SenePlus | La Une | l'actualité, sport, politique et plus au Sénégal
2 octobre 2025
VIDEO
LA CROISADE VERTE D'ALI HAÏDAR
EXCLUSIF SENEPLUS - L'écologiste et patron de l'agence de reforestation de la grande muraille, recommande d'agir vite et maintenant face au péril climatique qui se manifeste de plus en plus dans le pays
Boubacar Badji et Youssouf Ba |
Publication 13/03/2020
Haïdar El Ali reste préoccupé par la dégradation de l'environnement. Le directeur général de l'agence sénégalaise de reforestation de la grande muraille verte, revient au détour de cet entretien, sur sa condition de réfugié climatique, le danger des vents de sable, la pollution et tous genres, le défi du désencombrement à Dakar et le trafic de bois qui apprauvrit la forêt. L'ancien ministre a aussi décliné des piste de solution pour préserver l'environnement.
35% DES EXONÉRATIONS SONT DETOURNÉES
Le ministre des Finances et du Budget, Abdoulaye Daouda Diallo, a révélé que 35 % des exonérations fiscales ont été détournées
En marge de la rentrée fiscale, ce mardi, le ministre des Finances et du Budget, Abdoulaye Daouda Diallo, a révélé que 35 % des exonérations fiscales ont été détournés. Ce chiffre, brandi par le ministre qui procédait au lancement du programme « Yaatal » de la Direction générale des impôts et domaines (Dgid), serait tiré d’une enquête de l’Inspection générale des finances (Igf). Ces détournements d’objectif ont poussé le ministre à bloquer ces titres. Il répondait ainsi à une interpellation du président du CNP (Conseil national du patronat) Baïdy Agne.
RÉCEPTION TECHNIQUE D’UN FORAGE DU PUDC À KEUR MBIR NDAO
e coordonnateur du Programme d’urgence pour le développement communautaire (PUDC) a procédé à la réception technique d’un forage, dont le coût des travaux à terme est estimé à près de 250 millions de Fcfa.
Keur Mbir Ndao (Thiès), 12 mars (APS) - Le coordonnateur du Programme d’urgence pour le développement communautaire (PUDC) a procédé, jeudi à Keur Mbir Ndao, dans la commune de Notto Gouye Diama (Thiès, ouest) à la réception technique d’un forage, dont le coût des travaux à terme est estimé à près de 250 millions de Fcfa.
’’Nous avons pu réaliser ce forage en un temps record, à peu près une dizaine de jours, et à la réception, nous avons un débit satisfaisant de 130 m3/heure, avec une qualité d’eau satisfaisante’’, a dit Cheikh Diop.
Il avait à ses côtés, le maire de Notto Gouye Diama, Maguèye Ndiaye.
’’C’est le 240-ème forage du PUDC depuis que nous avons démarré la première phase’’, a dit M. Diop, annonçant la réalisation lors de la seconde phase, d’une ’’centaine’’ dans d’autres les localités du Sénégal
Le forage de Keur Mbir Ndao recevra à terme environ 250 millions de FCFA d’investissements, avec notamment la construction d’un château d’eau d’une capacité de 150 m3 qui va desservir une dizaine de villages dans les communes de Mont Rolland et Notto Gouye Diama.
Les études techniques ont, d’après M. Diop, montré que des villages proches de la commune de Notto peuvent être raccordés à réseau du forage.
Le chef de village de Keur Mbir Ndao, Elhadj Pathé Thiam a salué la construction de cet ouvrage qui va soulager les 14.000 habitants de sa localité, privée d’eau courante depuis plus d’une décennie.
Il a plaidé pour que le village soit dès à présent branché au forage, en attendant de terminer le château d’eau.
Selon Mame Ndiaga Ciss, secrétaire général du Mouvement des jeunes pour le développement de Keur Mbir Ndao, les habitants de ce bourg avaient rassemblé 7, 5 millions de fcfa au début des années 2000, pour accéder au réseau d’eau d’un village situé à 7 km, dans la commune de Mont Rolland. Ils étaient appuyés dans ce projet par une ONG.
Après deux ans de fourniture d’eau, le circuit de raccordement a été ‘’intercepté par des cultivateurs’’, les privant du liquide précieux depuis plus de 15 ans.
Les populations devaient, pendant tout ce temps, s’approvisionner à partir d’autres forages, par le moyen de charrettes transportant sur une dizaine de kilomètres des bidons d’eau de 20 litres, achetés à 100 francs CFA l’unité.
Après plusieurs manifestations à l’appel du mouvement de jeunes, leur demande a été prise en compte en 2019, lors d’une visite dans la localité du ministre en charge du Développement communautaire.
UNE CONTRIBUTION DE 200 MILLIONS DE FRANCS CFA DU KHALIFE GÉNÉRAL DES MOURIDES
Le khalife général des mourides, Serigne Mountakha Mbacké, va donner 200 millions francs CFA en guise de contribution à la lutte contre la maladie à coronavirus au Sénégal, a annoncé jeudi soir son porte-parole, Serigne Bassirou Abdou Khadre Mbacké.
Dakar, 13 mars (APS) - Le khalife général des mourides, Serigne Mountakha Mbacké, va donner 200 millions francs CFA en guise de contribution à la lutte contre la maladie à coronavirus au Sénégal, a annoncé jeudi soir son porte-parole, Serigne Bassirou Abdou Khadre Mbacké.
Dans une déclaration diffusée par la télévision nationale, la RTS, le porte-parole du guide religieux a invité les Sénégalais à soutenir l’élan de solidarité du khalife pour aider l’Etat à éradiquer l’épidémie.
