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21 juin 2025
LE CHANTIER EXECUTE A 28%, SELON LE MINISTERE DES COLLECTIVITES TERRITORIALES
Le chantier de construction de la digue de protection de la Langue de Barbarie, dans le cadre du Projet de Protection Côtière (PPCS) de Saint-Louis est exécuté à 28%.
Le chantier de construction de la digue de protection de la Langue de Barbarie, dans le cadre du Projet de Protection Côtière (PPCS) de Saint-Louis est exécuté à 28%. Annonce faite hier, lundi, par le Directeur de Cabinet du ministère des Collectivités territoriales, du Développement et de l'Aménagement des Territoires qui prenait part au lancement des ateliers de capitalisation du dispositif conjoint d'appui à la coopération décentralisée franco-sénégalaise. C'était en présence de la Déléguée française à l'action extérieure des collectivités territoriales et plusieurs élus locaux.
La salle de cinéma de l'Institut Français de Saint-Louis a abrité hier, lundi 5 juillet, le lancement des ateliers de capitalisation du dispositif conjoint d'appui à la coopération franco sénégalaise. Il s'agissait, pour les représentants du ministère des Collectivités territoriales, du Développement et de l'Aménagement des Territoires et leurs partenaires financiers français, d'échanger sur la formalisation de l’emploi des femmes et des jeunes prévue cette année dans diverses localités du pays. Ils en ont profité aussi pour aller constater de visu l'état d'avancement du chantier du Projet de Protection Côtière de Saint-Louis (PPCS).
Accompagné de son hôte, Mme Christine Moro et de la Première adjointe au maire de Saint-Louis, Mme Aïda Mbaye Dieng, Abou Ahmed Seck a visité le chantier du Projet de Protection Côtière de Saint-Louis (PPCS), mis en œuvre au niveau de la Langue de Barbarie, par l’État du Sénégal, en étroite collaboration avec le maire Mansour Faye et les autorités municipales de la vieille ville. "Ce qu'on peut voir, c'est un état d'avancement particulièrement satisfaisant puisqu'il nous a été donné de voir que 28% des travaux ont été réalisés à ce jour et que les équipes s'activent pour tout simplement régler ce problème tant attendu par les populations", a dit Abou Ahmed Seck, Directeur de Cabinet du ministre des Collectivités territoriales, du Développement et de l'Aménagement des Territoires. Il a également saisi l'occasion pour se réjouir de ce dispositif conjoint franco-sénégalais.
Cela permet, selon lui, de renforcer la coopération décentralisée entre ces deux pays. Il a rappelé que ce dispositif conjoint d’appui à la coopération décentralisée franco-sénégalaise, a été créé en septembre 2013 suite à la signature d’un arrangement administratif entre les deux États. Ce dispositif est piloté conjointement pour le MEAE (Le ministère français de l’Europe et des Affaires étrangères), par la Délégation pour l’Action extérieure des Collectivités territoriales (DAECT) et le Service de Coopération et d’Action Culturelle (SCAC) de l’Ambassade de France à Dakar et par le ministère des Collectivités territoriales, du Développement et de l’Aménagement des Territoires (MCTDAT) du Sénégal.
En effet, ce programme vise à protéger les populations et les biens des quartiers situés sur la Langue de Barbarie du risque d’érosion côtière et contribuer à l’amélioration des connaissances scientifiques sur les enjeux côtiers et à leur diffusion. Parlant de la formalisation de l’emploi des femmes et des jeunes, M. Seck a rappelé les nombreux efforts déployés par le président de la République, Macky Sall, pour mettre en place un financement de 450 milliards FCFA, soit 150 milliards FCFA chaque année, et qui sont destinés à la lutte contre le chômage endémique des jeunes.
293 733 CANDIDATS, DANS LE BAIN !
293 733 élèves, dont les 55,36% sont des filles, sont en lice à partir de ce jour mardi 6 juillet pour les épreuves du Cfee et du Concours d’entrée en sixième qui auront lieu jusqu’au mercredi 7 juillet 2021.
293 733 élèves, dont les 55,36% sont des filles, sont en lice à partir de ce jour mardi 6 juillet pour les épreuves du Cfee et du Concours d’entrée en sixième qui auront lieu jusqu’au mercredi 7 juillet 2021. Répartis sur toute l’étendue du territoire national et en Gambie, ces potaches qui sont à la recherche de leur premier diplôme occuperont 1819 centres. Selon le directeur des examens et des concours Moctar Ndiaye qui se prononçait vendredi dernier sur l’organisation des épreuves, toutes les dispositions utiles sont prises pour assurer le déroulement normal de ces évaluations. En sus, d’importantes dispositions ont été prises sur le plan pédagogique et sanitaire pour le respect strict des mesures barrières. Avant d’indiquer que 1819 chefs de centre, 1819 adjoints chefs de centre, 11750 salles de classe en moyenne et 23500 surveillants de salle et de Secrétaires ont été mobilisés.
