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23 juin 2025
Par Alassane THIAM
MALI, LA FRANCE ARROSE LE SABLE DU SAHEL… POUR RIEN
Les hauts gradés maliens se sont engagés dans la lutte pour accéder au pouvoir et non contre les groupes qui terrorisent ce pays mythique dans l’histoire africaine
En 2013, La France décide d’intervenir en accord avec le gouvernement malien pour contrer la progression des Djihadistes dans cette partie de ce vaste territoire. Rappelons que le Mali est deux fois plus grand que la France et qu’une partie du pays est délaissée par les différents gouvernements maliens.
Cette entrée en guerre de la France avec l’opération SERVAL, qui deviendra BARKHANE, fait suite à l’offensive des terroristes sur Ségou et Mopti, dans le centre du Mali. Plusieurs pays de la CEDEAO (Comité Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest), dans le cadre de l’opération SISMA, (Mission Internationale de soutien au Mali), ont engagé leurs armées pour soutenir l’état malien qui était dans l’incapacité de faire face à ces mouvements extrémistes et disparates affiliés à des groupes terroristes et /ou islamistes.
La France s’est embourbée dans cette partie du monde et n’est pas arrivée à bout des terroristes qui ont tué beaucoup de ses militaires et de civils maliens. L’opinion publique française s’interroge sur cette guerre qui ne semble pas être la leur. Le coût de l’intervention estimé à des centaines de milliards de francs CFA, et les morts qui s’accumulent, s’invitent dans le débat présidentiel en France.
La France, à l’instar d’autres pays occidentaux, souhaite réduire, voire quitter les territoires en guerre, d’autant plus qu’une partie de la population malienne est opposée à la présence de son armée. Le sentiment anti français a vu le jour, notamment dans la capitale malienne. La difficulté du malien réside dans son incapacité à vaincre seul les mouvements terroristes, à tel point qu’en février 2013, l’ancien Président de la République Française a été accueilli en libérateur. Ces scènes de liesse étaient plus qu’exaspérantes car il était inacceptable de voir un dirigeant de l’ancien pays colonisateur devenir le libérateur du pays, cinquante ans après l’indépendance.
Cette revanche du l’ex colonisateur peut s’expliquer en partie par une incapacité de ce pays à trouver un équilibre démocratique et à réduire une pauvreté galopante. Depuis vingt ans, le Mali a connu 10 Présidents de la République dont 5 militaires, en moyenne, 1 Président tous les 2 ans.
Le Mali, peuplé de plus de 20 millions d’habitants, frontalier avec 7 pays, n’a pas un potentiel militaire pour asseoir la sécurité de son territoire. Les hauts gradés maliens se sont engagés dans la lutte pour accéder au pouvoir et non contre les groupes qui terrorisent ce pays mythique dans l’histoire africaine.
Au lieu de diriger et de galvaniser leurs troupes, c’est à Bamako que se trouve leur centre de commandement afin d’accéder au pouvoir très localisé dans la capitale, en attendant des fonds européens pour s’enrichir et malheureusement ils finissent très mal, souvent arrêtés par un colonel, commandant…plus fort qu’eux.
DAKAR CONDAMNE LE COUP D’ETAT MILITAIRE SURVENU EN GUINÉE
Dakar, 8 sept (APS) – Le Sénégal a condamné le coup d’Etat militaire survenu dimanche en Guinée et exprimé son soutien aux décisions émanant du sommet extraordinaire de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest, a indiqué Macky Sall, mercredi.
‘’Le Sénégal condamne le coup d’État et soutient les décisions du Sommet en vue de la préservation de la stabilité du pays et du rétablissement de l’ordre constitutionnel’’, a notamment tweeté Macky Sall après avoir pris part à cette réunion virtuelle.
A l’issue de ce sommet extraordinaire, décision a été prise par les chefs d’Etat du bloc communautaire de suspendre la République de Guinée des instances de l’organisation, ont rapporté plusieurs médias.
La CEDEAO a, dans le même temps, exigé la libération du président Alpha Condé détenu par les auteurs du coup d’Etat militaire et le rétablissement de l’ordre constitutionnel, alors qu’une délégation de haut niveau est attendu jeudi dans la capitale guinéenne.
Dimanche dernier, des militaires guinéens dirigés par le commandant des troupes d’élite, Mamady Doumbouya, ont procédé à l’arrestation du président Alpha Condé et à la dissolution du gouvernement et de toutes les institutions.
Le Sénégal, à l’image des pays frontaliers de la Guinée n’avait pas encore réagi. Les deux pays étaient en froid après la décision prise en septembre 2020 par le président Alpha Condé de fermer unilatéralement la frontière terrestre avec le Sénégal, en invoquant des raisons sécuritaires.
