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21 septembre 2025
TOGO: DEUX MORTS DANS DES AFFRONTEMENTS À SOKODÉ
Ces manifestations interviennent après un an de crise politique et l'échec des négociations entre le pouvoir et l'opposition, sous l'égide de la CEDEAO.
Deux personnes ont été tuées lundi à Sokodé, fief de l'un des principaux partis d'opposition dans le centre du Togo, portant le bilan à au moins quatre morts depuis samedi, journée de violences entre les forces de sécurité et partisans de l'opposition.
La première victime, "Seidou Salissou, 32 ans, électricien dans le bâtiment et père d'un enfant" est mort d'une blessure par balle dans la matinée, selon Aimé Adi, représentant d'Amnesty International pour le Togo.
"Notre collègue est sur place. Le corps a été envoyé à l'hôpital. On a contacté le procureur pour que le corps soit examiné par un médecin (légiste)", a-t-il précisé.
"Ce matin les militaires ont bloqué toutes les rues et ont demandé aux enfants de rentrer chez eux", raconte de son côté Ouro Akpo Tchagnaou, un député de la localité pour l'opposition. "Un jeune a été tué par balle", a-t-il affirmé.
Un témoin de la scène a également confirmé à l'AFP que l'homme a été abattu alors qu'il était sorti de chez lui. "La situation est vraiment tendue", raconte un habitant sous couvert d'anonymat. "Rien ne bouge. Les militaires dispersent tout rassemblement et les jeunes dressent des barricades dans les rues pour empêcher les militaires (de venir) en ville", a-t-il ajouté.
Un peu plus tard dans la journée de lundi, une autre personne, Kpelafia Abdould Tchagouni, 36 ans, a succombé à une bastonnade avec les forces de sécurité.
"Il a été bastonné et jeté dans le feu" dans le quartier de Kouloundé, a expliqué à l'AFP un habitant de Sokodé.
"Nous pouvons confirmer cette deuxième victime", a fait savoir Amnesty International, confirmant la mort par "bastonnade". "Il a été récupéré par ses parents", selon l'ONG de défense des droits de l'Homme.
Ce nouveau bilan porte à au moins quatre morts le nombre de personnes tuées depuis samedi.
-INACCEPTABLE-
Les violences avait déjà fait au moins deux morts selon les autorités, trois selon l'opposition, dans la capitale de Lomé. Quatre membres des forces de l'ordre ont été blessées et 28 manifestants interpellés, a ajouté le gouvernement, dans un communiqué publié samedi soir.
Le Mouvement des Forces Vives Espérances, un grand regroupement d'organisations de la société civile, dont le Front Citoyen Togo Debout a réagi en déclarant que la situation était "inacceptable".
"Nous demandons à tous les citoyens togolais qui cherchent véritablement la paix d'entrer en résistance contre ce régime parce qu'il veut organiser des élections sans (...) avoir effectué les réfomes constitutionnelles, institutionnelles et électorales" nécessaires, a déclaré Abra Aïcha Atchana, lors d'une conférence de presse à Lomé.
Plusieurs rendez-vous pacifiques sont prévus au cours des prochains jours, dont "un grand rassemblement citoyen pour la résistance" le dimanche 16 décembre à Lomé.
Ces manifestations interviennent après un an de crise politique et l'échec des négociations entre le pouvoir et l'opposition, sous l'égide de la CEDEAO (Communauté Economique des Etats d'Afrique de l'Ouest).
"La CEDEAO brille par son silence qui ressemble à de la complicité, ou du moins à de la compromission", a ajouté Mme Atchana.
La coalition de 14 partis d'opposition boycotte les prochaines législatives prévues le 20 décembre, dénonçant des "irrégularités" dans leur préparation, et avait appelé à des manifestations pendant une dizaine de jours à partir de samedi pour exiger l'arrêt du processus électoral.
Ces manifestations ont été interdites par le gouvernement qui a évoqué le "risque très élevé de troubles graves à l'ordre public" alors que la campagne électorale a démarré mardi dernier.
