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22 août 2025
LE DUO COMPLÉMENTAIRE DE LA REPRÉSENTATION NATIONALE
Sud quotidien vous amène à la découverte de deux instances clés de la représentation nationale et de leur influence sur son fonctionnement. Il s’agit du bureau de l’Assemblée nationale et de la Conférence des présidents
Dans la perspective de l’installation prochaine de la 14e législative lors de la session d’ouverture de l’Assemblée nationale, prévue le lundi 12 septembre, Sud quotidien vous amène à la découverte de deux instances clés de la représentation nationale et de leur influence sur son fonctionnement. Il s’agit du bureau de l’Assemblée nationale et de la Conférence des présidents. Cette démarche vise à aider à la compréhension des enjeux de la bataille d’influence qui oppose la coalition au pouvoir, Bennoo bokk yaakaar à l’opposition réunie autour de l’inter-coalition Yewwi-Wallu, pour le contrôle de ces deux instances du Parlement.
LE BUREAU : LA PIÈCE MAÎTRESSE DU FONCTIONNEMENT ADMINISTRATIF DE L’ASSEMBLÉE NATIONALE
Prévu par l’article 17 du Règlement intérieur de l’Assemblée nationale, le Bureau est en quelque sorte la pièce maîtresse du fonctionnement administratif de l’institution parlementaire. Présidé parle président de l’Assemblée nationale, il dispose selon ledit article, de tous les pouvoirs pour régler les délibérations de l’Assemblée nationale, organiser et diriger tous ses services, dans les conditions déterminées par le Règlement intérieur et les règlements subséquents. C’est à lui également que revient la charge de déterminer, par un Règlement financier, les modalités de préparation, d’élaboration et d’exécution du budget de l’Assemblée nationale qui jouit de l’autonomie financière. Outre ces pouvoirs, le bureau de l’Assemblée nationale est également chargé de fixer les modalités d’utilisation des crédits de fonctionnement des Groupes parlementaires et des Commissions permanentes inscrits dans le Budget de l’Assemblée nationale. Mais aussi de déterminer, par un Règlement administratif, les modalités d’application, d’interprétation et d’exécution par les différents services des dispositions de ce présent Règlement administratif, ainsi que le statut du personnel de l’Assemblée nationale.
Le Bureau de l’Assemblée nationale peut aussi, selon toujours l’article 17, créer des Commissions ad hoc sur un sujet déterminé et en informer l’Assemblée nationale. «Le Bureau, sur proposition du Président, nomme, par Arrêté, le Secrétaire général et le Secrétaire général adjoint qui assistent à ses réunions, à la Conférence des Présidents, ainsi qu’à toutes les Commissions ad hoc où leur présence est nécessaire. Le Secrétaire général et le Secrétaire général adjoint sont choisis parmi les agents de l’Etat de la hiérarchie A. Le Bureau se réunit, au moins, une fois par mois», précise le dernier alinéa de l’article 17 du Règlement intérieur de l’Assemblée nationale.
LA CONFÉRENCE DES PRÉSIDENTS : L’HORLOGE DE L’AGENDA LÉGISLATIF
Instance très peu connue du grand public, la Conférence des Présidents n’en demeure pas moins une entité qui joue un rôle essentiel avec le Bureau de l’Assemblée nationale, dans le fonctionnement de l’institution parlementaire. Prévue par l’article 19 du Règlement intérieur de l’Assemblée nationale, la Conférence des Présidents est composée, outre le Président et les Vice-présidents, des Présidents de Commission, du Rapporteur général de la Commission de l’Économie générale, des Finances, du Plan et de la Coopération économique, des présidents de Groupes parlementaires et du représentant des non-inscrits. Si le fonctionnement administratif de l’Assemblée nationale relève des compétences exclusives du Bureau, c’est à la Conférence des Présidents que revient la mission de gérer le volet législatif de l’institution parlementaire.
