Le Sg de Snhlm quitte la boîte
Qui disait que la Snhlm est au bord du gouffre ? En tout cas, tel ne semble pas être le cas. Pour une boîte dont on dit qu’elle est en faillite, «L’As » a appris que son Secrétaire général Serigne Mbacké Diop, fortement pressenti d’ailleurs pour être Dg avant la nomination de Diagne Sy Mbengue, a fait un départ négocié pour quitter la société. On ne sait combien il a reçu, mais nos sources révèlent qu’il a touché un magot. Ce qui est une aberration, parce que l’orthodoxie administrative aurait voulu qu’il rende le tablier s’il est avéré, comme certains nous l’ont fait croire, qu’il a trouvé une planque plus juteuse.
Mbaye Ndiaye fait la promotion d’un 3e mandat
Le ministre Mbaye Ndiaye relance le débat/polémique sur le troisième mandat du Président Macky Sall. Et c’est pour baliser le chemin à l’actuel chef de l’Etat afin qu’il brigue un autre mandat. Invité de la «Tfm», Mbaye Ndiaye s’interroge d’abord avant de soutenir la thèse du troisième mandat de Macky. «Si tu regardes la mise en œuvre de cette constitution par rapport à la limitation des mandats, est-ce que le deuxième mandat en cours du Président Macky Sall fait partie des deux mandats qui sont visés ? », lance-t-il à l’animateur de l’émission «Faram facce». Et d’ajouter : «Je veux dire qu’il vient de commencer, selon la constitution en cours, son premier mandat par rapport à la limitation». Maintenant ce que le Président Macky Sall en décidera en 2024, il estime qu’il faut laisser le temps au temps. Mais en tant qu’acteur politique, Mbaye Ndiaye dira ce qui l’intéresse présentement, c’est comment aider le chef de l’Etat à réussir le mandat actuel. L’ancien ministre de l’Intérieur précise également que cette disposition de la constitution n’est pas rétroactive. L’animateur rappelle que le Président Macky Sall a dit qu’il ne se présentera pas. Mais la réplique de Mbaye Ndiaye est que Macky Sall est un humain, il a juste des charges extraordinaires, mais sa parole n’est pas une loi, même si elle peut l’inspirer. La preuve, ditil, le chef de l’Etat voulait ramener son premier mandat à 5 ans, mais il n’a pas pu. A en croire Mbaye Ndiaye, si Macky Sall avait fait le forcing, les conséquences seraient graves.
Mbaye Ndiaye balise le chemin à Macky
Visiblement, l’omerta imposée au sujet du troisième mandat qui a eu raison de Sory Kaba et autres ne s’applique pas aux poids lourds. C’est en tout cas Mahammad Dionne qui l’a violée en préconisant même la fin de la limitation des mandats. Après l’ancien Premier ministre sur iTV, le ministre d’Etat Mbaye Ndiaye est monté au créneau hier pour baliser le chemin à Macky Sall en vue d’un troisième mandat. Devant nos confrères du groupe Futurs médias, Mbaye Ndiaye a indiqué sans sourciller que l’actuel président est à son premier mandat dans l’esprit de la nouvelle constitution. Autrement dit, il lui est loisible de se présenter si l’idée lui taraudait l’esprit. Il dit ne pas présager de ce qu’il fera, mais qu’il est convaincu que légalement, Macky Sall peut se présenter en 2024 pour un autre mandat. En tout cas, si le chef de l’Etat laisse continuer ce débat qui n’est mené curieusement que par ses supporters, c’est qu’il l’approuve. Le cas échéant, il aura été celui qui alimente le débat, peut-être pour se faire une idée de l’approbation populaire ou non de ce projet maléfique. En tout cas, cela avait commencé exactement ainsi lorsqu’il s’est agi de réduire son mandat de 7 à 5 ans. L’histoire est en train de bégayer doublement.
Deux corps de pêcheurs de Soumbédioune retrouvés
Trois pêcheurs de Soumbédioune ont disparu en haute mer depuis une dizaine de jours. Les recherches n’avaient pas permis de retrouver ces jeunes pêcheurs dans un premier temps. Par la suite, les pirogues ont été retrouvées avant les deux corps hier. Les dépouilles de Souleymane Ndiaye et de Mouhamed Dièye se trouvent à la morgue de l’hôpital Aristide Le Dantec.
Perturbation des vols de Air Sénégal
Les passagers ont déversé leur colère hier sur la compagnie Air Sénégal après avoir passé une nuit blanche à l’aéroport. Ce qui a choqué les passagers qui devaient embarquer pour Paris, c’est l’absence d’interlocuteur. Ils étaient abandonnés à eux-mêmes après l’enregistrement des bagages. Il n’y avait aucun responsable de Air Sénégal pour les édifier. Du coup, ils ont poireauté toute la nuit à l’aéroport Blaise Diagne. D’autres passagers bloqués à Paris ont vécu le même calvaire. Puisque c’est l’avion qui devait quitter Dakar pour Paris, qui devait les amener à Dakar.