Le pays traverse une grave crise politique depuis plus d'un an, avec des manifestations massives pour réclamer la démission du président Faure Gnassingbé. Ce dernier a succédé en 2005 à son père qui avait dirigé le Togo d'une main de fer pendant 38 ans.
19 MILLIARDS DE FRANCS CFA POUR RÉALISER DES PISTES RURALES
La mise en œuvre du Projet pistes rurales en appui à la mise en œuvre du Programme national de développement local (PPC/PNDL) a permis d’engager 19 milliards de francs CFA au niveau d’une trentaine de Collectivités territoriales, a révélé Mamadou Thiaw, secrétaire exécutif du PNDL.
"Durant la mise en œuvre du PPC/PNDL, un maillage territorial a permis d’avoir des résultats probants, dans un délai relativement court, caractérisés par une exécution rapide dans la mise en place des pistes, avec 30 Collectivités territoriales qui ont engagé des ressources à hauteur de 19 milliards de francs CFA", a notamment dit M. Thiaw.
S’exprimant lundi, à Saly-Portudal (Mbour, ouest), au cours d’un atelier national de restitution et de partage des résultats de la capitalisation du partenariat entre en le PPC/PNDL et le Centre de formation et de perfectionnement des travaux publics (CFPTP), il a rappelé que la formulation du PPC/PNDL avait identifié et dédié une composante au volet renforcement des capacités.
UN ATELIER D’ÉVALUATION DU PALAM OUVERT À KAOLACK
Le PALAM ambitionne de permettre à ses bénéficiaires d’accéder à des programmes de microfinances.
Un atelier régional de restitution de l’étude de base de la phase 2 du PALAM s’est ouvert lundi à Kaolack (centre), en vue notamment de présenter les acquis de la phase pilote et les perspectives de la deuxième phase de ce projet financé par la Banque islamique de développement (BID).
Le Programme d’alphabétisation et d’apprentissage de métiers pour la lutte contre la pauvreté (PALAM) est financé par le Fonds de solidarité islamique pour le développement (FSID) à hauteur de 13 milliards de francs CFA, dans le cadre d’un partenariat entre l’Etat du Sénégal et la Banque islamique de développement.
La phase 2 du programme va durer cinq (avril 2017-avril 2022) et concerne 7 communes et 105 villages des départements de Kaolack et Nioro.
Le programme comprend cinq composantes dont l’accès à l’éducation de base des déscolarisés et non scolarisés âgés de 9 à 15 ans, la formation qualifiante des adolescents et jeunes adultes analphabètes, l’alphabétisation fonctionnelle des femmes travailleuses.
Il y a aussi la mise en place de dispositifs de microfinance pour l’appui à l’auto emploi, ainsi que la gestion et le suivi du programme.
Cet atelier régional vise à "présenter les acquis de la phase pilote et les perspectives du PALAM2 mais aussi de partager la méthodologie ainsi que les résultats de l’étude du milieu des zones d’intervention du PALAM 1, afin de recueillir des propositions d’amélioration", a expliqué Khady Fall Ndiaye, directrice du PALAM.
Les principaux bénéficiaires du programme sont les jeunes et les femmes en milieu rural, avec comme objectif de contribuer à réduire la pauvreté, en particulier chez les jeunes les femmes, en leur permettant d’acquérir des "compétences pertinentes" d’alphabétisation fonctionnelle et des "compétences pratiques de base".
Le PALAM ambitionne également de permettre à ses bénéficiaires d’accéder à des programmes de microfinances.
UN ATELIER D’ÉVALUATION DU PALAM OUVERT À KAOLACK
Le PALAM ambitionne de permettre à ses bénéficiaires d’accéder à des programmes de microfinances.
Un atelier régional de restitution de l’étude de base de la phase 2 du PALAM s’est ouvert lundi à Kaolack (centre), en vue notamment de présenter les acquis de la phase pilote et les perspectives de la deuxième phase de ce projet financé par la Banque islamique de développement (BID).
