MOI MACRON, L'AFRIQUE, JE L'AIME, JE NE LA QUITTE PAS
EXCLUSIF SENEPLUS - Honte à ces faiseurs de coups d'Etat et en première ligne, l'homme adoubé par son peuple, se nommant le Thomas Sankara du Mali, Assimi que je n'aime même pas voir en peinture. Le continent, tel mon ami Bolloré, je l'ai dans la peau
Pourquoi quitter l'Afrique alors que je suis un africain pur sang et de pure souche? Rire sous cape. N'en déplaise à mes contempteurs, à celles et à ceux qui me haïssent ? Et faisant cette haine envers moi, envers ma douce France, leur fonds de commerce ! M'en fichtre ! Hourra à cette meute qui veut ma peau ! Honte à ces faiseurs de coups d'Etat et en première ligne, l'homme adoubé par son peuple, se nommant le Thomas Sankara du Mali, Assimi que je n'aime même pas voir en peinture. Ah le Mali, ce doux pays à la lignée de guerriers dogons et sa belle musique des touaregs des sables.
Ce pays, ça me connait un peu mais je préfère le Nigeria, Lagos, ses bars, ses différents styles de musique, ses belles filles élancées, ses beaux hommes musclés tels des athlètes de l'empire Shongaï.
L'Afrique, tel mon ami Bolloré, je l'aime, je l'ai dans la peau. Oh que j'aimais être dans l'ancien empire, tel un Vasco de Gama ou un Magellan, défiant les mers et bravant les dangers de ce continent sauvage rempli de gens dépourvus de culture. Prière de m'excuser de cette intempérance de langage, mais la civilisation et moi ne faisons qu'un seul bloc. Et oui européen je le suis et européen je le resterai toujours. J'ai le plein droit, tel un enfant du pays des lumières, d'apporter la potion civilisatrice à ce beau continent sauvage et doux où le risque zéro n'existe pas.
Parler de l'Afrique m'a fallu un apprentissage auprès de mon mentor en politique que j'ai trahi sur l'autel d'une pseudo amitié mais il en fallait parce qu'il était mort cérébralement. Mon ami, François et dont je tais le nom, pour ne point m'attirer foudres et quolibets, était devenu méconnaissable à la fin de son règne. Et je l'ai achevé mais aidé de quelques amis qui me sont restés fidèles.
Fidélité et loyauté en politique, deux mots vides de sens. Moi Macron, je rime avec intérêts et surtout ceux français. Parler de ce beau continent où vit un bon nombre de mes semblables équivaut à parler de ses nombreuses richesses matérielles et immatérielles. Ce continent plein de vie et assis sur des trésors incommensurables.
Energies, matières premières agricoles et minières sont l'Afrique. Il se dit qu'elle est le berceau de l'humanité. Oups, j'en doute parce qu'elle n'est pas assez civilisée, mon ami Sarkozy me l’avait chuchoté à l’oreille. Ma civilisation à moi, moi fils de gaulois, fils de Bonaparte. Comprenez-moi, chers africains, je ne peux vous quitter et vous laisser au milieu du gué parce que sans moi, que nenni et vous le savez pertinemment même si parmi vous, beaucoup disent que je mens. En effet, en politique, il faut savoir mentir et faire valser les coeurs et les esprits. Il n'est qu'un seul intérêt qui prime. Prendre le dessus sur les gens et les piller. Avancer ou périr a toujours été l'adage de ce peuple de conquérants qu'est cette France que certains africains de quelque bord détestent. Insultes et mensonges à tire-larigot jonchent mon chemin. Le chemin de ma France que je porte en bandoulière.
Calomnies à la pelle. Mais qu'on me calomnie, qu'on me traîne dans la boue, qu'on me tire la peau, j'aime l'Afrique et je ne la quitte pas sinon le désastre serait le lit de la France. Si j'étais le roi de cette terre bénie et immensément riche, je dirais, du haut de la tribune et à la plèbe, panem et circenses à vous, peuple d'Afrique ! Mission impossible parce que l’éveil semble poindre de cette Afrique déjà debout dont sa jeunesse est déjà le fer de lance, sagaies à la main et prête au combat.