Perturbation des vols de Air Sénégal (bis)
Restons avec la compagnie Air Sénégal qui tente d’expliquer les raisons de la perturbation sur la ligne Dakar-Paris Dakar. Air Sénégal justifie cette situation par un problème technique. Dans un communiqué parvenu à «L’As», Air Sénégal renseigne que les équipes de maintenance de la compagnie sont intervenues pour mettre fin à la panne. Les choses étant revenues à la normale, le programme de vol sur la ligne Dakar-Paris-Dakar reprendra son cours normal dans la nuit du 26 au 27 février 2020. Ainsi, les passagers impactés ont été pris en charge et hébergés dans les escales de départ, conformément à la politique de prise en charge des irrégularités d’exploitation.
«Bésu Setàl» lancé à Thiès Exit «cleaning day» !
Les critiques des sociologues sont passées par là. Le président de la République veut faire local. Le président Macky Sall a changé l’appellation de l’opération mensuelle d’investissement humain qu’il a lancée depuis janvier. En réunion de conseil des ministres hier, le chef de l’Etat a annoncé de la tenue prochaine de la journée mensuelle de nettoiement, appelée «Bésu Setàl», le samedi 07 mars 2020. L’activité phare de «Bésu setàl» se déroulera à Thiès.
Code de la presse
Les professionnels de médias pensent que cette fois-ci, le code de la presse sortira des arcanes de l’administration pour son application. Achaque fois qu’on annonce sa finalisation, des blocages surgissent. Hier encore, le président de la République, abordant la thématique de la modernisation de la gouvernance de la communication et de l’audiovisuel, a demandé au ministre de la Communication de prendre toutes les mesures appropriées afin d’assurer la finalisation effective de l’ensemble des textes d’application du Code de la presse.
Magal de Porokhane et Daaka de Médina Gounass
Le président Macky Sall tient à la bonne organisation des événements religieux phares du pays. A cet effet, il a demandé hier aux ministres impliqués, sous la coordination du ministre de l’Intérieur, de faire prendre toutes les dispositions en rapport avec les organisateurs désignés, afin d’assurer la bonne organisation du Magal de Porokhane prévue le 05 mars, celle de l’édition 2020 du Daaka de Médina Gounass prévu du 14 au 24 mars, et du 140e anniversaire de l’Appel de Seydina Limamou Laye, les 25 et 26 mars 2020.
L’autopsie confirme la thèse de l’intoxication alimentaire
On en sait un peu plus sur les causes de décès d’Ibrahima Diallo âgé d’un an et de Mamadou Woury Diallo âgé de 05 ans au quartier Mésséré de la Commune de Thiaroye Kaw. Selon des sources de «L’As», les résultats de l’autopsie viennent de confirmer la thèse d’une intoxication alimentaire avec une congestion pulmonaire bilatérale.
Hôpital International de Dakar
Un hôpital international sera construit à Dakar si l’on en croit le chef de l’Etat. D’ailleurs, il a demandé hier au ministre de la Santé et de l’Action sociale, des Infrastructures et des Transports terrestres, sous la coordination du ministre des Finances et du Budget, de déployer toutes les actions adéquates afin d’accélérer l’édification du projet d’Hôpital International de Dakar. Cet établissement de santé privé de 171 lits va créer 200 emplois directs. Par ailleurs, le Chef de l’Etat, au sujet de la mise en œuvre de notre politique énergétique, a demandé au ministre du Pétrole et des Energies et au ministre de l’Environnement et du Développement Durable de veiller, en relation avec les différents partenaires du secteur, au renforcement de la production nationale d’une énergie propre conforme à nos engagements internationaux.
Emballo confirmé
Sur injonction de la Cour Suprême de Justice (Csj), la Commission Nationale Electorale (CNE) a procédé mardi dernier à un nouveau recomptage des voix pour apurer les résultats du second tour de la présidentielle. La plénière convoquée par la CNE en présence des représentants des deux candidats en compétition, n’a fait que confirmer que ce qui était déjà connu. En clair, la victoire de Umaro Sissoco Embalo avec un taux de 53,55% des suffrages valablement exprimés. Son concurrent Domingos Simoes Pereira est resté au même score, à savoir 46,45 % des votants. D’après «Pressafrik», cette énième vérification des résultats intervient à 48 heures de la prestation de serment du Président déclaré élu. De retour en Guinée Bissau après deux semaines à l’étranger, le général Embalo a affirmé qu’il organisera une cérémonie d’investiture sobre. À cet effet, son parti, le Mouvement pour l’alternance démocratique (Madem G15) a demandé à son groupe parlementaire de prendre les dispositions nécessaires pour la tenue de la cérémonie à l’Assemblée nationale populaire.