Le Programme d’alphabétisation et d’apprentissage de métiers pour la lutte contre la pauvreté (PALAM) est financé par le Fonds de solidarité islamique pour le développement (FSID) à hauteur de 13 milliards de francs CFA, dans le cadre d’un partenariat entre l’Etat du Sénégal et la Banque islamique de développement.
La phase 2 du programme va durer cinq (avril 2017-avril 2022) et concerne 7 communes et 105 villages des départements de Kaolack et Nioro.
Le programme comprend cinq composantes dont l’accès à l’éducation de base des déscolarisés et non scolarisés âgés de 9 à 15 ans, la formation qualifiante des adolescents et jeunes adultes analphabètes, l’alphabétisation fonctionnelle des femmes travailleuses.
Il y a aussi la mise en place de dispositifs de microfinance pour l’appui à l’auto emploi, ainsi que la gestion et le suivi du programme.
Cet atelier régional vise à "présenter les acquis de la phase pilote et les perspectives du PALAM2 mais aussi de partager la méthodologie ainsi que les résultats de l’étude du milieu des zones d’intervention du PALAM 1, afin de recueillir des propositions d’amélioration", a expliqué Khady Fall Ndiaye, directrice du PALAM.
Les principaux bénéficiaires du programme sont les jeunes et les femmes en milieu rural, avec comme objectif de contribuer à réduire la pauvreté, en particulier chez les jeunes les femmes, en leur permettant d’acquérir des "compétences pertinentes" d’alphabétisation fonctionnelle et des "compétences pratiques de base".
Le PALAM ambitionne également de permettre à ses bénéficiaires d’accéder à des programmes de microfinances.
UN ATELIER D’ÉVALUATION DU PALAM OUVERT À KAOLACK
Le PALAM ambitionne de permettre à ses bénéficiaires d’accéder à des programmes de microfinances.
Un atelier régional de restitution de l’étude de base de la phase 2 du PALAM s’est ouvert lundi à Kaolack (centre), en vue notamment de présenter les acquis de la phase pilote et les perspectives de la deuxième phase de ce projet financé par la Banque islamique de développement (BID).
Le Programme d’alphabétisation et d’apprentissage de métiers pour la lutte contre la pauvreté (PALAM) est financé par le Fonds de solidarité islamique pour le développement (FSID) à hauteur de 13 milliards de francs CFA, dans le cadre d’un partenariat entre l’Etat du Sénégal et la Banque islamique de développement.
La phase 2 du programme va durer cinq (avril 2017-avril 2022) et concerne 7 communes et 105 villages des départements de Kaolack et Nioro.
Le programme comprend cinq composantes dont l’accès à l’éducation de base des déscolarisés et non scolarisés âgés de 9 à 15 ans, la formation qualifiante des adolescents et jeunes adultes analphabètes, l’alphabétisation fonctionnelle des femmes travailleuses.
Il y a aussi la mise en place de dispositifs de microfinance pour l’appui à l’auto emploi, ainsi que la gestion et le suivi du programme.
Cet atelier régional vise à "présenter les acquis de la phase pilote et les perspectives du PALAM2 mais aussi de partager la méthodologie ainsi que les résultats de l’étude du milieu des zones d’intervention du PALAM 1, afin de recueillir des propositions d’amélioration", a expliqué Khady Fall Ndiaye, directrice du PALAM.
Les principaux bénéficiaires du programme sont les jeunes et les femmes en milieu rural, avec comme objectif de contribuer à réduire la pauvreté, en particulier chez les jeunes les femmes, en leur permettant d’acquérir des "compétences pertinentes" d’alphabétisation fonctionnelle et des "compétences pratiques de base".
Le PALAM ambitionne également de permettre à ses bénéficiaires d’accéder à des programmes de microfinances.