En effet, selon l’article 19 du Règlement intérieur, la Conférence des Présidents «établit l’ordre du jour des travaux de l’Assemblée ; fixe le calendrier des travaux en commissions et en séance plénière ; peut décider de l’organisation des débats conformément aux dispositions de l’article 68 alinéa 4 ci-dessous. Dans ce cas, elle fixe la durée globale de la séance et le temps de parole entre les groupes et les non-inscrits, dans des conditions déterminées par une Instruction générale du Bureau».
LES CINQ CONDITIONS DU MFDC POUR DÉPOSER LES ARMES
On est certes loin du clap de fin de la crise casamançaise, mais depuis quelques temps les prémices d’une fin de l’escalade militaire sont posées.
Le désarmement des combattants, leur réinsertion, sont quelques unes des conditions avancées par le Mouvement des Forces Démocratique de la Casamance (Mdfc), à travers sa structure interlocutrice de l’État appelée IRAPA, Initiative pour le Réunification des Ailes Politiques et Armées. Si certains ont déjà paraphé ce projet de dépôt des armes, d’autres ailes tardent ou rechignent à signer le projet d’accord qui englobe des conditions d’accompagnement des rebelles une fois les armes déposées.
On est certes loin du clap de fin de la crise casamançaise, mais depuis quelques temps les prémices d’une fin de l’escalade militaire sont posées. Des jalons qui installent l’optimisme et l’espoir. En atteste la signature d’un projet d’accord de dépôt des armes. Seulement, la branche armée du mouvement irrédentiste reste très prudente sur ce projet. C’est pourquoi les différentes factions rebelles ont mis en place une structure interlocutrice appelée IRAPA, Initiative pour la Réunification des Ailes Politiques et Armées.
Dans le front Nord du maquis à Diakaye, la structure qui a déjà réussi à signer le projet d’accord de dépôt des armes pose des exigences qui tournent autour de cinq points majeurs. La mise en place d’un Comité mixte composé, en plus des parties prenantes au conflit, d’autres structures pour contrôler l’opération de dépôt des armes et la destination de ces armes éventuellement déposées par les maquisards dont certains ne voudraient pas qu’elles tombent entre les mains des Forces armées. Autre condition évoquée, la réinsertion des combattants. Déposer les armes et sortir du maquis oui ; mais que deviendront ces personnes qui ont passé des dizaines d’années dans le maquis ?
Le projet d’accord de dépôt des armes suggère également la création de projets de réinsertion dans différents domaines. Une condition qui semble se confondre à une autre qui plaide pour le développement économique des localités impactées par le conflit. A cela s’ajoute l’accompagnement des impactés de ce conflit car il n’y a pas que les combattants qui le sont. D’autres personnes ont subi les contre-coups de cette crise et elles ont besoin d’accompagnement. Et pour tout surveiller, il faut la création d’une Commission de suivi pour évaluer, à temps réel, l’effectivité et la concrétisation des différents points d’accord qui sous-tendent le projet d’accord de dépôts des armes qui est déjà en branle dans certaines factions du Mdfc.
La récente signature à Bissau de ces accords entre dans cette logique de matérialiser l’acte 1 de ce processus de paix qui entame une nouvelle tournure qui suscite beaucoup d’espoir. La faction de César Atoute Badiate, le front Nord de Diakaye, en phase avec ce projet, il reste à convaincre les autres factions, comme celle du radical chef rebelle Salif Sadio, à adhérer à cette mouvance qui pourrait donner le déclic d’une marche vers la paix définitive en Casamance
« L’ETAT EST SOUS TENSION FINANCIÈRE À CAUSE DU NIVEAU D’ENDETTEMENT »
Selon Elhadji Mansour Samb, économiste et écrivain, Macky Sall envisage de brader le foncier pour se faire une santé financière afin de pouvoir disposer d’investissement pour financer les projets en cours d’exécution
L’Etat du Sénégal est aujourd’hui sous tension financière à cause du niveau d’endettement qui tourne autour de 68% . Pour faire face à cette situation, le gouvernement de Macky Sall envisage de brader le foncier pour se faire une santé financière afin de pouvoir disposer d’investissement pour financer les projets en cours d’exécution.