DIOURBEL-DEMARRAGEDES EXAMENSDUCFEE L’IEF Y. MASSALY RASSURE
Les 5529 candidats dont 3174 filles et 2355 garçons répartis dans 31 centres subissent, ce mardi matin, les épreuves du CFEE et de l’entrée en 6 ème. Pour Yakhoba Massaly, l’inspecteur départemental de l’éducation et de la formation de Diourbel, toutes les mesures ont été prises pour parer à toute éventualité surtout en cette période d’hivernage. Selon lui, plus d’un millier de candidats ne disposent pas de pièces d’état civil.
Ils sont au total 5529 candidats dont 3174 filles et 2355 garçons répartis dans 31 centres d’examens dont un centre franco-arabe et 3 centres mixtes à subir les épreuves du CFEE (Certificat de fin d’études élémentaires) et de l’entrée en 6ème au niveau du département de Diourbel. L’inspecteur départemental de l’éducation et de la formation de Diourbel Yakhobba Massaly qui a fait un tour au niveau des 31 centres d’examen déclare : « toutes les mesures ont été prises pour parer à toute éventualité surtout en cette période de saison de pluies. Nous sommes prêts pour accueillir les enfants dans les centres d’examen. Nous avons fait une série d’activités avec les autorités notamment les comités départementaux de développement. Nous avons rencontré les partenaires, les associations des parents d’élèves autour de la question du déroulement des activités ». Et il poursuit : « nous avons fait un tour après la tenue du Comité départemental de développement qui a été tenu sous la présidence de Monsieur le Préfet qui nous instruit de revisiter les centres pour voir les disfonctionnements éventuels. Et nous avons tenu ce matin une réunion avec les Présidents de jury qui sont des directeurs d’école pourla plupart qui nous ont remonté les dernières informations. Et à ce niveau, toutes les dispositions sont prises pour parer à ‘éventuelles difficultés liées à la pluie .Nous avons demandé à tous les membres de jury d’être sur place la veille et nous avons demandé aux accompagnants de faire passer la nuit les enfants qui quittent des milieux un peu distants du centre d’examen. Les autorités territoriales, les maires et les autorités administratives notamment les sous-préfets nous ont accompagnés à travers la tenue de Comités locaux de développement pour insister sur cet aspect-là ». L’inspecteur départemental de l’éducation et de la formation de Diourbel Yakhobba Massaly regrette cependant le fait qu’il y ait des milliers de candidats sans pièces d’état civil. « Cette question a été prise en charge depuis quelques années à travers les instructions que les autorités judiciaires, académiques et administratives ont donné pour faire en sorte que les enfants soient davantage dotés de pièces d’état civil, cela devient un facteur bloquant pour la poursuite. Nous avons dénombré aujourd’hui un milliers d’enfants. Ces derniers n’ont pas le même niveau de problème. Il y a certains qui sont dans un processus d’audience foraine et des enfants n’ayant pas commencé le processus ».
LOUGA : 13.864 CANDIDATS ATTENDUS AUX EPREUVES DU CFEE (IA)
Au total, 13864 élèves, dans la région de Louga, vont se présenter à l’examen du Certificat de fin d’études élémentaires (CFEE) et de l’entrée en sixième. Le département de Louga va présenter 6476 candidats et les départements de Linguère et Kébémer respectivement 3485 et 3903. Ils seront répartis dans 81 centres d’examen dont 22 à Kébémer, 23 à Linguère et 36 à Louga. Parmi les élèves inscrits au niveau de la région pour passer les épreuves du CFEE, on note 7982 candidatures féminines, soit 57,57% de l’effectif total. Les candidatures ont connu une hausse de 161 candidats par rapport à l’année dernière. La région de Louga a obtenu l’année dernière un taux de réussite de 72,15%
KOLDA : PLUS DE 7000 CANDIDATS EN LICE
Quelque 7490 candidats dont 3914 filles vont démarrer ce mardi les épreuves de l’examen de l’entrée en sixième et du du certificat de fin d’études élémentaires (CFEE) dans la circonscription de l’inspection départementale et de l’éducation (IEF) de Kolda (Sud). « Cette année nous avons enregistré 7490 candidats dont 3914 filles, soit un taux pour les filles de 52 pour cent, et nous avons pris toutes les dispositions pour un bon déroulement de l’examen », a rassuré Birame Tine, inspecteur de l’éducation et de la formation (IEF) de Kolda. Rappelant le contexte de la saison des pluies qui coïncide avec la tenue des examens, l’IEF annonce également que des dispositions sont prises pour mettre les élèves et les enseignants dans des conditions de travail sans entrave
LE CONSEIL DE DISCIPLINE SORT LA CRAVACHE
La sentence du Conseil de discipline de l’Université Cheikh Anta Diop est tombée hier, lundi 5 juillet.
La sentence du Conseil de discipline de l’Université Cheikh Anta Diop est tombée hier, lundi 5 juillet. Un étudiant est définitivement exclu, 7 étudiants exclus pour une durée de 5 ans, 37 autres pour une durée de 2 ans et 10 pour une suspension de l’inscription en attendant d’être entendus par leurs Facultés respectives. 21 étudiants bénéficient d’une relaxe et 11 autres s’en sont sortis avec une réprimande.
Ces sanctions font suite aux violences notées dernièrement dans le temple du savoir et ayant conduit au saccage des biens et à l’agression d’enseignants. Le conseil de discipline était réuni le 2 juillet dernier et 88 étudiants étaient visés par l’instance.
