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28 août 2025
COOPERATION, LE SENEGAL A SIGNE 36 CONVENTIONS DE FINANCEMENT
Le Sénégal a signé 36 conventions de financement à la date du 3 novembre 2021 pour un montant de 1132 milliards de francs Cfa. C’est ce qu’a indiqué hier, le ministre de l’Economie, du plan et de la coopération, qui défendait son budget pour l’année 2022
Le Sénégal a signé 36 conventions de financement à la date du 3 novembre 2021 pour un montant de 1132 milliards de francs Cfa. C’est ce qu’a indiqué hier, le ministre de l’Economie, du plan et de la coopération, qui défendait son budget pour l’année 2022 arrêté à la somme de 28 milliards 277 millions 862 mille 519 francs Cfa.
36 conventions de financement ont été signées à la date du 3 novembre 2021, pour un montant total de 1132 milliards de francs Cfa, soit 94% de la cible annuelle, estimée à 1200 milliards de francs Cfa. Amadou Hott faisait l’état des lieux de la coopération, hier au cours de son passage à l’Assemblée nationale pour le vote de son budget 2022 arrêté à la somme de 28 milliards 277 millions 862 mille 519 francs Cfa. Les parlementaires ont interpellé le ministre de l’Economie, du plan et de la coopération sur les tenants et les aboutissements de ces conventions. Marie Sow Ndiaye, qui réclamait plus de transparence sur l’objet de ces conventions, voulait avoir le descriptif technique de ces conventions, s’il s’agit de financements à rembourser, de subventions ou de dons.
Par ailleurs à la fin du 1er semestre 2021, a indiqué le ministre de l’Economie, du plan et de la coopération, 94 projets ont été identifiés pour une structuration et une réalisation en mode Partenariat public privé (Ppp) dont 71 susceptibles d’être développés.
Au titre du développement du secteur privé, M. Hott a annoncé la mise en œuvre d’une feuille de route pour un écosystème favorable à une meilleure participation des entreprises sénégalaise dans la création de richesse et d’emplois. Dans ce cadre, souligne le ministre de l’Economie, le projet phare constitue l’élaboration de la stratégie nationale de développement du secteur privé, à travers un processus inclusif, associant au côté de l’Etat tous les acteurs, notamment les organisations professionnelles du secteur privé et les bailleurs de fonds.
S’agissant de Medis, Amadou Hott a révélé qu’au-delà des 3 milliards de francs Cfa déjà décaissés, il est prévu 2,5 milliards de francs Cfa dans le cadre du budget 2022 qui sont portés par le Fonds souverain d’investissements stratégiques (Fonsis) pour que l’Etat puisse boucler sa participation au capital, conformément aux instructions du président de la République.
En réponse aux différentes interpellations, Amadou Hott rassure : «Ce sont des conventions qui sont extrêmement bien négociées. C’est en coordination entre notre département et celui des Finances et du budget. Nous avons des collaborateurs aguerris qui ont 20 ans, 25 ans d’expérience dans la coopération, dans la négociation avec toutes les banques et croyez-moi les négociations que nous faisons sont des négociations extrêmement serrées et ces conventions de financement sont étudiées au niveau du Comité national de la dette publique, présidé par le ministère des Finances, où on se retrouve pour être d’accord sur les conditions de financement à accepter ou à rejeter. Et si vous demandez sur la place internationale, les banques vous dirons que les équipes au Sénégal font partie des meilleures en Afrique. Ce sont les banques commerciales qui sont des banques d’investissent aguerries qui l’ont dit. Ce n’est pas nous qui clamons ce genre de victoire.»
En outre, corrobore Abdoulaye Daouda Diallo, le service de la dette se situe à 866 milliards 100 millions pour 2021. «Le niveau d’endettement est de 68,6% avec un objectif de 70% maximal. A partir de fin 2022, notre dette va s’établir autour de 56% et à partir de 2023, on sera aux alentours de 55%, et c’est à ce niveau que nous voulons la stabiliser car il faut qu’on continue à faire dans l’endettement quoi qu’il arrive», appuie le ministre des Finances et du budget.