APPLICATION INTÉGRALE DES MESURES DE STABILISATION DES PRIX
Le président de la République a appelé mercredi à veiller à la vulgarisation et à l’application intégrale des mesures gouvernementales de stabilisation durable des prix des denrées de consommation courante sur l’ensemble du pays.
Dakar, 8 sept (APS) – Le président de la République a appelé mercredi à veiller à la vulgarisation et à l’application intégrale des mesures gouvernementales de stabilisation durable des prix des denrées de consommation courante sur l’ensemble du pays.
S’adressant aux ministères concernés lors du Conseil des ministres, Macky Sall a insisté sur la nécessaire vulgarisation et l’application intégrale des mesures gouvernementales de stabilisation durable des prix, indique le communiqué ayant sanctionné la réunion organisée au Palais de la République.
‘’Il est ainsi demandé au Ministre du Commerce et des Petites et Moyennes Entreprises et au Ministre des Finances et du Budget, de veiller à l’application stricte des mesures prises par le Gouvernement, pour assurer la stabilité des prix des produits de consommation courante, sur l’ensemble du territoire national’’, peut-on y lire.
Le gouvernement sénégalais a dernièrement pris, entre autres, des mesures de baisse de la fiscalité sur les importations de produits de grande consommation afin de contenir les hausses sur certains de ces produits.
A ce sujet, le président Sall a engagé le gouvernement de poursuivre la dynamique de préservation du pouvoir d’achat des ménages, en luttant contre toute spéculation, rétention de stock ou augmentation indue des prix des produits et services essentiels, notamment le loyer, dont le système de régulation doit être évalué et amélioré de façon concertée, rapporte le communiqué.
AFROBASKET FÉMININ, ENTRE RAJEUNISSEMENT ET MAINTIEN DE CADRES
Moustapha Gaye a dévoilé hier, mercredi 8 septembre, la liste des 12 Lionnes qui vont représenter le Sénégal à la 26e édition de l’Afrobasket feminin prévue du 17 au 26 septembre septembre au Cameroun.
Moustapha Gaye a publié hier, mercredi 8 septembre la liste des 12 joueuses qui vont défendre les couleurs du Sénégal à l’Afrobasket féminin prévue du 17 au 26 septembre au Cameroun. Le sélectionneur national, qui faisait face à la presse, a insufflé du sang neuf dans son effectif rajeuni. En l’absence de son pilier, Astou Traoré, le sélectionneur national s’est adossé sur quelques unes de ses cadres avec comme objectif de monter sur le podium. Il s’agit notamment du capitaine Mame Marie Sy mais aussi sur l’expérience de Oumou Khayri Sarr alias Toch ou encore de Yacine Diop.
Moustapha Gaye a dévoilé hier, mercredi 8 septembre, la liste des 12 Lionnes qui vont représenter le Sénégal à la 26e édition de l’Afrobasket feminin prévue du 17 au 26 septembre septembre au Cameroun. Le sélectionneur des Lionnes qui faisait face à la presse, a joué la carte du rajeunissement en intégrant plusieurs nouvelles.
SANS ASTOU TRAORE, AVEC BINTOU DIEME ET OUMOU KHAIRY SARR ET MAME MARIE SY
Sur les 17 joueuses qui avaient engagé la dernière phase de sa préparation entamée avec 17 joueuses, le coach national s’est séparé de cinq joueuses notamment Victorine Thiaw, Leina Timera, Fatou Pouye, Oumou Kalsoum Touré et Maimouna Diarra. Avec l’absence notoire d’un des piliers de la sélection, notamment Astou Traoré, il s’appuyera sur ses autres cadres comme la meneuse Bintou Dième mais aussi sur Mame Marie Sy et Oumou Khaïry Sarr qui totalisent toutes les deux six participations à une édition de l’Afrobasket avec en primes deux trophées à leur actif. Un capital d’expérience qu’elles mettront au profit de cette nouvelle vague formée autour de Madjiguéne Séne, Yaye Irma Diémé, Léna Niang Ndeye Fatou Ndiaye, Sokhna Fatou Sylla, Anne Françoise Diouf ou encore de Yacine Diop, un des meilleurs espoirs du basket ball sénégalais.
«DONNER LA CHANCE AUX PLUS JEUNES»
Revenant sur ses choix qu’il a jugés difficiles, le sélectionneur des Lionnes a estimé avoir retenu comme critères de sélection l’état d’esprit, le savoir-faire, la compétence, la complémentarité. «Je pense qu’il fallait penser à amener du sang neuf dans cette équipe nationale. A l’image de ce qu’on a fait chez les garçons, je pense qu’il est important au Sénégal, qu’on pense au rajeunissement progressif de nos effectifs. Ceux et celles qui ont été là ont vraiment les honneurs de la République. Mais, nous sommes arrivés à un moment où il est fondamental de renouveler les effectifs et de donner la chance aux plus jeunes pour qu’elles puissent écrire leur propre histoire», a déclaré Moustapha Gaye.