Silence !!! Où sont donc ces bonnes dames qui nous tympanisent à chaque fois qu’un mec viril chatouille l’une d’entre-elles ? Elles doivent bien rigoler dans leurs salons de la mésaventure du malheureux mec corrigé par sa douce moitié et pratiquante de judo. Le pauvre ! Autant dire qu’il s’est fourré lui-même dans la gueule de la louve. Et puis, quelle idée de s’enticher de ce genre de sportives ? Le crime de l’infortuné a été de draguer pendant que sa bourgeoise était certainement au dojo. Et quand elle a eu la curiosité de visiter le téléphone de son mari, elle a eu un accès de colère avant de fracasser le bras du malheureux. Et ça se dit sexe faible ? Ces braves dames brûlent sans état d’âme, tuent, ébouillantent, éborgnent, castrent, donnent des coups de pilons et et on en passe. Et quand ça arrive, personne ne bronche. L’homme a toujours tort comme le malheureux qui n’aurait jamais dû zieuter les croupes d’autres meufs, devant tranquillement attendre que sa Reine revienne du dojo. La violence n’est plus exclusivement masculine et ne l’a jamais été d’ailleurs. Elle s’exprime également dans toute sa bestialité chez nos braves dames. L’expression de la parité quoi ? En attendant leur journée internationale, on aimerait bien entendre les voix désapprobatrices de nos enragées sur ce cas bien précis, histoire de nous délecter de leurs indignations sélectives. Des maris battus physiquement et psychologiquement, ça existe aussi. A foison ! Post-Scriptum : Au sommet de l’Etat, les sauvageons sont sérieusement en guerre contre quelques dinosaures du parti à qui on prête des ambitions cachées. En attendant que le sang gicle, le Chef regarde impassible cette bataille entre ses pontes qui lorgnent son fauteuil et ses sauvageons qui les mitraillent. Qui ne dit rien consent... Mais pourquoi donc une telle précipitation ? Boune a parlé, Mbaye a renchéri hier. Selon le docte Monsieur, le premier mandat du Chef ne doit pas être comptabilisé. Ah, les courtisans !!
Kàccoor Bi
DENOMINATIONS DES LYCEES A MBAO ON BAT LE RAPPEL DES TROUPES…
« Dénominations des lycées à Dakar : Levée de boucliers contre le décret de Macky ». Cette publication à la Une du Témoin du mardi 25 février a été vivement commentée à Mbao. Dans la petite commune du département de Pikine, la pilule de la dénomination du lycée au nom de Cheikh Hamidou Kane passe mal. Vraiment très mal d’autant plus qu’elle se fait au détriment d’un distingué défunt fils de la localité, Demba Seck, le premier instituteur du village. La contestation naissante est prise en charge non pas par la municipalité dirigée par le maire Abdoulaye Pouye Obama, mais par les populations du coin. Le Témoin a d’ailleurs appris de la bouche de Ndiawar Sow, conseiller municipal, que le rappel des troupes est battu pour une mobilisation d’enfer dans les jours à venir. « Il n’est pas question de laisser cette pilule être digérée tout simplement. Ce n’est pas juste, nous devons nous battre pour honorer la mémoire d’un homme comme Demba Seck qui s’est battu pour Mbao. Notre silence pourrait donner l’impression d’une ingratitude à son endroit. C’est pourquoi le combat sera mené pour faire revenir le président de la République sur sa décision. Nous assumerons totalement aux côtés des populations et des maires ce combat de restauration de la dignité de Mbao balafrée par un tel geste » promet Ndiawar Sow. Et quand nos parents lébous mènent un combat, inutile de vous dire que cela risque de chauffer les jours à venir. Surtout quand Mbao et Rufisque joignent leurs forces… Rappelez-vous donc ce qui s’est passé dernièrement à Guet-Ndar (Saint-Louis) ainsi que sur la plage de Mbour ! …
A RUFISQUE DAOUDA NIANG POINTE DU DOIGT
Certes, les partisans de feu Me Mbaye Jacques Diop ont rué dans les brancards pour dénoncer l’oubli par Macky Sall de leur mentor dans la dénomination des lycées à Rufisque. Pour se rattraper, ils estiment que le président doit donner au lycée moderne de la ville le nom du défunt président du Craes. Seulement voilà, dans la ville de Mame Coumba Mbang, certains estiment qu’avant de pointer du doigt le président de la République dans cette affaire, le maire Daouda Niang devrait d’abord être mis au banc des accusés. En effet, plus de deux ans et demi (le 31 décembre 2017) après avoir procédé à la dénomination des rues de la ville, le maire Daouda Niang tarde toujours à matérialiser de telles dénominations pourtant approuvées par le conseil municipal ! Pour rappel, il s’agit du tronçon RN02 et RO-126 qui va de la SGBS à RUFSAC, soit une longueur de 1970m, dénommé boulevard Alioune Badara MBENGUE ; ou encore du tronçon RE-30 qui va de la SGBS au Canal de l’Est (Terminus DAKAR DEM DIKK), dont le nom de Maurice GUEYE est maintenu ; du tronçon RE-32 qui va du canal de l’Est au Rond-Point BATA, dénommé boulevard Maître Mbaye Jacques DIOP.