Pour rappel, plus de 250 étudiants de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar ont été convoqués devant le Conseil de discipline pour une enquête dans le cadre des violences notées au sein du temple du savoir. Le Conseil de discipline s’était engagé « à traduire, avec diligence, devant le conseil de discipline, tout étudiant responsable d’acte de violence ». De même, les mis en cause devraient faire face à la justice.
MACKY ESQUIVE LE COUP KO
Fin de suspense sur la question de l’application des recommandations de la commission du dialogue politique dans le Code électoral.
Le président Macky Sall semble bien décidé, pour ce qui est des modifications à apporter au Code électoral, à noyer dans l’œuf le « coup Ko » que pourrait lui asséner la Cedeao et surtout son fameux protocole additionnel qui interdit tout changement de la loi électorale à moins de six mois d’un scrutin majeur, à l’absence du consensus. Aussi s’est-il empressé hier, lundi 05 juillet, en Conseil extraordinaire des ministres, à faire adopter le projet de loi portant Code électoral. Un nouveau code assaisonné par les «recommandations» du dialogue politique national, devant nécessairement passer par la procédure de vote d’urgence à l’Assemblée nationale, pour aboutir à la promulgation officielle avant le 23 juillet prochain. Histoire d’éviter tout coup ko de la Cedeao qui a déjà invalidé le parrainage citoyen à la sénégalaise !
Fin de suspense sur la question de l’application des recommandations de la commission du dialogue politique dans le Code électoral. Après plusieurs mois de mutisme sur la question, le président de la République est monté au créneau lors de la réunion du Conseil des ministres extraordinaire tenue hier, lundi 5 juillet 2021, pour demander au Ministre de l’Intérieur, « de mettre en œuvre toutes les diligences nécessaires, pour une parfaite organisation des élections territoriales en janvier 2022 ».
Par ailleurs, toujours sur cette question relative au processus d’organisation des prochaines élections municipales et départementales, le chef de l’Etat a également, lors de cette rencontre extraordinaire, soumis aux membres du gouvernement qui l’ont d’ailleurs adopté le projet de loi portant Code électoral. Désormais, avec cette décision (adoption du projet de loi en Conseil des ministres), c’est à l’Assemblée nationale que revient la décision de valider les nouvelles modifications de la loi électorale qui prendront effet dès les prochaines élections locales. Du coup, Macky Sall semble bien parti pour contourner l’hypothèque qui pesait sur la nouvelle loi électorale au regard des délais relativement courts qui nous séparent du 23 juillet, date-butoir «fixée» par le Protocole additionnel de la CEDEAO sur la démocratie et la bonne gouvernance du 21 décembre 2001, et la Charte africaine de la démocratie, des élections et de la gouvernance du 30 janvier 2007, lesquels interdisent tout changement des règles du jeu électoral à six mois d’un scrutin, à moins d’un consensus entre acteurs du jeu électoral.
Pour autant, il va s’en dire que le projet de loi, adopté hier en Conseil des ministres, passera par la voie d’urgence. En effet, après avoir trainé les pieds, l’exécutif sénégalais dont l’image de la diplomatie au niveau de la sous-région ouest africaine reste fortement écornée parles décisions de la Cour de justice de la Cedeao dans les affaires Karim Wade, Khalifa Ababacar Sall et le parrainage citoyen, devra tout faire pour ne pas en rajouter une couche à sa réputation. Et cela passera forcément par une validation rapide de ce projet de loi à l’Assemblée nationale et sa promulgation par le chef de l’Etat, avant le 23 juillet prochain.
Cette course contre la montre du temps perdu depuis le 26 août 2020 dernier, jour ou le président du Dialogue national, Famara Ibrahima Sagna remettait au chef de l’Etat, Macky Sall, le premier rapport de la Commission politique du Dialogue national se justifie par l’absence de consensus sur un certain nombre de points dont certains ont une incidence directe sur l’organisation des prochaines élections municipales et départementales du 23 janvier prochain. Parmi ces points, nous pouvons citer entre autres l’organisation des élections par une personnalité neutre différente du ministre de l’Intérieur, le bulletin unique, la vacance et suppléance au poste de maire et président de Conseil départemental et cumul des fonctions de chef de Parti et de celle de président de la République... Durant tout ce temps, les acteurs engagés dans le dialogue politique étaient suspendus à la décision du chef de l’Etat appelé à trancher sur ces différentes questions.
MACKY SALL «RECONFINE» LES MANIFESTATIONS ET EVENEMENTS OFFICIELS
La recrudescence des cas de Covid-19, avec la troisième vague qui se confirme de jour en jour au vu des chiffres sur les cas de contaminations communautaires, inquiète au plus haut niveau le chef de l’Etat et son gouvernement.
La recrudescence des cas de Covid-19, avec la troisième vague qui se confirme de jour en jour au vu des chiffres sur les cas de contaminations communautaires, inquiète au plus haut niveau le chef de l’Etat et son gouvernement. En conseil des ministres d’hier, lundi 5 juillet, Macky Sall a décidé de tenir les manifestations et évènements officiels dans la sobriété.