Le khalife général des mourides a invité les Sénégalais au respect des règles d’hygiène édictées par les médecins.
L’hygiène est l’une des règles de base de l’islam, a-t-il rappelé, via son porte-parole.
‘’L’islam recommande de rester là où une maladie s’est déclarée’’, afin de ne pas la propager, a-t-il dit, invitant les musulmans à ‘’un retour vers Dieu et à la prière’’.
Le Sénégal compte huit cas de maladie à coronavirus, selon le ministère de la Santé et de l’Action sociale.
Le Khalife général des mourides donne 200 millions
La communauté mouride joue sa partition dans la lutte contre le coronavirus menace le monde. Le porte-parole du Khalife général des mourides, Serigne Bassirou Abdou Khadre a déclaré hier tard dans la soirée que Serigne Mountakha Bassirou Mbacké a remis aux autorités étatiques une somme de 200 millions pour contribuer à l’effort de guerre contre le coronavirus. Le Khalife a également demandé aux talibés de contribuer. Même s’il ne le dit pas formellement, tout laisse croire que Touba est disposé à reporter le Magal Kazu Rajab si la situation empire.
Dialogue politique dans l’impasse
Consensus impossible sur la question des autorités en charge de l’organisation des élections. Le président de la commission du dialogue politique, le Général Mamadou Niang, en a fait le constat hier lors de la synthèse des travaux. La mouvance présidentielle, l’opposition et les partis non alignés ne parlent pas le même langage. Il y a un désaccord total sur la question pendant deux séances. Le hic est qu’en discutant des institutions en charge de l’organisation des élections, les acteurs évoquent forcément les problèmes du processus électoral et les failles notées lors des dernières échéances. A ce propos, la mouvance présidentielle ne partage pas l’avis de l’opposition et des non-alignés. Ce que ces derniers considèrent comme des manquements, la mouvance minimise. Ainsi, depuis deux séances, ils tournent en rond et le président de la commission en a fait le constat. Pourtant, les partis non alignés avaient alerté très tôt qu’ils fonçaient droit vers l’impasse. Selon Déthié Faye, les non-alignés avaient proposé que les experts fassent d’abord l’évaluation du processus électoral avant que la commission politique n’aborde ces questions. Mais la majorité n’avait pas voulu suivre. Aujourd’hui, l’histoire leur a donné raison puisqu’ils se retrouvent dans une impasse.
Dialogue politique dans l’impasse (bis)
Restons aux travaux de la commission politique pour dire qu’afin de surmonter l’obstacle, les acteurs se sont accordés sur la suspension de la question des autorités en charge de l’organisation des élections (CENA, DGE, CNRA). Désormais, ce sujet est suspendu à l’évaluation du processus électoral par des experts. Ainsi les acteurs discuteront des manquements et problèmes relevés par les experts ainsi que leurs recommandations. Avec cette méthode, il y a de fortes chances qu’ils trouvent un consensus sur le point. Toutefois, ce n’est pas pour demain les conclusions des évaluateurs du processus électoral. D’autant que la procédure de sélection des experts n’a pas encore commencé. Les membres de la commission politique n’ont pas encore rencontré les partenaires qui financent l’audit et l’évaluation du processus pour en échanger. Ils fixeront ensemble la date de démarrage de l’audition et la fin des travaux. En attendant, les acteurs politiques vont poursuivre les discussions sur d’autres questions, notamment celles liées à la rationalisation du calendrier électoral, le statut de l’opposition et de son chef etc..
Sylvie Maal poursuit son ex-mari pour 22 millions
Pape Demba Seck a été attrait hier à la barre du Tribunal correctionnel de Dakar pour vol de chèques et faux et usage de faux dans une écriture de banque. La plaignante n’est personne d’autre que son ex-femme, Sylvie Maal. Il a nié les faits et parle de la générosité de sa femme. A l’en croire, elle le bombardait de cadeaux et de billets de banque. Il révèle que son ex-femme lui a offert un billet pour La Mecque et 5 millions de francs. Pape Demba Seck ajoute que lorsque Sylvie Maal a vendu ses appartements, elle lui a offert 5 millions mais il a eu à dépenser 7 millions. D’après M. Seck, c’est lorsqu’il a commencé à se désintéresser de Sylvie, parce qu’il n’a plus de temps à lui consacrer avec ses 3 femmes, que cette dernière lui a demandé de rendre le chèque. Ce qu’il a fait. Toutefois, Pape Demba Seck avoue avoir commis une erreur en utilisant plus que la somme qu’elle lui avait donnée. Il dément avoir imité la signature de Sylvie Maal sinon, dit-il, la banque allait découvrir la supercherie. Pour le parquet, même si le prévenu conteste les faits qui lui sont reprochés, le délit est avéré. Sylvie Maal avait déposé une plainte en février 2015 contre M. Seck qui n’était que son petit-ami, car elle avait nié le mariage religieux. Le Parquet a donc requis 2 ans assortis du sursis. Pour l’avocat de la défense, cette affaire est un véritable mélodrame. A l’en croire, Sylvie Maal est l’héritière de l’ancien hôtel Leyticia qui est devenu Elysée. A l’en croire, la plaignante est une riche héritière de nationalité française, née à Dakar, qui était amoureuse de son client. Pour la robe noire, il n’a jamais été question d’imitation d’écriture. Délibéré le 26 mars prochain.