Finaliste malheureux de l’AfroBasket 2019, l’équipe du Sénégal aura, dans cette logique de construction, l’objectif de monter sur le podium à Yaoundé. Et dans cette direction, le coach des Lionnes, par ailleurs, directeur technique national, rappelle sa feuille de route et le chantier qu’il a inscrit dans la durée. «Nous avons jugé utile d’avoir un objectif podium parce qu’une génération est en train de partir progressivement, une autre arrive. C’est la croisée des chemins. Nous allons prendre le temps de construire et dans la durée. Je le disais dans un panel de l’ANPS (association nationale de la presse sportive) qu’au Sénégal, nous sommes trop dans l’instabilité. Il faut travailler sur cela et essayer de promouvoir la durée, c’est-à-dire donner de la place aux jeunes», indique-t-il. Pour cette 25ème édition de l’Afrobasket, les «Lionnes» figurent dans le groupe C en compagnie de la Guinée et de l’Egypte.
LISTE DES LIONNES
Meneuses
Maty Fall (ASC Ville de Dakar/ Sénégal), Bintou Dieme (Nantes Rezé/ France)
Arrières
Couna Ndao (SC Ville de Dakar/Sénégal), Yacine Diop (Charnay Basket/France)
Ailières
Yaye Irma Dieme (ASC Ville de Dakar/Sénégal), Lena Niang (Temple University /USA), Ndeye Fatou Ndiaye (Sainte Savine /France)
Ailières fortes
Sokhna Fatou Sylla (Toyota Antelope/Japon), Anne Françoise Diouf (James Madison University/USA), Mame Marie Sy (Charleville-Mézières/ France)
Pivots
Oumou Khairy Sarr (IDK Gipuzcoa/Espagne), Madjiguene Sene (ISEG Sport/Sénégal)
KEEMTAAN GI – MIRAGE
Ce pays !!! Il est unique. Vous en doutez ? A longueur d’année, le spectacle y est garanti. Sur scène, des gens qui n’ont point la générosité des vrais comédiens mais qui excellent dans la bouffonnerie. Et de plus en plus, ils viennent jouer leurs mélodrames de mauvais goût dans l’espace politique où, du coup, on trouve plus de guignols que de vrais politiciens. Surtout dans un pays où n’importe quel farfelu peut accéder au statut de célébrité par la magie des médias, plus particulièrement des réseaux sociaux. Depuis que la politique est devenue le terrain par excellence d’acquisition de richesses, ils sont nombreux à s’y bousculer pour nous vendre des mirages. Car voyez-vous, des messieurs et dames qui n’ont pas pu franchir l’obstacle des parrainages lors de la dernière présidentielle prétendent à présent jouer les premiers rôles lors des Locales. Des farfelus dont certains seront freinés par la caution exigée pour ce scrutin et qui viendront jouer les gros bras derrière d’autres candidats plus nantis. Ces Locales étant justement une affaire de gros moyens financiers, les pauvres, eux, peuvent toujours faire leur deuil d’accéder aux affaires, même locales. La politique, c’est désormais une affaire d’argent même dans nos pays pauvres. Un paradoxe ? Pas du tout car il faut bien pouvoir acheter les suffrages de tous ces électeurs alimentaires ! Quant à tous ces messieurs et dames qui se croient si puissants et importants, refusant de se mettre derrière d’autres, croyez- nous, leur réveil sera brutal. En tout cas, après janvier prochain, il y en aura qui ne fanfaronneront plus. Ils découvriront la dure réalité en se rendant compte que la popularité qu’ils croient avoir se limite à l’angle de leur quartier. Voire entre les quatre murs de leur maison… KACCOOR BI
DAKAR CONDAMNE LE COUP D’ETAT SURVENU EN GUINEE
Le Sénégal a condamné le coup d’Etat militaire survenu dimanche en Guinée et exprimé son soutien aux décisions émanant du sommet extraordinaire de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest, a indiqué Macky Sall, mercredi. ‘’Le Sénégal condamne le coup d’État et soutient les décisions du Sommet en vue de la préservation de la stabilité du pays et du rétablissement de l’ordre constitutionnel’’, a notamment tweeté Macky Sall après avoir pris part à cette réunion virtuelle. A l’issue de ce sommet extraordinaire, décision a été prise par les chefs d’Etat du bloc communautaire de suspendre la République de Guinée des instances de l’organisation, ont rapporté plusieurs médias. La CEDEAO a, dans le même temps, exigé la libération du président Alpha Condé détenu par les auteurs du coup d’Etat militaire et le rétablissement de l’ordre constitutionnel, alors qu’une délégation de haut niveau est attendue jeudi dans la capitale guinéenne. Dimanche dernier, des militaires guinéens dirigés par le commandant des forces spéciales, le colonel Mamady Doumbouya, ont procédé à l’arrestation du président Alpha Condé et à la dissolution du gouvernement et de toutes les institutions. Le Sénégal, à l’image des pays frontaliers de la Guinée, n’avait pas encore réagi immédiatement à ce coup de force. Les deux pays étaient en froid depuis la décision prise en septembre 2020 par le président Alpha Condé de fermer unilatéralement la frontière terrestre avec le Sénégal, en invoquant des raisons sécuritaires.
