Dakar, 25 jan (APS) - Le conseil des sages de la coalition Benno Bokk Yaakaar (BBY, majorité) dit se féliciter des "appels préventifs" lancés par les autorités religieuses, la société civile, la presse et des représentations diplomatiques, en faveur d’un déroulement d’une présidentielle "libre, crédible et transparente", le 24 février prochain.

"Le conseil des sages de BBY se félicite des appels préventifs lancés par les autorités religieuses (…), la société civile, la presse et des représentations diplomatiques, en faveur d’un déroulement d’une élection libre, crédible et transparente, mais aussi pour des comportements responsables", indique un communiqué transmis vendredi à l’APS.
 
Selon le communiqué, cette structure recommande au gouvernement "de rester vigilant afin de barrer la route à toutes les formes de dérives et de préserver la paix sociale, ainsi que la libre circulation en toute sécurité des personnes et des biens".
 
Le conseil des sages de BBY dit avoir par ailleurs "noté avec satisfaction les actes posés avec une responsabilité assumée par le Conseil constitutionnel conformément à l’agenda électoral prévu dans la Constitution et la loi électorale".
 
Il ajoute avoir également "noté suite aux décisions du Conseil constitutionnel, des velléités de refus, de confrontation et de violence annoncées par une partie de l’opposition".
 
"Le conseil des sages demande au C25 de renoncer’’ à cette perspective qui "ne génèrera que violence, instabilité et désolation au grand dam de nous tous".
 
"Il y va du maintien de la stabilité des institutions, de l’Etat de droit, d’une démocratie apaisée, qui ont toujours fait du Sénégal une marque de référence sur la scène internationale’’, selon le communiqué.
 
"Le conseil des sages appelle tous les acteurs politiques à garder leur sérénité et à faire preuve de toute la retenue nécessaire pour que le Sénégal trouve encore en lui-même, les ressources idoines pour que les élections se passent normalement et de manière pacifique", ajoute le communiqué.

Actuel leader du championnat de Ligue 1, Teungueth Fc (1er ; 20 pts), engage un test important sur sa pelouse de Ngalandou Diouf où il affronte ce samedi, l’équipe de Génération Foot (2e ; 19 pts). Un derby rufisquois qui sera un duel au sommet. En tête du classement, Teungueth FC (1er ; 20 pts) tient une bonne occasion de se maintenir au sommet mais surtout de garder à distance les Grenats de Deni Biram Ndao qu’il ne distance que de deux points (18 points).

Dans la même foulée, l’As Pikine (3e ; 18 pts) ne se laissera pas conter. Les promus Pikinois savent que, en cas de succès, ils seraient en très bonne posture pour s’installer sur le fauteuil ou tout au moins conserver leur place de dauphin. L’As Pikine effectuera le déplacement pour affronter l’Us Gorée (10e ; 11pts). Cette journée sera bouclée, demain dimanche avec le déplacement de Dakar Sacré Cœur (6e ; 15pts) sur le terrain Mbour Petite cote, première équipe non relégable (12e ; 8pts ). Un succès permettrait également aux Académiciens de monter sur le podium. Pour les autres rencontres, le Jaraaf (9e ; 11pts) qui a été éjecté des compétitions africaines sera à la relance en accueillant le Ndiambour de Louga (7e ; 13pts) au stade Léopold Senghor.

L’As Douanes (4e ; pts) qui pointe à la 4e place peut également prétendre une place lors de la réception de Niary Tally (13e ; 8pts), première équipe relégable. A Saint-Louis, la Linguère (11e ; 9pts) accueillera de son côté le stade de Mbour (8e ; 12pts). Quant à la Sonacos (14e ; 6 pts), lanterne rouge du championnat, il sera l’hôte du Casa Sports (5e ; 15pts), qui reste depuis trois journées sur un dynamique de victoires.