L’institut Pasteur va lancer des kits de dépistage rapide
Des kits de test rapide qui, selon les scientifiques, permettront de diagnostiquer le coronavirus en 10 minutes, sont en cours de développement dans un laboratoire de Dakar. Ces kits de dépistage rapide du coronavirus devraient être disponibles à partir du mois de juin. Le projet de l’installation Dia Tropix, construite sur mesure, est une collaboration entre la société de biotechnologie britannique Mologic et le célèbre Institut Pasteur de Dakar, au Sénégal. Près de deux millions de kits devraient être produits chaque année et seront distribués directement sur le continent, selon le site web de l’industrie DevEx. À ce jour, 12 pays africains ont signalé des cas confirmés avec au total 112 patients déclarés positif et deux décès.
Assane Guèye poursuivi pour assassinat
Assane Guèye, accusé d’avoir tué à coups de couteau l’étudiante Marième Diagne, a finalement été placé sous mandat de dépôt hier. Ainsi, il a passé sa première nuit à la Maison d’Arrêt et de Correction (MAC) de Thiès. A rappeler que le présumé meurtrier de Marième Diagne avait été déféré au parquet le mercredi pour meurtre avec prémédication, coups et blessures volontaires. Mais le parquet avait demandé l’ouverture d’une information judiciaire pour assassinat, avant de requérir le mandat de dépôt. Après donc un retour de parquet, il a fait face hier au juge du premier cabinet du Tribunal de Grande Instance de Thiès, qui l’a placé sous mandat de dépôt. Au vu des charges qui pèsent sur lui, Assane Guèye risque gros. Pour rappel, c’est le samedi dernier qu’Assane Guèye, marchand ambulant devenu boutiquier, avant de rallier le Maroc, s’est introduit au domicile familial de son ex-copine, à qui il réclamait de l’argent. C’est aux environs de 14 heures qu’il a commis l’irréparable, en plantant plusieurs coups de couteau à Marième Diagne qui rendra l’âme à l’hôpital. Dans notre édition d’hier, le mari de la défunte, Cheikh Faye, réclamait que les clés de la cellule de prison d’Assane Guèye soient jetées à la mer après son incarcération, tellement son acte est abominable.
Abdoulaye Diouf Sarr à Touba
La capitale du Mouridisme est au devant de la scène depuis la confirmation de six cas suspect au coronavirus. Le ministre de la Santé et de l’Action sociale a effectué une visite d’urgence à Touba pour impliquer davantage les chefs religieux dans la sensibilisation contre la pandémie du coronavirus. Abdoulaye Diouf a été reçu par le porte-parole du Khalife général des mourides, Serigne Bassirou Abdou Khadre. Ils ont discuté de la pandémie du Coronavirus.
Macky Sall Quelle contradiction !
Apparemment, le Président Macky Sall veut dire aux populations : faites ce que je vous dis, ne faites pas ce que je fais. Le chef de l’Etat a profité hier de l’inauguration de la vieille école El hadji Bibi Ndiaye pour appeler les populations à éviter les rassemblements. Alors qu’il présidait un rassemblement dont il aurait bien pu se passer. Mieux, il exhorte les gens à respecter les recommandations du Ministère de la Santé et de l’Action sociale. Les autorités ne semblent pas mesurer les dangers du coronavirus qui a mis à genou de grandes puissances comme la Chine, la France qui ferme ses écoles et universités.
Chambre d’appel criminelle de Ziguinchor
Trois affaires sont inscrites au rôle à la deuxième session de la Chambre d’appel criminelle de Ziguinchor. Les magistrats ouvrent cette deuxième session lundi prochain avec une affaire d’incendie. Les audiences de jeudi concernent une affaire meurtre et de viol.
17,800 milliards pour la route Goudiry-Kidira
Le ministre de l’Economie et du Plan, Amadou Hott, a signé hier avec le Directeur général adjoint du Fonds koweitien de Développement Economique Arabe (FKDEA) l’accord de prêt complémentaire du projet de réhabilitation de la route Goudiry-Kidira. Le montant de ce prêt concessionnel est de 17,800 milliards de FCFA. Il vient en complément de celui signé en octobre 2017 ; ce qui porte la contribution du Fonds à 40,3 milliards de FCFA. Amadou Hott souligne que la route Goudiry-Kidira est un tronçon important de l’axe routier Tambacounda-Kidira-Bakel, de surcroît un pan non négligeable du corridor Bamako-Dakar par le Nord. Il a fait savoir que sa réhabilitation permettra d’assurer un meilleur niveau de service du réseau routier existant, pour faciliter l’accès aux capitales départementales et aux pays limitrophes. A cela s’ajoutent les aménagements et réalisations connexes tels que des pistes de désenclavement, des cases de santé, des forages et des murs de clôture d’écoles.
Fin de calvaire pour Keur Mbir Ndao
C’est la fin de calvaire pour les populations de Keur Mbir Ndao, dans la commune de Notto Gouye Diama dont la soif de 15 ans vient d’être étanchée par le Programme d’Urgence de Développement Communautaire (PUDC). En effet, la population de Keur Mbir Ndao ne ratait aucune occasion d’exprimer sa colère liée à ce manque d’eau criard et récurrent. Et en de pareilles occasions, elles jetaient toujours des pierres dans le jardin du pouvoir, estimant qu’une localité de 14 000 âmes et qui ne parvient pas à avoir le liquide précieux relève d’un cas unique en Afrique de l’Ouest. Selon le Directeur du PUDC, Cheikh Diop, l’ouvrage hydraulique a un débit de 130m3/heure, avec une qualité d’eau satisfaisante et un système d’adduction d’eau multi-villages. Le château d’eau, d’une capacité de 150 m3, va desservir une dizaine de villages situés dans les communes de Mont-Rolland et de Notto Gouye Diama, soit 15 000 personnes directement impactées. Le coût de l’investissement est de 250 millions de F Cfa.