JOUR J POUR LA PRÉSENCE MILITAIRE FRANÇAISE AU MALI
Poussés dehors par la junte au pouvoir à Bamako, la France et ses partenaires européens devraient officialiser jeudi matin leur retrait militaire du Mali au terme de neuf ans de lutte antijihadiste menée par Paris
Emmanuel Macron doit tenir à l'Elysée une conférence de presse à 08H00 GMT, notamment aux côtés du président du conseil européen Charles Michel pour annoncer les décisions actées mercredi soir lors d'un sommet réunissant plusieurs dirigeants européens et africains.
La France est militairement présente depuis 2013 au Mali, proie des groupes jihadistes qui sévissent aussi dans d'autres Etats sahéliens.Paris est intervenu pour enrayer la progression des groupes islamistes radicaux menaçant Bamako et a ensuite mis sur pied une vaste opération antijihadiste régionale, Barkhane, déployant des milliers de soldats pour lutter contre les franchises locales d'Al-Qaïda et du groupe Etat islamique.
Mais malgré des victoires tactiques, le terrain n'a jamais été véritablement repris par l'Etat malien et ses forces armées.
Facteur aggravant, le gouvernement malien a été renversé lors d'un double coup d'Etat en 2020 et en 2021, aboutissant à l'arrivée au pouvoir d'une junte qui refuse d'organiser des élections avant plusieurs années et qui surfe sur un sentiment antifrançais croissant dans la région.
Mises au ban par les Etats ouest-africains, les autorités maliennes fustigent la présence militaire occidentale sur leur sol et font désormais appel, selon les Européens, aux mercenaires russes de la société Wagner.
Quelque 25.000 hommes sont actuellement déployés au Sahel, dont environ 4.300 Français (2.400 au Mali dans le cadre de Barkhane), selon l'Elysée. Le pays accueille aussi 15.000 soldats de l'ONU au sein de la Minusma, dont l'avenir est désormais en suspens puisqu'elle comptait sur un large soutien de Barkhane.
- "Vide" sécuritaire -
Le Mali était au coeur du dispositif antiterroriste français et européen au Sahel.Emmanuel Macron avait déjà décidé d'amorcer à l'été 2021 une réduction des effectifs français au profit d'un dispositif régional moins visible, mais ce départ contraint du pays va forcer Paris à accélérer cette réorganisation dans d'autres pays de la région menacés par la contagion jihadiste, notamment dans le golfe de Guinée.
"Nous considérons que la lutte contre le terrorisme est quelque chose d'essentiel pour le Mali, pour le Burkina, pour le Niger et pour les pays côtiers", a assuré le président ivoirien Alassane Ouattara mercredi sur RFI et France 24.
"Le départ de Barkhane et de Takuba (groupement de forces spéciales européennes, NDLR) crée un vide.Nous serons obligés d'acheter des armes, d'avoir une plus grande professionnalisation mais c'est notre devoir aussi.Les armées nationales doivent régler les problèmes sur nos territoires nationaux et c'est cela notre philosophie", a-t-il estimé.
"Nous avons besoin de réinventer notre partenariat militaire avec ces pays", a souligné mardi la présidence française."Il ne s'agit pas de déplacer ce qui se fait au Mali ailleurs, mais de renforcer ce qu'on fait au Niger et de soutenir davantage le flanc sud", a-t-elle ajouté.
Selon une source proche de l'Elysée, la France a promis de coordonner son retrait avec la mission de l'ONU au Mali et la Mission de formation de l'Union européenne au Mali (EUTM), qui continueront de bénéficier d'un soutien aérien et médical français sur place, avant le transfert ultérieur de ces moyens.
Hors du Mali, Paris compte poursuivre la lutte antijihadiste dans la région, où les mouvements affiliés à Al-Qaïda ou au groupe Etat islamique ont conservé un fort pouvoir de nuisance malgré l'élimination de nombreux chefs.