Sur un total de 1817 tests réalisés, le ministère de la Santé apprend que 191 sont revenus positifs à la Covid-19, soit 80 cas suivis par leur soin et 104 cas issus de la contamination communautaire. Une augmentation des chiffres sur la pandémie qui a poussé le chef de l’Etat à revoir sa copie, concernant les manifestations et autres événements officiels. Ainsi donc, après avoir partagé ses inquiétudes sur une troisième vague de coronavirus par visio-conférence aux Rencontres économiques d’Aix-en-Provence (France) organisées par le Cercle des économistes, il a décidé de restreindre au strict minimum certaines cérémonies.
Dans la note sanctionnant le conseil des ministres d’hier, lundi 5 juillet, «le Chef de l’Etat a décidé, compte tenu de la situation de la pandémie Covid-19, de tenir les manifestations et évènements officiels dans la sobriété et le respect strict des mesures barrières», peut-on lire. Dans la même dynamique de prévention contre cette pandémie qui a mis à terre la quasitotalité des économies, le chef de l’Etat a invité «le Ministre de la Santé à accentuer le plaidoyer sur le port systématique du masque, la limitation des rassemblements, ainsi que le déploiement soutenu de la campagne vaccinale».
A l’ensemble de son gouvernement, il a demandé le renforcement du dispositif préventif de sensibilisation et de lutte contre la Covid-19. Le président Sall a, par ailleurs, évoqué la question de l’emploi des jeunes avec son objectif de création de 65.000 emplois. Il a, à ce sujet, rappelé à son gouvernement «toute l’importance qu’il accorde à la mise en œuvre accélérée du Programme d’urgence pour l’insertion socio-économique et l’emploi des jeunes «XËYU NDAW ÑI», à sa territorialisation, en veillant à l’opérationnalisation des différents volets “Recrutements” des 65000 emplois, “Formations” et “Financements”, outre l’application urgente de nouvelle convention Etat-Employeur qui vise 20.000 emplois», peut-on lire dans le communiqué du Conseil des ministres. Il a, en outre, exhorté son équipe gouvernementale à intensifier les réformes d’amélioration de l’environnement des affaires, mais surtout, à accélérer les programmes prioritaires (PUDC, PUMA, PROMOVILLES, PACASEN, PACASEN RURAL etc.) dans les territoires, afin d’asseoir l’attractivité du Sénégal aux investissements directs étrangers (IDE) et le développement durable.
A noter, par ailleurs, que lors de ce Conseil des ministres décalé, il a été adopté le projet de loi portant Code électoral. Le chef de l’Etat en a profité pour saluer «le consensus politique et la qualité des concertations relevant du dialogue politique, entamé depuis 2019, dont les résultats ont permis l’actualisation consensuelle du Code électoral», indique la source. Parlant des élections locales prochaines, le président Macky Sall a demandé «au Ministre de l’Intérieur, de mettre en œuvre toutes les diligences nécessaires, pour une parfaite organisation des élections territoriales en janvier 2022», informe le ministre Porte-Parole du Gouvernement, Oumar Guèye.
SECURISATION DE L’ALIMENTATION EN EAU : Macky demande l’accélération des travaux
Le président de la République, Macky Sall, a prôné par ailleurs une accélération des travaux de sécurisation de l’alimentation en eau des zones rurales, de Dakar et de la Petite-Côte. Selon ainsi le communiqué du Conseil des ministres, « Le Chef de l’Etat demande (…) au Ministre de l’Eau et de l’Assainissement d’accélérer les travaux de sécurisation durable de l’alimentation en eau des zones rurales, de la Capitale et de la Petite-Côte avec l’amorçage du PREFERLO, la construction de l’usine de dessalement des Mamelles et le renouvellement des réseaux ».
Le chef de l’Etat a exprimé cette demande à quelques jours de l’inauguration ce samedi de la troisième usine de traitement d’eau de Keur Momar (KMS), considérée comme le plus grand ouvrage hydraulique de l’histoire du Sénégal. Selon le président Sall, cet ouvrage de grande envergure, doté d’une conduite d’eau de 216 km et d’une capacité de 100 000 m3 par jour, pour sa première phase, sur 200 000 m3 au total, va contribuer à améliorer de façon substantielle la fourniture en eau pour Dakar, Thiès et d’autres localités. Le communiqué du Conseil des ministres indique aussi que le président de la République a rappelé au Gouvernement « la priorité qu’il accorde au développement du secteur de l’hydraulique urbaine et rurale et particulièrement à l’accès universel » à l’eau potable.
« Le Chef de l’Etat demande, dans cette dynamique, au Ministre de l’Eau et de l’Assainissement, de veiller à la gestion optimale du patrimoine hydraulique national, en parfaite concertation avec les populations et les acteurs du secteur », poursuit le communiqué. Il invite de même l’Office des forages ruraux (OFOR) à « réadapter ses interventions, en vue d’améliorer le système de gestion concertée de l’eau potable en milieu rural, en veillant à l’équilibre financier et social durable du secteur ». Dans la foulée, le président de la République a exhorté le ministre de l’Eau et de l’Assainissement, à « veiller à la consolidation des performances techniques et financières de la SONES », la Société nationale des eaux du Sénégal, « en termes d’investissements de développement d’ouvrages et de réseaux hydrauliques ».