A RUFISQUE, DAOUDA NIANG POINTE DU DOIGT (BIS)
Egalement baptisées la route des H.L.M qui va du rond-point Djoutiby sur la RN1 à l’échangeur Ouest de l’autoroute et comprenant les tronçons RO-121, RO- 193 et RO-278, dénommée Avenue El HADJ Malick SY et la RN-26 qui va de la Clinique RADA à l’échangeur Est de l’autoroute dénommée Avenue Cheikh Ahmadou Bamba MBACKE. A Rufisque, personne ne s’explique le peu d’entrain du maire et du conseil municipal à matérialiser cette décision. Daouda Niang soulève l’éternel prétexte du manque de moyens financiers de la mairie de ville. Seulement voilà, les contradicteurs du maire libéral estiment que ce dernier anime la galerie puisque changer les plaques des rues ne nécessite pas de « renverser » la caisse d’une mairie qui a le deuxième plus important budget des collectivités locales de notre pays après celui de Dakar avec près de 7 milliards 400 millions. D’autant plus que, lorsqu’il s’agit de voyages inutiles et de séminaires à Saly pour lui et son conseil municipal, le maire dépense sans compter ! A Rufisque, l’on se demande comment les 7 milliards 400 millions sont gérés. Une manne financière assez conséquente qui peut bien permettre d’honorer les dignes fils de Rufisque parrains de rues. Et puis, le maire Daouda Ndoye ne va quand même faire ça à d’illustres figures comme les vénérés El Hadj Malick Sy et Cheikh Ahmadou Bamba Mbacké !
CAREME
Hier, lors du Conseil des ministres, le président Sall a ouvert son speech par des souhaits à la communauté chrétienne pour un Saint temps de Carême. Il a saisi ce moment intense de ferveur religieuse et de dévotion, pour prier, avec l’ensemble de la nation, pour un Sénégal de paix, renforcé par un dialogue interreligieux permanent et exemplaire. S’il saisissait cette occasion pour libérer le catholique Guy Marius Sagna et lui permettre de faire son carême en homme libre, ce serait encore mieux !
MACKY REVIENT SUR SES PROMESSES
Le président de la République a saisi l’occasion de l’anniversaire de son élection, le 24 février 2019, pour exprimer au peuple sénégalais, toute sa gratitude et sa reconnaissance pour sa confiance et son soutien. Il a réitéré son engagement quotidien à bâtir, dans un dialogue national remarquable, les consensus dynamiques afin de consolider un Sénégal uni dans la paix ; une nation émergente et prospère, dans la solidarité, le bienêtre équitable et durable. A ce titre, il a, plus que jamais, engagé le gouvernement à accélérer les réformes sectorielles fondamentales ; et à intensifier l’exécution optimale des projets du Plan Sénégal Emergent (PSE). Des promesses non tenues !
JEUX OLYMPIQUES
Le chef de l’Etat tient à la réussite de la grande compétition des JO qui se tiendra à Dakar en 2022. Hier, en conseil des ministres a informé les membres du gouvernement avoir procédé, le jeudi 20 février 2020, à la pose de la première pierre du stade Olympique de 50 000 places à Diamniadio, dont la durée des travaux est fixée à dix-sept (17) mois. Il s’agit d’une infrastructure sportive multifonctionnelle, de dernière génération, dédiée à la jeunesse sénégalaise qui confirme son ambition de faire du Sénégal, une nation de Sport, préparée pour accueillir toutes les grandes manifestations et compétitions sportives internationales. A cet effet, il a exhorté le ministre des Sports et les membres du gouvernement impliqués, à accorder une haute priorité à la supervision des travaux d’infrastructures et des activités du Comité d’organisation. Il a demandé au ministre des Sports de finaliser, dans les meilleurs délais, en relation avec le mouvement sportif sénégalais, la réforme du sport universitaire et scolaire, véritable terreau des champions de demain.
CODE DE LA PRESSE
La situation des journalistes a été abordée, hier, en Conseil des ministres. Macky Sall abordant la thématique de la modernisation de la gouvernance de la communication et de l’audiovisuel, a demandé au ministre de la Communication de prendre toutes les mesures appropriées afin d’assurer la finalisation effective de l’ensemble des textes d’application du Code de la presse. Depuis le temps que le président Macky Sall répète cela…
REHABILITATION DES CHEMINS DE FER
Les infrastructures ont toujours été une surpriorité pour le régime en place. Hier, en abordant la réhabilitation et la relance des chemins de fer, le président Sall a évoqué la situation financière et sociale de Dakar Bamako Ferroviaire (DBF) tout en exhortant les acteurs à la mise en œuvre sans délai d’une stratégie globale et consensuelle de relance et de gestion. Il a, à cet effet, demandé au Ministre des Infrastructures et des Transports terrestres et au Secrétaire d’Etat chargé du réseau Ferroviaire, de veiller, avec la Partie malienne, et la direction de DBF, à la stabilisation de la situation des travailleurs de l’entité et à la réhabilitation de la ligne.