Dakar, 11 déc (APS) - Le Millennium Challenge Corporation (MCC) du gouvernement des États-Unis et le gouvernement du Sénégal ont signé lundi à Washington le nouveau Compact quinquennal pour l’énergie d’une valeur de 600 millions de dollars, a appris l’APS.
Selon un communiqué reçu de l’ambassade américaine à Dakar, "le chef des opérations et directeur de l’agence du MCC, Jonathan Nash, s’est joint au secrétaire d’État américain, Michael Pompeo, au Premier ministre sénégalais, Mahammed Boun Abdallah Dionne, et au ministre de l’Économie, des Finances et du Plan, Amadou Ba, pour la signature au département d’État".
La même source précise que le Compact comprend un financement de 550 millions de dollars des États-Unis et un engagement du gouvernement du Sénégal à hauteur de 50 millions, portant l’investissement total pour le programme à 600 millions de dollars.
Les États-Unis, à travers le MCC, et le du Sénégal ont élaboré le Compact qui vise à "renforcer le secteur de l’énergie et à répondre à la demande croissante d’électricité dans l’une des économies les plus dynamiques de l’Afrique et un pays partenaire stratégique important des États-Unis en Afrique de l’Ouest".
L’objectif du Compact est d’"accroître la fiabilité et l’accès à l’électricité, soutenir la croissance économique et réduire la pauvreté".
Le secrétaire d’État Pompeo qui félicité le Sénégal "pour la signature" de son Compact du Millennium Challenge Corporation (MCC), a déclaré Les États-Unis "sont déterminés à stimuler la croissance économique en Afrique par le biais de partenariats tels que celui-ci".
"Les efforts soutenus du Sénégal pour respecter les critères d’éligibilité stricts du MCC portent leurs fruits sous la forme d’un rare second Compact du MCC. Les partenariats américains - vus à travers des projets d’assistance comme celui-ci - constituent un élément essentiel de notre diplomatie", a-t-il ajouté.
Le Compact pour l’énergie du Sénégal devrait bénéficier à plus de 12 millions de personnes et consiste en trois projets : le Projet de modernisation et de renforcement du réseau de transport de la SENELEC, le Projet d’élargissement de l’accès à l’électricité dans les zones rurales et périurbaines et le Projet pour un environnement porteur et le développement des capacités du secteur de l’électricité.
Le communiqué rappelle que le gouvernement du Sénégal a mis en place une unité de gestion de projet chargée de travailler avec le MCC à l’élaboration du Compact, l’Unité de formulation et de coordination du deuxième programme MCA-Sénégal (UFC).
Il note qu’au cours du processus de développement du Compact, le MCC et l’UFC ont identifié conjointement les principaux obstacles à la croissance économique du Sénégal et ont mis au point un programme spécifiquement conçu pour les lever.
Selon le texte, "le développement du Compact a inclus un processus de consultation, impliquant la société civile, d’autres agences gouvernementales et le secteur privé".
Dakar, 11 déc (APS) – La tension notée devant le Conseil constitutionnel pour le dépôt des dossiers de candidatures à la présidentielle du 24 février et le procès de Khalifa Sall devant la Cour suprême sont les principaux sujets au menu des quotidiens reçus mardi à l’APS.
Les dossiers de déclaration de candidature à l’élection présidentielle du 24 février seront reçus au greffe du Conseil Constitutionnel tous les jours ouvrables à partir du mardi 11 décembre jusqu’au 26 décembre.
Les dossiers seront reçus tous les jours ouvrables du mardi 11 décembre au 24 décembre de 8h à 18h, indique le Conseil constitutionnel. Pour la journée du 26 décembre, les dossiers seront reçus de 8h à minuit.
"La cohue !", s’exclame Sud Quotidien qui note que "l’ambiance était électrique hier nuit au Conseil constitutionnel, aux premières heures du jour de dépôt des dossiers des candidats à la candidature à la présidentielle du 24 février prochain".