ECOLE MACKY SALL VEUT UNE RENTREE SCOLAIRE REUSSIE
Le chef de l’Etat, Macky Sall, a invité les ministres en charge de l’Education nationale et de la Formation professionnelle à prendre toutes les dispositions permettant de garantir une rentrée scolaire dans les meilleures conditions possibles sur toute l’étendue du pays. Il a donné ces directives lors de la réunion hebdomadaire du Conseil des ministres tenue hier mercredi au Palais de la République. Rappelant l’importance qu’il accorde à la bonne préparation de la rentrée scolaire 2021-2022, qui aura lieu dans un mois, Macky Sall a notamment demandé au ministre de l’Education nationale et au ministre en charge de la Formation professionnelle, de prendre toutes les dispositions nécessaires en vue d’assurer une rentrée scolaire dans les meilleures conditions, sur l’étendue du territoire national, rapporte le communiqué ayant sanctionné la rencontre. Le chef de l’Etat a indiqué qu’il attachait particulièrement du prix au renforcement de l’instruction civique et au déploiement des outils numériques afin de promouvoir davantage une école de la réussite et de l’excellence, avec l’implication de l’ensemble des acteurs de la communauté éducative. A ce sujet, il a demandé aux ministres en charge de l’Education et de la Formation professionnelle d’intensifier les constructions scolaires, en améliorant l’architecture, l’équipement (en tables bancs) et le cadre de vie des enseignants, des apprenants et du personnel d’encadrement dans les établissements scolaires. Le chef de l’Etat a également invité les ministres concernés à accélérer le rythme de prise de service et d’affectation des cinq mille (5000) nouveaux personnels enseignants recrutés en 2021 dans le cadre du programme d’urgence pour l’insertion socio-économique et l’emploi des jeunes «XËYU NDAW ÑI». Macky Sall a, en outre, insisté sur l’impératif de veiller à un monitoring systématique des accords et de consolider avec les syndicats d’enseignants un dialogue social permanent et responsable, garant de la stabilité et de l’excellence du système éducatif national.
STABILISATION DES PRIX LE CHEF DE L’ETAT VEUT UNE APPLICATION INTEGRALE
L’Etat a commencé à sévir contre les commerçants véreux et spéculateurs de prix. Si les services du ministre du Commerce Assome Diatta ont assailli les marchés, boutiques et magasins pour contrôler les prix, ils peuvent compter sur le soutien du président de la République. Macky Sall a appelé hier mercredi à veiller à la vulgarisation et à l’application intégrale des mesures gouvernementales de stabilisation durable des prix des denrées de consommation courante sur l’ensemble du pays. S’adressant aux ministères concernés lors du Conseil des ministres, il a insisté sur la nécessaire vulgarisation et l’application intégrale des mesures gouvernementales de stabilisation durable des prix, indique le communiqué ayant sanctionné la réunion organisée au Palais de la République. ‘’Il est ainsi demandé au Ministre du Commerce et des Petites et Moyennes Entreprises et au Ministre des Finances et du Budget, de veiller à l’application stricte des mesures prises par le Gouvernement, pour assurer la stabilité des prix des produits de consommation courante, sur l’ensemble du territoire national’’, peut-on y lire. Le gouvernement a pris dernièrement, entre autres, des mesures de baisse de la fiscalité sur les importations de produits de grande consommation afin de contenir les hausses sur certains de ces produits. A ce sujet, le président Sall a engagé le gouvernement à poursuivre la dynamique de préservation du pouvoir d’achat des ménages, en luttant contre toute spéculation, rétention de stock ou augmentation indue des prix des produits et services essentiels, notamment le loyer, dont le système de régulation doit être évalué et amélioré de façon concertée, rapporte le communiqué.
POLICE LE COMMISSAIRE NDIARRA SENE, NOUVEAU DIRECTEUR DE L’OCRTIS
Le commissaire de police divisionnaire Ndiarra Sène a été nommé mercredi à la tête de l’Office central de répression du trafic illicite des stupéfiants (OCRTIS) selon le communiqué du Conseil des ministres. Il remplace à ce poste le commissaire divisionnaire Ibrahima Diop. Dans le même temps, le commissaire divisionnaire Alassane Niane a été nommé directeur de la formation de la Police nationale, en remplacement du commissaire de police divisionnaire Ousmane Guèye, admis à faire valoir ses droits à une pension de retraite.