«En matière d’endettement ce qui est important, ce n’est pas le taux. Il y a des pays qui sont à 100% d’endettement. Beaucoup de pays développés ont dépassé la barre des 60% qui est fixée en Europe. Dans une politique, ce qui est important, c’est que l’endettement soit efficace ». C’est l’avis de l’économiste et écrivain El Hadji Mansour Samb. « Même si un pays s’endette sur 10 mille Milliards, il faut qu’ils soient productifs et que les populations puissent le sentir. Quand les Sénégalais ne le sentent pas, cela pose problème », soutient-il.
Il relève par ailleurs que la situation d’endettement du Sénégal s’est dégradée avec un taux qui tourne autour de 68%. « De 34% de taux d’endettement en 2012, on est passé à 68% en 2022 .On passe maintenant à la catégorie pays à risque d’endettement modéré. La situation ne s’est pas encore complètement dégradée, parce que le Sénégal n’est pas encore sous-programme du Fonds monétaire international (Fmi). Donc l’Etat est sous tension financière aujourd’hui à cause du niveau d’endettement », indique-t-il.
Selon M Samb cette situation de tension pousse le gouvernement de Macky Sall à brader le foncier pour se faire un peu d’argent. « Le patrimoine foncier qui est là appartient aux générations futures .L’éducation et la santé sont des secteurs où beaucoup de progrès scientifiques vont se faire .Ce qui va nécessiter encore des bâtiments .C’est pour cette raison qu’on laisse beaucoup d’espace vide dans les universités et les hôpitaux. Pour avoir un troisième mandat Macky Sall a beaucoup insisté sur les investissements », souligne-t-il.
Pour lui, au lieu de brader le foncier, Macky Sall devrait plutôt réduire la charge de l’Etat. « L’Etat coûte cher aux contribuables sénégalais avec 34 ministres et 3 institutions budgétivores. Pour un pays aussi pauvre que le Sénégal, c’est pas normal », déplore l’économiste.
MACKY SALL SALUE LE « PARCOURS EXCEPTIONNEL » D’ELISABETH II
Le président de la République Macky Sall a salué, jeudi, la mémoire de la Reine d’Angleterre, décédée le même jour à l’âge de 96 ans, évoquant notamment le ‘’parcours exceptionnel d’une illustre défunte’’. ‘’J’ai appris la triste nouvelle du décès de Sa Majesté la Reine Elisabeth II. Je présente mes condoléances émues au gouvernement britannique. Je salue la mémoire de l’illustre défunte, au parcours exceptionnel’’, a-t-il notamment tweeté. «La reine Elizabeth II est morte, jeudi, à l’âge de 96 ans, dans sa résidence de Balmoral en Ecosse’’, ont annoncé plusieurs médias, dont le site de chaîne France 24 visité à l’APS. Elizabeth II, monarque de quinze nations et Cheffe du Commonwealth, a régné pendant sept décennies». Après l’annonce de son décès le drapeau a été mis en berne au palais de Buckingham et les hommages commençaient à affluer du monde entier. «Depuis le début d’aprèsmidi, des messages affluaient du monde entier pour adresser ses pensées à la Monarque de 96 ans, après que ses médecins ont émis des inquiétudes sur son état de santé», précise-t-on dans le site du média français.