Dakar, 25 jan (APS) - Le professeur Abdou Salam Fall, coordonnateur du Laboratoire de recherche sur les transformations économiques et sociales (LARTES), a relevé vendredi le peu de solidarité dont font preuve les Sénégalais à l’égard des personnes les plus pauvres.

 
"Les Sénégalais sont peu solidaires des plus pauvres. Cette solidarité à la traine pour les pauvres s’expliquerait par le fait que les solidarités horizontales pour atténuer la pauvreté ne suffisent pas tandis que la solidarité institutionnelle reste dérisoire", a-t-il expliqué en présentant les résultats d’une étude sur ce sujet. 
 
"Les Sénégalais sont-ils solidaires de la pauvreté ? Analyse longitudinale sur près d’un siècle", est l’intitulé de cette étude dont les résultats ont été exposés lors d’une séance de l’Académie nationale des sciences et techniques du Sénégal (ANSTS). 
 
"Plus on est pauvre, moins on est aidé", fait observer le sociologue selon qui au Sénégal, "l’aide institutionnelle est dérisoire", alors que "l’aide horizontale est sans commune mesure avec l’aide verticale".
 
"L’aide est consentie par les ascendants et le conjoint principalement. Ce sont donc les relations de protection par ascendant qui prévalent même si l’on considère l’influence des personnes détentrices de ressources matérielles ou immatérielles sur les individus, quel que soit leur statut socio-économique", a-t-il expliqué.
 
Selon lui, "généralement, si on considère les itinéraires, on observe que 71,5% des individus à revenu faible bénéficient régulièrement d’une aide quels que soient la génération et le statut de l’individu".
 
"Sur les 80 dernières années, les soutiens ont été consentis principalement par les conjoints (23,4%) et les ascendants (20,90%). Les descendants prennent le relais pour 9,5% pour les passer aux autres parents (tantes, oncles) à hauteur de 7,3%", a-t-il souligné.
 
"Les frères et sœurs interviennent pour 5% alors que les amis aident pour 2,7%. Les patrons participent pour 1,10%. Les ONG, les associations et organisations apportent leur concours avec la même amplitude à 0,2%. D’autres soutiens sont estimés à 1,3%", a ajouté le professeur Abdou Salam Fall.

• La police étouffe la manifestation dans l’œuf
• Le préfet de Dakar interdit la marche, à cause de l’itinéraire
• Des foyers d’intifada circonscrits à l’Ucad

• “Quand le tribunal a désigné un expert pour l’évaluation, le montant tournait autour de 250 milliards”.
•  “Quand on est dans la politique, il nous arrive de fantasmer, de chercher à nuire, à détruire”.
• Birima Mangara : “Pour le moment, l’Etat a payé 3,4 milliards francs CFA.”
•  Aymérou Gning annonce l’ouverture d’une enquête parlementaire, dès ce lundi.

Une Commission d’enquête parlementaire sera mise en place, dès la semaine prochaine, pour éclairer la lanterne des Sénégalais, sur l’affaire des 94 milliards qui continue de défrayer la chronique.

Le président du groupe BBY, Aymérou Gningue annonce le dépôt dès lundi d’une demande pour la mise en place d’une commission d’enquête parlementaire.

Au cours d’une cérémonie empreinte de sobriété, le président de la République, Macky Sall, a inauguré, hier, la grande mosquée de  Pikine en présence de représentants des foyers religieux du Sénégal. Le coût de la reconstruction de cette majestueuse infrastructure cultuelle est évalué à 1,100 milliards de FCfa.

Direct Info, la Une de ce samedi 26 janvier 2019

L ’amour comme le pouvoir a ceci de particulier : il rend fou, aveugle et sourd à la fois. Comment comprendre que des hommes et des femmes peuvent se comporter en des termes qui frisent la folie ?

Convenons nous avec Lamartine cette vérité : « un seul être vous manque, tout est dépeuplé ».

Stades, la Une de ce samedi 26 janvier 2019

Sunu Lamb, la Une de ce samedi 26 janvier 2019