Dakar, 18 nov (APS) - Le Premier ministre du Sénégal, Mouhammad Boun Abdallah Dionne, a procédé dimanche au Port autonome de Dakar à la réception du premier des 15 trains du projet de Train express régional (TER) devant assurer dans un premier temps une desserte entre Dakar et la Nouvelle ville de Diamniadio, a constaté l’APS.
Le train constitué de quatre wagons et d’une longueur de 72 mètres chacun est le premier d’un ensemble de 15 prototypes commandé par le Sénégal à la multinationale Alstom.
La société Alstom a commencé à expédier les 15 trains ’’Coradia Polyvalent’’ destinés au Sénégal, le 22 octobre dernier suite à l’achèvement de la production, des essais et à la validation du client APIX sur le site de Reichshoffen (Bas-Rhin)
Selon le Direcetur général de l’Agence nationale de la promotion de l’investissement et des grands travaux (APIX), Mountaga Sy, le TER ‘’c’est le nom du projet, mais c’est une composante de 15 tains’’.
Chaque train, a une capacité maximale de 565 passagers avec deux niveaux de confort ; une seconde et une première classe. Le Wifi est gratuit à bord du train sur tout le long du trajet, souligne-t-il.
‘’Le train est climatisé sur l’ensemble des wagons, mais aussi au niveau de la première classe, nous avons des tablettes de pose d’ordinateurs, des liseuses et des prises 20 pour que le passagers puisse travailler en tout confort’’, a-t-il en outre souligné.
Doté d’une vitesse de pointe de 160 Km, le TER peut fonctionner aussi bien avec de l’énergie électrique que de l’énergie thermique.
‘’Le changement de mode est incolore. En cours de trajet, s’il y a des difficultés de traction, électrique, le train peut passer en mode thermique sans que le passager ne s’en rende compte’’, a expliqué Montaga Sy.
Pour le directeur de l’APIX, ce projet d’envergure implique plusieurs lots, dont cinq techniques. Le premier consacre la réalisation des infrastructures de plateforme, des ouvrages d’art et des ouvrages hydrauliques.
‘’Les travaux de plateforme sont des travaux d’une certaine consistance qui permettent le fonctionnement sur plus de 100 ans d’une plateforme d’un train de grande vitesse’’, a-t-il dit.
‘’Dans ce train, du fait qu’il soit électrique, nous avons différents ouvrages. Nous avons 14 gares, ce qui consacre au TER, bref tout l’attribut d’un transport de masse au niveau de Dakar’’, a-t-il souligné.
Il s’agit des gares de Dakar, Colobane, de Hann, Baux Maraichers, Pikine , Thiaroye, Keur Massar, Keur Mbaye Fall, Rufisque, Bargny et Diamniadio et la gare de l’aéroport international Blaise Diagne.
‘’Ce sont des montants énormes, une ambition d’une ville et d’une vision qui consacre la mobilité urbaine’’, a-t-il fait savoir.
LES PREMIERS TESTS DU TER DÉMARRENT LE 15 DÉCEMBRE (APIX)
Dakar, 18 nov (APS) - Les premiers ’’tests dynamiques sur rails’’ du Train express régional (TER) vont démarrer le 15 décembre prochain,a annoncé dimanche Mountaga Sy, directeur général de l’Agence de promotion des investissements et des grands travaux (APIX).
Il en a fait l’annonce lors de la réception du premier des quinze trains composant ce projet de transport ferroviaire qui va dans un premier temps assurer une desserte entre Dakar et la Nouvelle ville de Diamniadio, et plus tard l’Aéroport international Blaise Diagne de Diass (AIBD).
Le train constitué de quatre wagons d’une longueur de 72 mètres chacun est le premier d’un ensemble de 15 prototypes commandé par le Sénégal à la multinationale Alstom qui a commencé le 22 octobre dernier à les expédier sur Dakar suite à l’achèvement de la production, des essais à la validation par l’APIX sur le site de Reichshoffen (Bas-Rhin).