Ce n’est point manquer du respect à nos institutions. Mais après avoir lu le communiqué du Conseil des ministres d’hier, on peut bien s’autoriser une petite question à défaut d’en rigoler. Mais diantre, de qui il se moque, le Chef ? C’est un récidiviste. Rappelez-vous bien l’arrivée de la seconde vague. C’est après qu’il avait mobilisé les foules lors d’une tournée dans le SineSaloum qu’elle s’était pointée. Naturellement, cette tournée n’était pas seule responsable de cette vague mais avait sans doute dû contribuer à sa survenue. Toujours est-il qu’on s’était retrouvé en pleine deuxième vague quelques jours après ce déplacement présidentiel. Plutôt que de donner les bonnes leçons à son peuple, il avait ouvert les vannes au vilain virus, pendant que le personnel de santé guerroyait contre un monstre invincible. Et à chaque fois qu’ils sont près de gagner la bataille, ces vaillants médecins et autres infirmiers, c’est le Chef, lui-même, qui vient tout piétiner avec le soutien de ses flagorneurs. Après avoir contribué à propager le virus, à travers des rassemblements monstres à Saint-Louis, Podor et Matam, voilà qu’il invite son ministre de la Santé à accentuer le plaidoyer auprès des ignares que nous sommes sur le port systématique du masque et la limitation… des rassemblements ! Une belle comédie au mépris de la vie de ses compatriotes. Il faut oser le dire… Et personne ne pourra soutenir le contraire. Le Chef est le premier responsable de cette situation que l’on vit présentement. Et ceux qui qualifient son accès de colère feinte du weekend d’acte courageux vis-à-vis de l’Occident ont tout faux. Il s’agit là plutôt d’un aveu d’impuissance de sa part face à un combat perdu par ses errements. Il est le seul responsable de ce qui nous arrive. Pour prouver qu’il est dans les cœurs de nos compatriotes, il a anéanti des efforts de plusieurs mois en plus d’importantes sommes d’argent investies pour combattre le méchant virus. Et on peut bien rigoler de leurs décisions qui consistent à tenir les manifestations et évènements officiels dans la sobriété et le respect strict des mesures barrières. De vrais comédiens et irresponsables. La lucidité en perspective du chaos ? KACCOOR BI
CONSEIL DES MINISTRES ALERTE « GAINDE » DU CHEF SUPREME DES ARMEES CONTRE LE COVID 19
L’ennemi « Covid 19 » rumine sa colère avant de mener un troisième raid plus destructif contre le peuple sénégalais. En tout cas, c’est l’avis du président de la République Macky Sall, Chef suprême des armées. D’où l’alerte « Gaindé » qu’il a sonnée, hier, en présidant le Conseil des ministres. En préconisant le renforcement du dispositif préventif de sensibilisation et de lutte contre la pandémie de COVID-19, le président a annoncé avoir décidé de tenir les manifestations et évènements officiels «dans la sobriété et le respect strict des mesures barrières», compte tenu de la recrudescence des cas notée ces derniers jours. Le chef de l’Etat «a demandé au Gouvernement de renforcer le dispositif préventif de sensibilisation et de lutte contre la pandémie de COVID-19 avec la recrudescence des cas notée ces derniers jours», rapporte le communiqué du Conseil des ministres qu’il a présidé le même jour.
CONSEIL DES MINISTRES ALERTE « GAINDE » DU CHEF SUPREME DES ARMEES CONTRE LE COVID 19 (BIS)
En sonnant le clairon de la détresse sanitaire, le président Sall a aussi «invité le ministre de la Santé à accentuer le plaidoyer sur le port systématique du masque, la limitation des rassemblements, ainsi que le déploiement soutenu de la campagne vaccinale». Aussi le chef de l’Etat a-t-il «décidé, compte tenu de la situation de la pandémie Covid-19, de tenir les manifestations et évènements officiels dans la sobriété et le respect strict des mesures barrières», indique le communiqué du Conseil des ministres. S’exprimant dimanche par visio-conférence, dans le cadre des Rencontres économiques d’Aix-en-Provence (France), Macky Sall avait déclaré : «Cette dernière poussée épidémique, qui correspond à ce qu’on appelle la troisième vague, risque d’être un peu difficile pour le continent à cause du variant Delta et compte tenu aussi du relâchement». Après un ralentissement de la pandémie entre avril et mai, les nouvelles infections au Covid-19 ont enregistré un net rebond en juin, au Sénégal mais également dans la plupart des pays africains, au point d’amener l’Organisation mondiale de la santé (OMS) à sonner l’alerte depuis quelques jours comme le président Macky Sall vient aussi de le faire. Après avoir contribué aux contaminations de par ses tournées aux foules monstres et sans respect des mesures barrières !