Disons-le sans œillères. Nous sommes en train de creuser notre propre tombe où pourraient être ensevelis de milliers de Sénégalais. (A Dieu ne plaise. On se voit comme un pays à part, avec un peuple béni des dieux, différent des autres. Les plus beaux, les plus civilisés, les plus intelligents, les plus roublards, vaniteux…c’est nous. On pourrait même pousser l’hérésie jusqu’à dire que Dieu est Sénégalais. Certains n’ont pas hésité à le proclamer sans avoir été conduits à l’asile. Pendant que le monde se barricade, interdisant des rassemblements, chez nous, au Sénégal, l’Etat laisse faire sans montrer son autorité. En France, les écoles et universités sont fermées pour circonscrire la propagation de l’épidémie. Emasculé qu’il est par le pouvoir religieux, l’Etat du Sénégal n’ose pas broncher pour s’opposer à une oligarchie religieuse. La santé publique est menacée. Il y a quelques semaines, l’Italie en était à trois cas, aujourd’hui tout est à l’arrêt dans ce pays avec une population mise en quarantaine. Le cap des 1000 morts vient d’y être franchi. Dans ce charmant pays qu’est le nôtre où vivent les meilleurs hommes de l’humanité, rien de grave ne pourrait arriver nous arriver à nous qui sommes protégés par ces vénérés hommes de Dieu. Même si nous avons déjà 10 cas confirmés dont 2 déjà soignés. Et malgré ces chiffres pour le moins alarmants, quatre communautés religieuses s’apprêtent à tenir des rassemblements dits religieux. Et personne ne sait ce que cela donnera. L’Etat, garant de notre sécurité, ne doit pas faillir. C’est le Chef, lui-même, qui doit se faire entendre. Chausser ses babouches pour aller faire entendre raison à ces chefs religieux qui se préoccupent peu de la santé de leurs ouailles. L’heure est grave. L’Etat ne doit pas assister impuissant à l’extermination de sa population où croiser les bras pour assister au vacillement de l’économie du pays. Déjà que tout est morose avec des entreprises qui ferment, des jeunes en chômage. L’argent va également se raréfier. L’Europe qui nous sert de perfusion ayant d’autres chats à fouetter. C’est dire…
Kàccoor bi
SAR
La démission de Khadim Ba de ses fonctions d’administrateur à la Société africaine de raffinage (SAR) s’est faite sur fond de conflit familial. Plus exactement, elle est la prolongation de la bataille à mort qui l’oppose à son propre père pour le contrôle de la holding familiale « Locafrique ». D’ailleurs tiens ! Puisque dans l’œil qui suit nous parlons du PRODAC, il est intéressant de rappeler que « Locafrique » était justement l’un des principaux bailleurs de fonds du PRODAC. Khadim Bâ, donc, est à couteaux tirés avec son propre père pour le contrôle de Locafrique, et chacun d’eux a porté plainte contre l’autre pour une foultitude de crimes financiers. Si nous évoquons le conflit à la SAR, c’est pour révéler que le père de Khadim a servi… par voie d’huissier une lettre par laquelle il révoque son fils Khadim de ses fonctions d’administrateur, de même d’ailleurs que l’ancien ministre de l’Energie, Samuel Sarr, qui est administrateur pour le compte de Locafrique. Et parmi ceux qu’il a « nommés » pour les relancer il y a devinez qui ? Eh bien, Me Mamadou Diop, l’ancien directeur général du Groupe Futurs médias (GFM) et ancien proche collaborateur de Serigne Mboup CCBM ! Le monde est petit…
BAMBOULA FAMILIALE
En l’espace de quelques semaines, Pape Malick Ndour, coordonnateur national du PRODAC, a supprimé plus d’une cinquantaine d’emplois au motif de dégraisser l’effectif et a aussi servi des pelles de notifications de ponctions sur salaires à des agents. Au même moment, renseignent nos interlocuteurs, il recruterait à tort et à travers ses propres parents de Nguinguinéo. Il aurait, selon les mauvaises langues, promu deux retraités avec des salaires mensuels faramineux qui pourraient permettre de recruter une vingtaine de jeunes. Il aurait ainsi nommé son ancien instituteur comme conseiller spécial, un poste qui n’existe nulle part dans l’organigramme du programme. Ce même conseiller se permet de notifier des ponctions allant jusqu’à 18 jours sur les salaires des agents comme mesure disciplinaire, des mises à pied et d’autres sanctions qui ne figurent dans aucune convention dans ce pays. Sur les lettres envoyées à tous les agents qui ont vu leurs salaires ponctionnés ou bloqués, est apposée la signature du conseiller spécial qui signe à la place du coordonnateur national. Au niveau de SEFA, l’activité piscicole dirigée par des jeunes est tombée à l’eau et les sociétaires des GEA (Groupements d’Entrepreneurs Agricoles) sont au chômage. Le coordonnateur serait le seul détenteur du rapport d’audit du B.O.M, dont il refuse de partager les conclusions. D’après une information fuitée de ce rapport, les auditeurs lui suggèreraient de supprimer le poste de conseiller spécial qu’il a créé dès son arrivée au PRODAC mais il s’entête à maintenir ce poste de complaisance. Il a nommé l’ancien DAF Boucar Diouf à ce poste récemment. Toujours dans le rapport d’audit du B.O.M, on lui aurait notifié de supprimer aussi le poste de SPM 2 (Spécialiste de passation des marchés). Parmi les agents dont les contrats ont été bloqués, figure un jeune de Kolda qui travaille au DAC de Fafacoura (Kolda). Il percevait un salaire mensuel de 200.000 F CFA, mais dès que Mame Boye DIAO (DG des Domaines) a été mis au parfum, le coordonnateur a non seulement renouvelé le contrat de l’agent, mais encore a augmenté son salaire à hauteur de 750.000 FCFA et l’a nommé comme Responsable Suivi-évaluation affecté à Matam, puis en un temps record muté à Kolda. Depuis qu’il est arrivé au PRODAC, Pape Malick Ndour a recruté 13 personnes dont ses propres frères et cousins à travers les DAC (domaines agricoles communautaires).