‘’Le prochain train est attendu le 4 décembre et le troisième le 24 décembre. Le 14 janvier, on aura trois trains. Deux vont rouler et faire le trajet pendant que l’autre sera en cours de montage’’, a indiqué Mountaga Sy.
Selon lui, ce projet se projette dans l’avenir avec la possibilité de prévoir une plateforme permettant de suivre l’évolution du transport de marchandises.
‘’On prévoit deux voies en écartement standard et deux voies en écartement métrique pour le fret. C’est cela qui justifie le mouvement de déplacement des populations sur le long du trajet bien qu’on soit resté sur tracé initial de 36 Km de longueur’’, a expliqué M. Sy.
Il a également rappelé que le TER avait trois attributs majeurs, citant notamment ‘’ la zone de la gare de Dakar jusqu’au Baux maraîchers, marquée par une concentration énorme de dévoiement de réseaux, alors que les réseaux enterrés : électricité, assainissement, téléphone étaient le gros nœud pour la partie technique du projet’’.
‘’Le cœur du tracé, c’est celui de la population à forte densité, Pikine, Thiaroye, Yeumbeul qui consacre un énorme mouvement de déplacement de populations’’, a-t-il souligné.
‘’Au-delà du formalisme lié aux structures et procédures de déplacement et d’indemnisation, le gouvernement a pris l’option d’une indemnisation mixte avec des recasements’’, a assuré le directeur de l’APIX.
Il a ajouté : ‘’Les personnes impactées par le projet sont indemnisées à hauteur des montants de la valeur de leur foncier. Chaque famille aura une assiette foncière de 150 m 2 ’’. Sy a ainsi assuré de la ‘’libération de l’emprise’’ permettant aux techniciens de maintenant travailler dans la finalisation du tracé.
LE TER MARQUE LE ’’DÉBUT DE LA RÉVOLUTION’’ DU CHEMIN DE FER SÉNÉGALAIS
Dakar, 18 nov (APS) – La mise en œuvre effective du projet de Train express régional (TER) consacre le ’’début de la révolution’’ des chemins de fer au Sénégal car permettant au pays d’entrer dans l’ère de la modernité des moyens de déplacement de masse, a soutenu dimanche le Premier ministre Mouhammad Boun Abdallah Dionne.
‘’Cela constitue le début de la révolution des chemins de fer dans notre pays. Le rail qui relie Dakar-Bamako a plus d’un siècle d’existence. Il a été conçu dans une logique du colonisateur comme moyen d’exporter vers la métropole’’, a-t-il notamment déclaré.
Boun Abdallah Dionne intervenait lors de la réception au Port autonome de Dakar du premier des quinze trains composant le projet du TER devant dans un premier temps relier Dakar à la Nouvelle ville de Diamniadio, et plus tard, l’Aéroport international Blaise Daigne de Diass (AIBD).
Le train constitué de quatre wagons d’une longueur de 72 mètres chacun est le premier d’un ensemble de 15 prototypes commandé par le Sénégal à la multinationale Alstom qui avait commencé à les expédier sur Dakar le 22 octobre dernier suite à l’achèvement de la production, des essais à la validation par l’APIX sur le site de Reichshoffen (Bas-Rhin).
‘’Le chef de l’Etat, Macky Sall, souhaite faire de la révolution du chemin de fer une grande priorité à partir de 2019’’, a souligné le Premier ministre, soulignant : ‘’ Dakar méritait le TER. Le président l’a réalisé’’.
‘’La ville de Dakar, c’est 0, 28% du territoire national, mais héberge plus de 30 % de la population du pays. Il fallait doter la région d’infrastructures de transports de masse de dernière génération qui préparent notre ville capitale à projeter le pays vers la modernité’’, a encore dit Dionne.
Il a ajouté : ‘’Le gouvernement travaille pour l’avenir. Cela justifie ce projet(TER) qui a une importance capitale pour le déplacement des personnes à l’intérieur de la ville’’.
