de la Sorbonne, de l’enseignant, du militant, du père de famille, de l’Homme d’État et de l’Homme de culture qu’il a été.
RDC : A 32 ANS, FRANCINE MUYUMBA DEVIENT LA BENJAMINE DU SENAT
C'est une entrée en grand dans la famille des sénateurs de la République démocratique du Congo (RDC), à l'issue des élections sénatoriales de ce vendredi 15 mars. A 32 ans, Francine Muyumba est élue dans le Haut-Katanga
Elue dans le Haut-Katanga à l’issue des Sénatoriales du vendredi 15 mars, Francine Muyumba, qui était jusque-là présidente de l’Union panafricaine de la jeunesse (UPJ), devient, à 32 ans, la benjamine du Sénat de RDC.
C'est une entrée en grand dans la famille des sénateurs de la République démocratique du Congo (RDC), à l'issue des élections sénatoriales de ce vendredi 15 mars. A 32 ans, Francine Muyumba est élue dans le Haut-Katanga, devenant ainsi la benjamine du Sénat congolais.
« C'est avec humilité et fierté que je vais désormais représenter les citoyens du Haut-Katanga au Sénat. Mon mandat sera à l'image de la jeunesse congolaise : engagé, audacieux et résolument tourné vers l'avenir. [...] La confiance que les citoyens du Haut-Katanga m'ont témoignée à travers les députés provinciaux me réjouit, je tacherai de la préserver », a déclaré Francine Muyumba, Amb.
Jusque-là, cette native de Bukavu -une ville du sud-est de la RDC- diplômée en Arts de l'Université de Namibie était la présidente de l'Union panafricaine de la jeunesse (UPJ), une instance reconnue en 2009 par le Conseil exécutif de l'Union africaine (UA) comme l'organisme régional en charge de la coordination des organisations des jeunes. A ce titre, son influence au sein de la jeunesse africaine s'est particulièrement accentuée ces dernières années.
Pour Francine Muyumba, cette élection au Sénat de son pays marque un tournant décisif dans son engagement public. « Après près d'une décennie au service de la jeunesse au niveau continental, j'ai souhaité mettre cette expérience acquise au service de la nation congolaise », a-t-elle confié.
Désormais représentante des populations du Haut-Katanga, une province clé en RDC, Muyumba s'engage pour le « renouvellement », qui a été au cœur de son message de campagne.
LE GOUVERNEMENT BLOQUE L’AUGMENTATION DU PRIX DU CIMENT
Sococim, filiale du français Vicat, a procédé, le 13 mars dernier, à une augmentation unilatérale du prix de sa tonne de ciment, à hauteur de 3 500 F CFA (5,34 euros). Ses deux concurrents lui ont aussitôt emboîté le pas. Le gouvernement a réagi
C’est la deuxième fois en moins d’un an que le gouvernement annule par arrêté ministériel la décision unanime des trois producteurs du pays d’augmenter le prix du ciment.
Le bras-de-fer se poursuit entre le gouvernement et les trois cimenteries en activité dans le pays, Sococim Industries, les Ciments du Sahel (CDS) et Dangote Cement Senegal (DCS).
Sococim, filiale du français Vicat, a procédé, le 13 mars dernier, à une augmentation unilatérale du prix de sa tonne de ciment, à hauteur de 3 500 F CFA (5,34 euros). Ses deux concurrents lui ont aussitôt emboîté le pas. La réponse du gouvernement ne s’est pas faite attendre. Le ministère du Commerce, de la Consommation, du Secteur informel et des Petites et moyennes entreprises a, en effet, rendu public, le 14 mars, un arrêté dont les articles Premier et 2 rappellent que « les prix plafond du ciment ex usine-sont fixés aux prix antérieurs pratiqués au 1er janvier 2018 » et « est considéré comme prix illicite, tout prix supérieur aux prix plafond fixés à l’article premier (…) ».
Dans un contexte où les activités de construction explosent et où le déficit de logements reste criant, le gouvernement a procédé à l’homologation des prix de ce produit hautement sensible. C’est la deuxième fois en l’espace d’une année que les producteurs de ciment tentent en vain d’augmenter leurs prix de vente.
Un prix au consommateur 50 % moins cher que dans la sous-région
Les trois cimentiers mettent en avant l’imposition de taxes par le gouvernement pour justifier leur décision. Ces dernières années, afin de renflouer son budget, l’État sénégalais a en effet institué au titre de la contribution spéciale sur les mines et carrières, un prélèvement de 5 % sur le prix de la tonne de ciment, avant de faire appliquer une autre taxe spéciale de 3 F CFA sur chaque kilogramme de ciment livré.
« En 2018, nous avons eu une année difficile, durant laquelle tous les cimentiers ont essuyé des pertes estimées à des milliards de F CFA. La vérité est que nous ne pouvons plus continuer à absorber des taxes sur nos marges », a ainsi martelé Youga Sow, PDG de Sococim Industries, dans les colonnes de Sud Quotidien, estimant que les entreprises doivent aujourd’hui répercuter ces différentes aux utilisateurs.
« L’année dernière, l’État avait bloqué les prix parce que qu’il avait lancé « l’année sociale ». Aujourd’hui, nous sommes sortis de cette situation et ne pouvons plus continuer à vendre à perte », poursuit le chef d’entreprise, selon lequel le prix de vente du ciment au Sénégal est le moins cher de l’Afrique de l’Ouest. « Le différentiel entre les prix pratiqués dans notre pays et ceux de la sous-région est de de l’ordre de 20 000 et 25 000 FCFA, alors que le Sénégalais achète la tonne de ciment entre 20 000 et 25 000 FCFA », indique-t-il.
Un secteur concurrentiel
Le marché local du ciment est aujourd’hui hautement concurrentiel et en suroffre avec trois cimenteries en activité dont la production s’élevait à environ 6,5 millions de tonnes en 2017. Ces dernières exportent d’ailleurs une partie de leur production sur les marchés de la sous-région. Toutefois, plusieurs projets de cimenteries sont en développement dans ces différents pays.
Après Sococim Industries, doyenne des cimenteries au Sénégal et en Afrique de l’Ouest, filiale du Français Vicat fondée en 1948, et les Ciments du Sahel (CDS), lancés par l’homme d’affaires sénégalais Latfallah Layousse, Dangote Cement Senegal (DCS), dernière-née de la filière, est entrée en production début 2015.
L’implantation et le démarrage des opérations de la filiale sénégalaise du groupe cimentier détenu par le magnat nigérian Aliko Dangote, avaient été, en partie, retardées par un conflit juridique opposant Sococim Industries à l’État sénégalais auquel le cimentier reprochait devant la cour d’arbitrage internationale, le Cirdi, « de distorsion de la concurrence », l’accusant d’avoir accordé des faveurs à son concurrent lors de son implantation.