Le journal relève que "malgré la farouche opposition du candidat Malick Gackou qui s’est bousculé avec les gendarmes, la liste déjà constituée depuis l’après-midi (…) a été suivie pour l’ordre de dépôt des dossiers de candidature. Ainsi donc, étant la première sur les lieux et à s’inscrire sur la liste, la représentante de la mouvance présidentielle, Aminata Touré, a de fortes chances de déposer en première son dossier".
Source A évoque "une bataille rangée" entre partisans de Malick Gackou et ceux de Macky Sall et écrit : "Une anarchie qui ne dit pas son nom a régné hier au Conseil constitutionnel (…)".
Gackou a même été arrêté puis libéré "pour avoir déchiré la liste de dépôt des dossiers", selon Source A.
L’As fait état d’une "grosse tension" au Conseil constitutionnel et note que les états-majors des différents candidats "sont entrés dans la phase critique du processus électoral qui est rendu complexe par l’introduction du parrainage".
C’est "la pagaille avant l’heure", selon Le Quotidien qui relève que "devancé par Benno Bokk Yaakaar et Rewmi, Malick Gackou déchire la liste des mandataires".
Dans son billet du jour intitulé "cadence présidentielle", La Tribune souligne que "cette semaine, on entre en territoire présidentiel avec la réception des dossiers de candidatures par le Conseil constitutionnel à partir du mardi 11 décembre".
"C’est le compte à rebours ! Les Sages qui ont décidé de se faire aider par des +observateurs+ extérieurs pour sortir du guêpier des parrainages se sont peut-être rendus compte qu’ils pourraient avoir été piégés dans un embrouillamini électoral sans précédent", note La Tribune.
"Eplucher des dizaines de dossiers individuels contenant des centaines de milliers de noms de citoyens pour qui il faudra minutieusement authentifier les identités et les signatures relève d’une complexité inouïe", ajoute le journal.
L’As annonce que Khalifa Sall sera jugé le 20 décembre devant la Cour suprême dans l’affaire de la Caisse d’avance de la mairie de Dakar pour laquelle il a été condamné en première instance et en appel . L’ex-maire de Dakar est candidat à la présidentielle du 24 février.
Enquête signale que le chef de l’Etat a présenté ses condoléances à la famille de feu Sidy Lamine Niasse, PDG du groupe Walfadjri décédé récemment.
Le journal qui affiche à sa Une "Les engagements du président Sall " écrit : "Macky Sall offre 20 millions à la famille de Sidy et dope les travailleurs".
Invitant le personnel à relever le défi, Macky Sall a déclaré : "Nous allons vous aider dans le cadre de la démocratie, car nous ne ménagerons aucun effort pour une presse", rapporte le quotidien.
HANDBALL: MACKY SALUE ’’LA BELLE ET GRANDE PERFORMANCE’’ DES LIONNES
Le chef de l’Etat Macky Sall a salué "la belle et grande performance" des Lionnes du hand-ball, qualifiées lundi pour la finale de la Coupe d’Afrique des nations (CAN), obtenant ainsi leur ticket pour les prochains championnats du monde de la discipline.
Le chef de l’Etat Macky Sall a salué "la belle et grande performance" des Lionnes du hand-ball, qualifiées lundi pour la finale de la Coupe d’Afrique des nations (CAN), obtenant ainsi leur ticket pour les prochains championnats du monde de la discipline, prévus en décembre 2019.
"Fidèle à une tradition bien établie, je voudrais, encore une fois, saluer la belle et grande performance de nos handballeuses qui viennent de se distinguer, de façon remarquable, à Brazzaville (Congo) (Cameroun), en se qualifiant en finale de la Coupe d’Afrique des nations de Handball Féminin, contribuant ainsi au rayonnement et à la réputation de notre pays sur la scène africaine et mondiale", écrit le président Sall dans un message de félicitations aux Lionnes.
Le Sénégal a battu (22 à 21) la RD Congo en demi-finale, se qualfiant ainsi pour la finale de la CAN "après un match âpre. Une belle performance qui traduit l’expression du talent, de la vigueur et de l’engagement qui caractérise la sélection nationale de handball’’, note le président de la République.