Outre un possible renforcement de sa présence au Niger voisin, qui héberge déjà une base aérienne française et 800 militaires, Paris ambitionne de proposer ses services à d'autres pays d'Afrique de l'Ouest (Côte d'Ivoire, Sénégal, Bénin...) pour les aider à contrer la propagation du jihadisme vers le golfe de Guinée.
Depuis 2013, 53 soldats français ont été tués au Sahel, dont 48 au Mali.
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LE DÉPART DE BARKHANE LAISSE UN GRAND VIDE
Dans une interview exclusive à RFI et France 24, le président ivoirien Alassane Ouattara ne cache pas son inquiétude devant le départ annoncé des forces militaires françaises et européennes du Mali
Marc Perelman, Christophe Boisbouvier |
Publication 17/02/2022
« Le départ de Barkhane et Takuba crée un vide, affirme Alassane Ouattara. Nous serons obligés d'augmenter nos forces de défense et d'accroître la protection de nos frontières. »
Sur les lourdes sanctions décidées par la Cédéao contre le Mali, le 9 janvier, le chef de l'État ivoirien affirme : « Nous n'avons pas cherché à punir le peuple malien, mais la Cédéao a des règles. Nous attendons que le gouvernement et la junte nous préparent un calendrier raisonnable et qu'on puisse lever graduellement les sanctions ».
Interrogé sur sa candidature ou non à la présidentielle ivoirienne en 2025, Alassane Ouattara réplique : « Je ne suis pas à la recherche d'un job à 80 ans. Je souhaite que les Ivoiriens choisissent en 2025 quelqu'un de plus jeune que moi et mes prédécesseurs ». Interrogé sur l'hostilité de Laurent Gbagbo à un projet de loi instaurant une limite d'âge aux candidats à la présidentielle, il réplique : « Laurent Gbagbo, ce n'est pas la République ».
ELIMINATOIRES DE LA CAN FÉMININE 2022, VICTOIRE DES LIONNES FACE AU MALI
Le Sénégal a battu le Mali, 1-0, mercredi, dans un match joué pour la phase aller des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des nations (CAN) de football féminine prévue cette année au Maroc.
Thiès, 16 fév (APS) - Le Sénégal a battu le Mali, 1-0, mercredi, dans un match joué pour la phase aller des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des nations (CAN) de football féminine prévue cette année au Maroc.
Le but de cette rencontre partie jouée au stade Lat-Dior de Thiès a été inscrit par Nguénar Ndiaye à la 71e minute.
LE FRANCAIS CLEMENT NOEL REMPORTE SA 13EME MEDAILLE D'OR AU JO
Le Français Clément Noël a remporté, mercredi à Yanqing, le titre de champion olympique de slalom devant l'Autrichien Johannes Strolz (2e) et le Norvégien Sebastian Foss-Solebagg (3e). C'est la 13e médaille de la France aux JO d'hiver de Pékin.
Le Français Clément Noël a remporté, mercredi à Yanqing, le titre de champion olympique de slalom devant l'Autrichien Johannes Strolz (2e) et le Norvégien Sebastian Foss-Solebagg (3e). C'est la 13e médaille de la France aux JO d'hiver de Pékin.
Clément Noël a slalomé vers l'or olympique, mercredi 16 février, à Yanqing. Sixième après la première manche, le Français a signé le meilleur chrono de la seconde manche pour décrocher le titre au slalom en ski alpin devant l'Autrichien Johannes Strolz (2e) et le Norvégien Sebastian Foss-Solebagg (3e).
À 24 ans, Clément Noël est le premier Français sacré en ski alpin depuis la victoire d'Antoine Dénériaz à la descente, en 2006. Il succède pour la France au palmarès du slalom olympique à Jean-Pierre Vidal (sacré en 2002), Jean-Claude Killy (1968) et aux sœurs Christine (1964) et Marielle Goitschel (1968).