RAPPORT POLICE- POPULATION, ANTOINE DIOUM FACE A LA POLICE
Antoine Félix Diome veut que les fonctionnaires de police respectent davantage la présomption d’innocence et soigne ses rapports avec les populations. Il l’a dit lors de la cérémonie d’inauguration du commissariat de police de Diamegueune Sicap Mbao.
iGFM - (Dakar) Antoine Félix Diome veut que les fonctionnaires de police respectent davantage la présomption d’innocence et soigne ses rapports avec les populations. Il l’a dit lors de la cérémonie d’inauguration du commissariat de police de Diamegueune Sicap Mbao.
Antoine Félix Diome était ce mardi dans la commune de Diamegueune Sicap Mbao pour procéder à l’inauguration d’un nouveau commissariat. Une infrastructure dont l’érection, dit-il, «s’inscrit dans Vaste programme de densification du maillage sécuritaire national».
Mais, le ministre de l’intérieur a souligné que ce nouveau commissariat va naître avec un nouvel état d’esprit. Il a déclaré qu'il sera question de faire en sorte que les droits humains y soient mieux préservés, que la présomption d’innocence ainsi que la dignité humaine soient respectées et que les personnes gardées à vue soient à l’abri des regards.
«Je voudrais inviter les fonctionnaires de police à faire preuve d’une très grande écoute à l’égard des populations, de traiter correctement leurs requêtes, et de les recevoir toujours avec la diligence et la courtoisie», a-t-lancé aux policiers.
Il ajoute que dans la perspective de mieux juguler la délinquance et de préserver durablement la quiétude des populations, la stratégie de maillage, connue ces derniers jours à Dakar, va se poursuivre.
LE VARIANT OMICRON FAIT REPORTER LE FORUM DES INVESTISSEMENTS EN AFRIQUE
Le variant Omicron risque bouscule l’agenda diplomatique africain. L’édition 2021 du Forum des investissements en Afrique (AIF), prévue du 1er au 3 décembre, à Abidjan (Côte d’Ivoire), à l’initiative de la Banque africaine de développement (BAD
Le variant Omicron risque bouscule l’agenda diplomatique africain. L’édition 2021 du Forum des investissements en Afrique (AIF), prévue du 1er au 3 décembre, à Abidjan (Côte d’Ivoire), à l’initiative de la Banque africaine de développement (BAD), a été “reportée jusqu’à nouvel ordre”, annonce un communiqué de ladite institution financière.
Ce report a été décidé à l’issue des consultations menées avec le gouvernement de la Côte d’Ivoire et le conseil d’administration du groupe de la BAD, explique le texte. “Malheureusement, avec l’augmentation des restrictions de voyage à l’échelle mondiale en raison du variant Covid-19 appelé Omicron, et les inquiétudes accrues en matière de santé et de sécurité, il est nécessaire, à regret, de reporter l’événement”, a précisé le président du groupe de la BAD, Akinwumi Adesina.
MISS SENEGAL, ABDOULAYE DIOP VEUT S'IMPLIQUER DANS L'ORGANISATION
Le ministre de la Culture et de la Communication, Abdoulaye Diop, ne rejette pas l’idée de revisiter l’organisation du concours Miss Sénégal. D’ailleurs, il assure qu’une réflexion a été entamée dans ce sens et elle se poursuit toujours.
Emédia |
Adama Aidara Kante |
Publication 01/12/2021
Le ministre de la Culture et de la Communication, Abdoulaye Diop, ne rejette pas l’idée de revisiter l’organisation du concours Miss Sénégal. D’ailleurs, il assure qu’une réflexion a été entamée dans ce sens et elle se poursuit toujours. « Il faut qu’on aide les gens à mieux encadrer, mieux réorganiser cet évènement », souligne-t-il, lors du vote du budget de son département au Parlement.
Il faut rappeler que la polémique autour de l’organisation de Miss Sénégal fait suite aux révélations de l’ancienne lauréate de l’édition 2020, Ndèye Fatoumata Dione. Elle a révélé avoir été victime d’un viol suivi de grossesse avec un enfant de 5 mois dont elle ignore le père. Fatima révèle avoir été écartée par le comité de Miss Sénégal parce qu’elle refusait certaines faveurs, à caractère sexuel notamment, qu’on lui demandait.