LA GAMBIE IMPLIQUEE DANS LE TRAFIC ILLICITE DE BOIS MACKY SALL OUBLIE DE RAILLER ADAMA BARROW
Le conseil présidentiel mixte entre le Sénégal et la Gambie s’est tenu hier dans le contexte d’un reportage de la BBC (encore elle !) sur une spoliation de 300.000 tonnes de bois rose provenant de la forêt casamançaise vers la Chine. Ce depuis seulement l’arrivée au pouvoir d’Adama Barrow en 2017. L’on ne sait pas si, en privé, Macky Sall a remonté les bretelles à Adama Barrow, mais on sait qu’en public, le chef de l’Etat a esquivé le dossier. Il n’a pas mis son homologue gambien devant ses responsabilités à propos de ce fléau qui menace l’écosystème de la Casamance. Il a estimé qu’une collaboration s’imposait aux deux pays pour mettre un terme au trafic illicite de bois. Devant Adama Barrow, Macky Sall a seulement agité l’éventualité d’un alourdissement des peines encourues par trafiquants de bois et leurs complices (il va encore criminaliser ?) afin de mieux combattre le trafic illicite de bois, à l’origine de la dégradation des forêts et de la mise en péril des conditions de vie des populations. ‘’Nous continuerons de mobiliser tous les moyens nécessaires pour mettre fin à cette pratique néfaste, y compris par un alourdissement des peines prévues à cet effet’’, a-t-il indiqué. Selon le président de la République, le trafic illicite de bois est en train de décimer les forêts, d’appauvrir la biodiversité et de mettre en péril les conditions de vie des populations des deux pays. ‘’Je veux dire fermement aux coupeurs de bois, aux trafiquants et à leurs complices que nous ne leur laisserons aucun répit’’, a averti le chef de l’Etat sénégalais. Les trafiquants doivent trembler et faire dans leurs « thiayas » !
MACKY SALL INVITE A REPORTER LES EVENEMENTS RELIGIEUX
De plus en plus de voix se lèvent un peu partout dans le pays pour demander au président de la République de reporter les événements religieux à venir. D’autant que l’explosion de 5 cas nouveaux à laquelle on assiste actuellement est venue d’un talibé revenant du magal de Porokhane tenu la semaine dernière. Le Dr Mamadou Mansour Diouf, anesthésiste-réanimateur basé en France, est persuadé que le laxisme est le meilleur allié du virus. Dans une lettre adressée au président de la République du Sénégal, il lui demande solennellement « de prendre la décision régalienne et souveraine d’interdire la tenue du Daaka de Medina Gounass, de la Ziarra générale de Tivaouane, du Kazou Rajab à Touba, de l’Appel des Layènes à Yoff, des multiples gamous et magals et de toutes les manifestations sportives, culturelles, politiques qui n’ont aucun caractère vital, sur toute l’étendue du territoire jusqu’à nouvel ordre pour des raisons sanitaires et au nom de l’intérêt supérieur de la Nation ». Le médecin-réanimateur rappelle que « les pays occidentaux, qui sont passés en phase épidémique et qui ont largement plus de moyens que nous en termes d’infrastructures sanitaires, ont du mal à faire face à l’épidémie. Dans ce contexte, le Sénégal n’a pas le droit d’offrir au virus sur un plateau d’argent les conditions de sa propagation exponentielle. En votre qualité de Père de la Nation, la préservation de l’intérêt supérieur de cette Nation vous incombe au premier chef. À bon entendeur.... ». Seydi Gassama a aussi embouché la même trompette. Il a invité l’Etat à faire «annuler» ou «reporter» les événements religieux. «L’Etat doit avoir le courage de demander aux chefs religieux d’annuler ou de reporter tous les grands rassemblements prévus pendant ce mois de mars (...) Dans la plupart des États en lutte contre ce virus, ces mesures sont déjà en vigueur », a écrit Seydi Gassama, sur Twitter.
MACKY SALL INVITE A REPORTER LES RASSEMBLEMENTS RELIGIEUX (BIS)
Moustapha Diakhaté, l’ancien président du Groupe parlementaire Bby a aussi jeté son grain de sel dans ce débat en votant lui aussi pour l’interdiction — du moins le report — des rassemblements religieux qui se profilent à l’horizon. Il a décliné ses propositions sur sa page Facebook. «Compte tenu de l’introduction du Covid-19 à Touba par un compatriote venu d’Italie, un pays fortement impacté par la maladie pour participer à une manifestation religieuse, il convient de prendre les dispositions suivantes, c’est-à-dire interdire pendant 60 à 90 jours : 1. toutes les manifestations religieuses occasionnant des regroupements de masses ; 2. les cérémonies familiales, baptêmes, condoléances, mariages ; 3. l’accès du territoire national à toute personne ayant séjourné dans un pays infecté y compris les touristes ; 4. la mise en quatorzaine de tout Sénégalais (se) ayant séjourné récemment dans un pays impacté par le Covid19. Selon l’ancien ministre, chef de cabinet du président de la République, « en tout état de cause, la responsabilité de tout le peuple est engagée. Ce serait une grave erreur de nous défausser sur le Gouvernement Toutefois, il lui revient de prendre la plénitude de ses responsabilités et prérogatives de garant du bien-être des populations ».