AUTOPONTS AGEROUTE
L’Ageroute, cette agence de construction des routes dirigée par le très travailleur et compétent Ibrahima Ndiaye, qui a maillé le territoire national en routes de qualité, n’avait sans doute pas pensé à cela en construisant ces ouvrages ! Ces ouvrages, ce sont bien sûr ces autoponts qui ornent si joliment le décor de Dakar et dont les plus connus sont ceux de Keur Gorgui, saint-Lazare ou de Lobatt Fall à l’entrée de Pikine ! Si nous parlons de ces autoponts, c’est qu’un de nos collaborateurs a assisté samedi dernier à un événement qui l’a laissé sans souffle. En effet, un club de fitness à l’enseigne « Amitié Fitness », situé sur la VDN, organisait, justement, une journée de fitness. Un événement auquel ont pris part des centaines de jeunes — et d’adultes — enthousiastes. Au son de la musique diffusée par de puissants haut-parleurs, ces participants vêtus de tee-shirts et de tenue de sport, particulièrement de gym, ont effectué des mouvements gymniques, dansé, sué durant toute la journée et dans une ambiance très festive. Et devinez donc où a eu lieu cet événement ? Eh bien sous l’autopont de Saint-Lazare transformé en gigantesque salle de fête pour l’occasion ! D’ailleurs tous les soirs, désormais, de belles dames et demoiselles (gare aux dragueurs) ont pris l’habitude d’y effectuer leur gym. Preuve que ces autoponts, en plus de contribuer à fluidifier la circulation routière, sont aussi de véritable lieux de vie dont les très inventifs organisateurs d’événementiels se sont déjà appréciés. Un grand bravo à l’Ageroute !
PROMOTION LGBT AU SENEGAL PRES DE 2 MILLIARDS CFA DE SUBVENTIONS CHERCHENT…PRENEURS
Chaque mois de juillet, la communauté internationale Lgbt (lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres) célèbre la journée du « Gay-Pride ». C’est un événement permettant aux homosexuels ou « goordjiguenes » de revendiquer leurs droits et leur liberté de vivre leur orientation sexuelle. Pour promouvoir les activités culturelles et économiques du « Gay-Pride » en Afrique francophone, « Le Témoin » quotidien a appris que les bailleurs de la communauté Lgbt auraient budgétisé une dizaine de milliards cfa dont deux (02) milliards pour le Sénégal. Rien que pour cette année 2021 ! Cette subvention est destinée aux chanteurs, hommes influents, artistes et autres porteurs de voix afin de les aider à assurer leurs activités de plaidoyers et de sensibilisation en faveur de la communauté Lgbt. Heureusement qu’au Sénégal, les financements Lgbt cherchent désespérément preneurs à l’occasion du Gay-Pride. Car aucun artiste, chanteur, sportif ou porteur de voix n’ose organiser publiquement des activités aux couleurs Lgbt. Objection ? « Le Témoin » a sous les yeux un célèbre bulletin mensuel d’Annonces gratuites ayant un bandeau publicitaire aux couleurs Lgbt. Ce, dans son édition de ce mois de juillet 2021. Une chose est sûre : aucun artiste ou chanteur n’est tombé dans la tentation de l’argent sale puisque les confréries et organisations islamiques sont armées de gourdins pour veiller sur l’interdit. Entre la tentation des dizaines de millions et la crainte des gourdins, le choix n’est en effet pas facile à faire ! Car les Sénégalais aiment l’argent, certes, mais ils craignent plus encore les coups et blessures voire la mort…
191 nouveaux cas de covid-19
L’augmentation des cas de coronavirus notée ces derniers temps se poursuit. Sur 1 817 tests réalisés dans le bilan du jour d’hier, 191 sont revenus positifs, soit un taux de positivité de 10,51%. Ce qui porte le nombre total de patients sous traitement à 1 010. Les cas positifs de lundi sont composés de 87 cas contacts et 104 cas issus de la transmission communautaire. Les contaminations communautaires sont réparties comme suit : 07 à Liberté-6, Mamelles et Maristes ; 06 à Médina et Parcelles Assainies ; 05 aux Almadies, Grand-Yoff et OuestFoire ; 04 à Dakar-Plateau et Ouakam ; 03 à Mermoz, Guédiawaye, Ngor, Nord-Foire, Yoff et Zac Mbao ; 02 à Matam, Cité Djily Mbaye, Dieuppeul et HLM ; 01 à Amitié-3, Arafat, Cité Biagui, Cité CPI, Cité Marine, Colobane, Diamniadio, Hann Bel Air, HLM-Fass, Grand Dakar, Keur Mbaye Fall, Liberté-4, Liberté-5, Niary-Taly, Scat-Urbam, SicapMbao, Sud Foire, Thiaroye, Yarakh, Zone de captage, Birkilane et Ziguinchor. D’après les autorités sanitaires, 01 décès a été enregistré le dimanche 04 juillet 2021 et 16 cas graves sont pris en charge dans les services de réanimation. Selon le département ministériel dirigé par Abdoulaye Diouf Sarr, depuis l’apparition du coronavirus jusqu’à présent, 43 959 cas ont été déclarés positifs dont 41 773 guéris et 1 175 décès. Les autorités sanitaires annoncent également que 3 378 personnes ont été vaccinées le dimanche 04 juillet 2021, portant le nombre total à 549 768.