Une grave accusation qui a suscité un tollé dans le monde du showbiz. Amina Badiane a bien tenté de se laver à grande eau, mais sa langue a trébuché. Ainsi, lors d’une conférence de presse, elle a asséné : « Si on te viole, c’est que tu l’as bien cherché ». Cette phrase maladroite n’est pas restée sans conséquence. Elle a été accusée de faire l’apologie du viol. Ses molles excuses via les réseaux sociaux n’ont pas convaincu. Pis, d’anciennes Miss ont dénoncé le fonctionnement malsain du système.
COLLECTIVITE TERRITORIALE, 500 CONTRIBUTIONS MISES À DISPOSITION DU POUVOIR PUBLIC
Le Haut Conseil des Collectivités territoriales (HCCT) a, en cinq d’exercice, mis à la disposition des pouvoirs publics plus de 500 contributions, rapports, études, avis, recommandations, résolutions et motions
Dakar, 30 nov (APS) – Le Haut Conseil des Collectivités territoriales (HCCT) a, en cinq d’exercice, mis à la disposition des pouvoirs publics plus de 500 contributions, rapports, études, avis, recommandations, résolutions et motions, a t-on appris, mardi, à Dakar, de sa présidente.
’’Nous ne pouvons que nous féliciter d’avoir mis à la disposition du président de la République et aux autorités étatiques, plus de 500 contributions, rapports, études, avis, recommandations, résolutions et motions’’, a déclaré Aminata Mbengue Ndiaye.
Elle intervenait lors de la cérémonie de clôture de la quatrième session ordinaire de l’année 2021 de son Institution, portant sur l’adoption de son rapport quinquennal.
Mme Ndiaye a réaffirmé à cette occasion, ‘’la loyauté, le dévouement et la gratitude’’ du Haut Conseil des collectivités territoriales au chef de l’Etat, Macky Sall.
La présidente du HCCT a aussi exprimé ses ’’vives félicitations’’ aux Hauts conseillers territoriaux qui se sont, pendant cinq, mis au travail ’’discrètement’’, depuis octobre 2016, ’’de façon collective’’.
La directrice des Institutions, Seynabou Mbaye Guèye, a, pour sa part, salué un bilan ’’élogieux’’ qui démontre que l’Institution a ’’mis l’humain au centre de ses préoccupations’’.
Elle a rappelé que le HCCT s’est penché durant son quinquennat sur les questions environnementales, de jeunesse, d’emplois des jeunes et les politiques de décentralisation.
Mme Guèye a assuré que l’institution a durant toute cette période fait des propositions et orientations aux pouvoirs publics et divers acteurs pour le bénéfice des populations.
Le HCCT est une assemblée consultative qui complète l’architecture institutionnelle afin d’accompagner le processus de développement des territoires.
Il compte 150 Hauts Conseillers désignés pour un mandat de cinq ans. 80 conseillers sont élus au suffrage universel indirect et 70 sont désignés par le chef de l’Etat parmi les membres de la société civile, les organisations socioprofessionnelles et diverses catégories de la société.
Le HCCT a pour mission de ’’renforcer la participation active des acteurs territoriaux à la définition, l’instauration et l’évaluation des politiques publiques territoriales’’.
8ÈME FOCAC, UN TOURNANT POUR ’’MIEUX AJUSTER’’ LA COOPÉRATION SINO-AFRICAINE
La huitième Conférence ministérielle du Forum coopération sino-africaine (FOCAC) qui s’est achevée à Dakar, mardi, a été un ’’succès’’ et va marquer un ’’tournant’’ pour ’’mieux ajuster’’ la coopération entre Afrique et la Chine
Diamniadio, 30 nov (APS) - La huitième Conférence ministérielle du Forum coopération sino-africaine (FOCAC) qui s’est achevée à Dakar, mardi, a été un ’’succès’’ et va marquer un ’’tournant’’ pour ’’mieux ajuster’’ la coopération entre Afrique et la Chine, a déclaré la ministre des Affaires étrangères et des sénégalais de l’extérieur, Aïssata Tall Sall.