DGID LES GERMES D’UNE CONFRONTATION REUNIS
Au rythme où vont les choses à la Direction générale des impôts et domaines, on court tout droit vers une confrontation généralisée entre le Staf et la direction générale qui semble prendre position pour le corps des Aryens (Inspecteurs et contrôleurs des impôts et domaines). Bassirou Samba Niasse ne pouvait pas faire autre chose parce qu’il est issu de la même famille « des surhommes ». Bref on pensait après la tempête de ces jours suite au préavis de grève du Syndicat des travailleurs de l’administration fiscale (STAF) du Dr Alassane Ba que le DG de la DGID, Bassirou Samba Niasse, aurait une fine intelligence de la situation pour appeler à dégeler la situation. Mais c’est tout le contraire qu’il a fait ! En effet, ne voulant certainement pas se mettre à dos ses amis issus de la race Aryenne, il a menacé de ses foudres les partisans du Staf au cours d’une rencontre qu’il a eue avec le SG dudit syndicat hier dans son bureau vers 11h. Bassirou Samba Niass ne s’est pas soucié des revendications du Staf, mais de dire que chacun (Staf et Aryens) doit se soucier de ses revenus et non de ceux des autres. Selon lui, tous les agents du panier B (les 1400 plébéiens) sont venus à la DGID à leur demande. L’honorable Dg a sans doute dû oublier que beaucoup de fonctionnaires notamment des géomètres, des informaticiens, des topographes… ont été recrutés et affectés à la DGID bien avant la fameuse instruction (Amadou Ba et Birima Mangara) et l’arrêté de nouvel organigramme de la DGID. Ensuite, il serait étonnant que les 30O0 Aryens à eux tout seuls puissent faire fonctionner la DGID c’est-à-dire faire les tâches de secrétariat, d’informatique, de relevés topographiques (pour les très juteux terrains), de conduite des véhicules (chauffeurs professionnels), de nettoiement voire d’acheminement du courrier. Bref, tous les travaux qu’eux les Aryens sont incapables de faire.
DGID LES GERMES D’UNE CONFRONTATION REUNIS (BIS)
Bassirou Samba Niass est allé jusqu’à prétendre que les ingénieurs informaticiens ne jouent pas de rôle important dans le système. Il pense que le service du traitement informatique des recettes peut être tout simplement délocalisé. En somme que tous les ingénieurs informaticiens de la DGID peuvent être jetés à la rue de Thiong tout simplement. Des arguments qui n’ont pas tenu bien sûr devant un brillant docteur des systèmes informatiques qui a rappelé à son interlocuteur que l’administration est régie par des textes. Elle ne fonctionne comme le privé. Mais ça, Bassirou Samba Niasse et les Aryens semblaient l’avoir oublié… Réplique cinglante du Dr Alassane Ba : « le Sénégal aussi pourrait fonctionner avec moins de 10 inspecteurs des impôts puisque le recouvrement pourrait y être confié à des sociétés privées comme au Canada et dans beaucoup de pays du système anglophone ». Une réplique qui a mis fin à l’entretien entre les deux hommes. Au niveau du STAF, les consignes sont claires. Se tenir prêts pour les futures étapes qui seront difficiles. Bon à moins que le ministre de tutelle, Abdoulaye Daouda Diallo, monte au créneau ou le président de la République qui a les moyens de désamorcer la bombe de la DGID.
RECONSTRUCTION DE L’HOPITAL LE DANTEC ATTENTION, DES VAUTOURS FONCIERS RODENT AUTOUR DU SITE !
Il y a une semaine, « Le Témoin » avait relayé le cri de détresse des professeurs, médecins et infirmiers de la Commission médicale d’établissement de l’hôpital Le Dantec qui dénonçaient la dégradation des conditions de prise en charge des patients. Elle se désolait aussi des bâtiments hospitaliers en ruine. Le personnel médical avait profité de l’occasion pour déplorer la rupture récurrente des produits pharmaceutiques, le sous-équipement des blocs opératoires et la gestion financière de l’hôpital. Pour les membres de la commission médicale, la démolition totale des bâtiments de l’hôpital crée en 1912 suivie d’une reconstruction reste et demeure la seule solution. Démolition et reconstruction ? Cette expression sonne comme un coup de feu qui a déclenché la danse des vautours fonciers. Car, dès après la conférence de presse de la CME, des hommes d’affaires et spéculateurs fonciers ont approché des conseillers techniques du ministère de la Santé pour leur « conseiller » de délocaliser l’hôpital Le Dantec. Raison invoquée ? Privatiser ou de vendre le site estimé à des centaines de milliards CFA. Hélas ! Même les souffrants et les mourants ne sont pas épargnés par la boulimie foncière de nos vautours qui rodent jusque dans les hôpitaux. En tout cas, les syndicalistes de l’hôpital Le Dantec doivent être très vigilants puisque leur revendication « Démolition/Reconstruction » risque d’être un couteau à double tranchant ! Pour la petite histoire, l’ancien président de la République, Me Abdoulaye Wade, et ses vautours fonciers avaient voulu délocaliser l’hôpital Le Dantec et le Camp
Listes électorales : Mbour enregistre une légère hausse
La révision des listes électorales a pris fin hier, dans le département de Mbour. Pour ce qui est de la commune de Mbour, une collectivité territoriale test du département parce qu’ayant plus d’électeurs, on a constaté une légère hausse des inscriptions la dernière semaine. En effet, le fichier électoral de Mbour est passé de 1443 à la date du 21 août à 2254 inscrits à la clôture hier, soit une hausse de 811 inscrits. Durant cette période de révision, la commission a enregistré 995 modifications. Concernant les changements de statut, seuls trois sont recensés. Au total, la commission a fait 3552 opérations. Toutefois, il faut souligner que 1634 cartes d’électeurs dorment dans les commissions, car leurs propriétaires ne se sont pas présentés pour les récupérer.