Il a également évoqué "la détermination (des Lionnes) à honorer le drapeau national sur tous les parquets du continent", ajoutant à leur endroit : "Vous avez honoré le Sénégal et votre pays vous doit, en retour, reconnaissance et gratitude".
"C’est pourquoi, je voudrais saisir l’opportunité qui m’est offerte, pour vous renouveler mes chaleureuses félicitations ainsi que tous mes encouragements en espérant que cette première qualification historique en finale va se consolider et s’inscrire durablement pour le triomphe final", ajoute le chef de l’Etat.
Il assure que le ministère des Sports "prendra les mesures appropriées pour vous permettre d’atteindre cet objectif", avant de renouveler ses remerciements et ses encouragements à l’encadrement technique et administratif et à l’équipe fédérale.
Les deux finalistes et l’équipe classée 3-ème à l’issue decette CAN de handball représenteront l’Afrique aux championnats du monde.
La finale prévue mercredi 12 décembre à Brazzaville, au Congo, pays abritant la compétition depuis le 2 décembre dernier.
Né 11 décembre 1961, à Fatick, le président de la République du Sénégal Macky Sall fête aujourd’hui son 57 ème anniversaire. Hasard du calendrier ou pas, cet anniversaire coïncide avec le démarrage du dépôt des candidatures à l’élection présidentielle du 24 février 2019, lors de laquelle, Macky Sall briguera un second mandat. Pour marquer, cet anniversaire, le chef de l’Etat donne rendez-vous à ses militants au Terroubi pour le lancement de son livre : « Le Sénégal au coeur ».
Gakou arrêté puis relâché
Le leader du Grand Parti a été arrêté, hier, par les gendarmes qui officient au Conseil constitutionnel. En effet, le candidat de la «Grande coalition de l’Espoir» (GCE), El hadji Malick Gakou a envoyé un émissaire hier, dans l’après-midi au Conseil Constitutionnel auprès du greffier en chef pour voir le dispositif mis en place pour le dépôt des candidatures pour la présidentielle. Par la suite, il est venu dans l’aprèsmidi et a fait la queue. A sa grande surprise, on l’informe qu’il existe une liste dans laquelle le candidat de Bby Macky Sall est en tête. C’est ainsi qu’il a réclamé la liste qu’il a déchirée en mille morceaux. Il a été arrêté par les gendarmes avant d’être libéré plus tard.
Le Pds dépose Karim Président
Le Parti démocratique sénégalais (Pds) fait fi des menaces du régime d’envoyer en prison son candidat à la présidentielle, Karim Wade dès son retour au Sénégal. Le secrétaire général national adjoint du Pds, Oumar Sarr a déposé, hier, au Conseil constitutionnel le nom de la coalition qui va porter la candidature de Karim Wade à la prochaine présidentielle. C’est sous la bannière de la «coalition Karim Président 2019» que Wade-fils ira à la présidentielle, si sa candidature est validée par le Conseil Constitutionnel.
Condoléances Macky
Le président Macky Sall était, hier, chez Ameth Khalifa Niass et à la maison mortuaire pour présenter ses condoléances, suite au décès de son frère, Sidy Lamine Niass, président Directeur général du groupe de presse Walfadjri. En compagnie de son épouse, Marième Faye Sall et de plusieurs autorités, le chef de l’Etat est revenu sur ses relations avec Ameth Khalifa Niass avant de demander à ce dernier de transmettre ses condoléances aux Khalifes généraux de Léona Niassène et de Médina Baye. Au domicile du défunt, il a été accueilli par Cheikh Niass, le fils de Sidy Lamine Niass qui a remercié le chef de l’Etat pour sa marque de gratitude et sa compassion. D’après Seneweb, le chef de l’Etat a offert 20 millions à la famille du défunt en guise de jaxaal
Ameth Khalifa Niass
Ameth Khalifa Niass, après avoir remercié le président de la République pour ce qu’il a fait pour leur faciliter la levée du corps et l’inhumation, a plaidé pour l’immortalisation de son frère Sidy Lamine Niass. «Je vous demande de plaider auprès du maire de Dakar pour que l’avenue qui passe devant les locaux de Walfadjri porte le nom de Sidy Lamine Niass. Il a émis le souhait de voir la maison de la presse porter le nom du Pdg de Walfadjri. Aussi, sollicite-t-il, le soutien du chef de l’Etat pour que le Groupe Walfadjri ne mette pas la clé sous le paillasson au vu des difficultés financières qu’il traverse.