50 milliards et une amnistie fiscale pour booster le tourisme
Le secteur du tourisme est très affecté par la pandémie de la Covid-19. Pour relancer le secteur, le gouvernement a mis en place une ligne de crédit de 50 milliards pour le secteur du tourisme, notamment l’hôtellerie, et décidé une amnistie fiscale de deux ans. L’annonce a été faite hier par le patron de l’hôtel King Fahd Palace Mamadou Racine Sy, lors de la réunion de la Fédération des organisations patronales de l’hôtellerie et du tourisme des pays de l’UEMOA. M. Sy a remercié le gouvernement pour le soutien dès le début de la pandémie en mettant en place un fonds de roulement de 15 milliards. A l’en croire, ce fonds avait permis au secteur touristique d’être résilient. Selon Racine Sy, on ne pourra parler de reprise du tourisme qu’en 2023 tellement le secteur a été affecté par la pandémie de covid-19, d’autant plus qu’on commence à évoquer une troisième vague.
Mandat d’arrêt international contre Karim Keïta
Un mandat d’arrêt international est lancé contre Karim Keïta, l’un des fils de l’ex-président malien Ibrahim Boubacar Keïta, dans le cadre d’une enquête sur la disparition d’un journaliste d’investigation en 2016 par Interpol. Selon RFI qui cite une source judiciaire malienne et Interpol au Mali, la «notice rouge» d’Interpol a été diffusée à la demande d’un juge d’instruction du tribunal de grande instance de la commune IV de Bamako. L’information a été aussi confirmée à l’AFP par un responsable du bureau de représentation d’Interpol au Mali ayant également requis l’anonymat.
Saisie de 245 kg de drogue à Thionck Essyl
Les opérations de lutte contre le trafic de chanvre indien, notamment dans la partie sud du pays, ont été intensifiées par la gendarmerie depuis l’avènement du Général Moussa Fall au haut commandement. La lutte contre le trafic de drogue et contre l’insécurité constituent des propriétés du Général Fall. Exploitant des informations faisant état d’un trafic intense de chanvre indien dans le secteur de Thionck-Essyl, le commandant de la légion de Gendarmerie sud a mené des opérations dès les premières heures de la matinée du samedi. Selon la gendarmerie, le mode opératoire des trafiquants consistait à transporter la drogue par voie fluviomaritime à travers des pirogues, après l’avoir regroupée en grande quantité sur une zone de transit située dans les bolongs difficilement accessibles depuis les îles du secteur de Kafountine et Diouloulou. Ainsi la drogue était ensuite acheminée soit à Ziguinchor soit vers l’intérieur du pays à l’aide de grandes pirogues. Raison pour laquelle l’opération a ciblé le lieu de regroupement de la drogue avant son transfert. Selon la même source, une intervention rapide et efficace de la brigade de Gendarmerie de Thionck-Essyl, renforcée par un peloton de l’escadron de surveillance et d’intervention (ESI) de Ziguinchor stationné à Bignona a permis d’arrêter un convoyeur qui assurait la sécurisation du stock de drogue avant l’organisation de son transfert. Les pandores ont mis la main sur 245 kilogrammes de chanvre indien conditionnés dans 08 grands sacs dissimulés à divers endroits vers le village de Kagnobon, dans la commune de Diégoune. L’opération a été facilitée par la collaboration citoyenne des populations.
Suppression de l’article 18 du code de la presse
Le député Mamadou Lamine Diallo veut la cohérence entre le code pénal et le nouveau code de la presse. Ce qui a motivé sa proposition de modification du code de la presse. Selon le parlementaire, le peuple sénégalais s’oppose à l’exécution de l’agenda gay et exige la criminalisation de l’homosexualité. Or, relève-t-il, le gouvernement qu’il accuse de vouloir naviguer à contre-courant de cette volonté populaire décide de bâillonner le peuple à travers l’article 18 du code de la presse qu’il considère comme «pro LGBT». Dans une lettre adressée au ministre de la Culture et de la Communication, Mamadou Lamine Diallo indique que l‘article 18 du code de la presse en vigueur interdit aux journalistes de rendre compte de faits relevant de l’orientation sexuelle des personnes. Or, la loi au Sénégal punit les actes contre nature comme vous le savez dans le code pénal, dit-il. Il demande en conséquence au ministre de la Communication de bien vouloir proposer au gouvernement de supprimer l’expression «orientation sexuelle» de l’article 18 du code de la presse.
Incendie au «Pakk lambaye» de Pikine
Un incendie d’une rare violence s’est produit lundi vers 04 heures du matin au «Pakk Lambaye» de Pikine. Une quinzaine de magasins pleins d’armoires, de lits en bois et autres meubles ont été réduits en cendres. La perte est estimée à 30 millions. La cause de l’incendie qui a été circonscrit par les sapeurs-pompiers reste inconnue pour le moment même si certains évoquent la thèse d’un court-circuit électrique. En tout état de cause, la police de Pikine qui a fait le constat a ouvert une enquête pour en savoir plus.