Macky Sall condamne le coup d’Etat en Guinée
Le putsch en Guinée a poussé les chefs d’Etat de la Cedeao à tenir un sommet extraordinaire en ligne. Le Président Macky Sall informe sur Twitter avoir pris part audit sommet sur la situation en Guinée. Selon le chef de l’Etat, le Sénégal condamne le coup d’Etat et soutient les décisions du Sommet en vue de la préservation de la stabilité du pays et du rétablissement de l’ordre constitutionnel.
La Cedeao suspend la Guinée de ses instances
Restons au sommet de la Cedeao pour dire que l’organisation communautaire a pris ses mesures habituelles à chaque fois qu’un coup d’Etat est noté dans la sous-région. Le Président en exercice de la Cedeao, le Ghanéen Nana Akufo-Addo, a déclaré, lors de l’ouverture de la rencontre virtuelle, que la charte de bonne gouvernance de la Cedeao a été violée en Guinée, par les putschistes. Selon le ministre burkinabé des Affaires étrangères, Alpha Barry cité par Rfi, la Guinée est suspendue des instances de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao). Les chefs d’Etat souhaitent que cette décision soit endossée par l’Union africaine et les Nations unies. L’organisation régionale exige également la libération immédiate du Président Alpha Condé. En plus, elle a décidé d’envoyer, dès aujourd’hui, une délégation de haut rang en Guinée pour échanger avec les militaires. «A l’issue de cette mission, la Cedeao devra pouvoir réexaminer ses positions», a soutenu Alpha Barry. Les chefs d’État de la région ont aussi évoqué la transition en cours au Mali après y avoir envoyé une mission qui s’est terminée mardi et qui s’est dit préoccupée quant à la possibilité de tenir les élections dans les délais. La présidentielle et les législatives sont censées se tenir en février prochain, soit 18 mois après le coup d’État d’août 2020.
L´Allemagne attribue 91,8 milliards FCFA au Sénégal
La coopération sénégalo-germanique reste dynamique. Les nég o c i a t i o n s intergouvernementales relatives au «partenariat pour encourager les réformes», qui se sont tenues les 31 août et 1er septembre, confirment les excellents rapports entre la République fédérale d’Allemagne et le Sénégal. A cet effet, l’Allemagne a attribué 140 millions d’euros au titre des nouveaux engagements de 2021, soit 91,8 milliards FCFA. Ce, après l’enveloppe de 211,21 milliards de FCFA (322 millions d’euros) entre 2019 et 2020. Selon le ministère de l’Economie, du Plan et de la Coopération, cet engagement sous forme de don symbolise la confiance que l’Allemagne accorde au gouvernement. Ce financement est destiné à différents projets parmi lesquels figurent le soutien au renforcement des investissements privés, la création d’emplois et le projet de production de vaccins contre la Covid-19 avec l’Institut Pasteur de Dakar.
Abdoul Mbaye sur le trafic de passeports diplomatiques
L’ancien Premier ministre est scandalisé par l’affaire du trafic de passeports diplomatiques impliquant deux députés et un maire de la mouvance présidentielle. Mais les Sénégalais commencent à s’habituer à ce genre de trafic, selon Abdoul Mbaye. A l’en croire, tout commence par le faux décret Petro-tim, puis les faux médicaments, les fausses statistiques de productions nationales, les faux billets et maintenant les faux passeports… avec pour point commun l’impunité ou la grâce présidentielle. Ainsi, va le Sénégal des ruptures promis par Macky Sall, raille le président de l’ACT.