Mouhammad Abdallah Dionne a rappelé que le TER est constitué de 14 gares qui vont permettre aux dakarois venant dans la banlieue de se déplacer. ‘’Ces gares seront interconnectés avec des Bus rapides (BR) qui vont permettre de faciliter le déplacement’’, a-t-il promis.
19 novembre 2018 à 09h28min 0 0% Tags:
Dakar, 19 nov (APS) - Les quotidiens parvenus lundi à l’APS traitent principalement du gamou 2018, qui sera célébré le même jour à Tivaouane et partout ailleurs à travers le Sénégal.
Selon L’Observateur, la cité religieuse de Tivaouane, capitale de la Tidjaniya au Sénégal, est déjà ’’à pied d’œuvre pour son 117e Mawlid’’, la commémoration de la naissnce du Prophète Mohammed (PSL), prévu lundi.
’’C’est déjà l’effervescence dans la cité religieuse d’El Hadj Malick Sy. Tivaouane a fini les derniers réglages pour vivre son 117e Mawlid. Les services spéciaux, comme la gendarmerie nationale, la police, le service d’hygiène, les sapeurs-pompiers, le ministère de la Santé et le COSKAS...sont à pied d’œuvre pour que cette année encore’’, le Mawlid ’’soit un franc succès’’, écrit le journal.
’’Tivaouane a fini d’accueillir tout ce que le pays compte comme hautes autorités, religieuses et politiques’’ et la ville s’est ’’parée de ses plus beaux habits pour la célébration de la 117e édition du Mawlid’’, ajoute L’Observateur.
Selon Vox Populi, "la concentration humaine est telle dans la ville sainte, qu’il est déjà difficile de se frayer un passage dans les rues et ruelles de la ville de Maodo’’, qui ’’a vécu un week-end de grande frayeur avec la clôture du +Bourd+ qui a drainé des foules de fidèles (...)’’.
Le journal Le Quotidien fait également observer que ’’les pèlerins ne cessent de venir de partout et par tous les moyens. Tivaouane vibre au rythme du gamou’’, autre appellation du Mawlid. ’’En route et avec ferveur dans le sillage de Maodo’’, à savoir El Hadj Malick Sy, un des principaux propagateurs de la Tidjaniya au Sénégal.
Sud Quotidien rappelle que ’’par amour du Prophète (PSL)’’, El Hadj Malick Sy avait instauré le gamou depuis 1902 ’’en appelant ses coreligionnaires à célébrer l’anniversaire de la naissance du Prophète Mohammed. Il proclamait que dans cette commémoration se trouvent bénédiction et résolution des difficultés’’.
Le Soleil souligne l’appel ’’pressant du khalife des Tidjanes à la paix’’, avant d’évoquer, en pleine page, l’arrivée à Dakar dimanche de la première rame du Train express régional. ’’Elle a été réceptionnée au Môle 2 du Port autonome par le Premier ministre et les tests dynamiques sont prévus le 25 décembre’’, précise Le Soleil.
Enquête et L’As reviennent sur deux sujets qui font débat ce sderniers jours, les ’’tensions’’ budgétaires au Sénégal et la ’’polémique’’ autour de l’avis du comité des droits de l’homme de l’ONU dans l’affaire Karim Wade, du nom du fils de l’ancien président Karim Wade, condamné pour enrichissement illicite présumé.
Selon Enquête, le ministre de l’Economie, des Finances et du Plan, Amadou Bâ, ’’a annoncé des réformes destinées à dissiper les appréhensions du secteur privé’’, concernant la situation économique du Sénégal, marquée par les tensions de trésorerie.
Il cite la ’’rationalisation’’ des bras financiers de l’Etat et la révision des procédures de passation de marchés, entre autres mesures visant à enrayer les difficultés budgétaires qui pourrait impacter à terme sur la situation économique du Sénégal.
L’As, pour sa part, estime que l’ancienne Premier ministre Aminata Touré, par ailleurs envoyée spéciale du chef de l’Etat, ’’clôt le débat’’ concernant la ’’polémique’’ au tour de l’avis du comité des droits de l’homme de l’ONU sur l’affaire Karim Wade.