ETUDES SUPERIEURES
Hier, en le chef de l’Etat, au sujet de la situation académique dans certaines spécialités enseignées dans les universités publiques, a demandé au Ministre de l’Enseignement supérieur, aux recteurs, notamment celui de l’Université Cheikh Anta DIOP, d’examiner les modalités d’instauration de l’Eméritat pour résoudre les difficultés que rencontrent certains étudiants en Master pour s’inscrire en thèse. En ce qui concerne le suivi de la coopération et des partenariats, le Président de la République, a demandé, au Ministre de la Santé et de l’Action sociale, au Ministre des Infrastructures et des Transports terrestres, sous la coordination du Ministre des Finances et du Budget, de déployer toutes les actions adéquates afin d’accélérer l’édification en cours du projet d’Hôpital International de Dakar, un établissement de santé privé de 171 lits pour 200 emplois directs. Dans cette dynamique, il a informé le Conseil de la visite de travail et d’études en cours Monsieur Juldeh Jalloh, Vice-Président de la Sierra Léone, accompagné d’une forte délégation de ministres.
SENEGAL PROPRE
Macky tient toujours à rendre les villes du Sénégal propres. Il a informé de la tenue prochaine de la journée mensuelle de nettoiement, appelée « Bessu Settal » le samedi 07 mars 2020, dont l’activité phare se déroulera à Thiès.
Ce livre raconte l’histoire de deux jeunes Sénégalaises qui veulent à tout prix échapper à leur condition et sortir de la pauvreté. On rit, on pleure, on s’émeut à la lecture du roman d’Aminata Sophie Dieye, disparue il y a quelques années
C’est un coup de cœur littéraire que nous fait partager Aminata Thior. « La nuit est tombée sur Dakar » raconte l’histoire de deux jeunes Sénégalaises qui veulent à tout prix échapper à leur condition et sortir de la pauvreté. On rit, on pleure, on s’émeut à la lecture du roman d’Aminata Sophie Dieye, disparue il y a quelques années.
« La nuit est tombée sur Dakar » , éditions Grasset.
ACHILLE MBEMBE, L'UNIVERSEL AFRICAIN
Auteur d’une œuvre qui dénonce le « brutalisme » et les dérives totalitaires de l’ère contemporaine, le philosophe camerounais cherche à penser les bases d’une nouvelle humanité et « créer du vivant à partir de l’invivable »
Le Monde |
Severine Kodjo-Grandvaux |
Publication 26/02/2020
Auteur d’une œuvre qui dénonce le « brutalisme » et les dérives totalitaires de l’ère contemporaine, le philosophe camerounais cherche à penser les bases d’une nouvelle humanité et « créer du vivant à partir de l’invivable ».
Il est des fantômes qui accompagnent les vivants et les marquent à jamais. Les pas de l’historien et philosophe Achille Mbembe, depuis sa plus tendre enfance, sont portés par ceux de Ruben Um Nyobè, leader nationaliste camerounais tué par l’armée française, puis effacé des mémoires par le régime camerounais après l’indépendance. « L’histoire de Um Nyobè m’a longtemps hanté et a marqué ma trajectoire intellectuelle au point que l’écriture a été, pour moi, un acte de réparation », explique le philosophe, qui est l’un des penseurs les plus en vue d’Afrique francophone.
Né en 1957, à une soixantaine de kilomètres de Yaoundé, dans une famille qui a vécu dans sa chair la guerre pour la libération du Cameroun (de 1955 à 1962), Achille Mbembe a grandi, dit-il, « au sein de trois imaginaires : celui autochtone traditionnel transmis par les contes lors des veillées, celui chrétien de l’univers biblique, et celui de la lutte anticoloniale », ce dernier hérité de sa grand-mère. L’un de ses oncles, fils de cette maquisarde analphabète qui savait lire le monde invisible, a été tué, le 13 septembre 1958, aux côtés du leader nationaliste Ruben Um Nyobè dont le cadavre fut traîné, de village en village, par les forces armées françaises. Acte de profanation suprême pour le peuple Bassa. Acte de terreur, aussi, à une époque où l’armée française avait pour habitude de planter, sur des piques bordant les routes, les têtes des indépendantistes tués.
Dix ans d’éloignement
C’est à Achille Mbembe que l’on doit la publication des écrits de Mpodol (surnom de Um Nyobè qui signifie « le porte-parole » en bassa), qu’il a exhumés des archives nationales camerounaises lors de ses recherches pour ses études d’histoire ; il attendra d’être à Paris, où il poursuit son doctorat, pour les rassembler dans deux ouvrages publiés chez L’Harmattan, Le Problème national kamerunais (1985) et Ecrits sous le maquis (2004). Le premier est immédiatement censuré au Cameroun et vaudra à Achille Mbembe une convocation à la direction de la communication, autre nom des services de renseignement. « Pendant dix ans, je n’ai pu rentrer chez moi, même pour la mort de mon père », raconte Achille Mbembe. Il ne pourra revoir sa terre natale qu’en 1992, et sous protection de l’ambassade américaine. Son retour retour définitif en Afrique, ce fut d’abord le Sénégal, à Dakar où, de 1996 à 2000, il dirige le Conseil pour le développement de la recherche en sciences sociales en Afrique (Codesria), le plus grand institut de recherche du continent. Puis il part pour l’Afrique du Sud où, depuis vingt ans, il est professeur d’histoire et de sciences politiques à l’université de Witwatersrand (Johannesburg) et chercheur au Wits Institute for Social and Economic Research (WISER).