LE MAROC ANNULE TOUS LES EVENEMENTS RELIGIEUX
Au Maroc, on n’a pas hésité à annuler tous les événements religieux, mais aussi à fermer le Zawiya de Fez, haut lieu du tourisme religieux en particulier des fidèles sénégalais de la confrérie des Tidjaanes. Le Maroc, qui comptait 5 cas jusque-là, vient tout juste d’enregistrer son 6ème cas. Il s’agit d’une Française d’origine sénégalaise âgée de 64 ans arrivée à Fès le jeudi 05 mars depuis la France. La décision d’annulation de tous les événements religieux a été prise par le ministère des Habous et des Affaires islamiques ce mercredi. Dans un communiqué, le ministère souligne que cette décision a été prise « conformément aux orientations de la charia relatives à la protection des âmes et des corps contre la ruine et tout dommage, en tenant compte de l’épidémie qui est apparue dans un certain nombre de pays et des conseils médicaux liés à ce sujet, en particulier ceux concernant la prévention des contagions lors des rassemblements ». Sur sa page Facebook consultée par Asfiyahi.org, Chérif Zoubeir Tijaani, Khalife de Fez, a également annoncé la fermeture de la Zawiya où repose Cheikh Ahmed Tijani Chérif.
FRANCE CRECHES, ECOLES, COLLEGES, LYCEES ET UNIVERSITES FERMES A PARTIR DE LUNDI
Emmanuel Macron a annoncé hier la fermeture des crèches, des écoles, des collèges, des lycées et des universités à partir de lundi 16 mars et jusqu’à nouvel ordre dans le but de freiner la propagation du coronavirus. Lors de son allocution télévisée d’hier, le président français a également demandé aux plus de 70 ans et aux plus faibles de rester autant que possible chez eux. La classe politique française n’est pas épargnée par le fléau. Neuf députés français sont désormais contaminés. Ce jeudi, quatre nouveaux députés ont annoncé être atteints par le coronavirus.
Touba : Cinq membres de la famille du Modou-Modou testés positifs au coronavirus, 71 personnes à hauts risques
Les chiffres deviennent alarmants, et pour cause. Le Sénégal enregistre officiellement six cas de contamination au coronavirus. Selon les Services du Ministère de la Santé et de l’Action sociale, cinq autres personnes, dont l’une des épouses et d’autres membres de la famille du patient d’hier, ont également été testés positif au coronavirus. Aussi, renseignent les Services de Diouf Sarr, 71 cas sont suspectés à Touba.
Coronavirus : Le Sénégal développe des « kits de test rapide »
Cette initiative fait partie d’un programme de recherche sur la prévention des coronavirus R980m. Lequel programme est financé par le gouvernement britannique pour l’intervention de contrôle des maladies. Le développement des kits de test est fait en partenariat avec la société de biotechnologie britannique Mologic et l’Institut Pasteur de Dakar au Sénégal, rapporte timeslive.co.za. Les kits de test devraient être des appareils portatifs. Ils seront mis au point à Dakar et devraient être disponibles, à partir du mois de juin.
UABD : Le Saes opposé à une augmentation des effectifs d’étudiants
La coordination du Syndicat autonome des enseignants du Sénégal (SAES), de l’Université Alioune Diop de Bambey (SAED-UADB) a exprimé son opposition à l’idée de porter à 15.000 l’effectif d’étudiants dans cette université, sans au préalable mettre en place de meilleures conditions d’études et de travail. Le syndicat ‘’met en garde le ministre [de l’Enseignement] par rapport à son projet d’augmenter l’effectif des étudiants jusqu’à quinze mille (15000)’’, a déclaré Mouhamadou Ngom, coordonnateur de la section UABD. Il s’exprimait au cours d’un point de presse consécutif à la visite, mardi 03 mars 2020, du ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, Cheikh Oumar Anne, à l’UABD. Selon lui, les étudiants vivent dans la promiscuité, et la ville de Bambey est confrontée à un déficit de logements. L’Université accueille aujourd’hui 7 à 8 mille étudiants, avec l’arrivée de 3 mille nouveaux bacheliers orientés cette année.
Coronavirus: Premier décès en Algérie
Après l'Egypte, l’Algérie a enregistré son premier décès lié au coronavirus. L'annonce est faite, ce jeudi, par le ministère de la Santé algérien à travers un communiqué. Mieux, il a déclaré que cinq (5) nouveaux cas ont été détectés, ce jour. Face à ce drame, le ministère de la Santé «conseille aux citoyens algériens devant se rendre dans les pays où l'épidémie est active, de différer leur voyage, et aux ressortissants algériens établis dans les pays où l'épidémie est active d'ajourner également leur visite familiale sauf en cas de nécessité absolue».
Gambie : Adama Barrow limoge son chef d’État-major des armées
Le président gambien, Adama Barrow, a limogé, hier mercredi, le chef d’État-major des armées, Masanneh Kinteh, rapporte Enquête. Il a été remplacé par son adjoint, le Général de division Yakuba A. Drammeh. Le Général Kinteh, âgé de 51 ans, a été nommé par Barrow à la tête de l’armée en février 2017, marquant ainsi son deuxième passage à ce poste. Sa démission intervient dans un contexte de spéculation généralisée sur le départ des soldats de l’armée gambienne, apparemment en raison de leur moral bas et de leur mécontentement quant à leurs conditions de travail. Selon un rapport publié la semaine dernière, des militaires gambiens ont quitté l’armée en masse, bien que cela ait été démenti par la suite par un porte-parole de l’armée.