Maison de la Presse Sidy Lamine Niass
Au domicile de Ahmed Khalifa Niass, il y avait également son ami El hadj Mansour Mbaye, le président des communicateurs traditionnels qui a servi de maître de cérémonie. Dans son allocution, le tonitruant frangin du défunt a demandé au chef de l’Etat de plaider auprès du maire de Dakar pour que le boulevard qui passe devant le siège de Walfadjri porte le nom du défunt. Il a également demandé de baptiser la Maison de la Presse au nom de Sidy Lamine Niass pour pour l’offrir en exemple aux journalistes. Une demande à laquelle aurait accédé le chef de l’Etat. Toutefois, lorsque «L’As» a joint l’administrateur de la Maison de la presse, Bara Ndiaye a rétorqué qu’il n’était pas au courant. Quoi qu’il en soit, le Mollah de Khar Yalla mérite bien cela.
Me Madické Niang à Touba
Serigne Modou Bousso Dieng, membre de Madické 2019, a fait, hier, une déclaration qui va sûrement plaire à son nouveau mentor. A en croire ce marabout très fougueux, c’est à cause de Me Madické Niang qu’Abdoulaye Wade a commencé à gagner Touba. «Avant 2000, Me Wade n’a jamais gagné Touba. C’est avec le ralliement de Me Madické Niang que le Pape du Sopi a commencé à enregistrer des victoires dans la ville sainte», dit-il. Il poursuit en soulignant que les parrainages démontrent à satiété cet état de fait. Puisque, ajoute-til, avec 240.000 inscrits à Touba, Madické Niang a pu collecter 150 000 parrains. «Il a raflé 80% à Touba. Cela confirme qu’il est l’homme de Touba», a-t-il conclu.
Bordeau school of management
Dix ans, cela se fête. L’Ecole BEM du président Madické Diop a célébré ses dix ans existence, samedi dernier. L’une des meilleures écoles en Afrique, dédiée au commerce international et au management, BEM est en train d’innover en formant dans les domaines prisés notamment le business, le management du pétrole. Samedi dernier à Diamniadio, en présence du Premier ministre Mahammed Boun Abdallah Dionne, les qualités de son fondateur Madické Diop ont été chantées en choeur tout comme la qualité des enseignements délivrés à BEM dont le taux d’insertion est l’un des plus élevés du continent.
Macky Sall à Abuja puis à Paris
Macky Sall reprend les airs. A quelques jours du Groupe Consultatif de Paris prévu lundi et mardi prochains, le chef de l’Etat quitte Dakar demain. D’après nos sources, avant de débarquer devant les partenaires techniques et financiers le 17 et 18 décembre prochains pour faire le bilan du premier plan quinquennal et demander un financement d’une deuxième phase du Pse, il fera un crochet à Abuja pour prendre part à un sommet des chefs d’Etat de la Cedeao.
ADD et les handicapées
Abdoulaye Daouda Diallo, parrain de la journée des personnes handicapées de la Fédération départementale de Podor, a mis la main à la pâte pour redonner sourire aux handicapées. Lors de cette rencontre tenue à Boki Dialloubé, coïncidant avec la clôture de la semaine nationale des personnes handicapées, Abdoulaye Daouda Diallo a offert une journée de consultations médicales gratuites, remis des médicaments, mais aussi distribué des fauteuils roulants, des béquilles, des cannes aux personnes à mobilité réduite.