L’extrême violence de la colonisation a été non seulement l’origine de son engagement d’historien, mais elle ponctue toute sa réflexion, depuis ses premiers travaux jusqu’à ses derniers ouvrages, dont Sortir de la grande nuit (La Découverte, 2010), Politique de l’inimitié (La Découverte, 2016) et Brutalisme (La Découverte, 246 p., 17 euros). Dans ce nouvel essai, il analyse lucidement les dérives de notre monde contemporain – aussi bien les postcolonies que les démocraties libérales occidentales. Le néolibéralisme transforme l’humanité en « matière et énergie » et un développement technologique sans frein floute la distinction entre l’humain et l’objet. C’est toute la compréhension de l’humain qui s’en trouve bouleversée.
Grand lecteur du psychiatre et militant anticolonialiste martiniquais Frantz Fanon et de Michel Foucault, Achille Mbembe a su non seulement sortir du paradigme camerounais pour penser l’Afrique mais, très vite, sa réflexion a porté sur des problèmes civilisationnels et politiques globaux. La mondialisation tend à appliquer, partout et envers tous ceux jugés inutiles au capitalisme, ce qui était jusqu’alors réservé aux Africains, transformés lors de la traite esclavagiste transatlantique en « corps-objet », « corps-outil ». C’est là « le devenir-nègre du monde » qu’il dessine dans Critique de la raison nègre (La Découverte, 2013).
La « frontiérisation » des espaces
Le basculement s’est fait avec De la postcolonie, essai paru en 2000 chez Karthala, dont la réception a été plutôt confidentielle en France et que La Découverte réédite aujourd’hui. Cet ouvrage incontournable est devenu un classique pour qui travaille sur le postcolonialisme, courant dont ne se réclame pas Achille Mbembe. « Les critiques postcoloniales constituent le point de départ de la pensée de Mbembe, mais pas son point d’arrivée », explique la philosophe Nadia Yala Kisukidi, maîtresse de conférences à Paris-VIII. L’essai a connu un grand succès outre-Atlantique, aux Etats-Unis, où le penseur camerounais a enseigné dans les plus grandes universités – Columbia, Duke, Harvard –, mais aussi au Brésil.
« De la postcolonie est un livre de rupture dans ma réflexion. Je l’ai écrit aux Etats-Unis où j’ai découvert les traditions philosophiques afro-américaines et juives. Cette rencontre a été un moment décisif dans ma vie intellectuelle et m’a permis de me penser, non plus comme Camerounais, mais comme Africain. C’est là que la question de l’Afrique s’est posée à moi d’un point de vue conceptuel et politique », analyse l’auteur. Dans Brutalisme, il dénonce d’ailleurs la « frontiérisation » des espaces qui entrave la liberté de mouvement des femmes et des hommes à l’intérieur du continent, mais également sur l’ensemble du globe.
Achille Mbembe décrit un monde où, y compris au sein des démocraties libérales, « l’état de guerre se répand au sein de l’état civil »
« La frontière est devenue le nom de la violence organisée », écrit-il, « le lieu de la non-relation » où s’opère le « déni d’une humanité commune », à tel point que le monde se transforme en une multitude de camps où l’on parque des populations, y compris des enfants, que l’on ne saurait accepter chez soi, réactivant ainsi la haine de l’autre. Revenant sur le développement de la technologie au service d’une surveillance généralisée, Achille Mbembe décrit un monde où, y compris au sein des démocraties libérales, l’état d’exception devient la norme, où « l’état de guerre se répand au sein de l’état civil », et où les polices emploient des armes habituellement utilisées sur les champs de bataille. « Naturalisation de la guerre sociale », le brutalisme est le symptôme de « l’âge de la prédation et de l’extraction » qui tue notre planète. C’est « l’âge de la combustion du monde ».
Un certain pessimisme traverse son œuvre. Il s’en défend affirmant qu’une double interrogation l’habite : « Comment apprendre à gagner à nouveau ? Comment vivre quand il est interdit d’être vivant ? ». C’est tout le projet de son œuvre qui interroge les modalités du renouveau en Afrique, là où les femmes et les hommes ont dû « recréer du vivant à partir de l’invivable », écrit-il dans Brutalisme.
Achille Mbembe porte en lui une foi inébranlable. Malgré tout. Ancien membre de la Jeunesse étudiante chrétienne camerounaise, il est un lecteur assidu de la Théologie de la libération (1971) du prêtre et philosophe péruvien Gustavo Gutiérrez, d’Ernst Bloch, mais aussi du philosophe camerounais Jean-Marc Ela, sa « lumière », auteur du Cri de l’homme africain (L’Harmattan, 1980), réflexion fanonienne sur le thème de la libération à partir de la perspective théologique. « L’Evangile est la “bonne nouvelle”, celle d’une nouvelle espérance. Les temps ne sont pas finis, professe Achille Mbembe. Ils sont là, devant nous. Cela nous interdit de nous résigner mais nous engage sur des nouveaux chemins de responsabilité, afin de construire la communauté, celle d’une nouvelle humanité, dans laquelle se reconnaissent toutes les nations. »
HARO SUR BERNIE SANDERS !