PRIX DU CIMENT LE GOUVERNEMENT VEUT EMPÊCHER UNE HAUSSE INCONSIDÉRÉE
Le ministre en charge des Mines et de la Géologie, Omar Sarr, a assuré, jeudi, que les échanges se poursuivraient afin de trouver une solution empêchant une augmentation inconsidérée du prix du ciment. ‘’Nous allons encore échanger en relation avec la ministre du Commerce. Nous pensons qu’il faudrait trouver une solution qui empêche les augmentations sauvages dans les magasins’’, a-t-il déclaré en marge d’une visite effectuée sur les installations minières de la CGO, à Diogo, dans la commune de Darou Khoudoss (département de Tivaouane). ‘’Actuellement, nous avons des prix à 75 000, 72 000 francs, alors que le prix homologué est de 65 000 francs CFA la tonne. Il faut trouver une solution à cette hausse’’, a souligné Omar Sarr. Deux grandes usines de fabrication de ciment ont récemment annoncé une cessation de leurs activités en estimant qu’elles n’étaient plus en mesure de supporter les coûts de production en raison du renchérissement de certains intrants sur le marché international. Ces cimenteries ont notamment jugé insuffisante la hausse sur le prix de la tonne décidée par la Commission nationale d’homologation des prix. ‘’Au Sénégal, nous n’avons pas une capacité extensible à l’infini. Nous allons travailler à trouver une formule raisonnable qui puisse aider les populations qui ont besoin du ciment pour construire’’, a insisté Omar Sarr.
DISLOCATION DU TISSU INDUSTRIEL A QUOI SERT LE MINISTRE MOUSTAPHA DIOP ?
S’il y a un ministre de la République qui doit véritablement sortir de sa léthargie et prendre à bras le corps les multiples problèmes qui minent son département, c’est bien Moustapha Diop, en charge du Développement industriel et des Petites et Moyennes industries. Voilà un ministre qui s’est emmuré dans un silence alourdissant alors que son secteur boue à 90° et est en train de se disloquer du fait du blocage des prix imposés par l’Etat au moment où ceux des matières premières ont pris l’ascenseur. D’abord, quand les cimenteries Dangote avaient arrêté leurs activités en juin dernier et renvoyé en congés forcés ses employés, Moustapha Diop avait fermé les yeux. Ensuite, quand la cimenterie SOCOCIM a décidé de mettre sa production à l’arrêt pour les mêmes effets avec son personnel, le ministre de tutelle s’est aussi bouché les oreilles laissant son homologue du Commerce monter au créneau. A défaut de ressusciter notre traditionnel «coup de sabot» et de lui en donner un terrible là où vous pensez, Le Témoin quotidien voudrait être édifié sur l’utilité du chef de ce département ministériel qui est en train de se disloquer sous ses yeux impuissants ?
PODOR LA DÉPOUILLE DU MAGISTRAT BASSIROU NDIAYE INALEMENT RETROUVÉE
Ce que tout le monde redoutait a finalement eu lieu. Le magistrat de la Cour d’Appel de Ziguinchor Bassirou Ndiaye a été repêché au fond des eaux du Doué à Podor. Ce dernier a été porté disparu ce mercredi à la suite du chavirement de la pirogue qu’il avait prise pour se rendre à un décès de sa tante. Il aura fallu plus de 24 heures de recherches pour retrouver le corps sans vie du magistrat Bassirou Ndiaye. Il a été repêché des eaux du Doué ce jeudi aux environs de 16 heures. La marine nationale, les sapeurs-pompiers de Podor et Richard Toll ainsi que les pêcheurs ont combiné leurs efforts pour arriver à retrouver le corps du magistrat. La disparition du juge Ndiaye a plongé le Fouta et le Sénégal dans une grande tristesse car l’homme était très engagé dans le mouvement sportif. Le secrétaire général de la Cour d’Appel de Ziguinchor était très engagé et était prompt à régler les problèmes de ses proches. Témoigne-t-on. D’ailleurs, ironie du sort, les deux pirogues qui assurent la traversée du fleuve Doué ont été offertes par le magistrat lui-même. D’après des proches de la famille, Bassirou Ndiaye dont ils réclamaient le rapatriement du corps à Dakar devait être enterré hier nuit à Doué. Seulement au vu de la pression de la famille du défunt magistrat au Fouta, ce dernier devait finalement être enterré au cours de la nuit d’hier au Fouta à cause aussi de la durée du corps dans l’eau.