Le skieur français s'était révélé au très haut niveau avec une quatrième place surprise aux JO de Pyeongchang en 2018. Depuis, il a été numéro deux mondial de la spécialité à trois reprises (de 2019 à 2021).
Il décroche le titre olympique au cœur d'un hiver mouvementé : il avait remporté le premier slalom de la saison à Val d'Isère avant de ne plus remonter sur le podium les cinq courses suivantes, frustré par des fautes récurrentes.
Alexis Pinturault, diminué par une épaule, a terminé à une anonyme 16e place, et repartira des Jeux sans médaille individuelle pour la première fois de sa carrière.
Clément Noël apporte son quatrième titre à la France et une 13e médaille tricolore aux JO d'hiver de Pékin.
L'EDUCATION A L'OCEAN DESORMAIS INSEREE DANS LES PROGRAMMES SCOLAIRES
A l’occasion du One Ocean Summit, l’UNESCO annonce se fixer pour objectif que l’éducation à l’océan figure dans les programmes scolaires de ses 193 Etats membres d’ici 2025.
A l’occasion du One Ocean Summit, l’UNESCO annonce se fixer pour objectif que l’éducation à l’océan figure dans les programmes scolaires de ses 193 Etats membres d’ici 2025. Pour y parvenir, l’agence onusienne met à la disposition des décideurs publics un référentiel commun de contenus pédagogiques.
Le One Ocean Summit se déroule à Brest, en France, du 9 au 11 février 2022, dans le but de mobiliser la communauté internationale pour qu'elle prenne des mesures concrètes pour préserver et soutenir un océan sain et durable.
« La communauté internationale doit faire de l’éducation l’un des piliers de son action en faveur de l’océan. Car si nous voulons mieux le protéger, nous devons mieux l’enseigner », a déclaré Audrey Azoulay, Directrice générale de l’UNESCO, l’agence des Nations unies qui dirige la Décennie des sciences océaniques au service du développement durable, de 2021 à 2030.
Il faut protéger les océans.
De l’échelon national jusqu’à la salle de classe
Pour atteindre cet objectif ambitieux, l’UNESCO a dévoilé jeudi un référentiel commun de contenus pédagogiques à destination des décideurs politiques et des concepteurs de programmes. Il leur donne toutes les clefs pour intégrer l’éducation à l’océan à chaque niveau de la chaine éducative : de la rédaction des programmes scolaires nationaux jusqu’à la préparation des leçons par les enseignants.
« Grâce à cette boite à outils, tous les Etats sont sur le même pied d’égalité pour placer rapidement l’océan au cœur des enseignements et accroître les connaissances des élèves dans ce domaine afin qu’ils deviennent des citoyens responsables et engagés », a expliqué Stefania Giannini, Directrice générale adjointe de l’UNESCO en charge de l’éducation.
Ces nouveaux outils éducatifs fournis par l’UNESCO, avec le soutien d’AXA et de nombreux autres partenaires et experts, sont fondés sur la conviction qu’il faut changer la façon dont la société interagit avec l'océan pour parvenir à un modèle plus durable.
Dans ce référentiel, l’UNESCO a tenu à mettre en valeur les bonnes pratiques de ses Etats membres qui travaillent déjà sur l'éducation océanique, à l’image du Brésil, du Canada, du Costa Rica, du Kenya, du Portugal et de la Suède. Sous la forme d’étude de cas, l’Organisation présente les principaux résultats obtenus par ces pays, ainsi que les opportunités et les défis à relever pour inclure de manière structurée la connaissance de l’océan dans les programmes d'études.
Pour l’UNESCO, l’éducation à l’océan doit se traduire non seulement par la transmission des connaissances scientifiques et des enjeux contemporains, mais aussi par la promotion des savoir-faire et des connaissances traditionnelles, à l’image de ceux que protège la Convention de 2001 sur le patrimoine culturel immatériel qui promeut par exemple des techniques de pêche ancestrales.