Tamaro Seydi, une star au Fouta
Mme Diallo Tamoro Seydi était l’attraction lors de cette manifestation. En effet, la célèbre notaire avait décidé d’accompagner son mari dans ses oeuvres de bienfaisance. Elle a promis de donner une enveloppe de cinq (5) millions à l’Union régionale des Associations des Personnes handicapées (Uraph). Lorsqu’elle devait donner de façon symbolique un fauteuil roulant à une demoiselle handicapée, elle avait les larmes aux yeux.
Bass Kebe sauve l’honneur
Keur Madiabel, dans la région de Kaolack doit une fière chandelle à Mamadou Bassirou Kébé dit Bass, conseiller technique du Président, en charge de l’enfance. Ce dernier lui a remis 2703 parrains du département de Nioro pour le compte du mouvement LIGGEY SUNU REEW dont dont 810 pour la commune de Keur Madiabel. Au total, chez Moustapha Niass, tout le Benno ( Afp , APr et Afp) n’a pu collecter que 1100 parrains( Afp, Apr, Ps ) alors que Basss Kébé a collecté 810 parrains. C’est sans doute pourquoi Moustapha Niass s’est fortement réjoui de l’apport de son neveu qui n’a pas non plus tari d’éloges à son endroit. Par ailleurs, Bass Kébé s’est offusqué du comportement « non inclusif de certains responsables de la coalition qui ont écarté ses responsables lors du congrès d’investiture de PR ». Sans le citer, Bass Kébé faisait allusion, dit-on, à Lamine Dieng qui aurait refusé de donner des badges aux membres de son mouvement lors de l’investiture du Président par l’Apr.
Dr Cheikh Tidiane Dièye
Dr Cheikh Tidiane Dièye a mis le doigt là où il fait mal. Il a touché la problématique de la corruption dans les bureaux qui ne dérange plus personne. Il publie aujourd’hui un livre intitulé : «La corruption bureaucratique au Sénégal: Trajectoires, Ressorts et Représentations populaires», édité par l’Harmattan. Il ne s’agit pas, toutefois, d’un livre-scandale, mais plutôt un livre de connaissances. Dr Dièye apporte sa contribution à la compréhension du phénomène de la corruption, à travers l’analyse de ses acteurs, ses facteurs facilitateurs, ses mécanismes et ses représentations populaires. Pendant 15 ans l’auteur s’est penché sur le phénomène avec des recherches, des observations des pratiques et comportements des acteurs sénégalais, des acteurs politiques aux citoyens en passant par les agents de l’administration publique, vis-à-vis de la corruption.
Grève à l’APS
Les travailleurs de l’Agence de presse sénégalaise (Aps) ont informé l’opinion par voix de presse vouloir reprendre la grève, dès ce mercredi 12 décembre 2018. A l’origine de ce nouveau mouvement de grève, la non matérialisation de la rallonge de 250 millions de francs du gouvernement promise à l’APS, le 2 octobre 2018, après deux semaines de grève. Et face à cette situation, les travailleurs, en Assemblée générale ce lundi 10 décembre, ont décidé de reprendre le flambeau de la lutte. Trois après, le ministère de la Communication n’arrive toujours pas à tenir sa promesse.
Queen Biz
L’artiste, Queen Biz surnommée la reine du Show Biz présente son troisième album le 19 décembre prochain. Comme à son habitude Queen Biz est sortie des sentiers battus dans ce troisième opus. Elle a innové tant au niveau des mélodies que des thèmes abordés. Queen Biz a ratissé large avec des invités prestigieux. Ce qui fait de cet album un cocktail sonore. Elle présentera l’album composé de six titres à ses fans que sont : «Intro» dans lequel elle rend hommage à sa danseuse décédée à la fleur de l’âge, «dianfa», «Sama», «Chewing- gum», «Damay dem», «Sooma wooraate» et «Panafrican lover, feat chidinma (Nigéria) ».