Les vacataires de l’Ucad réclament 08 mois de salaire
On va vers des perturbations dès la reprise des cours à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar en octobre. Pour cause, ces enseignants associés (vacataires) de l’Ucad courent derrière leurs émoluments depuis janvier. Le collectif des vacataires renseigne, dans un communiqué, que depuis le mois de janvier, ses membres se sont acquittés de leurs tâches d’enseignement et d’encadrement sans avoir perçu jusque-là un centime. Pourtant, ajoute le collectif, plusieurs événements se sont passés pendant lesquels la plupart d’entre eux, faute d’autres revenus, ont dû recourir à des prêts pour faire face aux charges y afférentes. Sans compter les autres frais pédagogiques qu’ils ont pris en charge, seuls, jusqu’ici, rapporte la même source. Las de la situation, les vacataires réclament le paiement sans délai de leur dû. Ils n’ont pas manqué de souligner que cette situation est récurrente et persistante. Pourtant, les vacataires représentent 80% des personnels d’enseignement et de recherche des universités publiques du Sénégal. Le collectif interpelle le ministère des Finances pour alléger leurs souffrances.
Mor Woré Guèye, nouveau maire de Ndiarème Limamoulaye
Le nouveau maire de la commune de Ndiarème Limamoulaye a été élu hier, suite au rappel à Dieu de Mamadou Baidy Sèye. Il s’agit de Mor Woré Guèye, par ailleurs, coordonnateur local du parti Rewmi. Il assurait l’intérim depuis le décès de Mamadou Baidy Sèye. Il est sorti vainqueur à l’issue des scrutins. Mor Woré Guèye a obtenu 29 voix contre 26 pour Ablaye Ba de l’Alliance pour la République (Apr) et 01 voix pour Maria Ndiaye de l’Ucs. La tension était vive lors du scrutin. D’où la forte présence policière.
Les priorités du nouveau maire de Ndiarème Limamoulaye
Restons à l’élection du maire de la commune de Ndiarème Limamoulaye, pour dire que Mor Woré Guèye a aussitôt décliné ses ambitions pour la collectivité. Le rewmiste a appelé d’abord le Conseil municipal à l’unité et au dépassement afin d’achever les chantiers de son prédécesseur Mamadou Baidy Sèye. Il priorise la lutte contre les inondations, les préparatifs de la rentrée scolaire et les actions sociales.
Vol avec violence
Apprenti-chauffeur de son état, Ib. B. se livre à ses heures perdues au métier d’agresseur à bord des véhicules de transport en commun. Il a eu le toupet de suivre une dame à sa descente d’un «car rapide», vers la Cité Soprim, pour arracher sa perruque. Mais, les passagers du «car rapide» qui observaient la scène ont alerté des passants qui ont entendu les cris de détresse de la dame. Ils ont volé à son secours et interpellé rapide Ib.B. qui a été livré à la Police des Parcelles Assainies. Il a obtenu un ticket gratuit pour la prison.
Implosion de la Cojer de Golf Sud
La Cojer de Golf Sud est au bord de l’implosion suite à la déclaration de certains jeunes républicains pour soutenir la candidature de Lat Diop. D’autres jeunes dénoncent leur prise de position sans se concerter avec la base. Ils ont d’ailleurs destitué leur coordonnateur Oumar Coundoul avant d’inviter le coordonnateur départemental de l’Apr, Aliou Sall maire de Guédiawaye et le Président Macky Sall à prendre des mesures contre ces semeurs de division au sein de leur parti dont Lat Diop. A leur tour, ils ont investi la ministre de la Jeunesse, Néné Fatoumata Tall.
Mouvement au ministère des Mines et de la Géologie
Le Président Macky Sall a secoué hier le ministère des mines et de la Géologie dirigé par l’édile de Dagana, Oumar Sarr. Le directeur des Mines et de la Géologie, Roseline Anna Coumba Mbaye est nommée directeur général des Mines. L’ingénieur Géologue Mouhamadou Ndour, jusque-là chef de Service régional des Mines et de la Géologie de Tambacounda, est nommé directeur des Mines. Abou Sow est promu directeur de l’Exploitation minière artisanale et à Petite Échelle. Le chef de Service régional des Mines et de la Géologie de Saint-Louis, Ibra Seck est promu également directeur des Carrières. Docteur ingénieur enGéologie appliquée, précédemment directeur de la Prospection et de la Promotion minière, Mme Rokhaya Samba devient directeur de la Géologie.
Le commissaire Ndiarra Sène nouveau chef de l’Ocrtis
Restons avec le chef de l’Etat qui a effectué un petit mouvement au sein de la Police. Le commissaire de Police Divisionnaire, Ndiarra Sène est nommé directeur de l’Office Central de Répression du Trafic illicite des Stupéfiants (Ocrtis), en remplacement du commissaire de Police Divisionnaire Ibrahima Diop. Quant au commissaire de Police Divisionnaire, Alassane Niane, il est promu directeur de la Formation de la Police Nationale, en remplacement du commissaire de Police Divisionnaire Ousmane Guèye, admis à la retraite. Par ailleurs, le Président Sall a nommé l’inspecteur des Impôts et des Domaines, Mamadou Ndao à la tête de la Direction générale du Fonds de Solidarité nationale au ministère du Développement Communautaire, de l’Equité sociale et territoriale.