A l’occasion du One Ocean Summit, l’UNESCO a également annoncé qu’au moins 80% des fonds marins seront cartographiés d’ici 2030, contre 20% actuellement, avec l’appui de ses Etats membres et du secteur privé.
« Comment réussir à protéger l’océan quand on le méconnait autant ? Seuls 20% des fonds-marins sont cartographiés. Nous devons aller plus loin et mobiliser la communauté internationale pour qu’au moins 80% des fonds marins soient cartographiés d’ici 2030 », a dit jeudi Audrey Azoulay.
Connaître la profondeur et les reliefs des fonds marins est essentiel pour comprendre l’emplacement des failles océaniques, le fonctionnement des courants océaniques et des marées, comme celui du transport des sédiments.
Ces données contribuent à protéger les populations en anticipant les risques sismiques et les tsunamis, à recenser les sites naturels qu’il convient de sauvegarder, à identifier les ressources halieutiques pour une exploitation durable, à planifier la construction des infrastructures en mer, ou encore à réagir efficacement aux catastrophes à l’image des marées noires, des accidents aériens ou des naufrages. Elles ont aussi un rôle majeur pour évaluer les effets futurs du dérèglement climatique, qu’il s’agisse des augmentations de température ou de l’élévation du niveau de la mer.
Des avancées considérables depuis 2017
En 2017, l’UNESCO et la Nippon Foundation, la plus grande fondation privée du Japon, ont uni leurs forces pour lancer le programme « Seabed 2030 ». Il coordonne depuis le déploiement des sonars et rassemble toutes les données recueillies. Ce programme a notamment permis de convaincre de nombreux Etats de partager les données en leur possession portant sur les fonds marins proches de leurs côtes. Les premiers résultats de ce programme sont tangibles : il y a 5 ans, au moment du lancement de Seabed 2030, seuls 6% des fonds marins étaient cartographiés selon les standards modernes, nous en sommes aujourd’hui à 20%.
Il est d’autant plus possible d’accélérer la cartographie des fonds marins que des innovations récentes ont amélioré l’efficacité des outils technologiques. Si les sonars sont utilisés depuis les années 1960 pour balayer les fonds marins, ceux-ci sont désormais multifaisceaux, c’est-à-dire qu’ils peuvent mesurer la hauteur d’eau en plusieurs points et dans plusieurs directions à la fois, ce qui représente un formidable gain de temps. Surtout, alors qu’ils étaient jusqu’à présent fixés sur des navires avec équipage, les scientifiques sont désormais en capacité de les piloter à distance sur des navires autonomes – sur le même principe que les drones aériens. Cette solution ouvre la possibilité de cartographier les fonds bien au-delà des routes habituelles de navigation. Elle a aussi l’avantage d’être plus abordable sur un plan financier.
Un objectif assorti d’un plan d’action
A l’occasion du One Ocean Summit, Audrey Azoulay appelle à amplifier la dynamique, par la mobilisation des 150 Etats membres de la Commission océanographique intergouvernementale (COI) de l’UNESCO mais aussi du secteur privé. Les experts de la COI ont d’ores et déjà évalué les moyens qui sont nécessaires à l’atteinte de cet objectif d’au moins 80% à horizon 2030.
Ils reposent sur trois axes :
La mobilisation d'une flotte de 50 navires spécialement dédiée à la cartographie des fonds marins.
L'intensification du recours au sonar sur navire autonome.
La transmission par les gouvernements et par les entreprises des données cartographiques qu’ils ont déjà en main mais qu’ils conservent archivées.
Selon les experts de la COI, le besoin total de financement pour ce projet est de 5 milliards de dollars, soit une moyenne de 625 millions de dollars par an d’ici 2030.
« Nous allons mettre en place d’ici 2023 un outil de suivi mondial, qui permettra de rendre compte chaque année des progrès de la cartographie et d’identifier où se trouvent les lacunes restantes. Cette carte mondiale des fonds marins sera l’un des héritages de la Décennie des océans des Nations Unies », a expliqué Vladimir Ryabinin, Directeur général adjoint de l’UNESCO en charge de la COI.