Avec quatre pays touchés par le Covid 19, la Cedeao prend des mesures
Les 15 pays membres de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) ont mutualisé leurs forces afin de barrer la route au coronavirus, qui dès son apparition, n’a cessé de se propager à travers le monde. À l’heure actuelle, au moins quatre pays, et pas des moindres, de l’espace ouest africain sont touchés : Sénégal, Nigeria, Burkina Faso et Côte d’Ivoire. Selon Stanley Okolo, le Directeur général de l’organisation ouest-africaine de la santé, dès que le coronavirus a fait son apparition en Chine, la CEDEAO a réagi : « Nous avons immédiatement convoqué une réunion le 14 février, à Bamako, avec les ministres de la Santé. Nous avons profité pour revisiter la situation globale de la sous-région, et avons mis en place une stratégie commune. Laquelle insiste sur la surveillance accrue de nos frontières aériennes et marines. » En plus de la surveillance renforcée dans les frontières, l’organisation ouest africaine de la santé a incité les pays à occuper le champ de la communication pour couper court aux rumeurs, et à la désinformation. La seconde stratégie, c’est de renforcer une communication axée sur le public à travers divers canaux comme les réseaux sociaux afin de s’assurer que le public ait la bonne information.
Abdoulaye Daouda Diallo : «35 % des exonérations fiscales sont détournés»
En marge de la rentrée fiscale, ce mardi, le ministre des Finances et du Budget, Abdoulaye Daouda Diallo, a révélé que 35 % des exonérations fiscales ont été détournés. Ce chiffre, brandi par le ministre qui procédait au lancement du programme "Yaatal" de la Direction générale des impôts et domaines (Dgid), serait tiré d’une enquête de l’Inspection générale des finances (Igf). Ces détournements d’objectif ont poussé le ministre à bloquer ces titres. Il répondait ainsi à une interpellation du président du Cnp (Conseil national du patronat) Baïdy Agne. Abdoulaye Daouda Diallo d’inviter «toutes les parties à un meilleur civisme fiscal». Selon lui, ses services sont en train de repenser une nouvelle forme d’exonération, pour éviter ces impairs. «Évidemment, je ne peux pas continuer à bloquer indéfiniment ces titres d’exonération», a-t-il signalé. Entre autres solutions préconisées par le ministre, il y a «l’élargissement de la suspension de la Tva et des autres impôts».
Coronavirus : 2281 cas et 48 morts en France
La propagation du coronavirus gagne du terrain en France où le nombre de cas est passé à 2281. Dans le même temps, on note une augmentation des décès qui s’élèvent à 48. A noter que 105 personnes sont en réanimation.
Dame Diop alias Toubab : « Seydou Gueye est mal placé pour donner des leçons… »
C’est la guéguerre à l’Apr. Au sein de la formation du Président Sall, les coups et les contrecoups sont rendus parfois sans autre forme de procès. Et Dame Diop, jeune arpériste de Guediawaye, de répondre à Seydou Guéye sur ces querelles de clochers en cours chez les marrons-beige. « Seydou Gueye, dans une émission télévisée, a déclaré que les querelles politiques ne doivent pas se régler au tribunal », argue Dame Diop. Selon lui, « Seydou Gueye est mal placé pour donner des leçons de morale à qui que ce soit ». A en croire le jeune responsable apériste à Guédiawaye, « Seydou Gueye lui-même envoie ses jeunes insulter sur les réseaux sociaux de hauts responsables politiques. Il fait partie de ceux qui incitent les jeunes à avoir des comportements qui n’honorent pas le parti».
Liste des lions : Aliou Cissé face à la presse le 19 mars
À l’instar de plusieurs sélectionneurs nationaux africains, Aliou Cissé va publier sa liste des joueurs pour la double confrontation avec la Guinée-Bissau, le 28 mars à Thiès et le 31 mars à Bissau. Le face-à-face avec les journalistes est calé au 19 mars prochain à 10 heures à l’hôtel Good Rade. En tournée européenne pour voir ses joueurs évoluant en France, en Angleterre et en Italie, le sélectionneur national est attendu à Dakar dans les prochains jours.
Capoue : « Ismaïla Sarr sera un joueur de haut niveau»
La star de Watford, Etienne Capoue, a classé son coéquipier Ismaïla Sarr parmi les meilleurs joueurs et pense qu’il peut être l’un des meilleurs de la Premier League. L’attaquant très bien noté est arrivé à Vicarage Road l’été dernier en provenance de Rennes. Et depuis, Sarr a marqué six buts et fourni quatre passes décisives toutes compétitions confondues. «Je connaissais Ismaïla depuis qu’il jouait en France. Il sera un joueur de haut niveau. Il peut être l’un des meilleurs de la Premier League», a certifié l’ancien international français. «Il est timide parce qu’il ne parle pas anglais, mais avec nous, les francophones, il est vraiment drôle», révèle Capoue sur l’autre facette de l’international sénégalais.
Salif Sané : Moins de deux semaines pour revenir
En pleine phase de rééducation, Salif Sané a profité de son temps libre pour faire un saut en France. Il a même assisté au match nul entre Saint- Étienne et Bordeaux (1-1). Interrogé par Girondin4ever, il a expliqué comment il a vécu ses premiers mois de blessé. «Au début, c’était dur, mais il y avait ma famille qui m’a soutenu et même mes coéquipiers. C’est le football, parfois il y a des grosses blessures qui arrivent, et on doit aller de l’avant, travailler (…) Dans cette période de blessure, pour moi, il n’y a pas eu forcément de période négative. Après, il y a eu des joueurs qui sont arrivés à mon poste lors du mercato, mais je ne suis pas du genre à souhaiter du mal. Je veux juste que l’équipe aille le plus haut possible, qu’elle joue des places européennes. Ce qui est bon pour eux est bon pour moi aussi», confie le défenseur central des Lions, attendu pour effectuer bientôt son retour sur les pelouses de Bundesliga. «Il faut un petit laps de temps. Les docteurs m’ont dit qu’il fallait que j’attende encore un peu. Je pense qu’il faut encore une semaine et demie avant de reprendre totalement», ajoute Salif Sané.