René Lake revient au micro de VOA, sur le débat télévisé de la nuit dernière entre les démocrates, marqué par un tir groupé des candidats contre le favori des sondages, dans une ambiance générale assez chaotique
Ce dixième débat télévisé entre les démocrates en lice pour la Maison Blanche n'aura pas laissé de souvenirs intarissables. Entre candidats qui s'écharpent à longueur de temps, d'autres qui se coupent la parole, le dernier rendez-vous avant les primaires décisifs de la Caroline du Sud et du Super Tuesday, s'est déroulé dans la cacophonie.
L'analyste politique René Lake en décrypte les faits saillants, dans cette tranche du journal de VOA Afrique, à partir de la 24è minute.
DAKAR-BAMAKO ÉVOQUÉ EN CONSEIL DES MINISTRES
Le président demande au ministre des Transports et au Secrétaire d'État chargé du réseau Ferroviaire, de veiller, avec la partie malienne, et la direction de DBF, à la stabilisation de la situation des travailleurs - COMMUNIQUE
SenePlus publie i-dessous, le communiqué du Conseil des ministres du 26 février 2020.
"Le Président de la République, Son Excellence Monsieur Macky SALL, a présidé le Conseil des ministres, le mercredi 26 février 2020, au Palais de la République.
Le Chef de l'État, à l'entame de sa communication, a adressé en ce début de Carême ses chaleureuses félicitations à la Communauté chrétienne. Il a saisi ce moment intense de ferveur religieuse et de dévotion, pour prier, avec l'ensemble de la Nation, pour un Sénégal de paix, renforcé par un dialogue interreligieux permanent et exemplaire.
Le Chef de l'État a, par ailleurs, saisi l'occasion de l'anniversaire de son élection, le 24 février 2019, pour exprimer au Peuple sénégalais, toute sa gratitude et sa reconnaissance pour sa confiance et son soutien. Il a réitéré son engagement quotidien à bâtir, dans un dialogue national remarquable, les consensus dynamiques afin de consolider un Sénégal uni dans la paix ; une Nation émergente et prospère, dans la solidarité, le bien-être équitable et durable. A ce titre, il a, plus que jamais, engagé le Gouvernement à accélérer les réformes sectorielles fondamentales ; et à intensifier l'exécution optimale des projets du Plan Sénégal Emergent (PSE).
Le Président de la République, revenant sur l'organisation des jeux olympiques de la Jeunesse (JOJ 2022), a informé le Conseil avoir procédé, le jeudi 20 février 2020, à la pose de la première pierre du stade Olympique de 50 000 places à Diamniadio, dont la durée des travaux est fixée à dix-sept (17) mois. Il s'agit d'une infrastructure sportive multifonctionnelle, de dernière génération, dédiée à la jeunesse sénégalaise qui confirme son ambition de faire du Sénégal, une Nation de Sport, préparée pour accueillir toutes les grandes manifestations et compétitions sportives internationales.
Le Chef de l'État a, dans cet esprit, exhorté le Ministre des Sports et les membres du Gouvernement impliqués, à accorder une haute priorité à la supervision des travaux d'infrastructures et des activités du Comité d'organisation. Il a demandé au Ministre des Sports de finaliser, dans les meilleurs délais, en relation avec le mouvement sportif sénégalais, la réforme du sport universitaire et scolaire, véritable terreau des champions de demain.
Le Président de la République, abordant la place de l'Artisanat dans le développement économique national, a souligné son rôle essentiel dans le rayonnement international du Sénégal, la consolidation du savoir-faire local et la création d'emplois spécialisés. Il a, à ce titre, demandé aux ministres et aux entreprises publiques de promouvoir, davantage, l'équipement et la décoration des structures par le recours systématique au mobilier national, aux productions et créations de nos artisans. Il a, en outre, instruit le Gouvernement, de prendre toutes les dispositions idoines pour assurer le succès de l'organisation du Salon International de l'Artisanat, prévu du 5 au 10 mars 2020 à Dakar.
Le Chef de l'État, au sujet de la mise en oeuvre de notre politique énergétique, est revenu sur l'inauguration, qu'il a effectuée ce 24 février 2020 à Taïba Ndiaye, du premier parc éolien, de près de 160 MW, renforçant ainsi notre politique de mix énergétique, l'accès universel à l'électricité, et la promotion du développement durable. Il a félicité le maire de Taïba Ndiaye et les populations de la localité pour leur participation notable à la réussite du projet.
Il a demandé au Ministre du Pétrole et des Energies, au Ministre de l'Environnement et du Développement Durable de veiller, en relation avec les différents partenaires du secteur, au renforcement de la production nationale d'une "Energie propre" conforme à nos engagements internationaux.
Le Président de la République, abordant la thématique de la modernisation de la gouvernance de la communication et de l'audiovisuel, a demandé au Ministre de la Communication de prendre toutes les mesures appropriées afin d'assurer la finalisation effective de l'ensemble des textes d'application du Code de la presse.