Karim, fils de l’ancien président Abdoulaye Wade, avait été incarcéré à partir de 2014 pour enrichissement illicite et détournements de fonds et gracié en 2016 après avoir été condamné à une peine de 6 ans de prison ferme et 138 milliards de FCFA d’amende par la Cour de répression de l’enrichissement illicite.
Selon des médias sénégalais, le comité des droits de l’homme de l’ONU a demandé que le procès de Karim Wade soit révisé, un ’’désaveu’’ pour la Cour de répression de l’enrichissement illicite (CREI), selon de nombreux quotidiens.
Ces médias citent une recommandation de ce comité suivant laquelle ’’la déclaration de culpabilité et de condamnation (de Karim Wade) doit être réexaminée conformément aux dispositions du paragraphe 5 de l’article 14 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques’’.
Mais de l’avis de Mme Touré, sur ce sujet, le Parti démocratique sénégalais (PDS), dont Karim Wade est le candidat déclaré à la présidentielle de février 2019, ainsi que ses avocats, ’’prêtent au comité des droits de l’homme des compétences magico-mystiques qu’il n’a pas’’.
’’Les observations du comité des droits de l’homme sont caduques et sans objet’’, affirme l’ancienne Première ministre, qui a occupé pendant longtemps le poste de directeur du département droits humains aux Nations unies avant d’être en charge de la ’’traque des biens mal acquis’’ au Sénégal en tant que ministre de la Justice à partir de 2012.
Si l’on en croit Aminata Touré, dont les propos sont rapportés par l’As, les recommandations des 18 experts du comité des droits de l’homme de l’ONU ’’ne sont pas au-dessus des décisions des cours et tribunaux des Etats’’, un argument répété par de nombreux responsables du pouvoir.
Dakar, 18 nov (APS) – Au total, treize équipes sur les vingt-quatre attendues à la prochaine Coupe d’Afrique des Nations, prévue au Cameroun en 2019, ont validé leur ticket à une journée de la fin des phases éliminatoires de cette compétition.
Dès la 4-ème journée jouée en octobre dernier, le Sénégal,
Madagascar dans le groupe A et l’Egypte et la Tunisie dans le groupe, avaient obtenu leur qualification pour Cameroun 2019
Les neuf autres ont attendu la 5-ème journée des éliminatoires jouée vendredi, samedi et dimanche pour composter leur billet.
Cela a démarré dès vendredi avec le Maroc victorieux du
Cameroun 2-0. Il y a eu ensuite les qualifications du Mali, du Nigeria, de l’Ouganda, de l’Algérie, de la Guinée, de la Côte d’Ivoire et de la Mauritanie.
Il reste 11 places à prendre et tout devrait se jouer en mars prochain lors de la 6-ème et dernière journée des qualifications, la CAN étant passée de 16 à 24 après le symposium de Rabat en juillet 2017.
Dakar, 18 nov (APS) – Au total, 59 films, provenant de 32 pays à travers le monde, figurent dans la programmation des Rencontres cinématographies de Dakar (RECIDAK), prévues du 22 au 28 novembre dans la capitale sénégalaise, a appris l’APS des organisateurs.
Une trentaine de réalisateurs étrangers et une vingt de réalisateurs locaux pariticperont à l’évènement qui sera ouvert mercredi au Grand Théâtre de Dakar par le Premier ministre, Mouhammad Boun Abdallah Dionne, selon Baba Diop, président de la commission programmation des RECIDAK.
‘’Les RECIDAK ne constituent pas un festival sénégalo-sénégalais. Il a fallu opérer une ouverture sur tous les continents à travers une cinématographie très large avec des films divers, une thématique diverse’’, a-t-il expliqué lors d’un entretien avec l’APS.
‘’Il faut briser ce préjugé qui fait que d’habitude, les gens n’ayant pas vu beaucoup de films africains, les qualifient de sous-produit du cinéma mondial. C’est archi faux’’, a-t-il souligné, en disant que si tel avait été le cas, le continent n’aurait jamais eu de représentants aux Oscars.