Abdoulaye Bâ : «je ne veux pas continuer avec Rayo»
Prêté jusqu’à la fin de saison à La Corogne, Abdoulaye Bâ devra se montrer décisif pour espérer rester longtemps au Depor. Surtout qu’il ne veut pas retourner au Rayo Vallecano, son club d’appartenance avec lequel il est sous contrat jusqu’en 2021. «Je ne veux pas continuer avec Rayo». Clame-t-il haut et fort. «Je suis heureux d’être ici (à La Corogne). Venir pour faire ce qui me fait plaisir (le football). Cela fait longtemps. Je ne suis pas Messi, mais je sais quelle est ma valeur et je suis très heureux que Depor m’apprécie. Je vais me surpasser pour le Deportivo afin de le ramener à sa place», poursuit l’ancien capitaine de la sélection olympique de 2012. Concernant sa condition physique puisqu’il n’a joué que 60 minutes avec Rayo avant son prêt, Bâ rassure : «Je ne pense pas que je serais pénalisé pour n’avoir joué que quelques minutes. Je me préparais. Mentalement, ce n’est pas facile, mais je me préparais avec des gens au cas où je devais quitter Rayo».
Les arbitres «plagient» le Collectif des lutteurs
Les arbitres frondeurs ont décidé, au cours de leur réunion de mercredi dernier, de programmer un plan d’action pour obliger le CNG à réintégrer les suspendus. À cela s’ajoute la satisfaction de leurs doléances. Les arbitres vont tenir un point de presse dimanche et programment de faire une marche. Des stratégies qui ressemblent fort à celles du Collectif des lutteurs.
Le ministère des Sports toujours silencieux
Depuis l’éclatement de la contestation des arbitres par rapport à des manquements dans le cadre de leur travail, le ministère des Sports ne s’est pas prononcé de manière officielle. En interne, dès le début de la fronde, le ministre Matar Ba a appelé Sitor Ndour à arrêter le mouvement. Ce dernier, conformément à la volonté de sa base, n’a pas donné une suite favorable.
Boy Lô veut terminer la saison sur une bonne note
Battu par Pape Mbeur (Thiaroye Mbollo), le dimanche 15 décembre 2019, Boy Lô (Tefess Gui) veut effacer cette défaite et terminer la présente saison sur une bonne note. C’est pourquoi il veut trouver un adversaire le plus rapidement possible. Cet adversaire, il l’a identifié : Albarka Kaïré (Reubeuss). Boy Lô veut en découdre avec le poulain de Double Moteur pour relancer sa carrière.
Arène nationale : Ouzin a présenté ses «300 lutteurs»
Ouzin Productions a présenté les 300 lutteurs qu’il a engagés pour disputer sa compétition dénommée «tournoi des 300 lutteurs». Tous les athlètes engagés étaient présents, samedi passé, à l’arène nationale à l’occasion du combat Madj Madji / Angleterre. Ils étaient dans la loge officielle, habillés en tee-shirt avant de descendre près de l’enceinte pour la présentation.
Feugueuleu bou Ngor défie Liss Ndiago
Après sa victoire sur Pape Ndoye 2 (Mor Fadam), le 21 décembre passé, Feugueuleu bou Ngor (Olympique Ngor) veut la peau de Liss Ndiago (Diamaguène Sicap Mbao). Pour lui, Liss Ndiago choisit ses adversaires pour s’offrir un chemin facile. Le poulain de Pape Diagne Séras n’écarte pas Colonel Séras (Bathie Séras) et Franc 2 (Grand-Médine).
Khadim Anta Seck, un jeune qui veut réussir dans l’arène
Il est connu des acteurs de la lutte. Ce jeune homme de quelques centimètres se nomme Khadim Anta Seck. Sa petite taille ne l’empêche pas d’être ambitieux. En effet, il veut devenir un très grand promoteur et ficeler dans l’avenir une affiche de ténors. Pour l’heure, Khadim Seck aide les promoteurs à décrocher les belles affiches. Car il connaît les lutteurs qui drainent un grand public.
Fatma Dia quitte Infos-réwmi
Fatma Dia est une jeune journaliste spécialiste de lutte. Elle était au site Infos-réwmi. Notre jeune consœur nous a indiqué qu’elle a quitté ce groupe de presse. Pour le moment, Fatma a plusieurs propositions. Elle précise qu’elle est en train d’apprécier la meilleure offre pour se décider.
Assane Ndiaye et Baba Diaw en lice ce week-end
Le promoteur Assane Ndiaye va offrir aux amateurs, ce samedi, le combat Fourrière (Grand-Yoff) / Bébé Diène (Soumbédioune). Une affiche très attendue. Le lendemain, dimanche, Baba Diaw va proposer le duel Sokh (Xam Sa Cossan) / Gamou Guèye 2 (Lébougui).
Le silence de Khalifa Sow inquiète
Sitor Ndour a avoué que le silence de Khalifa Sow l’a quelque peu inquiété. M. Ndour n’est pas le seul. D’autres acteurs estiment que le directeur technique national devrait donner sa position sur la grève des arbitres, en sa qualité d’arbitre et d’actuel DTN.