Faisant le bilan des travaux de deux jours du FOCAC avec son homologue chinois, le Conseiller d’Etat, ministre des Affaires étrangères, Wang Yi, Aïssata Tall Sall s’est félicitée de ’’la beauté’’ de la rencontre de Dakar et du record de participants, malgré la Covid-19 et de la psychose ambiante d’un nouveau variant.
Cette conférence va marquer un ’’tournant sur la forme, sur le fond, sur les mécanismes innovants’’ pour ’’mieux ajuster, mieux travailler, mieux suivre’’ la coopération entre Afrique et la Chine, a-t-elle dit.
’’Nous avons eu des débats très sérieux (...). Nous avons eu des débats très francs, chacun s’est exprimé de la façon la plus libre en se comprenant parfaitement et en adoptant de façon consensuelle les conclusions auxquelles nous sommes parvenues’’, a-t-elle ajouté.
La coopération entre la Chine et l’Afrique est ’’dynamique’’, ’’voulue’’ et ’’acceptée’’ par l’ensemble des Etats du continent et la Chine, a souligné Aïssata Tall Sall.
Elle a ajouté que les gouvernements africains et chinois sont ’’conscients que le FOCAC est un bien commun à persévérer et à élargir’’ pour bâtir ensemble une communauté d’avenir partagée dans une nouvelle ère de coopération.
’’Nous nous sommes mis d’accord sur quatre documents finaux importants qui portent notre ambition pour l’Afrique vue par la Chine et par nous-mêmes et qui portent notre engagement commun pour l’Afrique et les peuples africains par nous-mêmes et la Chine’’, a dit la cheffe de la diplomatie sénégalaise.
Elle a annoncé que la République populaire de Chine a accepté que l’agenda du FOCAC s’aligne sur celui de l’Union africaine 2063.
LE BUDGET DU MINISTERE DE L'ECONOMIE NUMERIQUE ET DES TELECOMMUNICATIONS CONNU
Les députés ont adopté, ce mardi, le projet de budget 2022 du ministère de l’Economie numérique et des Télécommunications arrêté à 24 milliards 886 millions 606 mille 480 francs CFA en autorisations d’engagement
Dakar, 30 nov (APS) – Les députés ont adopté, ce mardi, le projet de budget 2022 du ministère de l’Economie numérique et des Télécommunications arrêté à 24 milliards 886 millions 606 mille 480 francs CFA en autorisations d’engagement.
Les crédits de paiement sont fixés à 24 milliards 886 millions 606 mille 480 francs CFA.
Selon le rapport de la commission de lois de l’Assemblée nationale dont l’APS a eu connaissance, le projet de budget de ce département ministériel est structuré en trois programmes : Pilotage, Gestion et Coordination administrative, Economie numérique et Secteur postal.
Dans le document, le ministre de l’Economie numérique, Yankhoba Diattara, a rappelé l’importance de l’accompagnement de l’Assemblée nationale pour la réussite la stratégie Sénégal Numérique 2025 et la concrétisation du programme quinquennal +Liggeyal ëllëk 5-3-5+, en édifiant une société numérique inclusive, dans le but de promouvoir une société apprenante et une économie de l’innovation.
Selon lui, cette stratégie permettra à l’horizon 2025, ’’la création de plus de 35 000 emplois directs et une contribution au PIB de 10 %. Au total, le secteur du numérique et des télécommunications est porteur d’environ 140 000 emplois directs et 235 000 emplois indirects’’.
Abordant les réalisations de l’exercice 2021, dans le contexte de la pandémie de la Covid-19 et relativement au sous-secteur postal, il a assuré que ’’le processus de restructuration de la SN-La Poste se poursuit normalement’’.