Employabilité des jeunes de Golf Sud
L’esplanade de la Commune de Golf Sud a accueilli un forum de trois jours sur l’employabilité des jeunes. L’initiative est de l’édile de la commune, Aïda Sow Diawara qui veut rendre effective la territorialisation de l’emploi comme instruit par le Chef de l’Etat. Ainsi 500 jeunes ont été ciblés lors de cette première phase en termes de formation, d’insertion à travers la mise en place d’un bureau économique local qui va impliquer toutes les franges de la Commune dont le Conseil communal de la jeunesse pour une gestion transparente de l’emploi. Le collectif des prestataires agréés de la Senelec s’est engagé séance tenante à former 100 jeunes dans les métiers de l’énergie pendant 06 mois, avec une prime de transport à la fin de la formation.
Monnayage de faux billets
Plus téméraire que El. H. Ndiaye scootériste et commerçant, tu meurs. Le commerçant sur sa moto, avec trois de ses amis, a osé se présenter à une station d’essence pour essayer de tromper un pompiste avec un faux billet de 10 mille francs pour se procurer du carburant. Mais ce dernier, avisé de la circulation de faux billets de banque, a découvert que c’était du toc. Interpellé alors sur ses motivations, El. H. Ndiaye peine à convaincre. Moment choisi par ses deux autres amis pour prendre la fuite. El. H. Ndiaye sera maîtrisé avant que les gens ne découvrent un autre faux billet de 10 mille francs dans sa poche. Cueilli par la Police, le faux-monnayeur a déclaré avoir agi de bonne foi. Il dit avoir reçu les faux billets des mains d’un client de téléphone portable. Mais interpellé sur les raisons de la fuite de ses amis, El. H. Ndiaye n’avait pas d’explication.
Le menuisier s’adonne au vol à l’arraché
Menuisier de profession, O. Thiam, âgé seulement de 17 ans, croupit en prison pour vol. Le mis en cause a été alpagué au croisement 22 des Parcelles Assainies avant d’être livré à la Police des Parcelles assainies qui l’a déféré au parquet pour vol. O. Thiam a arraché le téléphone portable d’un individu à bord d’un taxi. La victime a crié au voleur. Aussitôt le menuisier est appréhendé par la foule et conduit à la Police.
Opération coup de poing de la police
Dans le cadre de la lutte contre l’insécurité, les commissariats de police des Parcelles Assainies et de Grand Yoff ont effectué des opérations coup de poing pour mettre hors d’état de nuire les délinquants. La première opération s’est déroulée dans la nuit du samedi au dimanche. Elle a permis l’interpellation de 142 personnes dont 01 pour détention et trafic de chanvre indien portant sur 500 grammes, 03 individus pour détention de chanvre indien, 01 pour flagrant délit de vol, 03 pour détention d’armes blanches, 01 pour détention de produit cellulosique, 02 pour nécessité d’enquête, 13 filles pour non-inscription au fichier sanitaire et social, 105 individus pour vérification d’identité et 13 pour ivresse publique. L’opération a permis également la mise en fourrière de 30 motos pour défaut de pièces, 11 véhicules et la saisine de 98 pièces pour diverses infractions.
Opération coup de poing de la police (bis)
Restons avec les limiers de Grand Yoff et des Parcelles Assainies qui ont enchaîné avec la seconde opération de sécurisation de ces deux quartiers, dans la nuit du dimanche au lundi entre 22 heures et 06 h du matin. Le bilan est de 46 interpellations pour divers délits. Ainsi 33 individus sont appréhendés pour vérification d’identité, 05 pour rixe sur la voie publique, 02 pour vol en réunion commis la nuit avec usage d’une moto, 02 pour conduite sans permis de conduire, 01 pour détention aux fins d’usage de chanvre indien, 01 pour refus d’obtempérer, 01 pour destruction de biens appartenant à autrui et 01 pour ivresse publique. L’opération a permis aussi la mise en fourrière de 09 véhicules, 09 motos et la saisine de 59 pièces pour diverses infractions.
Opérations gratuites de la cataracte pour 200 malades
L’association pour la renaissance du patrimoine islamique et de l’expansion de la culture arabe (ARPIECA) a entamé hier la prise en charge gratuite de 200 malades de la cataracte au centre médico-social IPRES. Un programme cofinancé par l’Ong Koweitienne African continent comity à hauteur de plus de 11 millions de francs CFA. De l’avis de Daouda Chérif Aïdara, directeur exécutif de ladite Organisation, le projet entre dans le cadre de la lutte contre la cataracte de l’Ong Arpieca en collaboration avec le ministère de la Santé. En novembre 2020, l’Ong avait pris en charge 150 malades de la cataracte à la polyclinique de la Médina. Leur ambition est de décentraliser leurs actions à l’intérieur du pays. Chérif Aïdara annonce dans la même veine que l’ONG Arpieca fait aussi des dons de matériels orthopédiques aux hôpitaux. Récemment, elle a doté Porokhane et la Cnao de matériels orthopédiques. L’Ong va réceptionner sous peu un important lot de matériels médicaux pour les hôpitaux de Tivaouane et de Bambey. Sans compter les dons de maques. Représentant la directrice de l’Action sociale au ministère de la Santé, le sociologue Aly Khoudia Diaw a salué l’initiative de l’Ong Arpieca. A l’en croire, à travers cet acte, l’Ong rejoint le ministère sur le terrain de l’action sociale