Au titre des affaires intérieures, le Chef de l'État a demandé aux ministres impliqués, sous la coordination du Ministre de l'Intérieur, de faire prendre toutes les dispositions, en rapport avec les organisateurs désignés, afin d'assurer la bonne organisation du Magal de Porokhane prévu le 05 mars, de l'édition 2020 du Daaka de Médina Gounass prévue du 14 au 24 mars et du 140 ème anniversaire de l'Appel de Seydina Limamou Laye, les 25 et 26 mars 2020.
Le Président de la République, abordant la réhabilitation et la relance des chemins de fer, a évoqué la situation financière et sociale de Dakar Bamako Ferroviaire (DBF) tout en exhortant les acteurs à la mise en œuvre sans délai d'une stratégie globale et consensuelle de relance et de gestion. Il a, à cet effet, demandé au Ministre des Infrastructures et des Transports terrestres et au Secrétaire d'État chargé du réseau Ferroviaire, de veiller, avec la Partie malienne, et la direction de DBF, à la stabilisation de la situation des travailleurs de l'entité et à la réhabilitation de la ligne.
Le Chef de l'État, au sujet de la situation académique dans certaines spécialités enseignées dans les universités publiques, a demandé au Ministre de l'Enseignement supérieur, aux Recteurs, notamment celui de l'Université Cheikh Anta DIOP, d'examiner les modalités d'instauration de l'Eméritat pour résoudre les difficultés que rencontrent certains étudiants en Master pour s'inscrire en thèse.
En ce qui concerne le suivi de la coopération et des partenariats, le Président de la République, a demandé, au Ministre de la Santé et de l'Action sociale, au Ministre des Infrastructures et des Transports terrestres, sous la coordination du Ministre des Finances et du Budget, de déployer toutes les actions adéquates afin d'accélérer l'édification en cours du projet d'Hôpital International de Dakar, un établissement de santé privé de 171 lits pour 200 emplois directs.
Le Chef de l'État a informé le Conseil de la visite de travail et d'études en cours Monsieur Juldeh Jalloh, Vice-Président de la Sierra Léone, accompagné d'une forte délégation de ministres.
Le Président de la République a également informé de la tenue prochaine de la journée mensuelle de nettoiement, appelée « Bessu Settal » le samedi 07 mars 2020, dont l'activité phare se déroulera à Thiès.
Enfin, le Chef de l'État a clos sa communication sur son agenda diplomatique.
Au titre des communications :
Le Ministre d'État, Secrétaire général de la Présidence de la République a fait une communication portant sur la mission d'assistance technique de la Banque Mondiale, le suivi du Doing Business et la tenue du Conseil interministériel sur le port de Ndayane.
Le Ministre des Finances et du Budget a fait le point sur l'exécution du budget 2020, le bilan de la campagne agricole et l'apurement de la dette intérieure.
Le Ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l'Extérieur a fait une communication sur la préparation du Pèlerinage à la Mecque, édition 2020, la rencontre entre le Sénégal et la Gambie dans le domaine du transport et sur la situation internationale.
Le Ministre du Développement communautaire, de l'Equité sociale et territoriale a rendu compte de l'organisation de la conférence territoriale spéciale d'harmonisation sur l'Equité portant sur l'élaboration de la situation de référence sur les cinq (5) accès universels dans la région de Kaffrine.
Le Ministre des Infrastructures, des transports terrestres et du Désenclavement a fait une communication sur la refonte du code de la route, notamment dans la partie législative, marquée par la modernisation des systèmes de transports visant à promouvoir un transport routier, mettant l'accent sur la responsabilisation des usagers de la route.
Le Ministre de l'Environnement a fait le point sur le classement des forêts au Sénégal.
Le Ministre de la Santé et de l'Action sociale a fait une communication sur le plan d'urgence élaboré pour faire face à l'épidémie liée au Covid-19.
Le Ministre de la Pêche et de l'Economie maritime a fait le point sur l'état d'avancement du projet de dragage de la brèche de Saint-Louis.
Le Ministre de la Femme a partagé avec le Conseil la situation des différents fonds de financement et d'autonomisation économique des femmes.
Le Ministre de la Microfinance, de l'Economie sociale et solidaire a fait une communication sur la stratégie adoptée par son département pour une meilleure efficacité de ses programmes et une baisse des taux d'intérêt.
Le Ministre auprès du Président de la République, en charge du Suivi du Plan Sénégal Emergent a fait le point sur l'état d'avancement du projet phare de la Tour de Gorée et des réformes phares prioritaires.
Au titre des textes législatifs et réglementaires, le Conseil a examiné et adopté:
- le projet de loi autorisant le Président de la République à ratifier l'accord en matière de pêche maritime et d'aquaculture entre le Maroc et le Sénégal ;
- le projet de loi, modifiant la loi 2017-24 du 28 janvier 2017, portant création, organisation et fonctionnement des tribunaux du commerce et des chambres commerciales d'Appel."