S’agissant du sous-secteur de l’Économie numérique, Yankhoba Diattara a souligné que par rapport aux infrastructures de qualité, ’’le Sénégal est bien doté, avec 14 000 kms de fibre optique sur l’ensemble du territoire, partagé entre l’État et les opérateurs privés’’, desservis notamment par ’’quatre câbles sous-marins avec une bande passante de 450 gigabits depuis juillet 2021’’.
Concernant le niveau pénétration de l’Internet et de la téléphonie, le ministre a informé de ’’la réalisation d’un taux, respectivement, de 92,29 % et de 117,73 % depuis fin juin 2021’’.
Il a par ailleurs annoncé la création prochaine d’un Bureau d’alerte et de réponse aux attaques cyber (CSIRT) gouvernemental au sein de l’ADIE.
Abordant les perspectives pour 2022, le ministre a décliné plusieurs points concernant notamment ’’la finalisation du processus de transformation institutionnelle de Poste finances en Banque Postale ainsi que la hausse de la rémunération du service public en 2022 pour 3,100 Milliards FCFA’’.
De même, il a annoncé ’’la mise en œuvre inclusive du projet d’adressage numérique qui va entrer dans sa phase active à savoir le recensement, la dénomination des rues et l’exploitation des solutions numériques’’.
M. Diattara a également évoqué entre autres réalisations en perspective, ’’l’actualisation du cadre juridique du secteur du numérique et de la mise en œuvre des projets Entrepreneuriat numérique féminin et Handicap et TIC’’, de même que ’’la construction du Parc des Technologies numériques (PTN)’’.’’
Le renforcement de capacités des établissements scolaires ainsi que la mise en œuvre du projet d’Appui à la Gouvernance numérique (PAGNUM) afin d’accélérer la dématérialisation des procédures administratives et l’accompagnement des autres ministères seront aussi inscrits au cœur des priorités de son département, a assuré Yankhoba Diattara.
LE FONSIS ET L’AFREXIMBANK EN ACCORD POUR ACCOMPAGNER LES PORTEURS DE PROJETS
La Banque africaine d’Import-Export (Afreximbank) et le Fonds Souverain d’Investissements Stratégiques (FONSIS) ont signé un protocole d’accord pour accompagner les investisseurs des secteurs public et privé dans le développement de projets au Sénégal.
Dakar, 30 nov (APS) – La Banque africaine d’Import-Export (Afreximbank) et le Fonds Souverain d’Investissements Stratégiques (FONSIS) ont signé un protocole d’accord pour accompagner les investisseurs des secteurs public et privé dans le développement de projets au Sénégal.
Dans un communiqué parvenu à l’APS, le FONSIS indique que cet accord a été signé récemment à Durban, en Afrique du Sud, en marge de la deuxième Foire commerciale intra-africaine (IATF 2021).
Afreximbank et le FONSIS ’’ont mis en place un instrument conjoint de financement de la préparation de projets’’, explique la même source.
Ce mécanisme, précise-t-elle, vise à ’’mobiliser jusqu’à 50 millions de dollars US’’, soit 25 milliards de francs CFA, pour ’’accélérer la mise en œuvre de projets prioritaires inscrits dans le plan de développement national du gouvernement du Sénégal, dénommé Plan Sénégal émergent (PSE)".
Ainsi, ‘’les deux institutions aideront conjointement les investisseurs des secteurs public et privé à réduire les risques liés aux marchés et aux secteurs en proposant des services de financement et d’assistance technique qui déboucheront sur une offre régulière de projets bien structurés et prêts à l’emploi’’.
Elles comptent travailler ’’ensemble pour aider les investisseurs à préparer des projets dans différents secteurs liés au commerce et aux investissements, dont le secteur de l’énergie, des transports et de la logistique, des plates-formes logistiques, de l’industrie manufacturière, de l’agroalimentaire, de l’hôtellerie et du tourisme, de l’exploitation minière, et des services, notamment de la santé, des TIC et de l’économie créative’’.
Le communiqué indique par ailleurs qu’Afreximbank ’’renforcera également les capacités du FONSIS afin que cette institution puisse, de manière indépendante, réaliser des activités de préparation de projets, de mobilisation des ressources tout en faisant du Sénégal une destination d’investissement attrayante’’.