Un camion percute à mort un conducteur de mototaxi
La cohabitation des mototaxis et des camions à Kaolack accentue les accidents de la circulation. Hier, un jeune conducteur de mototaxi a perdu la vie dans un accident dans la commune de Kaolack, non loin de l’école Dialagne. La moto a été heurtée par un camion de vidange alors que le jeune homme tentait d’éviter une charrette. Il est décédé sur le coup. Les sapeurs-pompiers ont évacué sa dépouille à la morgue de l’hôpital régional ElHadj Ibrahima Niass après constatation de la police.
Décès d’Amobé Mévégué, le «dealer d’ondes positives»
Amobé Mévégué, ancien journaliste de RFI et présentateur sur France 24, est mort à l’âge de 52 ans. «Le dealer d’ondes positives», comme il aimait à se présenter lui-même, est connu pour sa gentillesse. Homme de culture, passionné de musique, il savait transmettre ses coups de cœur et sa passion comme personne. Il l’a fait pendant des années dans l’émission Plein Sud sur RFI, avant de présenter «À l’affiche» sur France 24.
Mali : l’ancien secrétaire général de la présidence arrêté
C’est lui qui avait lu à la télévision, le 24 mai dernier, le décret de nomination de l’éphémère nouveau gouvernement de transition dont la composition avait suscité la colère d’Assimi Goïta. Secrétaire général de la Présidence, avec rang de ministre, Kalilou Doumbia s’était alors réfugié dans une ambassade. Kalilou Doumbia avait, depuis, repris sa vie d’enseignant-chercheur. Juriste de formation, Kalilou Doumbia a quitté son domicile lundi en début d’après-midi pour l’Université de droit de Bamako où il enseigne. Ses collègues ne l’ont jamais vu arriver. Sa famille tente de le joindre sans succès jusqu’au soir et décide finalement de signaler sa disparition le lendemain matin à la police. Mais selon les informations recoupées par «RFI», Kalilou Doumbia aurait été arrêté par la Sécurité d’État, les renseignements maliens, et serait depuis lors interrogé et détenu au camp militaire de Kati. Certaines sources assurent que Kalilou Doumbia avait à plusieurs reprises, etjusqu’à très récemment, été sollicité par le colonel Assimi Goïta en personne, qui souhaitait travailler avec lui. Est-ce son refus qui a motivé cette arrestation ? Sollicitée par «RFI» sur le sujet, la présidence n’a pas donné suite.
LES NOMINATIONS AU CONSEIL DES MINISTRES DU 8 SEPTEMBRE
SenePlus publie ci-desosus, les nominations prononcées au Conseil des ministres du 8 septembre 2021.
"AU TITRE DES MESURES INDIVIDUELLES
Le Président de la République a pris les décisions suivantes :
Monsieur Mamadou NDAO, Inspecteur des Impôts et des Domaines, est nommé Directeur général du Fonds de Solidarité nationale au Ministère du Développement Communautaire, de l'Equité sociale et territoriale ;
Madame Roseline Anna Coumba MBAYE, Ingénieur Géologue, précédemment Directeur des Mines et de la Géologie, est nommée Directeur général des Mines au Ministère des Mines et de la Géologie ;
Monsieur Mouhamadou NDOUR, Ingénieur Géologue, précédemment Chef de Service régional des Mines et de la Géologie de Tambacounda, est nommé Directeur des Mines au Ministère des Mines et de la Géologie ;
Monsieur Abou SOW, Ingénieur Géologue, est nommé Directeur de l'Exploitation minière artisanale et à Petite Échelle au Ministère des Mines et de la Géologie ;
Monsieur Ibra SECK, Ingénieur Géologue, précédemment Chef de Service régional des Mines et de la Géologie de Saint Louis, est nommé Directeur des Carrières au Ministère des Mines et de la Géologie ;
Madame Rokhaya SAMBA, Docteur ingénieur en Géologie appliquée, précédemment Directeur de la Prospection et de la Promotion minière, est nommée Directeur de la Géologie au Ministère des Mines et de la Géologie ;
Monsieur Alassane NIANE, Commissaire de Police Divisionnaire, est nommé Directeur de la Formation de la Police Nationale, en remplacement du Commissaire de Police Divisionnaire Ousmane GUEYE, admis à faire valoir ses droits à une pension de retraite ;
Monsieur Ndiarra SENE, Commissaire de Police Divisionnaire, est nommé Directeur de l'Office central de Répression du Trafic illicite des Stupéfiants, en remplacement du Commissaire de Police Divisionnaire Ibrahima DIOP, appelé à d'autres fonctions."