PÈLERINAGE 2022 NOS PÈLERINS À ROME !
Après Jérusalem et Nazareth sur les pas du Christ, les 350 pèlerins sénégalais aux Lieux Saints de la Chrétienté sont finalement arrivés à Rome (Italie). Ils ont été très bien accueillis à leur arrivée par l’ambassadeur du Sénégal près le Saint-Siège (Vatican), Son Excellence Dr Martin Pascal Tine. Au nom du Chef de l’Etat, du Ministre des Affaires Étrangères et de l’ensemble du peuple sénégalais, Son Excellence Dr Tine a demandé aux pèlerins de formuler des prières pour le Sénégal. Ce vendredi 09 septembre, nos pèlerins catholiques se rendront aux pieds de la Vierge Marie à Lourdes. Au cours de leur pèlerinage à Lourdes, ils assisteront à des messes. Dans les prochaines éditions du quotidien « Le Témoin », notre correspondant particulier Frère Yves Maximin Sagna reviendra sur les dernières étapes de Rome et de Lourdes.
FLEUVE SENEGAL : LES NIVEAUX D’EAU PROCHES DE LA CÔTE D’ALERTE À MATAM, PODOR, DAGANA ET RICHARD-TOLL
Quatre localités longeant le fleuve Sénégal que sont Matam, Podor, Dagana et Richard-Toll sont sous la menace de la montée des eaux dont les niveaux sont proches des côtes d’alerte, selon le ministère de l’Eau et de l’Assainissement. Dans un communiqué, le ministère de l’Eau et de l’Assainissement annonce que les niveaux de l’eau du fleuve Sénégal sont proches des côtes d’alerte. « Les données concernant le fleuve Sénégal recueillies ces dernières heures dans plusieurs stations hydrométriques indiquent des niveaux d’eau proches des cotes d’alerte », écrit le communiqué. Les situations les plus préoccupantes concernent les stations des localités de Matam, Podor, Dagana et Richard-Toll. A Matam, le niveau de l’eau qui était à 7,58 mètres le 07 septembre à 08 heures est monté à 7,68 mètres ce jeudi 08 septembre 2022 à 08 heures, soit à 32 centimètres de la cote d’alerte qui est de 8 mètres. Un peu loin, à Podor, le niveau de l’eau qui était à 4,65 mètres le 07 septembre à 08 heures est monté à 4,68 mètres ce jeudi 08 septembre 2022 à 08 heures, soit à 32 centimètres également de la cote d’alerte qui est de 5 mètres. La même situation a été constatée à Dagana.
FLEUVE SENEGAL LES NIVEAUX D’EAU PROCHES DE LA CÔTE D’ALERTE À MATAM, PODOR, DAGANA ET RICHARD-TOLL (BIS)
Dans le Walo, le niveau reste toujours très proche de la côte d’alerte qui est de 3.5 mètres. Dans cette zone, le communiqué souligne que le niveau de l’eau, qui était à 3,33 mètres le 07 septembre à 08 heures a certes baissé de 4 centimètres ce jeudi 08 septembre 2022 à 08 heures. Par contre, à Richard-Toll, le niveau de l’eau qui s’est stabilisé à 2,92 mètres ces deux derniers jours demeure proche de la cote d’alerte qui de 3,35 mètres. « Par conséquent, en cas de survenance de fortes pluies au niveau du haut bassin et de la Vallée du fleuve Sénégal dans les prochains jours, des débordements du cours d’eau pourraient survenir dans les localités susmentionnées », ajoute le texte. Les populations et les porteurs d’activités aux abords du fleuve Sénégal sont invités à observer une vigilance maximale et à prendre toutes les dispositions nécessaires pour se prémunir d’éventuels dégâts qui seraient liés au débordement du cours d’eau. Le communiqué soutient que l’Etat va entreprendre des diligences.