‘’Le film +Félicité+ d’Alain Gomis était aux Oscars, celui intitué +Le train de sel et de sucre+ du Mozambicain Luciano Azevedo y était de même qu’une autre production sud-africaine’’, a fait remarquer Diop.
‘’Il n’y a pas de complexe à avoir. Nous avons un cinéma à la hauteur. Le cinéma africain fait partie du cinéma mondial, enrichit par sa vision du septième art’’, a encore dit le critique de cet art, qui rappelle que les RECIDAK constituaient un festival africain ’’où toutes les zones géographiques sont représentées’’.
L’Afrique francophone, anglophone, lusophone, avec des réalisateurs de renoms dont les films ont déjà fait leur preuve sont au programme. Il s’agit par exemple, informe-t-il, du film ‘’Le grand Kilapy’’ de l’angolais Zézé Gamboa, ou de ‘’L’orage africain’’ du Béninois Sylvestre Amoussou.
Il a également cité entre autres ’’La rumeur de l’eau’’ du défunt réalisateur Tunisien Taïeeb Louhichi, qui est venu filmer à plusieurs reprises au Sénégal avec des portraits de Joe Ouakam, de Oumou Sy.
Des films de l’Inde, des Antilles, de l’Amérique latine et de l’Europe, notamment de la Belgique et la France sont au programme.
Trois pôles d’achanges sont prévus dans ce volet cinéma : rencontres, masters class servant de cadre d’échanges entre les anciens et la nouvelle génération en plus d’autres ateliers.
Les lieux de projection restent les salles de cinéma existant à Dakar, notamment le complexe Ousmane Sembène du Magic Land, les salles de Canal Olympia et de l’Institut français, le cinéma Empire.
Les séances en plein air sont prévus par les organisateurs à Rufisque et à Guédiawaye et à la prison des femmes de Liberté 6.
UN CENTRE DE SANTÉ DE PLUS DE 2 MILLIARDS FCFA ANNONCÉ
Kaolack, 19 nov (APS) - La Fondation Alfityanu Humanitaire International (AHI) du guide religieux Cheikh Mahi Cissé prévoit de construire un centre de santé d’un coût de plus de deux milliards de francs CFA à Taïba Niassène, dans la région de Kaolack (centre).
Le guide religieux en a fait l’annonce, dimanche, au cours d’une rencontre avec la presse au cours de laquelle il a assuré que la pose de la première pierre de cette infrastructure sera organisée bientôt, en fonction de la disponibilité du khalife de Médina Baye Cheikh Tidiane Niasse.
"Avec ma fondation (AHI), nous avons prévu de construire dans la commune de Taîba Naassène, village natal de notre vénéré Mawlana Cheikh Ibrahima Niass, un centre de santé de niveau 2 et un centre de formation professionnelle et inclusive", a déclaré M. Niasse, par ailleurs porte-parole de Medina Baye.
Ce centre de santé devait abriter plusieurs services dont une maternité, une pédiatrie, une polyclinique, un service d’hospitalisation, une salle d’urgence, une pharmacie et un laboratoire.
Selon Cheikh Mahi Niass, ce projet vise à contribuer aux objectifs de développement durable dans cette partie du Sénégal, à travers une réduction de la mortalité maternelle et infantile.
"Les populations de Taïba Niassène et des villages environnants pourront ainsi bénéficier d’un meilleur accès aux soins", se réjouit-t-il.
Le maire de Taîba Niassène, Habib Niass, a salué cette initiative tout en remerciant le marabout ainsi que le ministère de la Santé qui selon lui "a octroyé toutes les autorisations nécessaires et a aussi promis" d’accompagner le projet.
La Fondation Alfityanu Humanitaire International est une organisation non gouvernementale (ONG) présent dans neuf pays et trois continents, selon un document remis à des journalistes.
Cette ONG ambitionne de lutter contre l’extrême pauvreté et l’inégalité des chances dans le domaine de l’éducation et de l’alimentation.